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abrugiere

Donner, c'est bon pour l'économie | Slate - 1 views

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    Comment donc développer le don et en faire un véritable instrument économique? Jean-Michel Cornu se verrait bien créer un mécanisme dédié: la donnaie. Son cahier des charges n'est pas simple: comme peu de personnes donnent, il s'agit de maximiser la valeur des dons. Ou, plus précisément, de maximiser l'écart entre l'effort demandé au donateur, et l'utilité perçue par le bénéficiaire
Aurialie Jublin

La DRH en 2020: 6 prédictions audacieuses | Le blog de Dokker - 1 views

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    1-La RH en interne va décroître et le recours à l'externalisation s'amplifier 2-La réflexion stratégique deviendra la nouvelle compétence de la DRH 3-Le pendule va revenir vers le spécialiste 4- La DRH utilisera de plus en plus le décisionnel et le Big Data pour accroître sa valeur dans l'entreprise 5- Gérer du personnel à distance deviendra la nouvelle norme 6- La DRH va devoir émuler le marketing Article original : http://new-talent-times.softwareadvice.com/the-hr-department-of-2020-413/
Aurialie Jublin

Mutations du travail, comment recréer des collectifs ? - Metis - 1 views

  • L'espace du travail est devenu tout à la fois étendu, en distances et en fréquence de mobilité et augmenté, numériquement. Cette mutation s'opère aujourd'hui, coûts obligent, trop souvent au détriment de la proximité domicile travail, des territoires dédiés individuellement (60% des salariés ne disposent pas d'un bureau individuel) et des repères (des productions immatérielles pour un travail invisible).
  • Bref, penser les espaces de travail de demain, c'est vider ces espaces des bureaux eux-mêmes au profit d'espaces appropriables par des collectifs, aisément accessibles en termes de localisation, au contraire de la tendance des 10 dernières années à s'éloigner en périphérie, et non « prescrits » dans leurs usages.
  • L'essentiel aujourd'hui de la valeur produite est immatérielle et servicielle. Elle mobilise un travail intellectuel dont la valeur ajoutée n'existe qu'à condition de s'inscrire dans des collectifs. Relativement à cette mutation, l'entretien, l'évaluation, la reconnaissance..., restent individuels. Ils sont toujours calés sur des objectifs que l'on ne sait pourtant plus fixer « objectivement » ou sur des compétences dont l'existence doit l'essentiel à l'organisation du travail et à l'expérience de l'activité collective. La question n'est plus simplement, comme on l'entend encore, de limiter les effets pervers d'une évaluation individuelle sur les performances ou même les compétences (par construction individualisante, stressante) sur les fonctionnements collectifs et la destruction du lien social.
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    "Nous sommes entrés dans le temps de l'infoduction , celui de la production intellectuelle pour une production immatérielle, dans une économie désormais tirée par les services. C'est un monde de connexion. Ici et là-bas ne se distinguent plus aisément. L'accélération produit à la fois l'urgence, l'instantanéité, la simultanéité voire l'ubiquité. D'horizontal, l'espace est de plus en plus vertical, avec l'ascenseur devenu, le premier moyen de transport mondial, d'un ici, en bas, à un ici plus haut. Le monde devient digital, avec son outil emblématique, le smartphone qui permet d'accéder aux données diffusées à l'échelle du globe, à l'aide d'un pouce. Disposer de données ne suffit cependant pas à construire des connaissances et des compétences collectives."
Aurialie Jublin

Pourquoi le Coworking accélère le développement de votre activité professionn... - 1 views

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    Le Coworking est un accélérateur pour le développement de votre activité professionnelle. La société canadienne Kap Design vient de publier cette infographie très explicite qui démontre la valeur ajoutée du Coworking pour toute personne qui démarre son entreprise. Le travail à domicile distrait et le café du coin n'est pas adapté pour le travail.
Aurialie Jublin

Et si l'entreprise devenait un incubateur comme un autre ? - Haikusages.fr - 0 views

  • En conclusion, proposer un incubateur interne c’est avoir l’assurance que les équipes qui vont porter les projets seront motivées et feront tout pour que leur projet aboutisse et se pérennise, c’est également apporter une réponse intelligente à la question « quel est le sens de mon engagement pour l’entreprise » que se posent beaucoup d’employés en cette période de disette. Dans un monde mouvant dans lequel l’entreprise doit quasiment se réinventer, l’incubateur interne est une des réponses qui permet de générer des opportunités sans se disperser en s’appuyant sur les talents internes de l’entreprise tout en favorisant l’émergence d’une nouvelle dynamique interne indispensable à tout projet de transformation et de changement profond.
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    "La démarche d'incubateur interne que je propose est basée sur le même principe. Il s'agit de fournir budget et ressources opérationnelles à des groupes d'employés dégagés de leurs responsabilités habituelles sur une durée de 3 à 6 mois renouvelables pour mettre en oeuvre leurs projets, sélectionnés à l'issue d'un cycle d'innovation participative. Pour rappel, l'innovation participative a pour objet de capter les bonne idées en mode bottom-up avec l'ambition d'ensuite les mettre en oeuvre afin de capitaliser sur les connaissances et le sens des réalités du terrain des employés, d'en extraire la substantielle valeur ajoutée et de les rendre profitables pour l'entreprise. " Exemples célèbres : Post-it 3M, 20% Google, IDTGV à la SNCF
Aurialie Jublin

Entreprise numérique, et si nous avions tort ? - Haikusages - 0 views

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    Extrait de l'avis de l'auteur Fabien Grenet : "Je suis intimement convaincu qu'une évolution du modèle de l'entreprise que nous connaissons jusqu'à présent est indispensable, que les clients doivent être co-créateurs de valeur au coté des employés (cf Mark Tamis) et que les organisations doivent se décloisonner pour encourager les pratiques collaboratives et fluidifier leurs activités (entre autres choses). Mais je suis également intimement convaincu que cette transformation ne pourra se faire que si elle est partagée et portée par un panel équilibré d'évangélisateurs allant des directions métier aux DSI en passant par les consultants et éditeurs !"
Aurialie Jublin

La cooptation inspire les start-up et transforme les employés en recruteurs - 0 views

  • RolePoint, par exemple, permet aux employés d’une entreprise de recommander en quelques clics des candidats dans leurs propres réseaux sociaux : LinkedIn, Facebook et Twitter. L’entreprise utilisatrice participe peut inciter ses employés à faire des recommandations en mettant en place un système de récompense. Elle peut aussi garder un œil sur des candidats potentiels en créant une “communauté de talent” en ligne qu’elle remplit au fur et à mesure des profils intéressants croisés sur LinkedIn, Facebook et Twitter.
  • Dans la Silicon Valley, le recrutement par cooptation numérique est devenu une nécessité tant la guerre des talents fait rage. Les employés jouent aux chaises musicales entre les géants Facebook, Google et Apple, quand ils ne décident pas de se lancer dans l’aventure start-up. Dans une économie ou le capital humain est la première source de valeur, toutes les méthodes sont bonnes pour trouver le candidat idéal. A San Francisco, RolePoint, Discover.ly, Kareer.me et bien d’autres start-up sont parties à la conquête de ce nouveau marché.
  • Ces start-up ont compris que le recentrement sur la valorisation de l'individu, notamment pour la génération Y, transformait le recrutement à tous les niveaux. On peut donc se demander quel rôle les recruteurs vont jouer dans tout cela… Vraisemblablement, plus le capital humain va prendre de la valeur, notamment avec l’essor de l’économie numérique, plus les RH vont devoir se concentrer sur des programmes de valorisation et développement des employés.
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    "Après la révolution du recrutement social, qui a bouleversé les ressources humaines via les réseaux sociaux, une nouvelle ère se dessine avec des outils numériques de cooptation, qui misent sur la culture d'entreprise et les employés avant tout. Des start-up transformant les employés en chasseurs de têtes se multiplient outre-Atlantique mais aussi en Europe."
abrugiere

Measuring Collaboration: Annual Global Coworking Survey - 1 views

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    Comment mesurer la valeur des collaborations dans les espaces de co-working ? A quoi donnent lieu ces collaborations ? Comment émergent-elles ? Qu'est-ce qui les favorisent ?  Un appel à étude est lancé, et les résultats seront présentés lors de la conférence européenne de coworking. 
Aurialie Jublin

Définitions des composantes de la Qualité de Vie au Travail - Social Advisor - 0 views

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    Six grands secteurs : - égalité des chances - Relations de travail/climat social - Santé au travail - Contenu du travail - Employabilité/développement professionnel - Partage et création de valeur
Aurialie Jublin

Trois leçons que les jeux vidéo peuvent donner en matière de télétravail | Le... - 0 views

    • Aurialie Jublin
       
      Leçon 1) "les raids" : avoir un objectif commun, ou "éviter la réunionite" Lorsqu'une entreprise veut animer une équipe virtuelle, elle doit absolument se rendre compte que la définition de son objectif doit précéder sa création !  Leçon 2) "Choisir sa guilde" : garantir la cohérence de l'équipe, ou "attacher de l'importance aux valeurs" Trop souvent, lorsqu'on met en place une équipe virtuelle, les valeurs partagées sont mises sur le côté. Penser que "l'avantage des équipes virtuelles est qu'elles ne doivent pas respecter les mêmes règles que les équipes classiques" est une énorme erreur.  Leçon 3) "In Real Life" : du rôle de l'empathie dans un groupe N'oubliez jamais l'adage : "on commence un job, on quitte une équipe". Et si on n'est pas attaché à l'équipe, on quitte d'autant plus facilement le job. Il faudra donc s'assurer que les individus créent des liens empathiques. Tout d'abord, veiller à ce que les outils de partage (par exemple le réseau d'entreprise) permettent de se créer une personnalité : une photo, un pseudonyme, et des informations personnelles… Ensuite, il ne faut pas hésiter à sortir du cadre imposé : donner quelques éléments sur "qui on est" permettent de dépasser le virtuel et de nous rendre humain. Enfin, il faut permettre à l'équipe d'interagir autant que possible d'une manière non verbale : par vidéo, in-real life, etc. Gérer votre équipe virtuelle comme vous géreriez une équipe classique, la technologie en plus !
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    "De plus en plus d'entreprises se posent la question du télétravail. Comment mettre en place des équipes virtuelles efficaces ? Quels sont les facteurs de succès ? Nous sommes confrontés à de nombreuses difficultés en la matière. Pourtant, il existe des communautés qui collaborent à distance avec succès depuis de nombreuses années et dont nous pourrions prendre exemple : celles du jeu vidéo."
Aurialie Jublin

Travail et exclusion : comment Emmaüs réinvente le revenu minimum ?  - Metis - 0 views

  • La motivation des salariés d'Emmaüs justifie le niveau de leur rémunération Tout d'abord, il faut savoir que les salariés des associations jugent leurs salaires et leurs avantages non pécuniaires (assurance santé, congé maternité rémunéré) moins élevés que dans les secteurs privés et public, mais ils ne considèrent pas leur rémunération comme étant particulièrement inéquitable. A Emmaüs, le salarié s'engage avant tout parce qu'il partage les valeurs. Or, dans le cas des Communautés Emmaüs, les salariés ne sont pas les seuls travailleurs associatifs à percevoir une rémunération. Au sein des Communautés, les Compagnons touchent ce que l'association appelle un pécule mensuel d'un montant qui s'élève aux environs de 200€ mensuel. Les compagnons ont un statut particulier de travailleurs solidaires.
  • un compagnon est d'abord une personne en risque d'exclusion qui n'a pas fait le choix de travailler dans une communauté Emmaüs : pour faire simple, son choix est limité entre travailler et vivre dans une communauté ou vivre dans la rue. Le Compagnon est à la fois le bénéficiaire et la principale de force de travail des Communautés. Sa position devrait légitimement lui permettre de disposer des moyens et des ressources, nécessaires à son bien-être. Or, l'enquête de terrain a prouvé que ces derniers souffrent parfois d'un manque de reconnaissance et d'un faible niveau de rémunération. On a inculqué aux compagnons le principe que le travail leur rendrait la dignité. Mais, hormis la dignité et les avantages solidaires liées à la vie communautaire que gagnent-ils à travailler au sein des Communautés.
  • L'allocation hebdomadaire versée par l'équipe de direction n'est pas un «salaire», et les Compagnons ne sont pas des employés.
  • ...1 more annotation...
  • La politique salariale au sein des Communautés consiste dans la mise en place d'un salaire minimum et d'avantages solidaires. Il est clair que le faible niveau de rémunération d'une main d'œuvre aussi nombreuse constitue un avantage compétitif indéniable. Or, il ne s'agit pas non plus d'exploitation, car l'expérience d'Emmaüs démontre qu'un salaire minimum aussi réduit est efficace s'il s'accompagne non seulement d'autres formes d'allocations ou prestations solidaires, mais d'un vrai dispositif conduisant à sortir de la pauvreté.
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    "Au lieu de s'attarder sur les échecs du RSA, cet article décrit dans quelles circonstances certains emplois sont faiblement rémunérés et quels sont les mécanismes qui découlent de certaines relations salariales. Pour cela, cet article prend exemple sur le cas des stratégies salariales au cœur du système des Communautés du mouvement Emmaüs."
Aurialie Jublin

L'entreprise idéale de demain | Marque employeur et nouveaux enjeux RH - 2 views

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    Résultat d'une étude fait par Deloitte auprès de 1065 étudiants. - entreprise = lieu d'épanouissement personnel - valeurs prépondérantes : esprit d'équipe et de communauté, savoir-faire, qualité de service, satisfaction client. - plébiscitent : travail en équipe, autonomie/liberté, le management participatif - manager idéal : un organisateur (fiable, ordonné, efficace) et un promoteur (enthousiaste, communicatif); avec qualité relationnelles plutôt qu'organisationnelles - facteur d'actractivité : 1) intérêt du travail 2) développement des carrières 3) niveau de rémunération
Aurialie Jublin

Les professionnels des RH font face aux barrières à l'utilisation des méthode... - 0 views

  • Les personnes interrogées au niveau mondial ont également partagé leur vision idéale du cycle de vie de l'employé dans un monde parfait. Les pratiques auxquelles les candidats aspirent, mais qui ne sont actuellement pas utilisées, sont : •       Recrutement : Campagnes mobiles ; publicités créatives et communautés de talents ciblées •       Engagement : Environnements et espaces de travail créatifs ; partage de la stratégie et pratique d'horaires flexibles •       Développement : Programmes de détachement international ; formations et mentorat externes
  • "Une culture d'entreprise réfractaire au changement peut avoir des répercussions importantes. Un professionnel des RH insuffisamment expérimenté dans l’utilisation de méthodes innovantes, et ne disposant que de peu de marge pour les appliquer faute de temps et de ressources, reléguera ces pratiques au second plan. Ces barrières doivent être levées pour attirer et retenir les meilleures compétences, car elles représentent un frein important pour l'organisation dans sa capacité à répondre aux attentes des candidats. Il ne s’agit pas seulement d’attirer les talents nécessaires, mais bien de s’assurer que leur performance restera optimale. Sur ce point les dirigeants doivent être prêts à relever le défi. "
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    "Les professionnels des RH en France accordent beaucoup de valeur à l'innovation mais reconnaissent que des freins importants existent quand il s'agit de mettre en place des méthodes innovantes Selon les professionnels des RH, l'innovation est "cruciale" pour le développement, la rentabilité et rester à l'avant-garde. Cependant, le manque de temps et de ressources, une expérience insuffisante au sein de l'équipe RH et de gestion des talents couplés à une culture réfractaire au changement, sont autant d'obstacles à surmonter."
abrugiere

Architecture Organisationnelle: Esquisse d'une "Entreprise 3.0" - 0 views

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    un travail de synthèse d'idées en vogue (et tout à fait proches des nôtres, mais ne nous cite pas... :( ) sur les transformations du travail. 1 - une nouvelle vision du travail (recherche du sens, etc.) 2 - une nouvelle définition du management et du manager 3- une nouvelle vision de la valeur 4 - une nouvelle vision de la communication A lire !
Aurialie Jublin

Google et Facebook "sont des engins dont le carburant sont les données person... - 0 views

  • Ces activités produisent une ressource qui est par la suite commercialisée. C’est de l’exploitation au sens économique classique comme production de valeur, mais nous sommes aussi face à de l’exploitation au sens marxiste du terme, parce qu’on est dans de la création de plus-value appropriée par les propriétaires des plateformes et réinvestie dans un cycle productif. On ne peut toutefois pleinement comparer Google aux usines du 19ème siècle, parce qu’on est dans ce qu’on appelle un marché biface. Un marché biface, c’est aussi par exemple la télé : un marché où on a l’annonceur d’un côté et les utilisateurs de l’autre. Le public est à la fois client et travailleur. Plus il est nombreux, plus il crée de la valeur, du côté de l’annonceur.
  • La première logique de résistance, c’est introduire du conflit, casser la logique irénique de l’amitié à tout prix sur le Web social. Il faut reconnaître les éléments conflictuels, ne pas les gommer au prétexte de garantir une soit-disante civilisation de l’Internet.
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    "Entretien avec Antonio Casilli sur le Digital Labor, travail invisible que l'on produit à notre insu pour les géants du Web comme Google et Facebook. Une interview qui vient en complément des pages Travail publiées ce lundi dans l'Humanité."
hubert guillaud

Trouver les gens qui ont une vocation plutôt que ceux qui veulent faire carri... - 1 views

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    L'entrepreneur et financier Brooke Allen - http://www.brookeallen.com -, qui a lancé le club Q54 - http://www.q54club.org - recommandait récemment dans les pages de Quartz d'écrire son histoire plutôt qu'un simple CV pour décrocher un job : http://qz.com/192347/to-get-a-job-write-your-story-instead-of-a-resume/ Il y évoquait le fait que ce qui a le plus de valeur est de trouver un but à son travail. Evoquant le livre à paraître de Aaron Hurst "L'économie du but", il explique que les gens les plus motivés ne cherchent ni un travail ni une carrière, mais une vocation. Et que les employeurs devraient surtout se soucier de trouver ces employés là ! Les gens qui cherchent un travail ne cherchent qu'à payer leurs factures. Ceux qui cherchent une carrière se moquent de leur travail. Seul ceux qui cherchent une vocation méritent d'être employés et d'être payés au prix fort.
Aurialie Jublin

Facebook peut prédire votre performance au travail - Mashable - A lire ailleurs - 1 views

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    "Demain, il suffira de d'une requête sur Facebook pour connaître la productivité à venir de la personne que vous vous apprêtez à embaucher, explique Aaron Sankin pour Mashable. Selon une étude qui a porté sur 150 étudiants comparant la prédictibilité d'un test de personnalité et de leurs profils sur les médias sociaux avec des mesures d'évaluations de leur performance, les professeurs Katelyn Cavanaugh et Richard Landers ont découverts que les traits de personnalités de leurs profils sur Facebook étaient plus significatifs qu'un test de personnalité pour mesurer leur performance au travail. Pourquoi ? Parce que les informations que nous livrons sur nos profils seraient plus honnêtes que celles que nous livrons à un questionnaire. Vous pouvez oublier votre score klout, qui mesure votre influence sur les réseaux… Demain, vous devrez mettre en valeur votre indice de productivité."
Aurialie Jublin

Les machines feront de nous tous des intermittents - France Culture - 0 views

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    "Ce qu'on craignait depuis la fin du 19ème siècle est en train de se produire, dit Lanier, des machines et des programmes occupent une partie des emplois qui étaient ceux de la classe moyenne, accroissant le fossé entre un prolétariat toujours nécessaire à l'économie numérique et l'élite de cette même économie. La solution de Lanier est intéressante : que le simple fait d'être internaute soit rémunéré, car après tout, en fournissant des données à des entreprises qui ensuite les monnaient, nous créons de la valeur. La solution est très différente du revenu de base inconditionnel mais le constat n'est pas éloigné : le travail change, il faut imaginer de nouvelles formes de rémunération. Ne retrouve-t-on là une question qui est centrale dans l'intermittence : comment rémunérer ce qui est échappe aux vieilles définitions du travail ? Comment penser et caractériser qui est entre le travail ? Est-ce que le chômage est toujours de l'inactivité ? Parfois, on regrette (mais comme on le regrette à d'autres moments de la vie politique, quand on parle des retraites par exemple), que ces discussions ne soient pas l'occasion d'un vrai débat sur le travail, sa nature et son avenir. Car par bien des aspects, l'intermittence pourrait être un laboratoire permettant d'anticiper les mutations que va nous imposer la technologie, plutôt qu'un statut dont on a l'impression que beaucoup aimerait voir le disparaître."
Aurialie Jublin

Et maintenant, l'entreprise productrice de sens - 2 views

  • LinkedIn considère ainsi désormais les entreprises comme des éditeurs (publishers), des producteurs de contenus… auxquels s’adresse, en conséquence, une série de nouveaux services. Et au-delà de la suppression de l’onglet “Produits et services”, qui invite à basculer son activité LinkedIn sur le partage d’actualités et de contenus à destination des abonnés de sa page (… et de leurs contacts), c’est surtout le très récent ajout d’un “content-marketing score” qui peut bousculer les choses.
  • Au-delà du content-marketing, sorte de boîte à outils de l’entreprise-média, c’est en réalité l’inbound marketing qui vient créer une rupture. Gagner l’intérêt de ses publics plutôt que d’acheter leur attention, répondre aux questions que se posent ceux qui s’intéressent à son industrie, à son activité voire aux grandes problématiques de société qui les touchent, plutôt que de faire irruption agressivement et artificiellement
  • Dans cette économie, où tout “point de départ [serait] la capacité du client à déclarer ses intentions et à en discuter”, de nouvelles technologies  telles que le “cloud personnel” permettraient à chaque individu de remaîtriser son identité numérique et de filtrer les données qu’il souhaite partager aux entreprises. Sur cette base, il déterminerait ainsi activement les informations et interactions qu’il souhaite avoir de et avec elles.
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    "Le numérique a accéléré la fin de la communication traditionnelle. Abondance de l'information et crise de confiance obligent, les entreprises ne peuvent plus asséner de valeurs sans preuve, ni s'adresser à leurs cibles sans leur apporter du sens. Créer des contenus pertinents, autour de sa culture d'entreprise, à des publics intéressés : c'est l'heure de la communication inbound."
Aurialie Jublin

Le « pay what you want », une formule « payante » ?, Les Echos - 0 views

  • « Quand on n’a pas de relation de personne à personne, qu’on reste caché derrière son ordinateur, personne ne va payer le prix », commente Pascale Hébel, directrice du département consommation au Crédoc (centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie). « C’est quelque chose qui ne peut pas durer, il y a une culture en France faisant qu’on veut être plus malin que les autres », estime-t-elle. « Pour un objet qui a une valeur, il y a forcément un coût, une marge, cela va à l’encontre de la loi économique ».
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    "Le système du « payez ce que vous voulez », initié par le groupe de rock Radiohead, s'est aujourd'hui développé dans de multiples secteurs, comme l'hôtellerie, la restauration ou la distribution de vêtements. Restaurants, nuits d'hôtels, oeuvres d'art ou même conseils juridiques, le système du « pay what you want » (payez ce que vous voulez) continue d'attirer les consommateurs, tout comme les commerces à la recherche de buzz."
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