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Aurialie Jublin

Les nouvelles formes de conflictualité en entreprise : entre Droit et Managem... - 1 views

  • Plus audacieuse encore, est récemment apparue la grève virtuelle : en septembre 2008, IBM a vu 1850 de ses salariés manifester sur Second Life. L’impact d’une telle manifestation ? Les journaux du monde entier se sont intéressés à ce mouvement, lui donnant une ampleur considérable ; la direction fut obligée de négocier un accord. Nous voyons bien en l’espèce que la médiatisation d’un conflit peut offrir à la masse salariale un pouvoir qu’une simple grève ne confère pas. Or le pouvoir est l’arme la plus importante dans une négociation. Notons aussi que ce qui interpelle les médias, c’est la nouveauté, l’originalité de ces expressions du mécontentement.
  • De nombreux blogs anonymes dénigrant les conditions de travail de certaines entreprises ont ainsi vu le jour. Ces supports pouvant être lus par un très large public, l’image de la société peut s’en trouver rapidement altérée. Or l’image et le crédit d’une entreprise sont des éléments extrêmement importants du fonds de commerce : la direction aura tout intérêt à négocier.
  • Ainsi le coaching des managers, mis en place dans de grandes entreprises, est un accompagnement permettant de mieux comprendre et d’appréhender les problématiques ; la boîte aux lettres anonyme peut aussi être utile pour prévenir les conflits, tout comme la création de blogs internes, à condition qu’ils soient régulièrement mis à jour et qu’ils fassent l’objet d’une prise en compte réelle par  tous les niveaux hiérarchiques. Il peut s’agir par exemple de blogs d’information, de conversation, ou de blogs collaboratifs (pour les groupes de travail) voire de blogs syndicalistes, comme il en existe dans des grands groupes tels Eurofloat ou Oracle.
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    Si la grève est le mode officiel de contestation au sein de l'entreprise, la pratique montre aujourd'hui qu'elle est de moins en moins utilisée, au profit de modes alternatifs de conflictualité. En ce sens, nous constatons une augmentation des débrayages, des grèves perlées, tournantes ou encore virtuelles, de l'absentéisme et des séquestrations de dirigeants sociaux.   Pourquoi les salariés usent-ils moins du droit de contestation qui leur est reconnu, préférant  des actions qui les mettent parfois en danger ? Quelle réglementation pour ces actions ? Comment y faire face ? Tels sont les points qui intéresseront nos développements.
Aurialie Jublin

Blog Entre travail et vie privée - 0 views

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    Blog sur la problématique de l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée, encore appelée "Work Life Balance" outre Manche, ou comment parvenir à une meilleure conciliation emploi, famille et temps sociaux et vivre pleinement ces différents temps d'une même vie. Commentaire : pas mal d'articles intéressants - comme celui sur le chien :-) - sur le terme de la perméabilité pro/perso, mais pas tellement orienté TIC, et quand ça l'est, c'est des choses que l'on connait déjà (par ex http://entretravailetvieprivee.blogspot.fr/2010/01/nouvelles-technologies-et-equilibre.html ou http://entretravailetvieprivee.blogspot.fr/2012/03/la-generation-y.html)
Aurialie Jublin

Vos désirs sont des ordres | Cosmo [†] Orbüs - 0 views

  • La morale, c’est qu’il n’y a pas de limites à la volonté de contrôle des corps. Le techno-capitalisme avance souvent main dans la main avec sa meilleure ennemie : la liberté individuelle. […] Les organisations qui ne savent pas promouvoir l’homme tel qu’il est (et la femme telle qu’elle est), dans toutes ses dimensions, dans toutes ses richesses (et faiblesses !), sont des organisations dont le design n’est pas prévu pour l’humain.
  • Dans un monde où les entreprises cherchent à dépasser les possibilités de leur main d’oeuvre humaine (cadence, qualité, standardisation de la production etc.) pour pas trop cher (ou vite rentabilisé), la machine semble être une solution logique. Le design de la machine industrielle (et du logiciel de service) est conçu pour accomplir précisément ce qu’elle est supposée faire (on en a déjà parlé). Ça paraît tout bête dit comme ça, mais ça va mieux en le disant : la machine est faite pour faire ce qu’on veut qu’elle fasse. Elle est donc complètement compatible avec les attentes de l’entreprise, contrairement à ces humains bourrés de vices de conception, qui dorment, mangent, prennent des pauses, font grève et… vont aux toilettes.
  • Certains prêchent qu’on aurait intérêt à s’entraîner pour concurrencer les machines qui, demain, nous remplacerons. D’autres évoquent l’impossibilité totale de battre le droïde sur son propre terrain (encore une fois : il est conçu pour une tâche précise. Comment voulez-vous lutter ?), et appellent à embrasser le Grand Remplacement Robotique qui serait pour demain.
  • ...3 more annotations...
  • La première option n’en est pas une. S’entraîner pour accomplir ce qu’un robot manifestement imparfait fait déjà mieux que nous est une gageure. A moins de les perfuser en permanence (sucre + excitants + antidépresseurs), de les gaver de pilules anti-sommeil, de les enchaîner à la chaîne de montage et de tenir la Ligue des Droits de l’Homme à distance, les ouvriers de l’industrie automobile sont moins efficaces que les robots qui existent d’ores et déjà. Dans le futur, aucune « augmentation » transhumaniste ne changera jamais cet état de fait.
  • La deuxième option est plus intéressante. Souvent la réflexion de penseurs comme Ariel Kyrou (dans Réinventer le travail sans l’emploi) ou des auteurs de SF comme Norbert Merjagnan (CoÊve 2051) fait suivre le constat du tout-robotique à venir par un appel au Revenu de Base. Forcément : si les machines font si bien le travail, laissons leur. Mais si nous n’avons plus de boulot ni de salaire, qui achètera les quantités de produits débités par nos usines robotisées ? Le revenu de Base est parfois vu comme la face B, indissociable de la robotisation galopante. A moins de s’en remettre à la phrase de Catherine Dufour : « Avec la robotisation on nous avait promis les loisirs, et on a eu le chômage. »
  • Pendant que le service marketing s’essaye à la promesse, quelqu’un d’autre doit la tenir. Le paradis du consommateur est souvent l’enfer du salarié.
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    "Il y a des entreprises où les employés portent de couches parce qu'il n'ont pas le temps - parce qu'on ne leur laisse pas le temps - d'assouvir un besoin essentiel et commun à tou(te)s. Il y a des entrepôts d'Amazon environnés de tentes parce que les employés n'ont pas le temps - parce qu'on ne leur laisse pas le temps - de rentrer chez eux le soir. (Et encore, pour le moment ils n'ont pas de bracelet de surveillance.) Allons bon, ils ont toujours le choix ! Sauf qu'à trop faire la fine bouche, on leur rappellera que six millions de crevards demandeurs d'emplois attendent dehors pour prendre leur place. Comme le notait Mais où va le web dans son excellent article Pause pipi et ovocytes congelés : l'homme machine selon Heidegger, le fait que des entreprises en arrivent à de tels délires dans l'exploitation de leurs salariés est un problème de design. Ces entreprises et leur fonctionnement ne sont pas compatibles avec ce qu'est l'être humain. "
julien camacho

Économie du partage : quelle forme dans le monde de l'entreprise ? - E-media,... - 0 views

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    Un article concis qui fait la synthèse des formes d'aménagement du temps de travail et de contributions liées à la diffusion de nouveaux outils. Les individus partagent leur temps sur plusieurs activités à hauteur de leurs compétences, et participent à différents projets. L'entreprise devient la plateforme logicielle ouverte de l'économie contributive.
abrugiere

Bring Your Own Cloud : un nouveau challenge pour la DSI | E-media, the Econocom blog - 0 views

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    Le BYOC (Bring Your Own Cloud) est presque une suite logique au phénomène BYOD et pose les mêmes problématiques pour les responsables IT et sécurité des organisations. un des effets de la mobilité et de la consumérisation IT
julien camacho

L'apprentissage et le E learning : 7 notions clés en guise de consensus - Le ... - 1 views

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    Si les contours exacts des dispositifs de formation de demain restent à préciser, les lignes de forces d'un apprentissage réinventé se dessinent clairement et un consensus semble se dégager. C'est ce qui apparait clairement des dernières vidéos d'experts réalisées par CEGOS, particulièrement éclairantes sur le devenir des apprentissages et l'impact du numérique.
Aurialie Jublin

La fin de l'artisanat numérique - 0 views

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    Extrait : Ce que nous appelons le Web 2.0 n'est autre que la consécration des plateformes. Quand elles ne nous ponctionnent pas directement de l'argent, elles s'approprient nos photos, vidéos, articles, tweets… qu'elles monétisent grâce à la publicité. Ce tour de passe-passe s'effectue sous le couvert du partage. Nous offrons notre travail, en échange les plateformes engrangent de fantastiques bénéfices qu'elles réinvestissent pour étouffer davantage les artisans. Les business angels ne s'y trompent pas. Ils ne soutiennent presque que les plateformes. Plutôt que de pousser l'innovation, ils encouragent le développement des outils qui vampirisent une myriade de producteurs artisanaux auxquels on promet tantôt la fortune, tantôt la reconnaissance. En vérité, seules les plateformes s'enrichissent, c'est-à-dire les plus hauts degrés de la pyramide. Cette stratégie n'épargne aucun domaine. Les blogs sont agrégés, aspirés, hébergés de plus en plus ouvertement par les médias dès lors plateformisés. Il revient moins cher de développer des technologies d'agrégation que de payer des journalistes. De leur côté, les réseaux sociaux comme Facebook plateformisent notre vie. Nos contenus une fois analysés se transforment en supports publicitaires ultra-ciblés. Nous dévoilons non seulement nos désirs, affinités et habitudes mais aussi ceux de nos amis, allant jusqu'à trahir leur géolocalisation. La plateformisation ouvre la porte à un espionnage consenti.
abrugiere

La transformation numérique, un bouleversement sociétal et territorial ? « Ve... - 0 views

  • La transformation digitale devrait se traduire par une concentration géographique des emplois autour de métropoles particulièrement denses en compétences. Le numérique s’accompagne d’une double tendance à la diffusion et à l’hyperlocalisation : pour le chercheur Antoine Picon[3], c’est une des contradictions majeures du système. Les nouvelles technologies nous permettent d’être moins dépendants du local mais – avec la logique de cluster, de pôle de compétitivité, de métropolisation - le besoin de proximité territoriale n’a jamais eu autant d’importance.
  • Pour Nicolas Colin, fondateur de TheFamily – un incubateur de start-ups digitales – «le numérique capte la valeur pour la concentrer en quelques points du territoire »[4]. Les métropoles, les clusters comme la Silicon Valley mais aussi - avec la généralisation de l'optimisation fiscale - les paradis fiscaux. L’économie numérique réduit les marges de manœuvres de l’État, lourdement endetté et désarmé pour lever efficacement l’impôt, et de nombreuses collectivités territoriales. On assistera sans aucun doute à « un affaiblissement de la redistribution de la valeur sur l’ensemble du territoire » selon Nicolas Colin. La fin du modèle d’égalité territoriale pour tendre de plus en plus vers le modèle de compétitivité territoriale ?
  • La dynamique actuelle et future des aires métropolitaines - qui s’explique avant tout par leur potentiel d’externalités incomparable (infrastructures, services, réseaux, potentiel humain) - cache des disparités internes sans cesse croissantes. Ainsi, en France, la pauvreté et les inégalités de niveaux de vie se concentrent principalement dans les grands pôles urbains. C’est à l’intérieur même des villes-centres que ces disparités sont les plus fortes : ménages très aisés et très pauvres se côtoient bien que n’habitant pas les mêmes quartiers ou arrondissements. Le numérique et ses villes intelligentes pourraient accentuer ce déséquilibre, l’investissement étant souvent concentré dans les secteurs les plus attractifs et rentables…
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    sur les inégalités de développement territorial  Une autre conséquence de l'économie digitale, la concentration inédite des richesses, risque de modifier en profondeur les équilibres sociaux et économiques. Réinventer notre modèle fiscal pour garantir une certaine redistribution parait dès lors primordial. Pour Nicolas Colin, fondateur de TheFamily - un incubateur de start-ups digitales - «le numérique capte la valeur pour la concentrer en quelques points du territoire »[4]. Les métropoles, les clusters comme la Silicon Valley mais aussi - avec la généralisation de l'optimisation fiscale - les paradis fiscaux. L'économie numérique réduit les marges de manœuvres de l'État, lourdement endetté et désarmé pour lever efficacement l'impôt, et de nombreuses collectivités territoriales. On assistera sans aucun doute à « un affaiblissement de la redistribution de la valeur sur l'ensemble du territoire » selon Nicolas Colin. La fin du modèle d'égalité territoriale pour tendre de plus en plus vers le modèle de compétitivité territoriale ?
Chamila Puylaurent

Pourquoi le digital transforme l'organisation du travail ? | E-media, the Econocom blog - 0 views

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    "En mobilité, à distance, par communauté de projets, avec comme seul lieu permanent de rencontre, l'Internet… les technologies numériques modifient les façons de collaborer, le rapport au travail et in fine la notion même d'entreprise."
Aurialie Jublin

The Future Knowledge Worker - 0 views

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    In this guest blog, Jacob Morgan, author, speaker and futurist, shares his vision for how the Internet of Everything will shape the day-to-day lives of future knowledge workers. As evidenced by the results of Cisco's 2014 Connected World Technology Report, the future of work will be more collaborative than ever before. As a result, the typical day of tomorrow's knowledge worker will be dramatically different than it is today.
Margaux Pasquet

Blog sur des curiosités stratégiques - 0 views

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    Blog québécois qui recense des initiatives très intéressantes (task rabbit, l'entreprise sans chef, le jeux au travail, ...)
abrugiere

Jean GADREY » Blog Archive » Le travail domestique : 33 % du PIB pour 160 % d... - 1 views

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    Le travail domestique a-t-il une valeur économique ?  "La reconnaissance sociale doit-elle toujours prendre des formes marchandes ? L'économie est-elle le seul vecteur de légitimité sociale et civique ?… Ces activités… qui ont… une valeur sociale, voire socialisante pour certaines, devraient être reconnues pour ce qu'elles sont : des activités utiles et qui nécessitent du temps, quand bien même ce temps ne s'exprime pas toujours en monnaie" Annie Fouquet 
abrugiere

L'employabilité et le travail : c'est trop fort en emploi… (2) « id-carrieres... - 0 views

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    Employabilité  Le concept d'employabilité s'est développé dans les années 90, comme une solution à l'incertitude de l'emploi renvoyant les individus et les organisations à adopter une attitude proactive pour construire, évaluer, développer l'employabilité individuelle. L'employabilité a été repensée comme une adaptation continue à l'emploi et au marché de l'emploi. Aptitude à travailler  L'aptitude à travailler se construit de plus en plus à l'extérieur de l'entreprise, en communauté, au sein de réseaux, sur Internet et mêlent des savoirs, des savoir-faire et des savoir-être acquis dans les différentes sphères.
abrugiere

Les makers seront-ils les prochains maîtres du monde ? | Knowtex Blog - 0 views

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    La relance de l'industrie par les FabLabs : la flexibilité du numérique permet de dépasser l'opposition entre délocalisation en Asie et relocalisation de la production un « designed by » au détriment du « made in ». L'automatisation des tâches rendant chaque jour la part du travail moins manuel, le coût humain d'un produit tend à être marginalisé dans le prix de vente final. Les machines étant les mêmes d'un pays à l'autre, il devient possible de les rassembler localement dans des plates-formes polyvalentes, qui ne sont plus attachées à une marque particulière. La démocratisation des outils est pensée comme allant de soi, l'auteur revenant lourdement sur le fait que « n'importe qui » peut désormais faire de chez lui « n'importe quoi », avec juste un ordinateur et quelques milliers de dollars. Ce volontarisme fait l'impasse sur le réalisme d'un monde où le pouvoir de l'usager est une question, et non une évidence.
Aurialie Jublin

Transformer l'entreprise, ou donner envie et moyens aux employés de reprendre... - 0 views

  • La première des pistes que j’explore est le pouvoir de conviction du « faire ». Il s’agit de trouver des moyens tangibles de faire vivre, d’incarner les grands principes sur lesquels on souhaite bâtir le nouveau modèle d’entreprise et de faire en sorte que chaque acteur s’auto-convainque / s’auto-engage en découvrant et percevant la valeur ajoutée en question dans l’action, dans le « faire ».
  • La seconde des pistes que j’explore est la puissance de la foule, un concept vieux comme le monde qui semble trouver une seconde jeunesse aujourd’hui avec de nombreuses initiatives qui bousculent les secteurs traditionnels qu’elles viennent concurrencer. Par exemple, le CrowdFunding qui permet à des porteurs de projets d’être financé par la communauté sans passer par la case banque (cette approche est d’ailleurs en réflexion dans certaines villes pour les services publics) ou le CrowdSolving qui consiste à mobiliser des acteurs venant de tout bord pour trouver une réponse adaptée à une problématique donnée, domaine jusqu’à présent réservé aux cabinets de conseil ou de design thinking
  • La dernière piste que j’explore est la pollinisation. Plutôt que de chercher à convaincre en touchant un maximum de personnes par une communication ou une action large et transverse puis chercher à les embarquer dans le mouvement, je préfère viser un objectif bien plus petit mais beaucoup plus durable.
  • ...1 more annotation...
  • Sans surprise, ces trois pistes sont intimement liées et parfaitement complémentaires. Sans surprise, on retrouve dans ces trois pistes un peu de l’esprit du LEAN et du design thinking / design de service.
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    Questions : Si l'entreprise a besoin d'être transformée, vers un modèle collaboratif, qui est le plus légitime pour dessiner les contours de cette transformation et le comment de sa mise en oeuvre ? Est ce une petite poignée de personnes disposant d'un fort pouvoir décisionnel qui doit imposer à la majorité silencieuse cette nouvelle vision (même sous couvert d'une approche vertueuse) ? Ou est ce plutôt la majorité silencieuse qui devrait avoir les moyens d'exprimer et dessiner le futur de son cadre organisationnel et opérationnel ? 
julien camacho

"Patrons ! Soyez curieux ! Twittez !", lance Françoise Gri - 0 views

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    Françoise Gri est sans doute l'une des dirigeants les plus "geeks" de France. Ecrivant régulièrement sur son blog francoisegri.com depuis 2009, la directrice générale de Pierre&Vacances, ancienne présidente de Manpower en France, fait partie de ces patrons qui tweetent (depuis deux ans). Dans son dernier billet, elle invite ses confrères et consoeurs à ne pas se méfier de Twitter mais à s'en emparer au nom de la curiosité. Morceaux choisis.
abrugiere

Pôle emploi ou la fusion anpe assedic pour les nuls - 0 views

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    le blog des salariés de l'ex-ANPE / ASSEDIC.  Véritable canard enchaîné de  Pôle Emploi, tenu par des anonymes
Aurialie Jublin

Blog d'annonces pour les Bergers - 0 views

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    Bourse à l'emploi mise en place pour les bergers et éleveurs. Commentaire : les TICs ne sont pas l'apanage des cadres et employés
Aurialie Jublin

Livre J'ai débranché : expérience déconnectée d'un homo numericus victime de ... - 0 views

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    Le dernier livre de Thierry Crouzet, J'ai débranché, traite de son expérience de 6 mois sans connexion à Internet après une période intense de plusieurs années où il était devenu accro à cet outil au point de ne plus pouvoir rester quelques minutes sans être déconnecté de ses contacts sur les réseaux sociaux et ailleurs. Concept de l'être-réseau : être hyperconnecté qui consultent leur comptes Facebook, blogs, etc. avec frénésie sur leur PC, smartphone, tablette, etc. en permanence y compris dans les toilettes pour ne pas perte une miette mais en étant moins attentifs à la vie physique autour d'eux.
Aurialie Jublin

L'emploi des seniors - un atout dans la transmission des savoirs - 0 views

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    Qq chiffres et remarques sur l'emploi des seniors
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