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in title, tags, annotations or urlEfficiency up, turnover down: Sweden experiments with six-hour working day - 1 views
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The experiment at Svartedalens, set to continue until the end of 2016, has attracted interest across Scandinavia and beyond, as workers and managers ask whether they might learn something from it themselves. Svartedalens is attempting to avoid shortcomings by keeping the changes tightly focused and monitored. Only assistant nurses are involved, and the city's human resources management system is generating high-quality data, according to Bengt Lorentzon, a consultant on the scheme. Another care home is being used as a "control", so Svartedalens can be compared with a workplace that has stuck to an eight-hour day.
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Lire aussi: Sweden introduces six-hour work day Employers across the country including retirement homes, hospitals and car centres, are implementing the change http://www.independent.co.uk/news/world/europe/sweden-introduces-six-hour-work-day-a6674646.html
La révolution numérique vue par un Prix Nobel et le patron de BlaBlaCar - 0 views
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Vous êtes, pour l'un, Prix Nobel et, pour l'autre, créateur d'entreprise. L'économie connaît-elle une transformation digne des précédentes révolutions industrielles ou sommes-nous victimes d'un effet de mode ? Jean Tirole : Même si toute révolution technologique fait l'objet de battage médiatique et de revendications exagérées, la révolution digitale n'est pas un effet de mode. Elle a déjà modifié le commerce, la finance, les médias, les transports ou l'hôtellerie. Demain elle chamboulera les secteurs de l'assurance, de la santé, de l'énergie, de l'éducation... etc....
Ils ont plusieurs métiers : slasher, mode d'emploi - L'Obs - 0 views
ICT for Employment and Employability -The Future of Work - EC/JRC/IPTS - 0 views
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In the context of the European Employment strategy, the Agenda for New Skills and Jobs, the Grand Coalition for ICT Jobs, and specifically in its 2012 EMPLOYMENT PACK, the JRC-IPTS is conducting research to inform policy makers on some of the new forms of work and pathways to employability mediated by the internet.
BBC - Capital - What happens when we work non-stop - 0 views
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It makes accidents more likely, boosts stress levels, and even causes physical pain. But the real problem is that many people just can't afford not to do it. According to latest International Labour Organization statistics, more than 400 million employed people worldwide work 49 or more hours per week, a sizeable proportion of the near 1.8 billion total employed people worldwide. In a recent interview with The New York Times, even entrepreneur Elon Musk felt moved to describe his 47th birthday spent locked in his factory, pulling an all-nighter. "No friends, nothing," he said. It might have been just another day in another 120-hour work week. "This has really come at the expense of seeing my kids. And seeing friends," he added.
The Day I Drove for Amazon Flex - The Atlantic - 0 views
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But Flex operates year-round, not just during the holiday season, which suggests there’s another reason for it: It’s cheap. As the larger trucking industry has discovered over the past decade, using independent contractors rather than unionized drivers saves money, because so many expenses are borne by the drivers, rather than the company.
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The company doesn’t share information about how many drivers it has, but one Seattle economist calculated that 11,262 individuals drove for Flex in California between October 2016 and March 2017, based on information Amazon shared with him to help the company defend a lawsuit about Flex drivers.
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“A lot of these gig-type services essentially rely on people not doing the math on what it actually costs you,”
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This Is What Happens to Your Body When You Hate Your Job | HuffPost Life - 2 views
Quand Arte teste le sous-titrage collaboratif, les pros se rebiffent - Télérama.fr - 0 views
Comment faire coopérer les tribus ? : Millenaire 3, Société - 0 views
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Si l’on en donne une définition générale, coopérer consiste à travailler avec d’autres pour faire ce que l’on ne peut pas faire seul. Mais la forme particulière de coopération qui m’intéresse, c’est la coopération complexe qui consiste à communiquer avec des personnes que l’on ne comprend pas, des étrangers, voire des personnes que l’on n’aime pas. Malheureusement je constate que ces pratiques de coopération dans la différence sont en déclin dans de nombreux pays. En France, par exemple, seuls un quart des individus pensent spontanément que l’on peut faire confiance à autrui.
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si vous avez pratiqué un sport, vous savez bien que vous devez coopérer avec votre équipe pour espérer vaincre l’équipe adverse. Mais, vous remarquerez aussi que dans le sport, il faut même coopérer avec son adversaire ! En effet, pour que le jeu et la compétition fonctionne, il est nécessaire de s’accorder sur les règles et sur ce que tricher veut dire. C’est entre cinq et huit ans que les enfants comprennent cela et apprennent à fonctionner en articulant coopération et compétition. De même, en tant qu’adultes, trouver le bon équilibre entre coopération et autonomie, entre coopération et compétition, fait partie du quotidien de notre vie. Pour que nous puissions vivre bien ensemble, notre société a besoin de cet état d’esprit, issu du jeu ou du sport, pour éviter de que notre monde devienne une caricature hobbesienne de société où la lutte entre les individus prime sur toute autre forme de relation.
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La solidarité, pour moi, n’est pas une bonne option pour faciliter les relations entre des communautés très différentes. Je ne crois pas dans la valeur de solidarité car elle a une connotation trop idéologique. En outre, elle nous conduit à lisser les différences entre les personnes plutôt que valoriser leur diversité. La solidarité conduit à sacrifier la richesse qu’apporte la complexité. Il faut mobiliser d’autres moyens pour permettre le vivre ensemble, pour que les gens communiquent entre eux malgré leurs différences, ou en valorisant leurs différences. C’est tout le sens des compétences de coopération dont je parle dans mon livre. Cette forme d’interaction est la plus créative et la moins oppressive, elle laisse davantage de place à l’expression des singularités des individus
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Pluie record à Paris, pas de prime pour les livreurs Deliveroo : "C'était l'horreur" - L'Obs - 0 views
Exploite-toi toi-même - La Vie des idées - 0 views
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l’ambivalence du dispositif, pris entre entrepreneuriat et workfare, entre « patronat et économie de survie », est bien mise en évidence. « Politique d’insertion » pour la gauche, politique de soutien à l’indépendance pour la droite, la construction du régime de l’auto-entrepreneur s’opère grâce à ces alliances improbables dont le néolibéralisme a le secret, de la droite libérale aux associations d’insertion par l’activité économique.
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Pour l’essentiel issus du salariat, ces « néo-indépendants » se démarquent largement de la population des indépendants par leur absence de capital initial et de transmission familiale. Mais là aussi l’ambivalence est de mise. L’auteure observe en effet dès le départ une pluralité des usages de ce régime, caractérisée par une « bipolarisation entre une minorité d’usages de type bonus, et une majorité de situations précaires, voire de mobilité sociale descendante »
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En testant l’hypothèse d’une « libéralisation de la société par le bas » et en observant au plus près le quotidien des auto-entrepreneurs et de leurs pratiques, elle s’intéresse in fine à la manière dont ce régime participe plus largement d’un nouveau mode de gouvernement des conduites, un mode néolibéral au sens de Foucault. Sarah Abdelnour reprend à son compte ce passage des cours au Collège de France où ce dernier suggère que c’est « la vie même de l’individu – avec par exemple son rapport à sa propriété privée, son rapport à sa famille, à son ménage, son rapport à ses assurances, son rapport à sa retraite » qui ferait de lui « comme une sorte d’entreprise permanente et d’entreprise multiple ». Foucault se joint donc à Bashung pour éclairer le titre du livre…
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"Au prisme de l'auto-entreprise, la sociologue Sarah Abdelnour révèle les dynamiques de fragilisation du salariat. Elle en explore les différentes facettes, depuis ses enjeux idéologiques et politiques jusqu'aux réalités vécues par des acteurs qui ne distinguent plus leurs clients de leurs patrons."
Tout plaquer, nouvelle mythologie contemporaine - Le Temps - 0 views
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Tenir sa chambre d’hôte correspondait au besoin de retrouver du contact humain, en réponse à la déshumanisation de l’entreprise. Désormais, l’envie sensorielle de manipuler des produits répond à la crise de déréalisation des métiers touchés par la transition numérique.
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"«Il n'y a pas plus de bifurcations radicales que dans les années 60, précise Sophie Denave. Par contre, il y a tout un mouvement qui ringardise les gens demeurant au même poste. Dans les années 60, rester dans la même boîte était valorisé. Aujourd'hui, on associe la mobilité au courage et à l'audace. Or changer de métier n'est pas une question de courage, mais de réseau. Et rester toute sa vie à un poste qu'on déteste, n'est-ce pas une grande preuve de courage aussi?»"
Premier mouvement social des livreurs à vélo à Paris, Lyon et Bordeaux - 0 views
Workers at Facebook (FB), Tesla (TSLA) and Amazon (AMZN) might as well work at Walmart (WMT) - Quartz - 1 views
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"I've seen people pass out, hit the floor like a pancake, and smash their face open," a worker at Tesla's "factory of the future" told the Guardian in a report published this week. "They just send us to work around him while he's still lying on the floor." The Guardian report described long hours and intense pressure to meet CEO Elon Musk's production goals-even if that means enduring or ignoring injuries. Since 2014, according to the report, hundreds of ambulances have been called to the factory to treat workers. This portrayal doesn't quite jive with Musk's world-changing vision. And Tesla isn't only Silicon Valley company facing this type of irony. Technology companies' reputations as employers often stem from how they treat highly paid engineers, but many also employ thousands of blue collar workers. Tech workers at these companies receive high pay, elaborate perks, and progressive workplace policies, but blue collar workers for the same companies often work in circumstances that look much less...
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