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AN - Aff. Etrangères - Rapport d'information Dérèglements climatiques et conf... - 0 views

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    Mobiliser la diplomatie climatique pour atténuer les dérèglements climatiques et réduire leur impact sur les conflits 1) Renforcer les efforts diplomatiques entrepris pour faire respecter l'Accord de Paris (COP21), en encourageant des stratégies nationales plus ambitieuses et plus concrètes ; 2) Revoir les objectifs fixés à Paris à la hausse lors des prochaines COP ; 3) Accélérer la transition énergétique de la France et de l'Union européenne pour parvenir aux objectifs de neutralité carbone affichés ; 4) Organiser une nouvelle conférence internationale de recapitalisation du Fonds vert pour le climat à Paris afin de financer des projets d'atténuation et d'adaptation aux dérèglements climatiques dans les pays en voie de développement ; 5) Renforcer le partenariat entre l'Agence française de développement (AFD) et le Fonds vert pour le climat ; 6) Utiliser la COP26 pour redéfinir les financements climat après 2020, augmenter leur montant et les orienter davantage vers les pays en développement les plus vulnérables ; 7) Promouvoir la thématique climat et sécurité au sein de toutes les organisations internationales pertinentes, et notamment au sein des organisations régionales ; 8) Soutenir la mise en œuvre de la feuille de route Changement climatique et défense proposée par le Service européen d'action extérieure (SEAE) ; 9) Organiser des sommets internationaux dédiés à la thématique et des événements parallèles (side events) lors des conférences internationales sur le climat ; 10) Maintenir une diplomatie active sur la thématique au sein du Conseil de sécurité de l'ONU et financer le développement du Mécanisme climat et sécurité ; 11) Promouvoir la thématique « climat et sécurité » au sein de l'OTAN en créant un centre de recherche dédié ; 12) Proposer un cadre juridique plus protecteur pour les déplacés climatiques ; 13) Accroître le soutien financier de la France et de l
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Season of Creation - Le Guide de Célébration de la Saison de la Création est ... - 0 views

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    Les communautés chrétiennes du monde entier sont invitées à commencer à planifier leurs célébrations de la Saison de la Création grâce au nouveau Guide de célébration de la Saison de la Création, désormais disponible sur le site Web de la Saison. Ce guide de 52 pages propose de nombreuses façons pour les chrétiens et les communautés de participer à la célébration annuelle de prière et d'action pour notre maison commune, qui aura lieu plus tard cette année. Parmi les idées énumérées dans le guide gratuit : Les chrétiens sont invités à organiser une marche pour la création ou à découvrir de nouvelles façons de rendre leur vie plus durable, en accord avec la création d'un avenir plus résilient pour notre maison commune. Les institutions sont encouragées à réfléchir dans la prière à la manière dont elles peuvent aider leurs communautés à vivre au mieux la saison, par exemple en organisant des événements sur la durabilité tout au long du mois ou en mettant en œuvre des changements à une échelle institutionnelle plus large, par exemple en réalisant un audit énergétique et en y donnant suite. La Saison de la Création commence le 1er Septembre, Journée mondiale de prière pour la sauvegarde de la création, et se termine le 4 Octobre, fête de Saint François, le Saint Patron de l'écologie aimé de nombreuses confessions chrétiennes. Cette année, 2,3 milliards de chrétiens du monde entier s'unissent autour du thème "Une maison pour tous ? Renouveler l'Oikos de Dieu". "Le thème de la Saison de la création met l'accent sur le fait que la Terre appartient à Dieu et que chaque créature bien-aimée appartient à cette maison commune (cf. Psaume 24,1)", a déclaré le pasteur Chad Rimmer, Président du comité directeur de la Saison œcuménique de la création et responsable des programmes de théologie et de pratique luthériennes pour la Fédération luthérienne mondiale. "Le mot grec pour
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Réseau Action Climat - Pour donner à chacun le pouvoir de vivre : l'urgence d... - 0 views

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    L'ancien ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot et le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, lancent avec 19 ONG et syndicats un pacte pour faire face à l'urgence sociale et environnementale. Opposer l'urgence sociale à l'urgence climatique relève d'un non sens. C'est ce que défendent 19 organisations, dont La Fondation Nicolas Hulot, la Fondation Abbé Pierre, la CFDT, La Cimade, Réseau Action Climat... Ces acteurs de la société civile ont présenté, mardi 5 mars, 66 propositions réunies dans un pacte social et écologique. Ce dernier explore notamment la question de l'accès universel aux droits, la solidarité et la justice sociale, la transition écologique et l'enjeu démocratique, à destination de l'exécutif, des élus, des décideurs et des citoyens. Véritable « projet de société », ce pacte devrait déboucher sur la création d'un « Observatoire » pour mieux évaluer les politiques publiques grâce à des indicateurs sociaux et environnementaux. Concrètement, pour lier social et écologie, les organisations proposent par exemple d'en finir avec le mal logement et les « passoires énergétiques », en finançant leur rénovation et en interdisant leur mise en location. Les 66 propositions ne sont toutefois pas très détaillées. Cet appel à l'alliance du social et de l'écologie a-t-il des chances d'être entendu ?« L'exécutif n'a pas encore répondu à notre première demande de rendez-vous », note Samuel Léré, porte-parole de la Fondation Nicolas Hulot. En pleine période de Grand Débat National, ces acteurs porteront leurs propositions lors de tables rondes et de la Marche pour le Climat. « Nous allons nous réunir prochainement pour voir comment nous pouvons faire vivre concrètement ce pacte, notamment dans les territoires ». Reste à savoir s'il pourra constituer un moyen de pression suffisant. « C'est un projet global. Le gouvernement ne pourra pas choisir parmi les propo
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CESE - Résolution - Construire Demain - 0 views

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    La crise du Covid-19 a bouleversé nos vies, elle a révélé et parfois même exacerbé les inégalités et les failles de notre société. Le CESE ainsi que l'ensemble des représentants des organisations qui y siègent se sont organisés pour réfléchir collectivement à « l'après ». Ce sont ainsi toutes les formations de travail qui se sont attelées, aux côtés de la société civile, à identifier les sujets et les actions à mettre en place pour se préparer aux conséquences de cette crise sanitaire. La résolution « Construire demain » donne les pistes d'actions du CESE pour aborder l'après Covid-19. Patrick Bernasconi, président du CESE et rapporteur de la résolution, déclare : « Cette crise sanitaire nous a amené à poser un regard nouveau sur nombre de sujets qui touchent à notre quotidien, à celui de nos concitoyens, à notre pays, à l'environnement dans lequel nous vivons, à notre devenir. » Produite par la société civile organisée, elle est articulée autour de quatre axes interrogeant notre modèle, nos modes de délibération, nos investissements et notre protection sociale. Ces quatre axes, ensemble, dessinent un horizon et des pistes pour aujourd'hui. Martine Vignau, membre du Bureau du CESE, déclare dans la présentation faite à l'assemblée : « Cette résolution, produite par la société civile organisée, au plus près du terrain, à vocation à dépasser les murs de notre chambre pour irriguer l'ensemble de la société. Elle est une des réponses au bouleversement du monde qui vient, une réponse résolument optimiste, celle d'une société portant en elle une confiance résolue dans l'avenir. » Repenser notre modèle, délibérer ensemble, cibler nos investissements, développer nos protections, tel est le combat qu'il convient de mener avec détermination pour redonner confiance à toutes et tous. Pour y parvenir, le CESE propose un chemin : Définir la société que nous voulon
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Pollution de l'air : le coût de l'inaction - Rapport Tome 2 Sénat - 0 views

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    "Rapport de Mme Leila AÏCHI, fait au nom de la CE coût économique et financier de la pollution de l'air n° 610 tome II (2014-2015) - 8 juillet 2015 L'actualité récente a été marquée par des épisodes récurrents de pics de pollution, le dernier en date ayant eu lieu un mois après la constitution de la commission d'enquête sur le coût économique et financier de la pollution de l'air. Or, si ces pics entraînent un afflux de consultations aux urgences, c'est la pollution « de fond », c'est-à-dire la pollution constante, qui provoque les effets les plus durablement néfastes pour la santé. Les trois types de maladies causées par la pollution de l'air les plus communes sont les maladies respiratoires, au premier rang desquelles la bronchopneumopathie obstructive (BPCO), les pathologies cardiaques, dont les infarctus, et les cancers du poumon. Par ailleurs, le rôle de la pollution de l'air dans de nombreuses autres pathologies fait l'objet d'études et permet d'affirmer qu'il existe un lien, notamment, entre la pollution et certains problèmes de développement du foetus, et des pathologies certes multifactorielles mais de plus en plus prévalentes comme la maladie d'Alzheimer et l'obésité. A côté de ces effets sanitaires, la pollution de l'air produit des effets non sanitaires, sur la végétation et la biodiversité, sur l'eau mais aussi sur les bâtiments. Après avoir établi ces effets de la pollution de l'air, la commission d'enquête a tenté d'en mesurer les coûts en s'adressant aux administrations en charge de ces dossiers, aux économistes experts de ces questions et aux acteurs eux-mêmes. Elle n'a pu que constater la faiblesse de la mobilisation de l'Etat face à un enjeu qui est durablement inscrit au premier rang des préoccupations de nos concitoyens. La commission d'enquête a analysé l'ensemble des études publiées à ce jour sur le sujet et, là où cela a été possible, tenté d'obtenir de nouvelles évaluations. Elle a abou
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Pollution de l'air : le coût de l'inaction - Rapport Tome I Sénat - 0 views

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    "L'actualité récente a été marquée par des épisodes récurrents de pics de pollution, le dernier en date ayant eu lieu un mois après la constitution de la commission d'enquête sur le coût économique et financier de la pollution de l'air. Or, si ces pics entraînent un afflux de consultations aux urgences, c'est la pollution « de fond », c'est-à-dire la pollution constante, qui provoque les effets les plus durablement néfastes pour la santé. Les trois types de maladies causées par la pollution de l'air les plus communes sont les maladies respiratoires, au premier rang desquelles la bronchopneumopathie obstructive (BPCO), les pathologies cardiaques, dont les infarctus, et les cancers du poumon. Par ailleurs, le rôle de la pollution de l'air dans de nombreuses autres pathologies fait l'objet d'études et permet d'affirmer qu'il existe un lien, notamment, entre la pollution et certains problèmes de développement du foetus, et des pathologies certes multifactorielles mais de plus en plus prévalentes comme la maladie d'Alzheimer et l'obésité. A côté de ces effets sanitaires, la pollution de l'air produit des effets non sanitaires, sur la végétation et la biodiversité, sur l'eau mais aussi sur les bâtiments. Après avoir établi ces effets de la pollution de l'air, la commission d'enquête a tenté d'en mesurer les coûts en s'adressant aux administrations en charge de ces dossiers, aux économistes experts de ces questions et aux acteurs eux-mêmes. Elle n'a pu que constater la faiblesse de la mobilisation de l'Etat face à un enjeu qui est durablement inscrit au premier rang des préoccupations de nos concitoyens. La commission d'enquête a analysé l'ensemble des études publiées à ce jour sur le sujet et, là où cela a été possible, tenté d'obtenir de nouvelles évaluations. Elle a abouti au chiffrage le plus complet réalisé sur cette question. A partir de ce constat, et pour rompre avec le cycle des mesures incessamment mises en a
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CESE - Rapport complet - Se donner un nouveau cap : Rapport annuel sur l'état... - 0 views

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    En décembre 2019, une centaine d'habitant de la province chinoise du Hubei développe les symptômes d'un virus inconnu. À la stupeur générale, les premiers cas de ce qui deviendra la crise du « Covid-19 » se transforment en quelques semaines en une crise sanitaire d'échelle planétaire. Les mesures de confinement et de quarantaine se succèderont, entrainant une crise économique mondiale sans précédent. Dans ce contexte inédit, le rapport annuel sur l'état de la France 2020 devait se démarquer des éditions précédentes : les indicateurs de richesse complémentaires au PIB, utilisés habituellement pour analyser la société française, ne permettaient pas de saisir toutes les dimensions de cette crise. C'est donc un rapport au format nouveau qui est présenté ici : le regard de la société civile organisée sur cette crise, à travers les contributions de onze formations de travail et de six CESER. Il est important de rappeler que la propagation de ce virus en France est intervenue dans un contexte particulier. Comme le CESE l'avait souligné à de nombreuses reprises, le pays pâtissait de fragilités structurelles liées à notre système de santé, mais aussi de fragilités sociales, économiques, financières ou institutionnelles et affrontait des mouvements de contestation de plus en plus nombreux en raison d'une montée persistante des inégalités. La crise est venue jeter une lumière crue sur toutes ces faiblesses. Elle les a amplifiées. Le rapport du CESE a pour objectif de souligner les interrogations auxquelles cette pandémie a confronté notre société et les défis à surmonter pour sortir de la crise. Les préconisations contenues dans ce rapport annuel du CESE se veulent concrètes, articulées autour d'un projet collectif ambitieux, afin que la relance soit plus efficace, qu'elle favorise un projet de développement durable et solidaire, que la France soit mieux préparée pour affronter les prochaines crises
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CESE - Synthèse - Se donner un nouveau cap : Rapport annuel sur l'état de la ... - 0 views

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    En décembre 2019, une centaine d'habitant de la province chinoise du Hubei développe les symptômes d'un virus inconnu. À la stupeur générale, les premiers cas de ce qui deviendra la crise du « Covid-19 » se transforment en quelques semaines en une crise sanitaire d'échelle planétaire. Les mesures de confinement et de quarantaine se succèderont, entrainant une crise économique mondiale sans précédent. Dans ce contexte inédit, le rapport annuel sur l'état de la France 2020 devait se démarquer des éditions précédentes : les indicateurs de richesse complémentaires au PIB, utilisés habituellement pour analyser la société française, ne permettaient pas de saisir toutes les dimensions de cette crise. C'est donc un rapport au format nouveau qui est présenté ici : le regard de la société civile organisée sur cette crise, à travers les contributions de onze formations de travail et de six CESER. Il est important de rappeler que la propagation de ce virus en France est intervenue dans un contexte particulier. Comme le CESE l'avait souligné à de nombreuses reprises, le pays pâtissait de fragilités structurelles liées à notre système de santé, mais aussi de fragilités sociales, économiques, financières ou institutionnelles et affrontait des mouvements de contestation de plus en plus nombreux en raison d'une montée persistante des inégalités. La crise est venue jeter une lumière crue sur toutes ces faiblesses. Elle les a amplifiées. Le rapport du CESE a pour objectif de souligner les interrogations auxquelles cette pandémie a confronté notre société et les défis à surmonter pour sortir de la crise. Les préconisations contenues dans ce rapport annuel du CESE se veulent concrètes, articulées autour d'un projet collectif ambitieux, afin que la relance soit plus efficace, qu'elle favorise un projet de développement durable et solidaire, que la France soit mieux préparée pour affronter les prochaines crises, qu'elles soi
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Terra Nova - Finance climat : le temps de l'action - Sept propositions pour la France ... - 0 views

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    Cette note de Terra Nova vise à montrer comment la France et l'Europe, fortes d'une légitimité sur les questions climatiques en général, et de finance climat en particulier, pourraient jouer un rôle clé dans la redéfinition d'un cadre financier global pour accompagner la transition vers un monde neutre en carbone. La COP21 à Paris a placé la question de la finance climat au cœur de tous les enjeux sur des avancées concrètes dans la lutte contre le réchauffement climatique. Pour autant, elle n'a pas défini d'objectifs chiffrés à la hauteur des besoins financiers (les 100 milliards de dollars de transferts annuel Nord Sud sont loin d'épuiser les besoins de financement), ni d'outils particuliers à mettre immédiatement en oeuvre. Que ce soit lors de la COP22, qui se proclame elle-même « la COP de l'action », ou dans les prochains mois de mise en œuvre de l'Accord de Paris, la réflexion sur la manière d'aligner les flux financiers avec les objectifs de d'atténuation et d'adaptation que ce sont fixés les pays à travers l'accord de Paris devra connaître des avancées décisives. Cette note vise à montrer comment la France et l'Europe, fortes d'une légitimité sur les questions climatiques en général, et de finance climat en particulier, pourraient jouer un rôle clé dans la redéfinition d'un cadre financier global pour accompagner la transition vers un monde neutre en carbone. Elle avance sept propositions concrètes pour consolider l'écosystème français existant sur les questions de finance climat, réduire les conséquences financières du risque systémique climatique, agir sur les rendements des investissements bas carbone, et offrir un horizon à l'Union Européenne qui l'éloigne du spectre actuel de la stagnation séculaire. Proposition 1 : Promouvoir par la coordination de la puissance publique et des acteurs financiers privés l'émergence de la place de Paris comme hub européen d
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The Shift Projet - Dossier de presse - Mobiliser l'enseignement supérieur pou... - 0 views

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    Le contexte Les enjeux soulevés par le changement climatique n'ont jamais été aussi prégnants. Ils sont étroitement liés à l'énergie - d'origine fossile à 80 % aujourd'hui - qui alimente depuis près de 150 ans le développement économique mondial. Qu'il s'agisse d'atténuer notre impact, de réduire notre dépendance ou de nous adapter aux bouleversements à venir, les répercussions sur l'économie et la société seront d'une ampleur sans précédent. Ces perspectives sont à la fois profondément inquiétantes et éminemment complexes. Y faire face exige une population certes sensibilisée, mais aussi informée et formée - notamment en tant que futurs élus, électeurs, parents et professionnels de tous les secteurs (de la santé à l'industrie, en passant par la culture et la fonction publique). Il ne s'agit pas de former uniquement aux métiers dits « verts ». En effet, bien qu'à des degrés divers, tous les métiers sont concernés. Et la compréhension des faits est vitale. Le défi : former les étudiants pour décarboner la société Or, les enjeux climat-énergie sont encore peu enseignés, et a fortiori dans la formation post-bac, qui accueille chaque année 6,5 % de la population « en âge de travailler » (15-64 ans). L'enseignement supérieur doit donc former tous les étudiants aux enjeux climat-énergie. Partant de ce constat, The Shift Project propose un état des lieux de la manière dont ces sujets sont abordés, et identifie des pistes d'actions concrètes autour desquelles mobiliser la communauté du supérieur. Ces actions visent à permettre le développement massif et rapide de l'enseignement des enjeux climat-énergie, donc à doter la France des moyens humains nécessaires à ses objectifs climatiques. La demande est forte, mais l'offre est limitée La demande est forte chez les étudiants et lycéens. Leur mobilisation, massive et inédite, appelle à une réponse académique profon
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The Shift Projet - Résumé - Mobiliser l'enseignement supérieur pour le climat - 0 views

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    Le contexte Les enjeux soulevés par le changement climatique n'ont jamais été aussi prégnants. Ils sont étroitement liés à l'énergie - d'origine fossile à 80 % aujourd'hui - qui alimente depuis près de 150 ans le développement économique mondial. Qu'il s'agisse d'atténuer notre impact, de réduire notre dépendance ou de nous adapter aux bouleversements à venir, les répercussions sur l'économie et la société seront d'une ampleur sans précédent. Ces perspectives sont à la fois profondément inquiétantes et éminemment complexes. Y faire face exige une population certes sensibilisée, mais aussi informée et formée - notamment en tant que futurs élus, électeurs, parents et professionnels de tous les secteurs (de la santé à l'industrie, en passant par la culture et la fonction publique). Il ne s'agit pas de former uniquement aux métiers dits « verts ». En effet, bien qu'à des degrés divers, tous les métiers sont concernés. Et la compréhension des faits est vitale. Le défi : former les étudiants pour décarboner la société Or, les enjeux climat-énergie sont encore peu enseignés, et a fortiori dans la formation post-bac, qui accueille chaque année 6,5 % de la population « en âge de travailler » (15-64 ans). L'enseignement supérieur doit donc former tous les étudiants aux enjeux climat-énergie. Partant de ce constat, The Shift Project propose un état des lieux de la manière dont ces sujets sont abordés, et identifie des pistes d'actions concrètes autour desquelles mobiliser la communauté du supérieur. Ces actions visent à permettre le développement massif et rapide de l'enseignement des enjeux climat-énergie, donc à doter la France des moyens humains nécessaires à ses objectifs climatiques. La demande est forte, mais l'offre est limitée La demande est forte chez les étudiants et lycéens. Leur mobilisation, massive et inédite, appelle à une réponse académique profon
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The Shift Projet - Rapport - Mobiliser l'enseignement supérieur pour le climat - 0 views

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    Le contexte Les enjeux soulevés par le changement climatique n'ont jamais été aussi prégnants. Ils sont étroitement liés à l'énergie - d'origine fossile à 80 % aujourd'hui - qui alimente depuis près de 150 ans le développement économique mondial. Qu'il s'agisse d'atténuer notre impact, de réduire notre dépendance ou de nous adapter aux bouleversements à venir, les répercussions sur l'économie et la société seront d'une ampleur sans précédent. Ces perspectives sont à la fois profondément inquiétantes et éminemment complexes. Y faire face exige une population certes sensibilisée, mais aussi informée et formée - notamment en tant que futurs élus, électeurs, parents et professionnels de tous les secteurs (de la santé à l'industrie, en passant par la culture et la fonction publique). Il ne s'agit pas de former uniquement aux métiers dits « verts ». En effet, bien qu'à des degrés divers, tous les métiers sont concernés. Et la compréhension des faits est vitale. Le défi : former les étudiants pour décarboner la société Or, les enjeux climat-énergie sont encore peu enseignés, et a fortiori dans la formation post-bac, qui accueille chaque année 6,5 % de la population « en âge de travailler » (15-64 ans). L'enseignement supérieur doit donc former tous les étudiants aux enjeux climat-énergie. Partant de ce constat, The Shift Project propose un état des lieux de la manière dont ces sujets sont abordés, et identifie des pistes d'actions concrètes autour desquelles mobiliser la communauté du supérieur. Ces actions visent à permettre le développement massif et rapide de l'enseignement des enjeux climat-énergie, donc à doter la France des moyens humains nécessaires à ses objectifs climatiques. La demande est forte, mais l'offre est limitée La demande est forte chez les étudiants et lycéens. Leur mobilisation, massive et inédite, appelle à une réponse académique profon
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Le Mans - Message de Noël de Mgr Le Saux - 0 views

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    "Cette crise nous révèle que l'individualisme comme mode d'organisation de la société est une erreur. Nous devons sortir du mythe de l'autosuffisance et de la toute puissance. Nous avons besoin les uns des autres. Je vous invite à laisser la lumière de Noël éclairer nos vies et  cette situation de crise qui nous affecte tous. Le récit de la nuit de Noël que nous lisons dans les églises, invite à ne pas avoir peur. Il annonce une grande joie pour tout le peuple et la paix pour tous les hommes que Dieu aime. Accueillons la joie véritable. La joie ne se réduit pas aux divertissements. La joie naît du renoncement à la superficialité qui ne peut produire que la tristesse. La joie naît de la relation à l'autre. C'est la joie de s'oublier soi-même parce que l'on aime et que l'on est aimé. Noël est une invitation à l'humilité. L'épidémie nous a ramenés à notre vulnérabilité. Nous devons renoncer à l'illusion de penser que nous pouvons tout maîtriser. La vulnérabilité humaine participe de la beauté et grandeur de l'homme. Dieu a choisi le chemin de la vulnérabilité et de la fragilité. Ce ne sont pas la science et la technique qui sauvent le monde, mais l'amour. Noël, c'est l'annonce de la paix. Nous ne pouvons pas répondre à la violence par la violence. Renonçons à la violence physique et à la violence verbale. C'est ensemble que nous devons construire l'avenir, pas les uns contre les autres, pas les uns avec les autres. Mais, à quoi sommes-nous prêts à renoncer pour le bien des autres ? Prenons soin les uns des autres."
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Cese - Résolution - La valeur de la matière première secondaire : l'exemple d... - 0 views

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    C'est dans le contexte imposé par les pollutions des sols et des océans et l'urgence climatique liées à l'omniprésence de l'usage du plastique issu du pétrole que le projet de loi « anti-gaspillage pour une économie circulaire » a été présenté en juillet en Conseil des ministres, en vue d'une adoption annoncée pour mars 2020. Parmi les principales mesures, le texte réintroduit la consigne avec pour objectif d'améliorer la collecte séparée de produits à des fins de réemploi ou de recyclage. Longtemps pratiquée en France pour les emballages de boissons en verre, la consigne a peu à peu disparu dans les années 1980 avec le développement des emballages à usage unique et la mise en place du tri sélectif. Pourtant, parce qu'elle donne une « valeur » aux emballages, la consigne est un outil de la REP (responsabilité élargie du producteur) qui peut favoriser un changement de comportement chez les consommateurs. Au cœur d'un vif débat entre d'un côté le Sénat, les collectivités et les recycleurs qui s'opposent à la consigne pour recyclage et le gouvernement et les industriels qui la souhaitent, le CESE propose une troisième voie pour encadrer le principe de retour de la matière plastique pour recyclage et prioriser le financement des dispositifs de réemploi (verre). En effet, la seule mise en place de la consigne pour recyclage risque de maintenir le modèle actuel d'utilisation des contenants plastique à usage unique ; c'est pourquoi il s'agit de coupler le cadrage de la consigne pour recyclage et la mise en place systématique de la consigne pour réemploi. Concernant les flux financiers impactant les collectivités et les consommateurs, le CESE recommande la réalisation d'une étude d'impact afin, entre autres, d'estimer les conséquences de la mise en place du retour matière ou de la consigne pour recyclage plastique pour les collectivités, d'estimer et compenser les sommes de la déconsi
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Message du pape François pour la deuxième journée mondiale de prière pour la ... - 0 views

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    "La Salle de presse du Saint-Siège a rendu public, le 1er septembre 2016, le message du pape François à l'occasion de la deuxième journée mondiale de prière pour la sauvegarde de la création. C'est en 2015 que le pape a institué cette journée qui coïncide avec celle préalablement établie par le patriarche Bartholomée, le 1er septembre de chaque année. Dans son message, le pape s'est d'abord réjoui du fait que la préoccupation pour l'avenir de la planète est devenue une question œcuménique et même interreligieuse. Ensuite, il a rappelé comment les appels des patriarches Bartholomée et Dimitrios pour une « attention croissante pour l'intégrité de la création » ont suscité à l'échelle mondiale des initiatives entre chrétiens et non-chrétiens afin de promouvoir une « justice environnementale ». Et le pape d'insister, à son tour : « La terre crie parce que nous avons péché. » Il a donc émis le souhait que le jubilé de la miséricorde soit pour les chrétiens l'occasion d'une conversion écologique « soutenue de façon particulière par le sacrement de la pénitence ». Pour cela, a-t-il ajouté, il faut un examen de conscience. « C'est le premier pas sur le chemin de la conversion » ouvrant la voie au repentir et à l'adoption d'un « style de vie prophétique et contemplatif ». Ce changement de style de vie, précise le pape, concerne aussi bien les individus que les sociétés et les organismes internationaux. Avant de conclure son message par une prière, vu l'importance de la sauvegarde de la création, le pape a suggéré que soit inscrite dans la liste des œuvres de miséricorde corporelles et spirituelles la sauvegarde de la création."
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The Shift Project - Déployer la sobriété numérique - 0 views

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    The Shift Project travaille depuis 2017 sur l'impact environnemental du numérique. Le troisième volet de ce travail vise à proposer des cadres méthodologiques opérationnels pour mettre en place la sobriété numérique : dans les stratégies et politiques publiques, dans l'entreprise, dans les systèmes d'usages du domaine privé. Nos deux premiers rapports, « Lean ICT - Pour une sobriété numérique » (2018) et « Climat : l'insoutenable impact de la vidéo en ligne » (2019), nous ont permis de définir notre vision du concept de sobriété numérique. Les constats établis dans ces précédents travaux ont alimenté, notamment grâce à la production de chiffres, une prise de conscience de l'importance de l'empreinte environnementale du numérique, de son augmentation préoccupante et des raisons systémiques qui conduisent à cette situation. Le troisième rapport est disponible en version intermédiaire et diffusé pour relecture : Passer de la sensibilisation et des constats à l'action S'il est nécessaire de poursuivre les efforts de sensibilisation en la matière, il est tout aussi important de montrer qu'il est possible de passer des constats à l'action, elle aussi systémique, visant donc à ce que les différents acteurs interconnectés au sein du système puissent conjointement évoluer dans un sens permettant de contenir l'envolée de la consommation d'énergie et de matériaux du numérique. Dans ce cadre, il est nécessaire de cibler des leviers permettant d'inciter les différents acteurs à opérer les changements nécessaires. Sans prétendre à l'exhaustivité, c'est ce que nous essayons de faire à travers les différents chantiers en cours. Nos 4 axes de travail * Axe 1« Analyse de projets smart » : Démythifier les approches « smart » en montrant aux acteurs publics (collectivités locales) et privés (entreprises, ménages) que des conditions doivent être remplies pour que leurs impacts environ
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Terra Nova - Pour une stratégie climatique audacieuse : Des propositions pour... - 0 views

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    La COP 21 et l'Accord de Paris ont marqué en 2015 l'émergence d'un nouvel espoir : celui d'une action mondiale en faveur de la lutte contre le changement climatique. En tant que pays organisateur, la France a joué un rôle facilitateur unanimement salué. Le chemin vers la mise en œuvre de l'accord de Paris reste cependant jonché d'obstacles et de difficultés. Le rôle de l'Union européenne et, en son sein, de la France, sera crucial dans les prochaines années et décennies pour transformer en actes les promesses faites à Paris, à la fois pour montrer l'exemple d'une transition vers une économie bas-carbone réussie, mais aussi en jouant de sa place sur la scène mondiale pour faire émerger une coalition d'Etats désireux de rehausser leurs ambitions, entraînant les autres pays à leur suite. Pour nous européens, l'enjeu de la réduction des émissions de CO2 associées à une formidable opportunité économique : opportunité en termes d'activité et d'emploi dans les secteurs de la transition énergétique, opportunité de rééquilibrage de la balance commerciale de l'Union et d'accroissement de notre sécurité énergétique, et enfin opportunité de régulation de la mondialisation et de lutte contre le dumping environnemental. Le succès de la COP 21 ne doit pas avoir pour résultat paradoxal d'éclipser les enjeux climatiques de l'élection présidentielle à venir. Il faudra au contraire lutter contre leur instrumentalisation à des fins populistes, et exiger des candidats qu'ils développent leur vision pour faire face à l'un des plus grands enjeux du 21ème siècle. La lutte contre le changement climatique est une course contre le temps, et chaque quinquennat compte. Terra Nova publie ses propositions pour agir sans attendre, et invite chacun des candidats à l'élection présidentielle à faire de même. Les neuf propositions de Terra Nova : 1. Promouvoir la diffusion des systèmes de tarificati
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Synthèse - Rapport d'info... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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