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Chamila Puylaurent

Pourquoi le digital transforme l'organisation du travail ? | E-media, the Econocom blog - 0 views

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    "En mobilité, à distance, par communauté de projets, avec comme seul lieu permanent de rencontre, l'Internet… les technologies numériques modifient les façons de collaborer, le rapport au travail et in fine la notion même d'entreprise."
Aurialie Jublin

La Renaissance des Artisans … en col blanc? - 1 views

  • Et si les Managers devenaient des  Artisans du Savoir? Les environnements complexes sont la nouvelle norme.Il  est essentiel de développer son relationnel, car pour avancer dans le  savoir complexe, il faut partager.. et ça prend du temps de partager le savoir implicite, alors il faut réserver du temps pour donner du sens, réfléchir, et converser. Tout cela représente un changement significatif de la manière de travailler , mais ça peut être maîtrisé avec un socle stable de « PKM » pratiqué par des artisans de la connaissance interdépendants et autonomes. Quand tout le monde est engagé dans la quête de sens, toute l’organisation peut beaucoup mieux sentir où elle doit se diriger.
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    "Aujourd'hui, la plupart des organisations s'interrogent sur l'impact des bouleversements technologiques sur la nature du "travail". Il est d'autant plus difficile d'y voir clair que, dans le contexte actuel de transformations économiques et politiques et de raréfaction des ressources naturelles, tout devient plus  complexe." Il faudrait : - promouvoir la créativité et l'initiative - structurer le développement des réseaux personnels et organiser les sources d'informations - maîtriser le nouveau langage des réseaux et communautés numériques
Aurialie Jublin

How Reddit created the world's largest dialogue between scientists and the general public | Simon Owens - 1 views

  • Reading through the dozens of science AMAs that have been conducted on Reddit, it seems evident that r/science is fulfilling a need that may have been previously unforeseen by the scientific community of researchers who spend years toiling in obscurity, testing and retesting their hypotheses so that one day their hard work may see the light of day in the form of a journal article. In a world where scholarly journals are often frustratingly difficult to access by the general public, there remains a demand in the market for a way to remove the friction between scientists and non scientists. With the rise of MOOCs and other discussion tools like Reddit, science communication is transcending its heretofore gatekeepers. “My personal belief, in the end, is that scientists really work for the people,” said Mason. “We’re allowed to follow our intellectual curiosity insomuch as we share it with other human beings.” With six months of AMAs and thousands of questions uploaded, Reddit’s Science AMA series seems to have brought us significantly closer to that goal.
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    "Allen, a PhD chemist who works for the Dow Chemical Company in Pennsylvania, began to think about ways he could leverage r/science's massive reach to connect scientists to the general public. R/science is a default subreddit, meaning it's visible to people visiting Reddit.com even if they aren't logged in. According to internal metrics Allen has access to, r/science gets between 30,000 and 100,000 unique visitors a day; it's arguably the largest community-run science forum on the internet. So what if r/science were to form an AMA series of its own, focused solely on working scientists who are producing interesting, groundbreaking research?"
Thierry Nabeth

EUWIN - the European Workplace Innovation Network - 0 views

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    EUWIN is a growing international community of practitioners and researchers committed to new and better ways of working.
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    L'access à cette communauté: http://portal.ukwon.eu/
abrugiere

André Gorz: «Pourquoi la société salariale a besoin de nouveaux valets» - Perspectives gorziennes - 1 views

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    Nous connaissons la réponse à ces questions : pour près de la moitié de la population active, l'idéologie du travail est devenue une mauvaise farce ; l'identification au travail est désormais impossible, car le système économique n'a pas besoin ou n'a pas un besoin régulier de leur capacité de travail. La réalité que nous masque l'exaltation de la "ressource humaine", c'est que l'emploi stable, à plein temps, durant toute l'année et toute la vie active, devient le privilège d'une minorité. Pour près de la moitié de la population active, le travail cesse d'être un métier qui intègre dans une communauté productive et définit une place dans la société. Ce que le patronat appelle "flexibilité" se traduit pour les salariés par la précarité. AINSI, de 35 % à 50 % de la population active britannique, française, allemande ou américaine vivent en marge de notre prétendue civilisation du travail, de son échelle des valeurs et de son éthique du rendement et du mérite. Le système social se scinde en deux, donne naissance à ce qu'on appelle couramment une "société duale". La conséquence en est une très rapide désintégration du tissu social. Cette désintégration renvoie à un problème de fond : que doit être une société dans laquelle le travail à plein temps de tous les citoyens n'est plus nécessaire, ni économiquement utile ?
Chamila Puylaurent

Collaboratif : les communautés de pratiques… et maintenant, l'entreprise-communauté ? - 0 views

  • une communauté de pratiques se définit, pour l’entreprise, selon trois caractéristiques principales : l’intérêt commun des participants, un fonctionnement en dehors des liens hiérarchiques traditionnels et des échanges réguliers. Soit : “Un groupement de personnes réunies, de manière ponctuelle ou non, par un intérêt commun et dont les échanges sont animés de façon régulière.“ Côté finalités, trois objectifs peuvent être recherchés : Le développement de compétences opérationnelles (compétences métier ou transversales) Le renforcement de l’efficacité opérationnelle (sur un projet en particulier par exemple) La transformation des modes de fonctionnement et de la culture d’entreprise
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    "Souvent liées au déploiement d'outils collaboratifs, réseaux sociaux internes en tête, les communautés de pratiques font désormais partie du paysage de la gestion des compétences de l'entreprise. Et maintenant ?"
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    "EURÊKA. Souvent liées au déploiement d'outils collaboratifs, réseaux sociaux internes en tête, les communautés de pratiques font désormais partie du paysage de la gestion des compétences de l'entreprise. Et maintenant ? "
Aurialie Jublin

Bernard Stiegler : « l'emploi salarié va devenir minoritaire » - 1 views

  • L’emploi salarié va devenir minoritaire. À partir de là il faut réfléchir à une redistribution d’un nouveau genre. Une redistribution contributive, basée non plus sur le temps de travail mais plutôt sur le modèle des intermittents du spectacle. Il faudrait avoir la possibilité de s’investir régulièrement dans des projets contributifs, qui pourraient être marchands ou non. Les projets d’intérêts généraux seraient financés par la puissance publique. Le business serait un cas particulier parmi des tas d’autres modèles.
  • À coté de l’ancien monde, des alternatives émergent. L’économie collaborative peut en être une, à condition qu’elle ne soit pas récupérée par le consumérisme, devenant alors une amélioration à la marge. L’économie collaborative peut-être aussi une manière de déporter vers le consommateur une partie du travail. Tout cela mérite d’être analysé à chaque fois sur pièce.
  • En fait l’économie collaborative en tant que telle ne m’intéresse que dans la mesure où elle permet de penser ce que serait l’économie de la contribution évoquée précédemment. Or il existe une économie contributive toxique. C’est celle de Facebook. Une économie dans laquelle la valeur d’une firme réside dans le contenu que ses utilisateurs fournissent. Des algorithmes permettent de l’exploiter grâce à un marketing chirurgical, qui cible et trace précisément produits et personnes. On retombe alors dans le consumérisme. L’abrutissement.
  • ...1 more annotation...
  • Il existe une autre économie contributive dont la matrice est le logiciel libre ou l’open-source. Elle développe une activité industrielle qui s’appuie sur des communautés et le développement libre du savoir. C’est ce qu’on appelait dans les années 80 l’ingénierie simultanée, mais le web permet de le penser à plus grande échelle. À l’image de Wikispeed, la voiture développée par des internautes du monde entier. On partage les responsabilités, les savoirs, les bénéfices. C’est de la « déprolétarisation » au sens où Marx entendait la prolétarisation comme une perte du savoir, induite par l’arrivée des machines.
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    "Alors que les technologies numériques dynamitent les paradigmes du XXe siècle, le philosophe appelle à pousser le web vers un modèle économique basé sur la contribution volontaire et la co-création."
abrugiere

Rachel Botsman : « La confiance sera la nouvelle monnaie du XXIe siècle » - 2 views

    • abrugiere
       
      Les journaux définissent parfois la consommation collaborative comme le fait de préférer l'usage à la propriété. Ce n'est pas pour moi le fait central. Ce qui relie AirBnb, Kickstarter, mais aussi les Moocs ou les fablabs, c'est le passage d'institutions centralisées à des communautés distribuées et connectées.
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    Les journaux définissent parfois la consommation collaborative comme le fait de préférer l'usage à la propriété. Ce n'est pas pour moi le fait central. Ce qui relie AirBnb, Kickstarter, mais aussi les Moocs ou les fablabs, c'est le passage d'institutions centralisées à des communautés distribuées et connectées.
hubert guillaud

Comment les employés peuvent-ils souffrir dans des entreprises sans patron, comme GitHub - Wired.com - 1 views

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    De nombreuses entreprises se mettent aux structures organisationnelles plates, estime Klint Finley pour Wired. A l'exemple du développeur de jeu Valve ou de WL Gore, la firme derrière Gore-Tex. GitHub a la même ambition, et elle est d'autant plus symbolique que GitHub fournit un service qui permet justement de collaborer librement sur des projets logiciels. Mais les structures démocratiques plates ne veulent pas dire structures sans jeu de pouvoir. La semaine dernière GitHub a suspendu un de ses fondateurs accusé harcèlement. En 1972, Jo Freeman a décrit dans "La tyrannie de l'absence de structure" les premières expériences d'auto-organisation féministes. Le problème avec les organisations non-hiérarchiques est que les structures de pouvoir sont invisibles et donc inexplicables ce qui conduit souvent à des dysfonctionnements et des abus. Fred Turner décrit les mêmes problèmes quand il évoque les communautés hippies qui ont voulu éviter la division traditionnelle du travail et qui ont fini par envoyer les femme faire la cuisine, le nettoyage et l'éducation des enfants. Les communautés régies par des structures plus explicites finissent par pouvoir être plus progressives, les responsabilités pouvant être réparties de manière plus égales. La même impulsion anti-hiérarchique existe dans la Silicon Valley que dans les communautés autonomes des années 60, estime Finley. Un ancien de Valve révélait que l'entreprise ressemble parfois à une cours d'école, où les enfants les plus populaires et les fauteurs de troubles accaparent le pouvoir. Le risque est d'embaucher des gens qui correspondent à la culture de l'entreprise au risque de sa diversité. La Kellog School of Management a montré dans plusieurs études que la diversité des équipes était un meilleur moyen de résoudre les problèmes que d'avoir des décideurs : http://insight.kellogg.northwestern.edu/article/better_decisions_through_diversity . Le culte des employés qui corre
Aurialie Jublin

Why Every Company Should Pay Employees To Volunteer | Fast Company - 0 views

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    "DOING GOOD CAN BE GOOD FOR YOUR COMPANY. VOLUNTEERING BUILDS SOFT SKILLS IN YOUR TEAM, WHILE THEY HELP BUILD COMMUNITY AROUND THEM. Debbie Feit had always wanted to give back, but with two children and a career, finding time was a problem. Then her employer offered a solution: to celebrate its 40th anniversary, employees were given an opportunity to take a month-long sabbatical at the charitable organization of their choice. She jumped at the chance."
Aurialie Jublin

Travail et exclusion : comment Emmaüs réinvente le revenu minimum ?  - Metis - 0 views

  • La motivation des salariés d'Emmaüs justifie le niveau de leur rémunération Tout d'abord, il faut savoir que les salariés des associations jugent leurs salaires et leurs avantages non pécuniaires (assurance santé, congé maternité rémunéré) moins élevés que dans les secteurs privés et public, mais ils ne considèrent pas leur rémunération comme étant particulièrement inéquitable. A Emmaüs, le salarié s'engage avant tout parce qu'il partage les valeurs. Or, dans le cas des Communautés Emmaüs, les salariés ne sont pas les seuls travailleurs associatifs à percevoir une rémunération. Au sein des Communautés, les Compagnons touchent ce que l'association appelle un pécule mensuel d'un montant qui s'élève aux environs de 200€ mensuel. Les compagnons ont un statut particulier de travailleurs solidaires.
  • un compagnon est d'abord une personne en risque d'exclusion qui n'a pas fait le choix de travailler dans une communauté Emmaüs : pour faire simple, son choix est limité entre travailler et vivre dans une communauté ou vivre dans la rue. Le Compagnon est à la fois le bénéficiaire et la principale de force de travail des communautés. Sa position devrait légitimement lui permettre de disposer des moyens et des ressources, nécessaires à son bien-être. Or, l'enquête de terrain a prouvé que ces derniers souffrent parfois d'un manque de reconnaissance et d'un faible niveau de rémunération. On a inculqué aux compagnons le principe que le travail leur rendrait la dignité. Mais, hormis la dignité et les avantages solidaires liées à la vie communautaire que gagnent-ils à travailler au sein des communautés.
  • L'allocation hebdomadaire versée par l'équipe de direction n'est pas un «salaire», et les Compagnons ne sont pas des employés.
  • ...1 more annotation...
  • La politique salariale au sein des Communautés consiste dans la mise en place d'un salaire minimum et d'avantages solidaires. Il est clair que le faible niveau de rémunération d'une main d'œuvre aussi nombreuse constitue un avantage compétitif indéniable. Or, il ne s'agit pas non plus d'exploitation, car l'expérience d'Emmaüs démontre qu'un salaire minimum aussi réduit est efficace s'il s'accompagne non seulement d'autres formes d'allocations ou prestations solidaires, mais d'un vrai dispositif conduisant à sortir de la pauvreté.
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    "Au lieu de s'attarder sur les échecs du RSA, cet article décrit dans quelles circonstances certains emplois sont faiblement rémunérés et quels sont les mécanismes qui découlent de certaines relations salariales. Pour cela, cet article prend exemple sur le cas des stratégies salariales au cœur du système des Communautés du mouvement Emmaüs."
hubert guillaud

Révolution numérique et coworking : Vers une ville vaporeuse? - DNArchi - 2 views

  • Ce que j’appelle des “espace vaporeux”, des espaces hybrides aux fonctions indéfinies dont l’identité n’est pas conçu a priori mais se construit au fur à mesure par leurs transformations comme c’est le cas pour tous les systèmes naturels émergeants.
  • Les différents points abordés ci-dessus, bien que très divers, ont tous un point en commun : ils décrivent une nouvelle conception de l’espace qui ne serait plus caractérisée par ses aspects fonctionnels (maison, bureau, etc…) ou par les objets qu’il contient (comme par exemple les outils de travail dans les anciens bureaux) mais plutôt par ses aspects intangibles, comme les relations entre ses occupants ou, plus en général, son ambiance et aussi leur position relative dans la ville.
  • D’un coté, Superbelleville propose un espace vide comme plateforme de travail, de partage, d’échange, de création et d’expérimentation qui est ouverte et accessible aux travailleurs indépendants, aux chercheurs et aux artistes. Sous cet aspect il se configure comme un espace non défini, capable de recevoir et produire de l’inattendu. De l’autre, il encourage la création d’une communauté d’intérêts autour du design paramétrique, soit un ensemble d’outils et de savoir-faire qui permettent de songer à une architecture libérée de la production standardisée.
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    "Dans cet article, Francesco Cingolani, architecte/blogueur/chercheur, interroge la notion de coworking, et en particulier, expose les potentialités et les apports de cette pratique de l'espace pour la conception architecturale numérique. Il questionne l'évolution de nos espaces physiques de travail à l'ère de la dématérialisation de nos supports de représentation, d'interactions sociales comme d'information. Francesco Cingolani s'engage ici pour le coworking qu'il met en œuvre dans son espace SuperBelleville"
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    "La crainte des années 90 qui préfigurait un monde ou l'Internet aurait tué la ville ou les relations humaines n'est désormais plus qu'une dystopie datée et irréaliste. L'explosion du phénomène du coworking en est une preuve évidente", estime l'architecte Francesco Cingolani qui revient sur ce que transforment les tiers lieux. Pourquoi dans le coworking cherche-t-on à séparer espace domestique et espace de travail, alors qu'en même temps on cherche dans ces lieux un confort domestique près à nous offrir un changement de perspective sur le travail. L'espace du tiers lieux se définit non plus par ses aspects fonctionnels ou par ses objets, mais par ses aspects intangibles : les relations entre ses occupants, l'ambiance, etc.
hubert guillaud

Dans quels secteurs les humains batteront-ils toujours l'ordinateur ? - The Atlantic - 0 views

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    Pour Rob Miller, professeur d'informatique au MIT, il y aura toujours des secteurs où les êtres humains seront meilleurs que les algorithmes. C'est notamment le cas du "crowd computing", l'informatique par la foule, que permet le Mechanical Turk d'Amazon par exemple ou Wikipédia d'une autre manière. Les algorithmes savent mieux chercher que nous un tarif compétitif pour un voyage en avion, mais ils sont beaucoup moins forts que les humains quand le voyage s'avère complexe. Dans le domaine de la compréhension sociale et culturelle, les hommes sont toujours meilleurs que les machines. A l'avenir, nos jobs ne seront pas tant remplacés par des ordinateurs, que complémentaires aux ordinateurs. Les outils qui combinent l'apport d'une communauté humaine avec des algorithmes sont assurément l'avenir, à l'image de Cobi - http://projectcobi.com -, un logiciel qui permet d'organiser des conférences en prenant en compte les contraintes des chercheurs. Soylent - http://projects.csail.mit.edu/soylent/ - permet de faire relire ses documents à une foule anonyme... Adrenaline - http://www.youtube.com/watch?v=9IICXFUP6MM - permet de trouver la meilleure image d'une vidéo en faisant sélectionner l'image par une foule de gens... Pour Rob Miller, l'avenir où la machine dépasse l'homme est une fiction, le vrai avenir est à la symbiose et à la complémentarité entre l'homme et la machine. Qu'importe si pour cela il nous faut transformer les hommes en robots...
Aurialie Jublin

"Le travail à distance, levier de transformation des entreprises " | ZevillageZevillage : télétravail, coworking et nouvelles formes de travail - 1 views

  • Elle va aussi se propager par communautés d’intérêt ; mais plus forcément à l’intérieur des « frontières » de l’entreprise. Les salariés vont trouver des échos à l’extérieur de l’entreprise, dans un écosystème beaucoup plus large. D’ailleurs intérieur et extérieur se fondent plus ou moins aujourd’hui : les frontières de l’entreprise deviennent poreuses.
  • Le nomadisme va obliger les entreprises à s’orienter vers des modes de coopétition, vers des logiques qui intègrent cette ouverture vers l’extérieur. Gérer cette évolution inéluctable de manière constructive est un des enjeux RH majeurs des années à venir.
  • Le nomadisme va obliger les entreprises à repenser la « culture du sens », et par conséquent à repenser leur projet. Le travail à distance, le nomadisme, ne peut réussir, être un succès que si chacun trouve le sens qui va animer son autonomie quotidienne. Les managers ne pourront faire autrement, pour faire vivre ce nouveau mode d’organisation, que d’interroger le projet, voire de le redéfinir et le faire évoluer. Ils vont devoir apporter des réponses à ceux qui colportent partout leur entreprise avec eux, et la pression va remonter dans la hiérarchie… jusqu’à la direction générale où il va bien falloir se poser la question de la cohérence.
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    "Patrick Bouvard et Patrick Storhaye viennent de publier Le travail à distance, une analyse originale sur la manière dont le nomadisme et le télétravail bouleversent l'organisation des entreprises. Tout en constituant un terreau fertile pour « réinventer le management et améliorer la performance ». Entretien avec Patrick Bouvard, l'un des deux auteurs et rédacteur en chef de RH Info."
Aurialie Jublin

Plus d'un parent sur trois ne comprend pas le métier de son enfant - L'EXPRESS - 1 views

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    "35% des parents seraient bien en peine d'expliquer comment leur progéniture gagne sa vie, d'après un sondage de LinkedIn. En tête des professions les plus méconnues, actuaire, chargé de relations presse et animateur de communauté."
Aurialie Jublin

Trois leçons que les jeux vidéo peuvent donner en matière de télétravail | Le Cercle Les Echos - 0 views

    • Aurialie Jublin
       
      Leçon 1) "les raids" : avoir un objectif commun, ou "éviter la réunionite" Lorsqu'une entreprise veut animer une équipe virtuelle, elle doit absolument se rendre compte que la définition de son objectif doit précéder sa création !  Leçon 2) "Choisir sa guilde" : garantir la cohérence de l'équipe, ou "attacher de l'importance aux valeurs" Trop souvent, lorsqu'on met en place une équipe virtuelle, les valeurs partagées sont mises sur le côté. Penser que "l'avantage des équipes virtuelles est qu'elles ne doivent pas respecter les mêmes règles que les équipes classiques" est une énorme erreur.  Leçon 3) "In Real Life" : du rôle de l'empathie dans un groupe N'oubliez jamais l'adage : "on commence un job, on quitte une équipe". Et si on n'est pas attaché à l'équipe, on quitte d'autant plus facilement le job. Il faudra donc s'assurer que les individus créent des liens empathiques. Tout d'abord, veiller à ce que les outils de partage (par exemple le réseau d'entreprise) permettent de se créer une personnalité : une photo, un pseudonyme, et des informations personnelles… Ensuite, il ne faut pas hésiter à sortir du cadre imposé : donner quelques éléments sur "qui on est" permettent de dépasser le virtuel et de nous rendre humain. Enfin, il faut permettre à l'équipe d'interagir autant que possible d'une manière non verbale : par vidéo, in-real life, etc. Gérer votre équipe virtuelle comme vous géreriez une équipe classique, la technologie en plus !
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    "De plus en plus d'entreprises se posent la question du télétravail. Comment mettre en place des équipes virtuelles efficaces ? Quels sont les facteurs de succès ? Nous sommes confrontés à de nombreuses difficultés en la matière. Pourtant, il existe des communautés qui collaborent à distance avec succès depuis de nombreuses années et dont nous pourrions prendre exemple : celles du jeu vidéo."
Aurialie Jublin

Les professionnels des RH font face aux barrières à l'utilisation des méthodes plus innovantes | Indice RH.net - 0 views

  • Les personnes interrogées au niveau mondial ont également partagé leur vision idéale du cycle de vie de l'employé dans un monde parfait. Les pratiques auxquelles les candidats aspirent, mais qui ne sont actuellement pas utilisées, sont : •       Recrutement : Campagnes mobiles ; publicités créatives et communautés de talents ciblées •       Engagement : Environnements et espaces de travail créatifs ; partage de la stratégie et pratique d'horaires flexibles •       Développement : Programmes de détachement international ; formations et mentorat externes
  • "Une culture d'entreprise réfractaire au changement peut avoir des répercussions importantes. Un professionnel des RH insuffisamment expérimenté dans l’utilisation de méthodes innovantes, et ne disposant que de peu de marge pour les appliquer faute de temps et de ressources, reléguera ces pratiques au second plan. Ces barrières doivent être levées pour attirer et retenir les meilleures compétences, car elles représentent un frein important pour l'organisation dans sa capacité à répondre aux attentes des candidats. Il ne s’agit pas seulement d’attirer les talents nécessaires, mais bien de s’assurer que leur performance restera optimale. Sur ce point les dirigeants doivent être prêts à relever le défi. "
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    "Les professionnels des RH en France accordent beaucoup de valeur à l'innovation mais reconnaissent que des freins importants existent quand il s'agit de mettre en place des méthodes innovantes Selon les professionnels des RH, l'innovation est "cruciale" pour le développement, la rentabilité et rester à l'avant-garde. Cependant, le manque de temps et de ressources, une expérience insuffisante au sein de l'équipe RH et de gestion des talents couplés à une culture réfractaire au changement, sont autant d'obstacles à surmonter."
julien camacho

Spécial réseaux sociaux d'entreprise : 4 - Passer du collaboratif à une vraie communauté ? | Silicon - 0 views

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    Vendeur de solutions RSE, Big Blue a déployé en interne IBM Connections. Après trois ans de vécu sur le terrain, quel est le bilan de cette solution RSE (réseaux sociaux d'entreprise) ? Big Blue disposait depuis plus de 25 ans d'un annuaire mondial de ses employés. « Ce n'est pas le cas de toutes les entreprises internationales», souligne Pierre Milcent, consultant RSE. Selon lui, la première étape pour parvenir à la dimension réseau social, c'est le recensement des compétences au sein d'une entreprise.
Aurialie Jublin

L'entreprise idéale de demain | Marque employeur et nouveaux enjeux RH - 2 views

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    Résultat d'une étude fait par Deloitte auprès de 1065 étudiants. - entreprise = lieu d'épanouissement personnel - valeurs prépondérantes : esprit d'équipe et de communauté, savoir-faire, qualité de service, satisfaction client. - plébiscitent : travail en équipe, autonomie/liberté, le management participatif - manager idéal : un organisateur (fiable, ordonné, efficace) et un promoteur (enthousiaste, communicatif); avec qualité relationnelles plutôt qu'organisationnelles - facteur d'actractivité : 1) intérêt du travail 2) développement des carrières 3) niveau de rémunération
Aurialie Jublin

La cooptation inspire les start-up et transforme les employés en recruteurs - 0 views

  • RolePoint, par exemple, permet aux employés d’une entreprise de recommander en quelques clics des candidats dans leurs propres réseaux sociaux : LinkedIn, Facebook et Twitter. L’entreprise utilisatrice participe peut inciter ses employés à faire des recommandations en mettant en place un système de récompense. Elle peut aussi garder un œil sur des candidats potentiels en créant une “communauté de talent” en ligne qu’elle remplit au fur et à mesure des profils intéressants croisés sur LinkedIn, Facebook et Twitter.
  • Dans la Silicon Valley, le recrutement par cooptation numérique est devenu une nécessité tant la guerre des talents fait rage. Les employés jouent aux chaises musicales entre les géants Facebook, Google et Apple, quand ils ne décident pas de se lancer dans l’aventure start-up. Dans une économie ou le capital humain est la première source de valeur, toutes les méthodes sont bonnes pour trouver le candidat idéal. A San Francisco, RolePoint, Discover.ly, Kareer.me et bien d’autres start-up sont parties à la conquête de ce nouveau marché.
  • Ces start-up ont compris que le recentrement sur la valorisation de l'individu, notamment pour la génération Y, transformait le recrutement à tous les niveaux. On peut donc se demander quel rôle les recruteurs vont jouer dans tout cela… Vraisemblablement, plus le capital humain va prendre de la valeur, notamment avec l’essor de l’économie numérique, plus les RH vont devoir se concentrer sur des programmes de valorisation et développement des employés.
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    "Après la révolution du recrutement social, qui a bouleversé les ressources humaines via les réseaux sociaux, une nouvelle ère se dessine avec des outils numériques de cooptation, qui misent sur la culture d'entreprise et les employés avant tout. Des start-up transformant les employés en chasseurs de têtes se multiplient outre-Atlantique mais aussi en Europe."
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