Le Sombre social : et si notre histoire du web était fausse ? - The Atlantic - 0 views
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hubert guillaud on 15 Oct 12Alexis Madrigal nous rappelle que le web social, incarné par Facebook ou Twitter, n'est pas né avec lui. Ils n'incarnent que la pointe de l'iceberg visible du partage social. Ce qui se partage via le mail, la messagerie instantanée n'est pas mesurable, car nos outils d'analyses d'audience ne nous le permettent pas. Or, 70 % des références viennent de "l'obscurité sociale". La majorité du trafic social est invisible aux programmes d'analyse : liens tapés directement dans le moteur de recherche, trafic en provenant de signets... En fait, la plupart du temps, quelqu'un fait passer d'une manière ou d'une autre un lien à un autre qui le conduit jusqu'à vous. Or, le trafic en provenance de ce social obscure est deux fois celui de Facebook en moyenne. Les sites sociaux n'ont pas créé le web social et l'action de visibilité ne peut ni ne doit se réduire à eux ! Un nombre plus vaste de personne partagent des liens en dehors des sites sociaux, en dehors des données personnelles que ceux-ci récupèrent en contrepartie !