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Aurialie Jublin

A quoi ressemblera le travail demain? Sandra Enlart et Olivier Charbonnier - 0 views

  • La sixième idée est une forme de constat des nouvelles compétences à développer.  Les auteurs en listent 10 : - sensemaking - intelligence sociale et relationnelle - capacité d'innover et de s'adapter - compétences interculturelles - compétences à traiter des masses élevées d'informations - capacité à communiquer via les nouveaux médias - transdiciplinarité - capacité de conception - capacité de gérer sa charge mentale - collaboration virtuelle
  • La conclusion propose 5 enjeux pour les nouveaux systèpes d'organisation de demain : - s'adapter et faire face - impulser, soutenir, favoriser - réguler, ouvrir, aider - discuter dialoguer confronter - intégrer articulerrelier
  • les entreprises anticipent maladroitement le phénomène internet  tant dans le changement des relations individuelles que des relations collectives.
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  • La deuxième idée réside dans la porosité désormais consacrée entre la société et l'entreprise. Avec les portables il n'y a plus de barrière si étanche. L'information envahit tous les domaines.
  • La troisième idée est celle d'un monde en mutation comprenant des modèles organisationnels éclatés.
  • La quatrième idée défend la thèse que l'entreprise s'intègre dans un écosystème. Il s'agit moins d'une transformation en profondeur et plus d'une évolution vers des systèmes plus ouverts avec une richesses d'acteurs et de formes de production, des mobilisations d'équipes autour d'idéaux types, de nouvelles manières de coopérer dépassant la seule relation contractuelle.
  • La cinquième idée rassemble les mutations du travail qui répondent aux générations actuelles. Le contrat social se modifie, le travail est une ressource pas une contrainte. C'est un lieu de socialisation, de confort, de collaboration, d'apprentissage, de découvertes. Le travail se met en scène.
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    "Après leur dernier ouvrage "Faut-il encore apprendre?" , les fondateurs du laboratoire d'innovation et de prospective DSide récidivent. Sandra Enlart et Olivier Charbonnier traitent dans leur nouvel opus du travail demain. Si dans faut-il encore apprendre les auteurs constataient déjà un trouble dans les formes classiques de l'apprentissge à cause de l'iruption numérique, ils tirent cette fois les constats des transformations à l'oeuvre au coeur du travail. Après quelques pages de job-fiction pour nous mettre en bouche, ils montrent comment internet transforme le travail."
Aurialie Jublin

Les 7 compétences clés du travail de demain - Le blog de la formation profess... - 2 views

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    Collaboration à distance communication au travers du numérique agilité et adaptation créativité et sens de l'innovation esprit d'initiative et d'entreprise s'organiser efficacement apprendre à apprendre
Aurialie Jublin

"Il faut dire merci aux salariés qui font des erreurs" | Rue89 Eco - 0 views

  • « Une entreprise ne peut apprendre qu’en testant. Ce n’est pas possible de tomber juste du premier coup. Une entreprise qui dit qu’elle ne veut aucune erreur, c’est une entreprise qui ne veut pas d’apprentissage. »
  • « Dans les années 80-90, l’erreur était davantage récompensée. Le patron vous congratulait d’avoir testé. Aujourd’hui, les entreprises font de plus en plus du management à distance, par Excel. Elles reconnaissent le résultat, pas l’effort. Il est donc difficile, pour un salarié, de dire qu’il a fait une erreur. » Du coup, dans les organisations, « on triche de plus en plus », constate Matthieu Poirot. C’est embêtant, parce que l’erreur n’est pas seulement source de découvertes, mais également d’améliorations en termes de sécurité, de qualité, voire de coûts, quand elle est correctement décortiquée.
  • Prendre l’erreur comme un symptôme, c’est aussi ce que préconise Annie Weil-Fassina. Elle doit permettre de comprendre ce qui fonctionne mal dans l’entreprise. Est-ce par exemple : le bruit (« qui rétrécit le champ de conscience et fait courir le risque de ne pas voir ce qui se passe à côté ») ; la pression temporelle (« qui fait que les salariés sautent des étapes » ) ; une mauvaise communication entre différents services ; des consignes trop strictes ?
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    "Apprendre de ses erreurs ? Les patrons français rejettent cette vieille leçon. A tort : une méprise à l'hôpital ou une petite chute sur un chantier en disent beaucoup."
abrugiere

REGARDS SUR LE NUMERIQUE | L'apprentissage informel, nouvelle stratégie pour ... - 0 views

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    FAvoriser l'apprentissage informel dans l'entreprise = c'est arrêter de vouloir tout gérer pour l'employé (planifier, organiser pour lui ce qu'il doit apprendre)
Aurialie Jublin

Vers un pair à pair de l'innovation sociale ouverte ? - @ Brest - 1 views

  • Apprendre à collaborer entre des milliers de personnes à reconnaître le travail de chacun à organiser les apports contributifs est une révolution méthodologique dans une société habituée à gérer la rareté. C’est du fonctionnement des communautés de contributeurs du logiciel libre et de wikipédia que nous avons appris de nouvelles méthodologies qui crée de nouvelles richesses partagées. Ce sont de nouveaux rapport sociaux qui encouragent et valorisent le pouvoir d’agir des contributeurs et ne sont plus essentiellement basés sur la fonction, le titre ou la place hiérarchique.Dans un monde numérique où la copie ne coûte rien, les données ouvertes, les logiciels libres, les ressources éducatives libres, et nos pratiques de la musique ou des films copiés sont issus de ce changement de paradigme de la rareté vers l’abondance qui nous fait découvrir la richesse des échanges de pair à pair et du partage.
  • La coopération ouverte est un profond changement de culture dans une société où le travail est organisé de manière cloisonnée et hiérarchique. Apprendre à donner à voir, copier, réutiliser, partager demande du temps parce que ce n’est pas dans nos habitudes.L’expérience nous montre que la coopération qui partage et mutualise est une expérience souvent irréversible. Nous prenons goût à cette forme de co-production où chacun-e est invité-e à co-produire, où sont reconnus celles et ceux qui font plutôt que les responsables hiérarchiques.
  • Aujourd’hui l’innovation ouverte progresse dans les entreprises où elle stimule la créativité, dans les services où elle favorise l’implication des personnes, dans le tiers secteur où elle est facteur d’innovation sociale.
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    En donnant à voir des dizaines d'initiatives, nous nous rendons compte que l'innovation sociale ouverte est abondante sur le territoire du pays de Brest (et ailleurs si la même démarche est engagée). Les centaines de personnes concernées ont souvent en commun un souci de partage, de solidarité, de territoires en transition. En appliquant les méthodologies collaboratives issues du logiciel libre et des projets autour des biens communs numériques nous souhaitons explorer un pair à pair des acteur-ice-s de l'innovation sociale ouverte qui contribue au mieux vivre ensemble et à la transformation du territoire.
julien camacho

Apprendre à entreprendre dans un monde en réseau | Thot Cursus - 2 views

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    Les applications numériques ont beau nous rendre la vie plus simple et plus excitante au quotidien, force est de constater aussi qu'elles ont détruit un nombre considérable d'emplois. Grosso modo, toutes les tâches routinières qui pouvaient être programmées et automatisées l'ont été ou sont en passe de l'être. Des robots et des logiciels remplacent les travailleurs dans de multiples domaines; le mouvement, qui a touché en premier lieu les processus industriels, s'est rapidement étendu au process des services. Il touche désormais les professions intellectuelles dites supérieures. En 2011 par exemple, plusieurs dizaines de milliers d'avocats se sont retrouvés au chômage aux Etats-Unis, car est apparu un logiciel spécialisé dans la vérification systématique des pièces attachées à tout dossier instruit, tâche qui occupait de très nombreux hommes de loi.
Aurialie Jublin

Autoentrepreneurs : « Pour moi, ce statut a été une révolution » | Rue89 Eco - 0 views

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    Témoignages sur les avantages du statut d'autoentrepreneur : - Se créer un travail à défaut d'en trouver - Eviter le RSA - Avoir des horaires flexibles - Ne pas subir les contraintes imposées par un employeur - Compléter sa retraite - Arrondir ses fins de mois - Ne plus travailler au noir - Apprendre de nouvelles compétences - Payer ses charges après avoir encaissé ses recettes - Créer ou maintenir une activité Mais - Effet pervers : une concurrence déloyale pour les intermittents, pas forcement pour les artisans
Aurialie Jublin

RoboEarth, les robots possèdent désormais leur propre Internet - 0 views

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    Aujourd'hui, les robots qui sont régulièrement créés sont généralement assignés à une tâche bien précise. Grâce à - ou à cause de - un projet financé par l'Union Européenne, les machines vont pouvoir apprendre les unes des autres. Ce programme, nommé RoboEarth va, en quelques sortes, permettre aux robots l'accès à leur propre Internet. Derrière RoboEarth, nous retrouvons des équipes de la marque Phillips ainsi que cinq universités européennes. Le but est de donner aux robots la possibilité d'apprendre les uns des autres. Ainsi, une machine pourrait effectuer une tâche pour laquelle elle n'est pas programmée à la base en récupérant les programmes nécessaires sur le Web des robots. Bien évidemment, l'appareil devra être 'physiquement' adapté, difficile, par exemple, pour un robot sans 'bras' de réussir à ouvrir une petite boite.
Aurialie Jublin

Apprendre à « coder » pour lutter contre le décrochage scolaire - 1 views

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    "Comment optimiser la formation pour mettre les compétences au service de l'emploi ? Plusieurs écoles, et entreprises proposent aux « décrocheurs », ces étudiants qui quittent le cursus avant d'avoir obtenu leur diplôme, de se former à l'informatique pour améliorer leurs chances d'entrer sur le marché de l'emploi."
hubert guillaud

Laisser les contenus des ados "privés" sur Facebook, ne les protégera pas - T... - 0 views

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    La sociologue danah boyd qui publie "It's Complicated: The Social Lives of Networked Teens" réagit dans une tribune pour le Time a la volée de bois vert des associations de défense des enfants face à l'annonce que Facebook voulait introduire pour les jeunes de 13 à 17 ans la possibilité de partager des contenus avec tout le monde, publiquement, et pas seulement avec leurs amis. "Mais pourquoi les jeunes ne devraient-ils pas être autorisés à participer à la vie publique ?" questionne danah boyd. C'est justement l'un des enjeux de l'adolescence : apprendre à être confronté et à participer à la vie publique. Pour eux, Facebook n'est pas et n'a jamais été un lieu privé. La décision de Facebook ne vise pas à exposer les jeunes à danger supplémentaire, mais à leur faire prendre conscience que le site est un espace public comme un autre. Plutôt que de chercher à protéger les jeunes par devers eux, imaginons plutôt les moyens de les intégrer de manière plus constructive à la vie publique. Et pour y parvenir, la clé n'est pas de créer des technologies limitatives, mais de fournir aux parents et aux adolescents les informations et les mécanismes nécessaires pour prendre des décisions sains.
julien camacho

GÉNÉRATION Y * Besoin d'un boulot ? Inventez-le | Courrier international - 1 views

  • C'est pourquoi l'objectif de l'enseignement, selon Tony Wagner, ne doit plus être de préparer tous les enfants à l'université, mais plutôt de leur apprendre à innover, afin qu'ils soient prêts à valoriser leur activité, quelle qu'elle soit.
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    Les membres de ma génération devaient trouver un travail, les jeunes doivent désormais le créer, écrit cet éditorialiste américain. Il est urgent de réformer l'enseignement pour mettre la capacité à innover au cœur du système.
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    Le fossé se creuse dans un marché du travail où la classe moyenne, qui s'était constituée sur l'accès à des postes qualifiés, tend à disparaitre. Le système d'enseignement doit faire face à l'obligation de développer des compétences chez le individus qui leur permettront d'innover durablement, condition sinequanone d'une adaptabilité à des fonctions très qualifiées.
Aurialie Jublin

Les espaces de coworking sont-ils les salles de classes du futur ? | Deskmag | Coworking - 0 views

  • Certaines universités comme le H4 en Caroline du Nord, ou le Kosilab à Siegen ont créé leurs espaces de coworking d’été pour étudiants au sein même de l’université. Les deux espaces mettent l’accent sur l’interaction entre étudiants. Le H4 de par des évènements et l’organisation de formation par des professionnelles, le Kosilab en prônant l’entraide. L’objectif est bien la réussite des étudiant car dans les deux cas, ce sont les services d’orientation professionnel qui ont permis ces initiatives.
  • Les avantages pour les étudiants sont en effet multiples : - Travailler dans des espaces moins surpeuplés que les cafés ou les bibliothèques. - Pouvoir travailler pendant des plages horaires plus étendues - Pouvoir se familiariser avec l’entreprenariat - Apprendre auprès d’une communauté d’experts - Confronter la théorie à la pratique - Réaliser des projets personnels dans un environnement de travail motivant - Accéder à des opportunités de stages et d’emploi
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    "Avez-vous remarqué combien il peut être difficile de trouver des entrepreneurs célèbres étant diplômés? D´autre part, dans certains domaines tels que Webdesign ou la programmation, les nouvelles technologies évoluent si vite que les étudiants peuvent ressortir des salles de cours avec des connaissances déjà obsolètes. Malheureusement, même à l´heure d'internet et du partage de connaissances, il est encore difficile d´imaginer toute une génération d'autodidactes. Bonne nouvelle, le coworking pourrait être l'une des solutions. Il attire de plus en plus d'étudiants et pourrait bien être l'espace privilégié d'une nouvelle éducation pour les entrepreneurs de demain. En fait, certains voient même le coworking remplacer des universités désormais dites dépassées."
Aurialie Jublin

Comment changer le fonctionnement des entreprises - Francis Pisani - 0 views

  • Pour Dignan :« Les entreprises qui ont le plus d’impact et qui croissent le plus vite aujourd'hui utilisent un modèle d'exploitation complètement différent [du modèle hiérarchique]. »« Ce sont des machines à apprendre "maigres et méchantes" (lean and mean). »« Elles ont un parti pris intense en faveur de l'action et une réelle tolérance du risque, qui se manifeste dans l'expérimentation fréquente et l'implacable itération des produits. »« Elles bidouillent (hack) produits et services, les testent et les améliorent pendant que leurs compétiteurs qui fonctionnent comme hier (legacy competition) affinent leur PowerPoints. »
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    "Mais alors comment faut-il s'organiser ? Dignan propose différents modèles inspirés de sociétés à succès : Zappos (qui vend des chaussures et des vêtements online), Spotify qui a bouleversé la consommation de la musique et Valve, une productrice de jeux. Avec des variations, elles ont en commun de : - Chercher à distribuer autorité et autonomie en les confiant aux individus et aux équipes. - Elles permettent que la nature changeante du travail […] ait un impact sur la structure des rôles et des équipes. - Elles valorisent la transparence et la communication fluide. - Elles permettent aux individus de travailler dans plusieurs groupes. - Elles réduisent le rôle de la direction aux problèmes de stratégies exigeant une vue d'ensemble et laissent tous les autres se résoudre à la marge."
Aurialie Jublin

Recruteurs cherchent "gens bizarres", "procastinateurs" et "habitués à l'éche... - 0 views

  • Pour la sociologue Brené Brown, un “inconfortable sentiment de vulnérabilité” est aujourd’hui nécessaire pour faire du “bon travail”. Une vulnérabilité qui s’exprime parfois dans un trop-plein de perfectionnisme : la procrastination, tendance à tout remettre au lendemain, réaction d’auto-défense et d’inhibition face à la performance et la perspective de l’accomplissement d’une tâche.
  • Une autre raison, plus fondamentale, tiendrait à l’évolution même du monde du travail, de plus en plus “déstructuré“. Entendre, faisant de plus en plus appel à l’autonomie, entre un management plus horizontal, une entreprise appelée à être de plus en plus décloisonnée et la nature même des fonctions allant en se complexifiant et se recomposant en permanence. La “transformation numérique”,  enjeu d’actualité pour les entreprises qui sont en voie de répercuter les conséquences de la révolution numérique dans leurs business models et leurs organisations, nécessite ainsi la “remise en question permanente”
  • Notant qu’à Google, “la proportion de gens sans diplôme universitaire a augmenté avec le temps”, Laszlo Bock dessine un avenir du recrutement où, loin des algorithmes, les références et les qualifications ne sont pas gages de succès. L’entreprise dispose de trois critères-clés pour assurer un bon recrutement : Plus que le QI et même l’expertise, les capacités cognitives telles que la capacité à apprendre et la curiosité Le leadership, mais un leadership moderne, dit “leadership émergent”, qui correspond à la capacité critique à savoir “prendre le lead” mais aussi, lorsqu’il le faut, renoncer au pouvoir et L’humilité et la maîtrise de soi, notamment l’humilité intellectuelle et une attitude collective de “problem-solving”
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    "Google engage de moins en moins de jeunes diplômés sortis de grandes universités prestigieuses. Un signe pour l'avenir du recrutement ? La capacité à savoir échouer, nouvelle vertu cardinale dans la recherche d'emploi ? Alors que les jeunes entrepreneurs vont jusqu'à se rencontrer dans des Fuck Up Nights pour partager leurs échecs, les recruteurs semblent également de plus en plus se tourner vers ces profils aptes à "rater avec grâce"."
Aurialie Jublin

La fin est proche: les ordinateurs peuvent s'apprendre des choses entre eux, ... - 3 views

  • «Dans le futur, la machine-enseignante pourrait, par exemple, permettre aux robots d'usine vieillissants d'enseigner à leur équipement de remplacement», imagine Gizmodo.
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    "Des chercheurs de l'université d'Etat de Washington ont en effet créé des «ordinateurs qui peuvent enseigner à d'autres ordinateurs», poursuit Gizmodo. Et le site de la fac en question de compléter: «[Ils] ont développé une méthode permettant à un ordinateur de donner des conseils et de transmettre des compétences à un autre ordinateur d'une manière qui imite la façon dont un vrai enseignant et un étudiant pourraient interagir.»"
Aurialie Jublin

"Time-to-competence" : former moins longtemps… pour former mieux ? - 4 views

  • Et pour optimiser au mieux les investissements de l’entreprise, le fabricant de pneumatiques s’est avant tout appuyé sur une révision approfondie des compétences véritablement nécessaires pour chaque poste. Il a également développé un mix de méthodes pour notamment “apprendre en créant” alliant ainsi campus, tutorat et self-learning, l’apprentissage par soi-même. Enfin, choix a été fait de renforcer le dispositif de validation et de qualification. Concrètement, 400 000 heures de gains ont été identifiées. Et 240 000 ont déjà été concrétisées en 2013.
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    "Faire évoluer les compétences des collaborateurs plus rapidement. Depuis 2010, c'est l'un des principaux objectifs de Michelin, qui a réorienté sa politique de formation des salariés. En cause ? Un temps d'apprentissage qui n'était plus en adéquation avec le rythme exigé par l'activité. Face au défi de la nécessaire "adaptabilité des compétences", le groupe a mis en place « Time to Competence » (T2C), une démarche qui vise à réduire le temps nécessaire à l'acquisition des compétences pour, entre autres, positionner dans un délai plus pertinent la main d'œuvre disponible aux postes-clés de l'entreprise."
Aurialie Jublin

Réflexions sur l'entreprise et l'environnement de travail de demain - Entrepr... - 3 views

  • Plusieurs pistes de réflexion très intéressantes sont regroupées en cinq grandes thématiques : On Demand Staffing, où il est question d’avoir recours à un écosystème des prestataires et indépendants pour absorber la cyclicité de l’activité et savoir saisir des opportunités de diversification ponctuelles ; Collision Collusion, où l’on parle à nouveau des espaces de collaboration physiques, mobiles et virtuels ; Improvised Workplace, qui apporte une flexibilité extrême dans l’organisation du travail des équipes (mobilier, logiciels…) ; Living Knowledge, avec les notions de réseau d’apprentissage (social learning) et de processus adaptatifs (feedback culture) ; Constant Learning, dans la même lignée avec les espaces digitaux de capitalisation des savoirs, les organisations auto-apprenants et les outils de gestion de carrière collaborative.
  • De toutes ces pistes de réflexion, je retiens plusieurs idées fortes : Faire cohabiter les différentes générations, notamment en intégrant des étudiants et des incubateurs au sein de l’entreprise pour que chacun puisse apprendre des autres (de  la fertilisation croisée inter-culturelle et inter-générationnelle) ; En finir avec les aménagements traditionnels du lieu de travail et exploiter sérieusement et de façon serène le télétravail (The Next Office: Why CEOs Are Paying Attention), et tuer dans la foulée les réunions (Kill Your Meeting Room, The Future’s in Walking and Talking) ; Faire attention au bien-être des employés et à leur moral pour les fidéliser et augmenter leur productivité (cf. The Happiness Machine).
  • description de quatre modèles possibles : L’écosystème solaire, où l’entreprise est au centre d’une galaxie de sociétés partenaires, sous et co-traitantes (par opposition au modèle de croissance reposant sur l’intégration verticale) ; L’excubation, où l’entreprise va encourager et financer l’éclosion de startups accolées à elle, plutôt que de chercher à faire la révolution en interne ; L’open source, où un ensemble de sociétés et organisations créé de la valeur autour d’un bien ou d’un service commun ; L’intermédiation, qui valorise avant tout la co-création et une répartition plus distribuée de la valeur.
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    Suite à la sortie d'un rapport Future of the Work de PSFK
Aurialie Jublin

Favoriser le développement professionnel des travailleurs des plateformes num... - 0 views

  • pour beaucoup de travailleurs des plateformes, l’accompagnement dans les démarches administratives pour démarrer une activité ou  pour acquérir une « capacité » professionnelle, est un besoin plus prégnant que le contenu même de la formation nécessaire pour exercer l’activité.
  • L’univers des plateformes est par ailleurs évolutif et mouvant. Apprendre à y évoluer et à se transformer, nécessite, au-delà des formations classiques, des formes d’apprentissage entre pairs et une socialité professionnelle. Cela implique aussi des formats d’apprentissage adaptés à des travailleurs très isolés et à l’activité souvent fractionnée dans le temps, ce qui renforce le besoin d’une médiation collective.
  • L’enjeu est aussi d’amener la plupart des plateformesà investir davantage dans la formation des travailleurs qu’elles intermédient. #Leplusimportant suggère d’y remédier en rapprochant les droits de ces indépendants de ceux des salariés, via une contribution « unique » applicable à toutes les plateformes (par exemple de 1% des prestations versées). Des risques de distorsions existent cependant : entre travailleurs d’une part,  dont les niveaux de tarification et de revenus varient fortement selon le type d’activité ; entre plateformes d’autre part,  certaines faisant déjà  un effort notable de formation.
  • ...6 more annotations...
  • La possibilité que l’État abonde par ailleurs spécifiquement les CPF des travailleurs des plateformes, pour faciliter leurs évolutions professionnelles vers d’autres formes d’emploi est une piste à expertiser. La question du financement de la formation professionnelle est à inscrire dans une réflexion plus globale sur la participation des plateformes à l’effort collectif (notamment en matière de fiscalité) et à la fixation des rémunérations (prix minima par exemple).
  • #Leplusimportant propose aussi de renforcer la capacité des travailleurs des plateformes à «disposer de leur capital réputation » immatériel, au travers d’une portabilité des données numériques personnelles et réputationnelles. Une distinction doit être opérée entre (1) les données personnelles fournies par la personne à la plateforme relevant du RGPD, (2) les données d’expérience/métier, renvoyant à la question de la qualification professionnelle et pour lesquelles il serait possible de s’appuyer sur des référentiels de compétences européens, (3) et les données de notation et de réputation, sujettes à de nombreux biais. Si un effort « pédagogique » auprès des clients, en vue de les sensibiliser à l’impact de leur évaluation sur les travailleurs, est nécessaire, davantage de transparence de la part des plateformes sur les données personnelles et les critères de notation est essentiel.
  • #Leplusimportant propose de faciliter l’orientation, par les services publics de l’emploi (SPE), des demandeurs d’emplois vers des plateformes labellisées « socialement responsables », reconnues ainsi comme acteurs d’insertion ou retour à l’emploi.  Les plateformes ouvrent en effet des opportunités inédites d'activité et l’articulation avec le SPE  est à consolider.
  • #Leplusimportant propose aussi de favoriser l’expérimentation de plateformes collaboratives d’insertion. Les débats ont souligné qu’il y a là une opportunité nouvelle, illustrée par une plateforme comme Lulu dans ma rue. Les encourager peut passer par la reconnaissance du statut d’entreprise d’insertion économique au-delà des relations salariées ou par l’utilisation de clauses sociales d’insertion dans les marchés publics.
  • Autorégulation, réglementation et dialogue social constituent sans doute les différentes pièces d’un même puzzle à assembler, celui d’une économie de plateforme à la fois « financièrement soutenable, techniquement innovante et socialement responsable ».
  • Par les exercices successifs de discussion qu’ils organisent  et qui ont vocation à se poursuivre, Sharers & Workers et France Stratégie visent à poser les bases d’un « observatoire partagé » des réalités de travail sur les plateformes, lieu d’expérimentation et d’échange sur les pratiques à l’œuvre dans les plateformes numériques, mais aussi de dialogue social et professionnel entre  des acteurs peu enclins à s’appuyer sur les instances traditionnelles (branches, syndicats, et organisation patronales).
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    "Quels sont les besoins des travailleurs des plateformes en matière de formation professionnelle ? Comment faire en sorte qu'ils aient un meilleur accès à des formations financées ? Qu'ils puissent faire valoir sur l'ensemble du marché du travail les compétences qu'ils ont acquises via leurs activités sur des plateformes ? Comment faire des plateformes des acteurs de l'insertion professionnelle et de l'inclusion sociale ? Autant de questions qui ont été discutées le 13 avril 2018 lors d'ateliers réunissant, à France Stratégie, les membres du réseau Sharers & Workers dans un format visant à susciter un dialogue concret mais informel entre des plateformes numériques, des représentants de travailleurs indépendants, des représentants syndicaux, des experts et des acteurs publics. Fidèle à la démarche expérimentée par le passé (voir ici), nous avons mis en débat des propositions, émises par le think et action tank #Leplusimportant qui a ainsi pu prolonger les échanges menés avec les acteurs dans le cadre de la préparation de son rapport « Favoriser le développement professionnel des travailleurs des plateformes numériques», paru en février 2018."
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