« Quand on n’a pas de relation de personne à personne, qu’on reste caché derrière son ordinateur, personne ne va payer le prix », commente Pascale Hébel, directrice du département consommation au Crédoc (centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie). « C’est quelque chose qui ne peut pas durer, il y a une culture en France faisant qu’on veut être plus malin que les autres », estime-t-elle. « Pour un objet qui a une valeur, il y a forcément un coût, une marge, cela va à l’encontre de la loi économique ».