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AN - Aff. Etrangères - Rapport d'information Dérèglements climatiques et conf... - 0 views

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    Mobiliser la diplomatie climatique pour atténuer les dérèglements climatiques et réduire leur impact sur les conflits 1) Renforcer les efforts diplomatiques entrepris pour faire respecter l'Accord de Paris (COP21), en encourageant des stratégies nationales plus ambitieuses et plus concrètes ; 2) Revoir les objectifs fixés à Paris à la hausse lors des prochaines COP ; 3) Accélérer la transition énergétique de la France et de l'Union européenne pour parvenir aux objectifs de neutralité carbone affichés ; 4) Organiser une nouvelle conférence internationale de recapitalisation du Fonds vert pour le climat à Paris afin de financer des projets d'atténuation et d'adaptation aux dérèglements climatiques dans les pays en voie de développement ; 5) Renforcer le partenariat entre l'Agence française de développement (AFD) et le Fonds vert pour le climat ; 6) Utiliser la COP26 pour redéfinir les financements climat après 2020, augmenter leur montant et les orienter davantage vers les pays en développement les plus vulnérables ; 7) Promouvoir la thématique climat et sécurité au sein de toutes les organisations internationales pertinentes, et notamment au sein des organisations régionales ; 8) Soutenir la mise en Å“uvre de la feuille de route Changement climatique et défense proposée par le Service européen d'action extérieure (SEAE) ; 9) Organiser des sommets internationaux dédiés à la thématique et des événements parallèles (side events) lors des conférences internationales sur le climat ; 10) Maintenir une diplomatie active sur la thématique au sein du Conseil de sécurité de l'ONU et financer le développement du Mécanisme climat et sécurité ; 11) Promouvoir la thématique « climat et sécurité » au sein de l'OTAN en créant un centre de recherche dédié ; 12) Proposer un cadre juridique plus protecteur pour les déplacés climatiques ; 13) Accroître le soutien financier de la France et de lâ
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The Shift Projet - Dossier de presse - Mobiliser l'enseignement supérieur pou... - 0 views

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    Le contexte Les enjeux soulevés par le changement climatique n'ont jamais été aussi prégnants. Ils sont étroitement liés à l'énergie - d'origine fossile à 80 % aujourd'hui - qui alimente depuis près de 150 ans le développement économique mondial. Qu'il s'agisse d'atténuer notre impact, de réduire notre dépendance ou de nous adapter aux bouleversements à venir, les répercussions sur l'économie et la société seront d'une ampleur sans précédent. Ces perspectives sont à la fois profondément inquiétantes et éminemment complexes. Y faire face exige une population certes sensibilisée, mais aussi informée et formée - notamment en tant que futurs élus, électeurs, parents et professionnels de tous les secteurs (de la santé à l'industrie, en passant par la culture et la fonction publique). Il ne s'agit pas de former uniquement aux métiers dits « verts ». En effet, bien qu'à des degrés divers, tous les métiers sont concernés. Et la compréhension des faits est vitale. Le défi : former les étudiants pour décarboner la société Or, les enjeux climat-énergie sont encore peu enseignés, et a fortiori dans la formation post-bac, qui accueille chaque année 6,5 % de la population « en âge de travailler » (15-64 ans). L'enseignement supérieur doit donc former tous les étudiants aux enjeux climat-énergie. Partant de ce constat, The Shift Project propose un état des lieux de la manière dont ces sujets sont abordés, et identifie des pistes d'actions concrètes autour desquelles mobiliser la communauté du supérieur. Ces actions visent à permettre le développement massif et rapide de l'enseignement des enjeux climat-énergie, donc à doter la France des moyens humains nécessaires à ses objectifs climatiques. La demande est forte, mais l'offre est limitée La demande est forte chez les étudiants et lycéens. Leur mobilisation, massive et inédite, appelle à une réponse académique profon
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The Shift Projet - Résumé - Mobiliser l'enseignement supérieur pour le climat - 0 views

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    Le contexte Les enjeux soulevés par le changement climatique n'ont jamais été aussi prégnants. Ils sont étroitement liés à l'énergie - d'origine fossile à 80 % aujourd'hui - qui alimente depuis près de 150 ans le développement économique mondial. Qu'il s'agisse d'atténuer notre impact, de réduire notre dépendance ou de nous adapter aux bouleversements à venir, les répercussions sur l'économie et la société seront d'une ampleur sans précédent. Ces perspectives sont à la fois profondément inquiétantes et éminemment complexes. Y faire face exige une population certes sensibilisée, mais aussi informée et formée - notamment en tant que futurs élus, électeurs, parents et professionnels de tous les secteurs (de la santé à l'industrie, en passant par la culture et la fonction publique). Il ne s'agit pas de former uniquement aux métiers dits « verts ». En effet, bien qu'à des degrés divers, tous les métiers sont concernés. Et la compréhension des faits est vitale. Le défi : former les étudiants pour décarboner la société Or, les enjeux climat-énergie sont encore peu enseignés, et a fortiori dans la formation post-bac, qui accueille chaque année 6,5 % de la population « en âge de travailler » (15-64 ans). L'enseignement supérieur doit donc former tous les étudiants aux enjeux climat-énergie. Partant de ce constat, The Shift Project propose un état des lieux de la manière dont ces sujets sont abordés, et identifie des pistes d'actions concrètes autour desquelles mobiliser la communauté du supérieur. Ces actions visent à permettre le développement massif et rapide de l'enseignement des enjeux climat-énergie, donc à doter la France des moyens humains nécessaires à ses objectifs climatiques. La demande est forte, mais l'offre est limitée La demande est forte chez les étudiants et lycéens. Leur mobilisation, massive et inédite, appelle à une réponse académique profon
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The Shift Projet - Rapport - Mobiliser l'enseignement supérieur pour le climat - 0 views

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    Le contexte Les enjeux soulevés par le changement climatique n'ont jamais été aussi prégnants. Ils sont étroitement liés à l'énergie - d'origine fossile à 80 % aujourd'hui - qui alimente depuis près de 150 ans le développement économique mondial. Qu'il s'agisse d'atténuer notre impact, de réduire notre dépendance ou de nous adapter aux bouleversements à venir, les répercussions sur l'économie et la société seront d'une ampleur sans précédent. Ces perspectives sont à la fois profondément inquiétantes et éminemment complexes. Y faire face exige une population certes sensibilisée, mais aussi informée et formée - notamment en tant que futurs élus, électeurs, parents et professionnels de tous les secteurs (de la santé à l'industrie, en passant par la culture et la fonction publique). Il ne s'agit pas de former uniquement aux métiers dits « verts ». En effet, bien qu'à des degrés divers, tous les métiers sont concernés. Et la compréhension des faits est vitale. Le défi : former les étudiants pour décarboner la société Or, les enjeux climat-énergie sont encore peu enseignés, et a fortiori dans la formation post-bac, qui accueille chaque année 6,5 % de la population « en âge de travailler » (15-64 ans). L'enseignement supérieur doit donc former tous les étudiants aux enjeux climat-énergie. Partant de ce constat, The Shift Project propose un état des lieux de la manière dont ces sujets sont abordés, et identifie des pistes d'actions concrètes autour desquelles mobiliser la communauté du supérieur. Ces actions visent à permettre le développement massif et rapide de l'enseignement des enjeux climat-énergie, donc à doter la France des moyens humains nécessaires à ses objectifs climatiques. La demande est forte, mais l'offre est limitée La demande est forte chez les étudiants et lycéens. Leur mobilisation, massive et inédite, appelle à une réponse académique profon
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Terra Nova - Finance climat : le temps de l'action - Sept propositions pour la France ... - 0 views

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    Cette note de Terra Nova vise à montrer comment la France et l'Europe, fortes d'une légitimité sur les questions climatiques en général, et de finance climat en particulier, pourraient jouer un rôle clé dans la redéfinition d'un cadre financier global pour accompagner la transition vers un monde neutre en carbone. La COP21 à Paris a placé la question de la finance climat au cœur de tous les enjeux sur des avancées concrètes dans la lutte contre le réchauffement climatique. Pour autant, elle n'a pas défini d'objectifs chiffrés à la hauteur des besoins financiers (les 100 milliards de dollars de transferts annuel Nord Sud sont loin d'épuiser les besoins de financement), ni d'outils particuliers à mettre immédiatement en oeuvre. Que ce soit lors de la COP22, qui se proclame elle-même « la COP de l'action », ou dans les prochains mois de mise en œuvre de l'Accord de Paris, la réflexion sur la manière d'aligner les flux financiers avec les objectifs de d'atténuation et d'adaptation que ce sont fixés les pays à travers l'accord de Paris devra connaître des avancées décisives. Cette note vise à montrer comment la France et l'Europe, fortes d'une légitimité sur les questions climatiques en général, et de finance climat en particulier, pourraient jouer un rôle clé dans la redéfinition d'un cadre financier global pour accompagner la transition vers un monde neutre en carbone. Elle avance sept propositions concrètes pour consolider l'écosystème français existant sur les questions de finance climat, réduire les conséquences financières du risque systémique climatique, agir sur les rendements des investissements bas carbone, et offrir un horizon à l'Union Européenne qui l'éloigne du spectre actuel de la stagnation séculaire. Proposition 1 : Promouvoir par la coordination de la puissance publique et des acteurs financiers privés l'émergence de la place de Paris comme hub européen d
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Ademe - Synthèse - Etude sur la caractérisation des effets rebonds induits pa... - 0 views

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    Présentation du Journal de l'Environnement Dans une nouvelle étude, l'Agence de la transition écologique (Ademe) a caractérisé les « effets rebond » du télétravail, comprenant l'usage de la visioconférence, qui minorent d'un tiers les bénéfices environnementaux induits par cette pratique. Réduire la taille du texteAugmenter la taille du texteImprimer cette pageEnvoyer par e-mail En cette période de crise sanitaire du coronavirus, le Gouvernement recommande de continuer à privilégier le télétravail, lorsque cela est possible. L'Agence de la transition écologique (Ademe) a étudié, en juillet dernier, l'impact du travail en ligne à domicile qui a été plébiscité par les salariés pendant le confinement. Dans une nouvelle étude publiée le 22 septembre, l'Ademe prévient toutefois des « effets rebond » qui pénalisent les bénéfices environnementaux de cette pratique. L'agence a mené une enquête terrain auprès de 26 organisations françaises comptant 350 000 salariés. Ces entreprises ont été interrogées sur leur politique en matière de télétravail actuelle et future, permettant de caractériser les éventuels effets rebond. Ainsi, l'absence de trajets quotidiens pour aller au bureau est le principal avantage des télétravailleurs. Un jour de télétravail permet en effet de réduire de 69 % le volume des déplacements du jour. L'Ademe estime que la réduction des trajets domicile-travail génère un bénéfice environnemental moyen de 271 kilogrammes équivalent carbone (kg eqCO2) annuels, par jour de télétravail hebdomadaire. Pour les entreprises, l'agence ajoute aussi des bénéfices, en intégrant les réductions des surfaces immobilières qu'il induit, quand il est couplé « au flex office ». C'est-à-dire lorsque les collaborateurs d'une entreprise ne disposent plus de poste de travail attitré. La balance environnementale globale du télétravail augmente de 52 % par jour de télétravail hebdomadaire, si le télétravai
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Ademe - Rapport final - Etude sur la caractérisation des effets rebonds indui... - 0 views

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    Présentation du Journal de l'Environnement Dans une nouvelle étude, l'Agence de la transition écologique (Ademe) a caractérisé les « effets rebond » du télétravail, comprenant l'usage de la visioconférence, qui minorent d'un tiers les bénéfices environnementaux induits par cette pratique. Réduire la taille du texteAugmenter la taille du texteImprimer cette pageEnvoyer par e-mail En cette période de crise sanitaire du coronavirus, le Gouvernement recommande de continuer à privilégier le télétravail, lorsque cela est possible. L'Agence de la transition écologique (Ademe) a étudié, en juillet dernier, l'impact du travail en ligne à domicile qui a été plébiscité par les salariés pendant le confinement. Dans une nouvelle étude publiée le 22 septembre, l'Ademe prévient toutefois des « effets rebond » qui pénalisent les bénéfices environnementaux de cette pratique. L'agence a mené une enquête terrain auprès de 26 organisations françaises comptant 350 000 salariés. Ces entreprises ont été interrogées sur leur politique en matière de télétravail actuelle et future, permettant de caractériser les éventuels effets rebond. Ainsi, l'absence de trajets quotidiens pour aller au bureau est le principal avantage des télétravailleurs. Un jour de télétravail permet en effet de réduire de 69 % le volume des déplacements du jour. L'Ademe estime que la réduction des trajets domicile-travail génère un bénéfice environnemental moyen de 271 kilogrammes équivalent carbone (kg eqCO2) annuels, par jour de télétravail hebdomadaire. Pour les entreprises, l'agence ajoute aussi des bénéfices, en intégrant les réductions des surfaces immobilières qu'il induit, quand il est couplé « au flex office ». C'est-à-dire lorsque les collaborateurs d'une entreprise ne disposent plus de poste de travail attitré. La balance environnementale globale du télétravail augmente de 52 % par jour de télétravail hebdomadaire, si le télétravai
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Terra Nova - Pour une stratégie climatique audacieuse : Des propositions pour... - 0 views

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    La COP 21 et l'Accord de Paris ont marqué en 2015 l'émergence d'un nouvel espoir : celui d'une action mondiale en faveur de la lutte contre le changement climatique. En tant que pays organisateur, la France a joué un rôle facilitateur unanimement salué. Le chemin vers la mise en œuvre de l'accord de Paris reste cependant jonché d'obstacles et de difficultés. Le rôle de l'Union européenne et, en son sein, de la France, sera crucial dans les prochaines années et décennies pour transformer en actes les promesses faites à Paris, à la fois pour montrer l'exemple d'une transition vers une économie bas-carbone réussie, mais aussi en jouant de sa place sur la scène mondiale pour faire émerger une coalition d'Etats désireux de rehausser leurs ambitions, entraînant les autres pays à leur suite. Pour nous européens, l'enjeu de la réduction des émissions de CO2 associées à une formidable opportunité économique : opportunité en termes d'activité et d'emploi dans les secteurs de la transition énergétique, opportunité de rééquilibrage de la balance commerciale de l'Union et d'accroissement de notre sécurité énergétique, et enfin opportunité de régulation de la mondialisation et de lutte contre le dumping environnemental. Le succès de la COP 21 ne doit pas avoir pour résultat paradoxal d'éclipser les enjeux climatiques de l'élection présidentielle à venir. Il faudra au contraire lutter contre leur instrumentalisation à des fins populistes, et exiger des candidats qu'ils développent leur vision pour faire face à l'un des plus grands enjeux du 21ème siècle. La lutte contre le changement climatique est une course contre le temps, et chaque quinquennat compte. Terra Nova publie ses propositions pour agir sans attendre, et invite chacun des candidats à l'élection présidentielle à faire de même. Les neuf propositions de Terra Nova : 1. Promouvoir la diffusion des systèmes de tarificati
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CESE - Rapport complet - Se donner un nouveau cap : Rapport annuel sur l'état... - 0 views

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    En décembre 2019, une centaine d'habitant de la province chinoise du Hubei développe les symptômes d'un virus inconnu. À la stupeur générale, les premiers cas de ce qui deviendra la crise du « Covid-19 » se transforment en quelques semaines en une crise sanitaire d'échelle planétaire. Les mesures de confinement et de quarantaine se succèderont, entrainant une crise économique mondiale sans précédent. Dans ce contexte inédit, le rapport annuel sur l'état de la France 2020 devait se démarquer des éditions précédentes : les indicateurs de richesse complémentaires au PIB, utilisés habituellement pour analyser la société française, ne permettaient pas de saisir toutes les dimensions de cette crise. C'est donc un rapport au format nouveau qui est présenté ici : le regard de la société civile organisée sur cette crise, à travers les contributions de onze formations de travail et de six CESER. Il est important de rappeler que la propagation de ce virus en France est intervenue dans un contexte particulier. Comme le CESE l'avait souligné à de nombreuses reprises, le pays pâtissait de fragilités structurelles liées à notre système de santé, mais aussi de fragilités sociales, économiques, financières ou institutionnelles et affrontait des mouvements de contestation de plus en plus nombreux en raison d'une montée persistante des inégalités. La crise est venue jeter une lumière crue sur toutes ces faiblesses. Elle les a amplifiées. Le rapport du CESE a pour objectif de souligner les interrogations auxquelles cette pandémie a confronté notre société et les défis à surmonter pour sortir de la crise. Les préconisations contenues dans ce rapport annuel du CESE se veulent concrètes, articulées autour d'un projet collectif ambitieux, afin que la relance soit plus efficace, qu'elle favorise un projet de développement durable et solidaire, que la France soit mieux préparée pour affronter les prochaines crises
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CESE - Synthèse - Se donner un nouveau cap : Rapport annuel sur l'état de la ... - 0 views

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    En décembre 2019, une centaine d'habitant de la province chinoise du Hubei développe les symptômes d'un virus inconnu. À la stupeur générale, les premiers cas de ce qui deviendra la crise du « Covid-19 » se transforment en quelques semaines en une crise sanitaire d'échelle planétaire. Les mesures de confinement et de quarantaine se succèderont, entrainant une crise économique mondiale sans précédent. Dans ce contexte inédit, le rapport annuel sur l'état de la France 2020 devait se démarquer des éditions précédentes : les indicateurs de richesse complémentaires au PIB, utilisés habituellement pour analyser la société française, ne permettaient pas de saisir toutes les dimensions de cette crise. C'est donc un rapport au format nouveau qui est présenté ici : le regard de la société civile organisée sur cette crise, à travers les contributions de onze formations de travail et de six CESER. Il est important de rappeler que la propagation de ce virus en France est intervenue dans un contexte particulier. Comme le CESE l'avait souligné à de nombreuses reprises, le pays pâtissait de fragilités structurelles liées à notre système de santé, mais aussi de fragilités sociales, économiques, financières ou institutionnelles et affrontait des mouvements de contestation de plus en plus nombreux en raison d'une montée persistante des inégalités. La crise est venue jeter une lumière crue sur toutes ces faiblesses. Elle les a amplifiées. Le rapport du CESE a pour objectif de souligner les interrogations auxquelles cette pandémie a confronté notre société et les défis à surmonter pour sortir de la crise. Les préconisations contenues dans ce rapport annuel du CESE se veulent concrètes, articulées autour d'un projet collectif ambitieux, afin que la relance soit plus efficace, qu'elle favorise un projet de développement durable et solidaire, que la France soit mieux préparée pour affronter les prochaines crises, qu'elles soi
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Vingt ans de lutte contre le changement climatique en France | Actualités | A... - 1 views

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    "Le projet d'avis sera présenté à la fin du premier trimestre 2015 par la section de l'environnement. La XXIème Conférence des parties sur le Climat (COP21) aura lieu à Paris à la fin de l'année 2015. Or, la France et l'Europe se sont historiquement positionnées comme acteurs de la lutte contre le changement climatique. À l'occasion de la COP21, notre pays aura à coeur de présenter les effets de sa politique de réduction des gaz à effet de serre. En effet, depuis vingt ans, la France a engagé une démarche de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Elle s'est dotée d'objectifs : loi POPE du 13 juillet 2005, loi Grenelle 1, Paquet Climat-Énergie Européen… Elle a déployé des moyens : plusieurs Plans Climat (2000, 2004, 2008), des politiques sectorielles, y compris d'investissements publics, des instruments économiques (marché des permis d'émissions, fiscalité carbone), des politiques territoriales de lutte contre le changement climatique à partir du début des années 2000 (plan climat territoriaux, PCET, SRCAE…). Dans ce contexte, il apparaît pertinent pour le CESE de dresser, dans le cadre d'un rapport et d'un avis, le bilan et les perspectives de la mise en oeuvre des politiques de lutte contre le changement climatique en France. Ce travail est complémentaire de l'avis préparé au premier semestre 2014 en section environnement sur l'adaptation au changement climatique. Il est en lien avec la dynamique nationale sur la transition énergétique et s'appuiera donc sur l'avis du CESE sur ce sujet (janvier 2013). Il importe d'abord de dresser le panorama des moyens mobilisés, des outils d'atténuation des émissions de gaz à effet de serre mis en place et de leur articulation. La dimension territoriale des politiques d'atténuation mérite une attention particulière, tant pour observer les dynamiques locales et l'implication des acteurs, que les éventuelles inégalités territoriales,
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CESE - Résolution - Construire Demain - 0 views

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    La crise du Covid-19 a bouleversé nos vies, elle a révélé et parfois même exacerbé les inégalités et les failles de notre société. Le CESE ainsi que l'ensemble des représentants des organisations qui y siègent se sont organisés pour réfléchir collectivement à « l'après ». Ce sont ainsi toutes les formations de travail qui se sont attelées, aux côtés de la société civile, à identifier les sujets et les actions à mettre en place pour se préparer aux conséquences de cette crise sanitaire. La résolution « Construire demain » donne les pistes d'actions du CESE pour aborder l'après Covid-19. Patrick Bernasconi, président du CESE et rapporteur de la résolution, déclare : « Cette crise sanitaire nous a amené à poser un regard nouveau sur nombre de sujets qui touchent à notre quotidien, à celui de nos concitoyens, à notre pays, à l'environnement dans lequel nous vivons, à notre devenir. » Produite par la société civile organisée, elle est articulée autour de quatre axes interrogeant notre modèle, nos modes de délibération, nos investissements et notre protection sociale. Ces quatre axes, ensemble, dessinent un horizon et des pistes pour aujourd'hui. Martine Vignau, membre du Bureau du CESE, déclare dans la présentation faite à l'assemblée : « Cette résolution, produite par la société civile organisée, au plus près du terrain, à vocation à dépasser les murs de notre chambre pour irriguer l'ensemble de la société. Elle est une des réponses au bouleversement du monde qui vient, une réponse résolument optimiste, celle d'une société portant en elle une confiance résolue dans l'avenir. » Repenser notre modèle, délibérer ensemble, cibler nos investissements, développer nos protections, tel est le combat qu'il convient de mener avec détermination pour redonner confiance à toutes et tous. Pour y parvenir, le CESE propose un chemin : Définir la société que nous voulon
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Season of Creation - Le Guide de Célébration de la Saison de la Création est ... - 0 views

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    Les communautés chrétiennes du monde entier sont invitées à commencer à planifier leurs célébrations de la Saison de la Création grâce au nouveau Guide de célébration de la Saison de la Création, désormais disponible sur le site Web de la Saison. Ce guide de 52 pages propose de nombreuses façons pour les chrétiens et les communautés de participer à la célébration annuelle de prière et d'action pour notre maison commune, qui aura lieu plus tard cette année. Parmi les idées énumérées dans le guide gratuit : Les chrétiens sont invités à organiser une marche pour la création ou à découvrir de nouvelles façons de rendre leur vie plus durable, en accord avec la création d'un avenir plus résilient pour notre maison commune. Les institutions sont encouragées à réfléchir dans la prière à la manière dont elles peuvent aider leurs communautés à vivre au mieux la saison, par exemple en organisant des événements sur la durabilité tout au long du mois ou en mettant en Å“uvre des changements à une échelle institutionnelle plus large, par exemple en réalisant un audit énergétique et en y donnant suite. La Saison de la Création commence le 1er Septembre, Journée mondiale de prière pour la sauvegarde de la création, et se termine le 4 Octobre, fête de Saint François, le Saint Patron de l'écologie aimé de nombreuses confessions chrétiennes. Cette année, 2,3 milliards de chrétiens du monde entier s'unissent autour du thème "Une maison pour tous ? Renouveler l'Oikos de Dieu". "Le thème de la Saison de la création met l'accent sur le fait que la Terre appartient à Dieu et que chaque créature bien-aimée appartient à cette maison commune (cf. Psaume 24,1)", a déclaré le pasteur Chad Rimmer, Président du comité directeur de la Saison Å“cuménique de la création et responsable des programmes de théologie et de pratique luthériennes pour la Fédération luthérienne mondiale. "Le mot grec pour â
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Synthèse - Rapport d'info... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Rapport - Rapport d'infor... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Infographie - Rapport d'i... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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The Shift Project - Déployer la sobriété numérique - 0 views

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    The Shift Project travaille depuis 2017 sur l'impact environnemental du numérique. Le troisième volet de ce travail vise à proposer des cadres méthodologiques opérationnels pour mettre en place la sobriété numérique : dans les stratégies et politiques publiques, dans l'entreprise, dans les systèmes d'usages du domaine privé. Nos deux premiers rapports, « Lean ICT - Pour une sobriété numérique » (2018) et « Climat : l'insoutenable impact de la vidéo en ligne » (2019), nous ont permis de définir notre vision du concept de sobriété numérique. Les constats établis dans ces précédents travaux ont alimenté, notamment grâce à la production de chiffres, une prise de conscience de l'importance de l'empreinte environnementale du numérique, de son augmentation préoccupante et des raisons systémiques qui conduisent à cette situation. Le troisième rapport est disponible en version intermédiaire et diffusé pour relecture : Passer de la sensibilisation et des constats à l'action S'il est nécessaire de poursuivre les efforts de sensibilisation en la matière, il est tout aussi important de montrer qu'il est possible de passer des constats à l'action, elle aussi systémique, visant donc à ce que les différents acteurs interconnectés au sein du système puissent conjointement évoluer dans un sens permettant de contenir l'envolée de la consommation d'énergie et de matériaux du numérique. Dans ce cadre, il est nécessaire de cibler des leviers permettant d'inciter les différents acteurs à opérer les changements nécessaires. Sans prétendre à l'exhaustivité, c'est ce que nous essayons de faire à travers les différents chantiers en cours. Nos 4 axes de travail * Axe 1« Analyse de projets smart » : Démythifier les approches « smart » en montrant aux acteurs publics (collectivités locales) et privés (entreprises, ménages) que des conditions doivent être remplies pour que leurs impacts environ
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CESE - Agriculture : l'enjeu de la (re)territorialisation de l'alimentation - 0 views

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    "Alors que les filières de production alimentaires sont structurées au niveau national, que le modèle de spécialisation régionale engendre des dysfonctionnements multiples et atteint des limites et que la France importe de plus en plus de produits alimentaires, la question de la (re)territorialisation de l'alimentation revêt une importance cruciale. Jusqu'à présent la territorialisation de l'alimentation a été essentiellement abordée sous l'angle des circuits courts ou de proximité, qui représentent moins de 10 % de la vente de produits alimentaires. Ce projet d'avis vise à identifier, en prenant en compte les enjeux climatiques, environnementaux, sociaux et économiques, quelle peut être l'évolution de notre modèle de production, de transformation, de distribution et de consommation des produits alimentaires. Les enjeux sont divers : couvrir durablement les besoins alimentaires dans les territoires satisfaire l'évolution des régimes alimentaires et des attentes des consommateurs rendre accessible à tous la production locale, au sens de bassins de vie et de terroirs métropolitains et ultramarins, dans tous les circuits de distribution, y compris ceux relevant de la solidarité alimentaire prendre en compte l'alimentation hors domicile, de collectivité ou commerciale.   Une meilleure autonomie et une meilleure qualité sont déterminantes dans l'approche territoriale de l'alimentation qui ne peut être dissociée de la réduction des émissions de gaz à effet de serre, de la sécurité alimentaire, de la lutte contre le gaspillage alimentaire et de la protection de la santé des producteurs, des riverains des lieux de production et des consommateurs. Ce projet d'avis sera élaboré en lien avec le CNA - Conseil National de l'Alimentation. "
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IFOP - Enquête d'opinion auprès des habitants des villes moyennes - 0 views

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    Réalisée à la sortie de cette période de confinement marquée par l'essor du télétravail, l'édition 2020 du Baromètre des Territoires montre que près d'un quart des actifs habitants des grandes villes (de plus de 100 000 habitants) envisagent de déménager de leur logement actuel (soit 23% de l'échantillon concerné). Ce taux atteint même 36% chez les jeunes actifs des grandes agglomérations de moins de 35 ans. 10% des actifs des grandes villes (soit près de 400 000 personnes) ont même tout à fait l'intention de le faire ce qui pourrait se traduire par des mouvements de population conséquents. A la question posée de savoir dans quel type de ville vivre idéalement, les habitants des grandes villes souhaitent habiter en premier lieu en ville moyenne (pour 50% d'entre eux, contre 30 % dans une grande ville, 13% dans une petite ville et seulement 7% dans un territoire rural). De manière générale, ce sondage souligne que la large majorité des Français préfère vivre dans une ville moyenne plutôt que dans une grande métropole (84 % des Français). Ce constat est partagé aussi de manière encore plus forte chez les habitants des villes moyennes (87%), montrant leur fort attachement à leur territoire de vie. Alors que les grandes métropoles ont longtemps bénéficié d'une bonne image auprès des jeunes, il est intéressant de souligner la forte attractivité des villes moyennes auprès des moins de 35 ans qui affirment préférer y vivre plutôt que dans une métropole (82% des Français de moins de 35 ans), ces chiffres pouvant peut être être annonciateurs d'un changement de tendance en matière de dynamique démographique territoriale pour les années qui viennent. Pour l'ensemble des Français interrogés, les villes moyennes sont notamment perçues comme étant les plus aptes à s'adapter aux défis du changement climatique (33%, contre 27% pour les petites villes, 22% pour les territoires ruraux et seulement
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Terra Nova - Comment financer la lutte contre le changement climatique ? De nouveaux ou... - 0 views

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    Pour tenir les engagements pris au sommet de Paris lors de la Cop 21 en 2015 et limiter le réchauffement global de notre planète, nous devons investir massivement dans la transition de notre économie et de nos modes de vie. Pourtant, nous ne mobilisons pour le moment qu'une faible partie des sommes nécessaires pour financer la transition énergétique et permettre aux pays en développement de s'adapter au changement climatique. Comment faire mieux et accélérer les décisions alors que nous avons déjà pris du retard dans le calendrier visant à ne pas dépasser 2 °C de réchauffement à la fin du siècle ? Il faut concevoir et lancer de nouveaux outils financiers permettant de diriger des capitaux vers des programmes de transition et les actions d'adaptation dans les pays les plus fragiles. Nous proposons ici la transformation d'une partie de la dette des pays en développement en dette verte. Il s'agit de programmes innovants permettant d'annuler des dettes de pays à mesure que des actions pour la transition ou l'adaptation sont menées. Ils apparaissent particulièrement adaptés pour des pays très endettés et fragiles financièrement. Ces mécanismes permettent en effet de concilier la nécessaire lutte contre le réchauffement et les actions d'adaptation et le non moins nécessaire développement économique. La conditionnalité des remises de dette permet de vérifier l'engagement effectif des pays dans leurs programmes de lutte contre le réchauffement, sans risquer de conforter la mauvaise gouvernance par des allègements de dette confortant des pouvoirs en place indépendamment de leurs efforts réels pour l'avenir de leur population. Mais cet outil adapté aux pays endettés ne doit pas être perçu comme un effort unilatéral des pays en développement. C'est pourquoi, il serait opportun de favoriser en parallèle un outil s'adressant à tous les pays, y compris les pays industrialisés : les obligations à impact environnemental. C
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