Skip to main content

Home/ Ubicast (Public)/ Group items tagged coursera

Rss Feed Group items tagged

Jean-Marie Cognet

Mooc : Coursera, à la conquête du monde de l'entreprise - Educpros - 2 views

  • Depuis 2016, le géant des Mooc Coursera s'ouvre à la formation continue. L'Oréal, Air France, Criteo… La société californienne multiplie les partenariats avec les entreprises, notamment françaises, pour fournir à leurs salariés des cours en ligne
  • les entreprises ont besoin de faire monter en compétence leurs employés dans un marché du travail qui évolue extrêmement vite. De plus, nos 150 partenaires universitaires produisent un contenu d'excellence, sur des sujets à la pointe.
  • Entrer sur le marché de la formation continue n'est qu'une autre façon de répondre à l'un de nos objectifs de base, à savoir offrir une expérience transformatrice à nos apprenants.
  • ...2 more annotations...
  • ous avons en effet adapté notre plate-forme aux besoins de l'entreprise, tant dans le contenu proposé que dans l'expérience de celui ou celle qui gère la formation. Cela passe par exemple par un système de tracking, qui permet de suivre les progrès des apprenants et de proposer un accompagnement qualitatif tout au long de la relation avec Coursera.
  • Les entreprises sont particulièrement demandeuses de trois thématiques : l'IT (technologies de l'information), le "big data" et le management/leadership. On
Jean-Marie Cognet

Coursera lève des fonds pour pousser l'IA dans les cours en ligne - 0 views

  • La plateforme MOOC Coursera lève 64 millions de dollars pour avancer sur l’usage de l’intelligence artificielle et consolider son offre B2B.
  • levée de fonds de 64 millions de dollars
  • Depuis sa création en 2012 par deux professeurs de l’Université de Stanford spécialisés en sciences informatiques (Daphne Koller et Andrew Ng), Coursera a levé 210,3 millions de dollars. Sa valorisation s’approcherait désormais 800 millions de dollars, indique TechCrunch.
Jean-Marie Cognet

Mooc : Coursera à la croisée des chemins - Educpros - 2 views

  • Selon une étude réalisée en partenariat avec Coursera et publiée dans la Harvard Business Review, 87 % des élèves ayant terminé un Mooc ont estimé que celui-ci avait eu des "effets bénéfiques" sur leur carrière, et 33 % de façon "tangible" (nouveau travail, promotion etc.). "Finalement, ce sont les employeurs qui sont responsables de la valeur donnée à ces certificats. Et nous y croyons, car il y a un besoin, chez les entreprises, de signaux indiquant que telle personne maîtrise telle compétence. Cette tendance ne va pas s'arrêter", affirme Julia Stigliz.
  • "La force numéro un de Coursera, ce sont les marques prestigieuses de ses universités partenaires. Mais sa faiblesse numéro un, c'est son manque de lien avec les entreprises. Son défi est de développer des programmes en lien direct avec les besoins des recruteurs, de tisser des liens avec des représentants de branches, afin que ces certificats soient vraiment un signal qui réduise le risque lié à une embauche. C'est d'ailleurs la stratégie d'Udacity, qui définit le contenu de ses 'nanodegrees' directement avec les employeurs, et dont le modèle semble bien marcher", détaille-t-il.
  • C'est notamment pour se rapprocher des employeurs que, depuis le mois de septembre, Coursera s'attaque à un nouveau marché : la formation continue en entreprise.
Jean-Marie Cognet

Transformation digitale dans l'enseignement supérieur : le cas d'HEC Paris - ... - 1 views

  • En guise d’appetizer, je fais réagir Peter Todd à un extrait de la Guerre des Intelligences, dernier livre de Laurent Alexandre : « À partir de 2035, l’éducation deviendra une “branche de la médecine”, utilisant les immenses ressources des neurosciences pour personnaliser d’abord la transmission et optimiser ensuite bioélectroniquement l’intelligence. » Et comme Coursera vient de lever 64 millions de dollars pour intégrer de l’IA dans sa plateforme, je ne suis demandé si Coursera finirait par racheter HEC… Réponse dans cet article.
  • Deux facteurs joueront, selon lui, un rôle déterminant : D’une part, l’évolution de la demande des contenus. D’autre part, la transformation des méthodes et des outils d’enseignement.
  • Il est courant de surestimer les effets à court terme de la technologie, et d’en sous-estimer les effets durables. Selon Peter Todd, les fondamentaux de l’enseignement n’ont pas tant changé en 500 ans, et un bouleversement total dans les quinze prochaines années n’apparaît guère probable.
  • ...4 more annotations...
  • Les plateformes de formation Le milieu du marché des écoles de management est quant à lui en train d’être absorbé par les offres low cost en ligne. L’acteur le plus connu de l’offre de formation en ligne est Coursera. Même si actuellement, les universités et écoles détiennent encore un monopole sur la délivrance de diplômes, des alliances ou autres fusions entre les plateformes et des acteurs traditionnels pourraient changer cette donne à l’avenir.
  • De nouveaux acteurs de la formation attaquent le marché de diverses manières : Les acteurs classiques d’un nouveau genre Les grands cabinets de conseil offrent désormais des formations business, en partie grâce au multiplicateur digital des nouvelles technologies, qui permet d’atteindre des niveaux de marge élevés.
  • L’un des changements à anticiper touche cependant le métier d’enseignant. Selon Peter Todd, aujourd’hui, ce métier peut être comparé à une performance de théâtre interactif. Le digital conduit à faire du métier de l’enseignement une performance qui se rapprocherait davantage du cinéma. Dans cette perspective, le packaging et la conception des briques d’apprentissage acquièrent une importance croissante.
  • Coursera, qui vient de lever 64 millions de dollars pour développer l’intelligence artificielle de sa plateforme, est une entreprise ultra-focalisée sur l’expérience de ses utilisateurs. En leur proposant une killer app, elle se taille une part de marché suffisante pour peser dans l’écosystème vénérable de l’éducation supérieure et au-delà : annonceurs, professeurs, universités, etc.
Jean-Marie Cognet

Schools Jump onto Free Online Course Service but Hedge on Certification - 0 views

  • Coursera's on a growing streak. The number of new institutions of higher education to sign onto the free online course site has more than doubled, bringing the total count of colleges and universities participating to 33 from 16. Among the new schools participating: Berklee College of Music, Columbia University, Ohio State, Vanderbilt, and Wesleyan.
  • One new participant is the University of California Irvine, which has added seven courses and is already involved in a Coursera-like initiative run by the OpenCourseWare Consortium, but without the interactive components that Coursera provides. UCI also offers educational materials on iTunes U, YouTube, Connexions,
Jean-Marie Cognet

Aux États-Unis, les Mooc participent à une transformation en profondeur de l'... - 0 views

  • En général, Coursera et EdX partagent 50 % des revenus de chaque cours avec l'université ou l'organisme qui le dispense. Citant l'exemple d'un cours proposé par Coursera, l'article explique que les frais de scolarité acquittés par 46.000 des 500.000 inscrits ont rapporté près de 2,5 millions de dollars.
  • Cette nouvelle manne financière bénéficie non seulement aux universités, mais également aux enseignants qui créent les Mooc : ainsi, à l'université du Michigan, les revenus des Mooc sont divisés en trois, un tiers pour l'administration, un tiers pour le département dispensant le cours, et un tiers pour les professeurs qui l'enseignent.
  • EdSurge souligne que cette répartition est très motivante et incite à l'innovation, à tous niveaux. Ainsi, l'université du Michigan a investi une partie des revenus des Mooc dans la construction d'un nouveau portail étudiant
  • ...4 more annotations...
  • Pour d'autres cours, les universités n'hésitent pas à engager des professionnels de la production vidéo pour rendre l'enseignement à distance le plus captivant possible.
  • Barbara Oakley, professeur à la Oakland University à Rochester dans le Michigan, enseigne, depuis un studio aménagé dans sa cave, "Apprendre à apprendre", un cours qui rassemble 1,8 million d'étudiants répartis dans plus de 200 pays.
  • Le rôle même de l'enseignant a évolué grâce aux Mooc : les universités embauchent des instructeurs, spécialisés dans la maintenance de ces cours en ligne. Ils remettent à jour les classes initialement créées par des professeurs réputés, répondent aux questions des élèves sur les forums de discussion, et préparent de nouvelles évaluations.
  • En six ans, les Mooc ont apporté bien plus qu'une démocratisation du savoir : on assiste à une complète transformation des cours et de ceux qui les enseignent.
Jean-Marie Cognet

Les MOOC au coeur de la transformation des enseignements de l'Institut Mines ... - 2 views

  • Fin avril l’Institut Mines Télécom publiait son premier rapport d’activité sur le développement des Massive Open Online Courses (MOOC) depuis son démarrage en 2013 jusqu’à fin 2016. Un rapport très complet, téléchargeable depuis ce lien
  • Vous avez produit 26 MOOC dont 10 sur les 12 derniers mois. Comment gérez vous l’industrialisation de cette production ? Je vais peut-être vous étonner, mais on pourrait dire qu’en pratique, chacun de nos MOOC est un prototype, une nouvelle aventure pédagogique. Nous avons assez peu d’industrialisation mais plutôt du partage d’expérience.
  • Il n’y a pas de processus organisé sur la production des vidéos comme peut le faire le  CNAM. La plupart des écoles ont un studio, et il en existe un au niveau de la direction générale de L’Institut.
  • ...10 more annotations...
  • Cette industrialisation a-t-elle permis de réduire fortement les coûts de production ? Non, car chaque MOOC est différent. Les MOOC  construits avec des activités relativement standards sont globalement moins coûteux à produire que la moyenne
  • Je constate des différences d’appétences personnelles des enseignants vis à vis du format MOOC. Je distinguerais trois grandes catégories de motivation, un enseignant pouvant avoir les trois.   Il y a d’abord l’enseignant sur le campus qui pense à ses élèves et veut introduire le numérique dans sa pédagogie. Il raisonne au fond sur un cours numérique, mais pas vraiment sur un cours ouvert à tous et massif. Une deuxième catégorie conçoit les MOOC comme un outil de promotion pour leur matière et éventuellement pour eux-mêmes. Enfin, une troisième aborde ce format comme  une nouvelle pédagogie et s’interroge sur comment s’adresser à une communauté qui n’est pas celle des étudiants habituels des écoles, et de ce fait sur la façon de transmettre.
  • Et concernant les activités proposées ? Quelle est la bonne activité pour faire acquérir la connaissance ou la compétence ?  Les concepteurs de MOOC ont un tropisme vers la vidéo, mais nous avons constaté, parfois de manière très factuelle, que pour certains grains de connaissance elle n’est pas le médium le plus adapté.  Il faudrait se poser la question de comment utiliser au mieux la vidéo ?  Ainsi, pour le MOOC “S’initier à la fabrication numérique”, des vidéos de reportage dans des fab lab montrent des exercices pratiques, c’est très démonstratif. Le MOOC “Introduction à la mécanique des fluides” inclut des vidéos de terrain.
  • Certains enseignants ont-ils du mal à passer de l’autre côté de la caméra ?   Oui évidemment cela arrive, mais je trouve aussi très intéressant qu’un enseignant chercheur ne souhaite pas passer devant la caméra. Si vous prenez l’exemple du cinéma, on peut avoir envie d’aller voir un film réalisé par Steven Spielberg sans forcément s’attendre à le voir à l’écran. Pour moi, la valeur ajoutée unique de l’enseignant chercheur, c’est le contenu et la façon de le transmettre, c’est à dire la pédagogie. C’est le coeur de son métier.
  • Le portrait type d’un incrit à vos MOOC est un homme (75%) entre 25 et 44 ans (58 %) avec un niveau d’étude au moins égal à Bac +5 (53 %). Allez vous élargir cette cible ?
  • Exploitez vous cette base d’inscrits ? La base d’inscrits ne nous est en pratique pas facilement accessible. Avec edX, nous y avons en principe accès, mais nous n’avons pas encore d’interlocuteur en matière de données à qui edX transmettrait les fichiers
  • En 2015-2016, sur les 10 000 étudiants de nos campus, le nombre d’inscriptions d’étudiants à un MOOC a été de 5 000, dont un peu moins de 2 000 sur des MOOC externes. Les trois écoles qui les utilisent le plus dans leur pédagogie sont : IMT Atlantique (école résultant de la fusion de Télécom Bretagne et Mines Nancy), Télécom SudParis et IMT Lille-Douai
  • Par ailleurs, pour l’appel à projet “Nouveaux cursus à l’université”, l’Institut  a proposé un projet de collection de formations en ligne incluant un parcours diplômant. Nous étudions la possibilité d’en développer d’autres ciblant plus spécifiquement l’Afrique francophon
  • Fondamentalement cela nous a beaucoup apporté. Nous constatons une grande similitude de valeur et de fonctionnement entre Fun et Edx ce qui est logique car toutes deux ont été créées par des acteurs académiques. Même si Coursera a été fondée par d’anciens enseignants de Stanford, en pratique la plateforme est financée par des fonds d’investissement de la Silicon Valley. Coursera est donc plus une start-up du numérique. Si un but de Coursera est l’accès à l’enseignement pour le plus grand nombre, nous constatons aussi que  l’entreprise est très active dans la  recherche d’un modèle économique
  • Quel bilan faites vous de l’utilisation des MOOC en formation continue ? On est encore au début de l’histoire. Notre MOOC “Innover et entreprendre dans un monde numérique” a déjà  été utilisé par un acteur du secteur de l’énergie pour former  2 500 salariés.
Jean-Marie Cognet

La fin de la neutralité du Net aux États-Unis doit-elle effrayer l'enseigneme... - 1 views

  • Votée le 14 décembre 2017, la fin de la neutralité du Net aux États-Unis fait craindre à certains le déclin de l'accès à l'éducation pour tous
  • la FCC met ainsi fin au principe garantissant que tous les contenus mis en ligne soient traités sans discrimination pour leurs créateurs et leurs consommateurs. Désormais, les fournisseurs d'accès pourront appliquer des tarifs proportionnels au volume de données et de bande passante utilisées.
  • il en découlera un accès au savoir à deux vitesses pour les étudiants : ceux qui pourront accéder aux ressources disponibles grâce à une connexion haut débit, dont les fournisseurs d'accès pourront augmenter les tarifs à leur gré, et les autres.
  • ...4 more annotations...
  • Les universités, qui, ces dernières années, ont largement investi dans de nouveaux outils numériques, pourraient voir leurs factures augmenter afin de maintenir ce type de services. Un coût qui se répercuterait sans doute sur les frais de scolarité
  • Autre inquiétude mise en avant dans cette tribune : les fournisseurs d'accès n'auront-ils pas intérêt à favoriser la diffusion du contenu commercial au détriment de contenus académique ou scientifique
  • L'accès aux cours en ligne et autres ressources éducatives pourrait ainsi être relégué au second plan pour garantir la diffusion la plus rapide au contenu le plus lucratif.
  • Pour les entreprises du secteur des EdTech, comme Coursera, les effets se traduiront par une augmentation graduelle des coûts ."Si, dans cinq ou dix ans, les coûts pour produire et diffuser les cours ont doublé ou triplé, Coursera devra repenser son modèle économique", avertit Charles Severance.
Gabriel Escobar-Mesley

Dernières tendances et innovations du Digital Learning : que nous réserve 201... - 1 views

  • Les tendances pour 2017Réalité virtuelle ou augmentée
  • La vidéo et la photo à 360° 
  • En vogue, les neurosciences investissent le champ de l’éducation et de la formation.
  • ...4 more annotations...
  • C’est le mobile learning, une tendance de fond dans la formation, qui a non seulement l’avantage de s’adapter au quotidien de l’apprenant mais présente également un intérêt pédagogique très puissant. Ce format permet notamment l’apprentissage en cycle court et juste-à-temps dans une perspective ludique.“La pédagogie, c’est une affaire de répétition” disait Camille Bordas. Et le mobile learning s’inscrit parfaitement dans cette perspective : “le Microlearning permet d’améliorer ses compétences par “petits morceaux”
  • On parle désormais de NeuroLearning
  • Mieux apprendre et mieux enseigner en essayant de comprendre les mécanismes du cerveau
  • C’est également le parti pris de Samuelle Dilé d’Aureacom dans son atelier “Apprendre à apprendre”. Il y a donc une méthode pour apprendre ? Et bien oui, ou plutôt une méthodologie qui respecte les principes des neurosciences évoqués plus haut et qui commence à faire le buzz. C’est même un des moocs les plus suivis sur la plateforme Coursera (“Learning how to Learn” ).Apprendre c’est bien, retenir c’est mieux, pourrait nous répondre Fabrice Cohen et Pierre Grison de Woonoz dans leur atelier “les clés de la mémorisation”. On y découvre ce qui rejoint cette tendance actuelle qui consiste donc à disséquer les processus cognitifs au regard des nouvelles découvertes scientifiques et l’aide puissante des développements technologiques.La gamification est par ailleurs une des tendances les plus fortes et les plus excitantes de cette conférence, une thématique qui reste dans le registre des neurosciences. Apprendre en s’amusant, c’est un vœu de plus en plus exaucé. Frédéric Kauzmann de My-Serious-Game y travaille à travers son studio de création de formations digitales innovantes.
  •  
    Les tendances learning 2017. Petit plaisir perso, ça commence à inclure sérieusement les neurosciences :')
Jean-Marie Cognet

MOOCs : moins de communication et plus de pédagogie, SVP - 0 views

  • aller voir ce qui se passe ailleurs que sur les plateformes EdX ou Coursera, en matière de formation à distance. En des lieux où l'on se préoccupe du taux de rétention des apprenants, et du taux de diplômation.
  •  
    "Étudier à distance gratuitement dans une université prestigieuse"
Jean-Marie Cognet

Les Mooc peuvent-ils répondre aux demandes de formation continue des entrepri... - 0 views

  •  Les Mooc sont-ils alors des outils efficaces de formation continue et de perfectionnement pour les managers ?  Non, s’ils restent des cours en vidéo dont toute l’innovation pédagogique se limite à un support numérique, quelle que soit la plate-forme utilisée (Udemy, Khan Academy, EdX ou Coursera pour ne citer que les américaines les plus connues). Oui, si le cours s’accompagne d’interactions avec des experts ou des pairs et si les exercices sont systématiquement corrigés pour recevoir un feedback, étape essentielle de l’apprentissage, ce que nous appellons un « Mooc premium ».
Jean-Marie Cognet

Fostering a culture of learning | Deloitte University Press - 0 views

  • More than eight in ten executives (84 percent) in this year’s survey view learning as an important (40 percent) or very important (44 percent) issue. Employees at all levels expect dynamic, self-directed, continuous learning opportunities from their employers. Despite the strong shift toward employee-centric learning, many learning and development organizations are still struggling with internally focused and outdated platforms and static learning approaches.
  • To facilitate the effort to help employees “learn how to learn,” L&D teams are building internal knowledge-sharing programs, developing easy-to-use portals and video sharing systems, and promoting collaborative experiences at work that help people constantly learn and share knowledge.
  • Almost $1 billion of this went into tools, content, and companies that focus on the corporate market.6
  • ...1 more annotation...
  • Much of this investment is directed at tools to harness video, new mobile learning apps, and an explosion of content marketplaces. Today, any employee can browse through content from Coursera, Udemy, Udacity, or a dozen other providers and instantly access a lecture, course, or workshop on a needed skill. Such platforms offer learning opportunities at little or no cost and even allow employees to interact online with experts in the field—learning exactly what they need, when they need it, at a time that fits their schedules.
Jean-Marie Cognet

Amazon sur le marché de l'éducation… La formation pour bientôt ? - 1 views

  • Déja présent dans l’éducation (Amazon Education), le géant du e-commerce (et bientôt sans doute du commerce tout court, avec ses projets de magasins en centre ville) vient d’annoncer sa prochaine plateforme destinée aux établissements d’enseignement. Ce service en beta test leur permettra de télécharger et de gérer des ressources pédagogiques qui pourront entrer dans les parcours scolaires. Ressources libres de droit (“Open ressources”) glanées sur le Web, qui pourront être largement partagées entre les établissements et les étudiants, le prochain service Amazon s’inspirant plus ou moins des grandes plateformes de distribution  MOOC… Possible conflits de voisinage avec Coursera ou eDX par exemple.
Jean-Marie Cognet

Les MOOC de la tech à suivre, Transformation digitale - Les Echos Executives - 1 views

  • 60 millions de personnes se seraient inscrites à un MOOC au moins ces six dernières années, selon une étude Xerfi publiée en septembre 2017
  • Le cours sur le machine learning de Stanford, assuré par Andrew Ng, chercheur en intelligence artificielle, a été le plus consulté par les Français. Ces derniers ont, pour cela, eu recours à la plate-forme Coursera, créée par Andrew Ng lui-même et leader mondial des MOOC en termes d'audience. Autre grand succès : le cours dispensé par le site Deeplearning.ai qui donne les clefs pour comprendre un réseau neuronal artificiel (« Neural Networks and Deep Learning »). Ce MOOC, le troisième le plus visionné, aide à appréhender les technologies impactées par le « deep learning ».
Jean-Marie Cognet

Peut-on automatiser les métiers de l'éducation ? | LinkedIn - 1 views

  • En matière d’éducation, nous vivons une époque charnière. Le système éducatif est mis à mal par une reconfiguration sans précédent, dans laquelle se conjuguent la forte remise en cause de la notion d’autorité, des polémiques parfois sans fin entre chapelles pédagogiques, et une crise des vocations pour le métier d’enseignant. Une remise en question profonde, accélérée par le développement des NBIC (nanotechnologies, biotechnologies, technologies de l’information et sciences cognitives) qui constituent autant une menace qu’une formidable opportunité de se réinventer pour davantage d’efficacité et de liberté.
  • Coursera, startup pionnière en la matière, et regarder le nombre d’inscrits : 18 millions d’étudiants répartis dans 196 pays, dont 1/3 issus de pays en voie de développement.
  • A la fin de l’année de 2013, la plateforme dispensait un peu moins de 150 cours et seulement 160 en Avril 2015. Aujourd’hui, plus de 1000 cours sont proposés. 
  • ...3 more annotations...
  • Des questionnements urgents, d’autant que le contenu de ces cours, à l’origine bâtis par des enseignants, est déjà en voie d’automatisation. L’intelligence artificielle et les algorithmes permettent aujourd’hui de produire des cours personnalisés pour chaque élève, en se basant sur ses attentes, ses préférences académiques et ses performances passées. Au point où l’on peut se demander si l’enseignant n’est tout simplement pas voué à purement et simplement disparaître.
  • De son côté, Domoscio a développé une solution d’apprentissage adaptatif mêlant algorithmes et sciences cognitives pour proposer des parcours individualisés qui permettent aux élèves d’avoir un retour sur leur apprentissage. Utilisée dans l’enseignement supérieur mais aussi par des entreprises, cette technique se fonde sur l’analyse de données, notamment le machine learning (des algorithmes capables d’apprendre par eux-mêmes) et le deep learning (qui fait intervenir des réseaux de neurones à plusieurs niveaux). L’efficacité de Domoscio est ainsi reconnue par la Commission européenne, le ministère de l’Education nationale ou encore la Banque publique d’investissement.
  • L’évolution technologique est si rapide que ces questions méritent d’être posées. Mais in fine, leurs réponses se trouvent dans le subtil équilibre que nous arriverons à trouver entre la place de l’Homme et celle de la machine dans l’enseignement. C’est la clé. Il est impossible de nier que les nouvelles technologies permettent d’améliorer considérablement la qualité de l’enseignement et qu’elles seront de précieuses auxiliaire dans l’exercice du métier d’enseignant : en automatisant certaines tâches administratives ou évaluatives, en améliorant les cours, en démocratisant l’accès à ces derniers… Tout comme il est impossible de faire abstraction de la nature unique des interactions humaines et des sentiments particuliers qu’elles génèrent comme l’écoute, l’empathie, l’intuition, ou encore le soutien moral, complexes à acquérir pour une intelligence artificielle et pourtant si fondamentales dans l’apprentissage.
Jean-Marie Cognet

Apprendre l'architecture grâce au MOOC : vices et vertus - Archicree - 1 views

  • Alors que le 28 février dernier l’université d’Harvard mettait à disposition de tous ses modules d’architecture sur la plateforme de cours en ligne ouvert et massif (MOOC*) edX, des universitaires français questionnent ce modèle d’enseignement.
  • Ces cours sont dispensés en visio-conférence sous titrée. Ils sont suivis de questions qui permettent l’obtention de crédit.
  • Un forum est mis à disposition pour que chacun puisse débattre du sujet et l’enrichir, en interagissant en ligne avec d’autres membres de la communauté. Le temps pour suivre une leçon complète est d’environ deux à trois heures. Des tableaux de progression offrent un suivi personnalisé aux fils des exercices.
  • ...3 more annotations...
  • selon un sondage auprès des apprenants edX, permettrait d’augmenter ses perspectives d’emploi : 43% ont déclaré que les cours ont contribué à faire progresser leur carrière. Pour autant une étude du MIT – Harvard indique que seulement 5% des inscrits vont jusqu’au bout de la formation et la valide, et que 9% suivent plus de la moitié du cursus. En chiffre, la plateforme se vante de 10 millions d’apprenants, de plus de 1265 cours, de plus de 110 institutions prestigieuses dans le monde, de 34 millions d’inscriptions aux cours, avec un âge moyen de 28 ans. En pourcentage, 25% des apprenants seraient d’USA (une réponse au coût élevé des universités américaines), 11 % d’Inde, 4% du Royaume Uni, 4% du Brésil, 3% de Chine.
  • les MOOC semblent avoir trouvé un système économique non lucratif mais autonome pour démocratiser et ré-imaginer l’éducation
  • Mais les détracteurs du MOOC ne sont pas du même avis. Annie Vinokur, dans « La normalisation de l’université » soutien que le développement des MOOC dans les années 2010 est concomitant de la hausse des frais de scolarité dans les universités américaines, et qu’in fine, elles banaliseraient l’enseignement et donc les métiers auxquels elles préparent. Selon le sociologue Jérôme Valluy, dans l’entretien « Un ersatz de prestations pédagogiques… », les MOOC tiendraient plus du marketing académique que de la pédagogie numérique, et ne seraient qu’une version low cost de l’enseignement : « Le danger est de créer des illusions : faire croire aux étudiants qu’ils accèdent par les Mooc à des universités prestigieuses. C’est du marketing qui confine à la tromperie. Ils n’accèdent qu’à un ersatz de prestations pédagogiques de ces universités et les certifications qu’elles délivrent ne valent pas, au regard des employeurs, les diplômes délivrés sur la base de formations principales ». Ainsi, les opposants au MOOC craignent que la réduction de coûts par la diffusion en ligne se fasse au détriment de la qualité des contenus et que la généralisation des cours en ligne aboutisse à une mise en concurrence des facultés dans un contexte de restriction budgétaire. Ils se méfient de l’accès différencié à l’équipement informatique ainsi qu’au risque d’isolement des étudiants.
1 - 20 of 21 Next ›
Showing 20 items per page