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Définir les limites que l'on fixe à l'enfant en fonction de son âge et de son niveau de perception.OAS_AD('Position1'); > Entretenir une discussion avec vos enfants sur le sujet et surtout en expliquer les limites, tout en leur expliquant que des barrières seront mises en place. > Établir une charte familiale sur l'usage de l'Internet. > Mettre en place des systèmes de contrôle sur le ou les ordinateurs familiaux : contrôle parental, session utilisateur (qui permet de limiter les usages en fonction de l'accord parental). Pour les messageries, mettre aussi en place un système de surveillance. > Placer le ou les ordinateurs dans une pièce de passage. L'apport du Wifi, qui permet les connexions en pleine nuit, tout le temps, est à proscrire. Il faut également se méfier des téléphones portables qui sont devenus des machines à surfer (Facebook, Youtube, Skyrock). > Vérifier les possibilités d'accès à Internet (domicile des copains, établissement scolaire, cybercentre) et expliquer à votre enfant les dangers. > Expliquer le bon comportement sur Internet, notamment l'utilisation des pseudonymes et le fait de ne pas divulguer trop d'informations. Souvent, les enfants pensent ne pas donner beaucoup d'informations alors que de blog en blog et de réseau social en réseau social, ils donnent des informations parcellaires qui forment un tout. > Parler à vos enfants de l'importance des images. Lorsque l'on met une photo ou une vidéo sur le Net, même après effacement elle reste par l'effet de mémoire cache ou de réutilisation des autres. > Méfiance sur l'utilisation de l'image (ou vidéo) pour les amis « d'un jour » et/ou les petits copains. À 15 ans, on croit au grand amour et on fait des vidéos (coquines) pour faire plaisir. Puis, lors de la rupture, on retrouve la vidéo sur tous les blogs et téléphones des « copains ». Gênant et destructeur. > Rappeler que ce que l'on fait sur le Net peut faire de vous une victime ou l'auteur d'une infraction. Le fait, par exemple, de reprendre une vidéo ou photo privée et de la diffuser sans autorisation est répréhensible. Bien souvent, les enfants expliquent qu'ils ont le droit de diffuser l'image d'un copain qui leur a dit OK (ou qui a diffusé sur son blog) alors qu'ils n'en ont pas le droit, seuls les parents ont le droit d'accorder l'aval légal. > Surveiller aussi sur quels sites surfent vos enfants. Car il y a un risque que l'enfant puisse découvrir des choses à ne pas voir. Comme Dora l'exploratrice, détournée en consommatrice de drogues. Ou encore sur le site chatroulette, ardemment fréquenté par les exhibitionnistes de tous poils. > Attention aussi aux messageries instantanées comme msn messenger. Il y a un risque lorsque l'on accepte n'importe qui. Idem pour les blogs. •

fuir cette machine infernale et humiliante

"twitter en classe"

La "classe tweeteuse". Ils ont répondu aux journalistes du Monde, du Parisien, aux caméras de France 2, de LCI, venues tourner dans la classe, se sont exprimés aux micros de France Bleu, d'NRJ, se verront ce soir sur Canal +

omprendre la complexité des usages

Stefana Broadbent

“La façon de gérer la complexité et l’attention s’appuie sur l’idée que les gens peuvent la gérer de façon individuelle, que c’est un processus individuel qui s’appuie sur la volonté de chacun. Or, j’aimerais vous montrer que l’attention est un processus social plus qu’individuel.”