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Villes de France - La Mobilité au service des territoires - 0 views

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    Compétentes en matière de transports publics urbains, les autorités organisatrices de mobilité durable, c'est-à-dire l'ensemble des intercommunalités des Villes de France sont aujourd'hui confrontées à une évolution en profondeur des transports du quotidien: raréfaction de leurs ressources, extension récente des périmètres institutionnels qu'il est nécessaire d'absorber avec une réorganisation parallèle des schémas de réseaux, et enfin un changement d'usages en matière de mobilité. Dans le cadre de leur partenariat Villes de France et le groupe Keolis viennent de publier « La mobilité au service des territoires » qui est un document à l'usage des responsables élus et exécutifs des villes et intercommunalités de taille moyenne, qui veulent se familiariser avec les nouveaux enjeux en matière de mobilité. À travers les expériences de nombreux réseaux de Villes de France (Châteauroux, Colmar, Lisieux, Montargis, Nevers, Vichy...), l'analyse des pratiques et des publics qui utilisent les transports en commun dans ces agglomérations, et les résultats d'une enquête réalisée par Keolis -TNS Kantar sur les « villes petites et moyennes », cette brochure permet d'effectuer un tour d'horizon concret des modifications qui affectent les réseaux de transports publics des Villes de France.
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The Conversation - La nature ne doit plus être l'oubliée des projets d'aménag... - 0 views

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    "Comme de nombreuses villes exposées à des risques croissants - raréfaction de l'eau, canicules, risques d'inondations - la ville de Paris et plus largement la région Île-de-France se tournent vers des solutions fondées sur la nature afin de s'adapter aux impacts du changement climatique. La maire Anne Hidalgo a ainsi récemment proposé par exemple la création de forêts urbaines et de cours d'école végétalisées. Ces initiatives ont été vivement critiquées peu après leurs annonces, taxées d'opportunistes à l'approche des municipales de 2020. Or, les épisodes de canicule comme ceux vécus par les Franciliens fin juin et fin juillet - avec un record de chaleur à 42,6°C à Paris - replacent logiquement l'objectif de réduction des îlots de chaleur au cœur des préoccupations des citoyens, des politiques, mais aussi des journalistes qui en soulignent les effets néfastes sur le bien-être des populations. À ces deux reprises, l'attention médiatique s'est ainsi portée sur les moyens de faire face à de tels épisodes, en répertoriant par exemple les îlots de fraîcheur de Paris dans lesquels les espaces verts urbains jouent un rôle prépondérant. Opportunisme électoral ou pas donc, il existe un besoin bien réel qui tend à s'accentuer, de conserver et de développer les espaces de nature en ville. D'une part, car que le changement climatique aggrave l'occurrence et l'intensité des événements extrêmes - à la fin du siècle l'épisode de canicule de 2003 sera devenu une norme - et d'autre part parce que le nombre d'urbains et de surfaces urbanisées ne cessent d'augmenter. Alors pourquoi attendre des situations extrêmes pour s'intéresser à la thématique de la nature en ville ?"
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Réseau pour la transition énergétique - Vers des villes 100% énergies renouve... - 0 views

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    Le Cler (Réseau pour la transition énergétique), Energy Cities et le Réseau Action Climat ont présenté le 26 septembre, à l'occasion du sommet Climate Chance à Nantes, un rapport intitulé "Vers des villes 100% énergies renouvelables". Le document présente des études de cas de cinq villes européennes pionnières en la matière - Barcelone, qui vise l'autosuffisance énergétique à l'horizon 2050, Francfort, l'une des premières villes allemandes engagée vers les objectifs 100% énergies renouvelables et 50% d'économies d'énergie au milieu de ce siècle, la ville suédoise de Malmö qui compte atteindre ces deux objectifs dès 2030, Frederickshavn, au nord du Danemark, qui vise également les 100% d'énergies renouvelables en 2030 et Genève qui prévoit de chauffer ses bâtiments communaux avec des énergies renouvelables à l'horizon 2050. En France aussi, des villes ont pris des engagements pour un futur énergétique 100% renouvelables. Les associations qui ont réalisé le rapport citent plusieurs exemples. La métropole de Bordeaux a ainsi acté en février dernier l'objectif d'être l'une des premières métropoles françaises à énergie positive en 2050. Saint-Etienne a engagé des actions concrètes avec un territoire rural voisin, le parc naturel régional du Pilat, pour le développement conjoint des énergies renouvelables - avec un objectif de 70% en 2050 - et de l'efficacité énergétique. Nantes lance un grand débat public sur la transition énergétique avec la volonté de faire participer tous les acteurs locaux. Grenoble contribue aux investissements dans les énergies renouvelables locales, notamment au travers d'une SAS pour des projets de photovoltaïque sur toiture. Paris entend pour sa part se positionner en "leader mondial de la lutte contre les changements climatiques", rappelle le rapport.
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Elabe - Les Français et leur logement - 0 views

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    Une majorité de Français estime vivre dans un logement qui correspond à ses besoins. Ce constat ressort d'une étude réalisée, début 2018, par le cabinet Elabe pour le compte du Crédit Foncier, auprès d'un échantillon de 2 408 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Quatre personnes interrogées sur cinq répondent que le logement qu'elles occupent correspond totalement (9 %) ou en grande partie (70 %) à leurs besoins ; 85 % d'entre elles considèrent leur habitation comme un cocon et un lieu de vie pour recevoir. Seuls 14 % des Français décrivent un logement purement fonctionnel "un lieu de passage, un toit sous lequel dormir". La plupart des Français partagent également une définition commune des critères "qui comptent" pour choisir ce logement : ils identifient pas moins de huit exigences (importance attribuée supérieure à 7/10 sur une échelle de 0 à 10), aux premiers rangs desquels la charge mensuelle de logement, le type d'habitation (maison ou appartement), l'état général, la surface totale, le nombre de pièces et l'exposition/la luminosité. Concernant la localisation et l'environnement du logement, ils ajoutent la proximité aux lieux fréquentés (travail pour les actifs, établissements scolaires pour les parents) et le calme. Même si l'on doit nuancer ces chiffres selon les régions et la taille de la commune de résidence, ce sont toujours au minimum les trois quarts des personnes interrogées qui déclarent avoir réussi à trouver un logement répondant à leurs besoins : le niveau d'adéquation du logement est d'autant plus élevé que les prix de l'immobilier sont bas, c'est-à-dire dans les communes de moins de 20 000 habitants et en province. On peut noter aussi que les propriétaires sont plus satisfaits que les locataires, et les occupants de maisons davantage que ceux d'appartements. Les Français projettent, lors de leur installation, d'y
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Elabe - Infographie - Les Français et le logement - 0 views

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    Une majorité de Français estime vivre dans un logement qui correspond à ses besoins. Ce constat ressort d'une étude réalisée, début 2018, par le cabinet Elabe pour le compte du Crédit Foncier, auprès d'un échantillon représentatif de la population française, de 2 400 personnes âgées de 18 ans et plus. Quatre personnes interrogées sur cinq répondent que le logement qu'elles occupent correspond totalement (9 %) ou en grande partie (70 %) à leurs besoins ; 85 % d'entre elles considèrent leur habitation comme un cocon et un lieu de vie pour recevoir. Seuls 14 % des Français décrivent un logement purement fonctionnel « un lieu de passage, un toit sous lequel dormir ». La plupart des Français partagent également une définition commune des critères « qui comptent » pour choisir ce logement : ils identifient pas moins de huit exigences (importance attribuée supérieure à 7/10 sur une échelle de 0 à 10), aux premiers rangs desquels la charge mensuelle de logement, le type d'habitation (maison ou appartement), l'état général, la surface totale, le nombre de pièces et l'exposition/la luminosité. Concernant la localisation et l'environnement du logement, ils ajoutent la proximité aux lieux fréquentés (travail pour les actifs, établissements scolaires pour les parents) et le calme. Même si l'on doit nuancer ces chiffres selon les régions et la taille de la commune de résidence, ce sont toujours au minimum les trois quarts des personnes interrogées qui déclarent avoir réussi à trouver un logement répondant à leurs besoins : le niveau d'adéquation du logement est d'autant plus élevé que les prix de l'immobilier sont plus bas, c'est-à-dire dans les communes de moins de 20 000 habitants et en province. On peut noter aussi que les propriétaires sont plus satisfaits que les locataires, et les occupants de maisons davantage que ceux d'appartements. Les Français projettent, lors de leur installation,
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Elabe - Résultats - Les Français et le logement - 0 views

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    Une majorité de Français estime vivre dans un logement qui correspond à ses besoins. Ce constat ressort d'une étude réalisée, début 2018, par le cabinet Elabe pour le compte du Crédit Foncier, auprès d'un échantillon représentatif de la population française, de 2 400 personnes âgées de 18 ans et plus. Quatre personnes interrogées sur cinq répondent que le logement qu'elles occupent correspond totalement (9 %) ou en grande partie (70 %) à leurs besoins ; 85 % d'entre elles considèrent leur habitation comme un cocon et un lieu de vie pour recevoir. Seuls 14 % des Français décrivent un logement purement fonctionnel « un lieu de passage, un toit sous lequel dormir ». La plupart des Français partagent également une définition commune des critères « qui comptent » pour choisir ce logement : ils identifient pas moins de huit exigences (importance attribuée supérieure à 7/10 sur une échelle de 0 à 10), aux premiers rangs desquels la charge mensuelle de logement, le type d'habitation (maison ou appartement), l'état général, la surface totale, le nombre de pièces et l'exposition/la luminosité. Concernant la localisation et l'environnement du logement, ils ajoutent la proximité aux lieux fréquentés (travail pour les actifs, établissements scolaires pour les parents) et le calme. Même si l'on doit nuancer ces chiffres selon les régions et la taille de la commune de résidence, ce sont toujours au minimum les trois quarts des personnes interrogées qui déclarent avoir réussi à trouver un logement répondant à leurs besoins : le niveau d'adéquation du logement est d'autant plus élevé que les prix de l'immobilier sont plus bas, c'est-à-dire dans les communes de moins de 20 000 habitants et en province. On peut noter aussi que les propriétaires sont plus satisfaits que les locataires, et les occupants de maisons davantage que ceux d'appartements. Les Français projettent, lors de leur installation,
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CREDOC - Synthèse - Les transports, premier facteur de bruit pour les Franci... - 0 views

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    D'une façon générale, les Français comme l'ensemble des Européens se préoccupent en priorité de la pollution de l'air, de la pollution de l'eau et de l'impact sur la santé des produits chimiques utilisés dans les produits de tous les jours. Mais à l'échelle de leur logement et de leur quartier, c'est la pollution sonore qui les soucie le plus. L'Ile-de-France, où vivent 12 millions d'habitants, se distingue car elle est exposée à un fort niveau de nuisances sonores. En cause, un habitat concentré, une exceptionnelle densité des infrastructures de transports et des activités économiques. L'association Bruitparif, Observatoire du bruit en Ile-de-France, a confié au CRÉDOC la réalisation d'une enquête auprès des Franciliens pour caractériser la perception qu'ils ont des nuisances sonores. Les résultats montrent que le bruit dans les transports est celui qui gêne le plus les habitants devant ceux de l'espace public, du domicile, du travail, et des loisirs. Un quart des Franciliens auraient déjà songé à déménager à cause du bruit. 4 sur 10 déclarent avoir déjà ressenti les effets du bruit sur leur santé, notamment des problèmes d'audition mais aussi de la fatigue et de l'irritabilité. Une majorité se déclare favorable à la limitation de la circulation en ville et près des habitations ainsi qu'à des sanctions contre les deux-roues qu'ils jugent particulièrement bruyants. Beaucoup souhaiteraient avoir davantage d'information sur le bruit, notamment au moment de choisir un logement.
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CREDOC - Infographie - Les transports, premier facteur de bruit pour les Franciliens - 0 views

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    D'une façon générale, les Français comme l'ensemble des Européens se préoccupent en priorité de la pollution de l'air, de la pollution de l'eau et de l'impact sur la santé des produits chimiques utilisés dans les produits de tous les jours. Mais à l'échelle de leur logement et de leur quartier, c'est la pollution sonore qui les soucie le plus. L'Ile-de-France, où vivent 12 millions d'habitants, se distingue car elle est exposée à un fort niveau de nuisances sonores. En cause, un habitat concentré, une exceptionnelle densité des infrastructures de transports et des activités économiques. L'association Bruitparif, Observatoire du bruit en Ile-de-France, a confié au CRÉDOC la réalisation d'une enquête auprès des Franciliens pour caractériser la perception qu'ils ont des nuisances sonores. Les résultats montrent que le bruit dans les transports est celui qui gêne le plus les habitants devant ceux de l'espace public, du domicile, du travail, et des loisirs. Un quart des Franciliens auraient déjà songé à déménager à cause du bruit. 4 sur 10 déclarent avoir déjà ressenti les effets du bruit sur leur santé, notamment des problèmes d'audition mais aussi de la fatigue et de l'irritabilité. Une majorité se déclare favorable à la limitation de la circulation en ville et près des habitations ainsi qu'à des sanctions contre les deux-roues qu'ils jugent particulièrement bruyants. Beaucoup souhaiteraient avoir davantage d'information sur le bruit, notamment au moment de choisir un logement.
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Terra Nova - Smart city : Quelles relations public-privé pour rendre la ville... - 0 views

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    La smart city est une réponse, fondée sur les technologies numériques et la donnée, aux défis auxquels sont confrontés les territoires urbains : sécurité, pollution, gaspillage énergétique, changement climatique, urbanisation galopante, inégalités et exclusion sociale… Elle poursuit un objectif essentiel : améliorer la qualité de vie des citoyens. Si elle est portée par une dynamique indéniable, la ville intelligente fait cependant face à un double risque : d'une part, rester à l'état d'outil marketing, passant à côté des potentialités du numérique pour les territoires, et, d'autre part, échapper aux collectivités publiques, au profit des plateformes numériques et plus généralement des opérateurs privés. Dans ce contexte, le rôle des collectivités publiques doit être réaffirmé. Mais la transformation numérique des territoires ne peut se faire contre les acteurs privés de la ville ni sans eux. Les relations public-privé doivent ainsi être mieux organisées pour favoriser l'émergence de villes intelligentes en France. En particulier dans trois domaines : la réalisation des investissements nécessaires, le renforcement de la « transversalité » de la ville et la complémentarité entre services publics et privés. Ce sont ces trois enjeux que présente ce rapport de Terra Nova.
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France Stratégie - Smart Cities : « il faut partir des besoins et des usages ... - 0 views

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    "Il ne suffit pas de connecter une ville pour la rendre intelligente. Entre enjeux environnementaux et citoyens, exigences de rentabilité et cyber risques, la Smart City se cherche. En 2050, deux tiers de la population mondiale vivra en ville. C'est dire tout l'intérêt qu'il y a à rendre la ville « intelligente ». Un enjeu qui explique que France Stratégie ait consacré à la Smart City un cycle entier d'ateliers-débats, bientôt enrichi d'un rapport. Passée de l'utopie urbaine à une réalité rendue possible par la révolution numérique et les progrès de l'intelligence artificielle, la ville intelligente s'installe dans notre quotidien citadin, à bas bruit. De quoi relève-t-elle exactement et quel est son horizon ? Réponses avec Christine Raynard, experte mobilité et transport au département Développement durable et numérique de France Stratégie."
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Telos - Les Verts ou la politique de la peur - 0 views

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    "Les succès électoraux des candidats d'Europe Ecologie les Verts (EELV) dans les grandes villes posent des questions inédites dans le débat public en France. Elles doivent être observées avec l'esprit d'examen, en dépassant les déclarations d'élus Verts, comme celle récente d'Eric Piolle, le maire réélu de Grenoble sur la 5G (La 5G sert à visionner du porno dans les ascenseurs). Nul ne peut faire l'économie des éléments de contexte qui ont favorisé les victoires écologistes : tout d'abord les manifestations de plus en plus nombreuses du réchauffement climatique, la pandémie et ses causes (la violation d'espaces vierges dits premiers de notre terre où dorment des virus séquestrés par la faune locale) enfin, les frustrations associées à la vie dans de très grandes agglomérations trop minérales, trop bruyantes, trop polluées. A Paris, Bordeaux, Lyon, Lille, les habitants des centres ville appartenant aux classes les plus favorisées ont voté pour les candidats d'EELV. Leur vote traduit un certain désenchantement urbain, dans certain cas, minoritaires à ce stade, un doute sur la société de croissance, notre modèle partagé depuis le passage d'une société de subsistance à une société de consommation au début des années 1960. La bourgeoisie des centres ville ne vote plus pour les candidats de la droite modérée ou de la gauche sociale démocrate. Elle donne sa voix non plus aux représentants du monde géré mais à ceux d'un monde rêvé, voire fantasmé."
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Le Havre - Saison de la création au centre marial - 1 views

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    "Du 1er septembre au 4 octobre 2020 les communautés chrétiennes sont invitées à célébrer la Saison de la création. Une coordination internationale œcuménique propose comme thème cette année : le jubilé pour la terre. Le jubilé est un temps de libération, de remises des dettes et de repos pour la terre. Il provient de l'Ancien Testament, et plus particulièrement du livre du Lévitique (chapitre 25). Le mot vient de l'hébreu qui, littéralement, renvoie à la corne qui annonce le début de cette période. Durant le confinement lié à la pandémie on a pu observer un "soulagement" de la terre, le retour d'espèces sauvages (dauphins à Venise, biches en ville, renardeaux au père Lachaise…). Ne faudrait-il pas instaurer de tels temps de repos sans y être contraints par des catastrophes ? Une sorte de moratoire pour la terre, ou mieux, de shabbat ne serait-il pas souhaitable ? D'autant que ce temps peut permettre aussi un changement de modèle, une conversion écologique, éloigné de l'exploitation de la terre et des pauvres. A côté des souffrances qui ont frappé beaucoup, bien des personnes ont aussi constaté un "soulagement" dans leurs vies personnelles avec l'abandon d'activités ou de déplacements qui se sont révélés moins indispensables qu'on ne croyait et avec l'émergence de pratiques plus soutenables, d'un temps plus calme, posé, intense avec ses proches ou avec la nature. Cette année, la Saison de la Création s'inscrit pour les catholiques dans le cadre plus large de l'Année Laudato Si' ouverte par le pape François le 24 mai 2020. (Conférence des Évêques de France)   Programme"
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Médiaterre - 1083 : des jeans made in France - 0 views

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    "L'impact de l'industrie textile sur l'environnement est énorme. En effet, ce secteur se trouve dans les plus gros pollueurs du monde avec des émissions mondiales de gaz à effet de serre s'élèvent à 1,7 milliard de tonnes de CO2 par an, selon un rapport du WWF. Et les jeans sont un des produits les plus polluants de par leur besoin en eau (7 500 litres par jeans selon l'ONU) et les différents produits chimiques nécessaires au cours du processus de fabrication.   A cela s'ajoute également le transport puisque l'on estime que chaque jeans parcours jusqu'à 65 000 km alors que la plus grande distance entre 2 villes françaises est de 1083 km. C'est donc en partant de ce fait qu'est née l'entreprise L'équipe 1083 en 2013 pour fabriquer des jeans made in France. La mission de l'entreprise est de « produire et consommer dans l'économie circulaire » et se concentre sur 3 enjeux principaux : - Relocaliser la fabrication en France, - Relocaliser la distribution dans les centres-villes, - Développer des filières et des produits réellement respectueux de l'environnement."
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Terra Nova - Des marchandises dans la ville : un enjeu social, environnement... - 0 views

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    Le transport des marchandises en ville (la logistique urbaine) est un enjeu central pour nos sociétés urbaines. L'explosion des livraisons directes aux particuliers avec le développement du e-commerce et la multiplication des centres logistiques dans les périphéries de nos agglomérations transforment le paysage urbain et nos modes de vie. Les impacts en emplois sont considérables. Pourtant, malgré cette visibilité et cette actualité, la logistique reste le parent pauvre des débats et des politiques publiques dans les métropoles. Terra Nova propose, grâce à ce tour d'horizon inédit du secteur, des solutions pour répondre aux nombreux défis de la logistique urbaine. Défis sociaux tout d'abord, pour améliorer les conditions de travail et la protection sociale des coursiers en ville. Défis environnementaux ensuite, pour endiguer la congestion urbaine, le transport de marchandises étant responsable à lui seul de la moitié des particules liées à la circulation urbaine sur le seul territoire d'Ile-de-France. Enfin, l'aménagement du territoire doit être totalement repensé dans un monde où les marchandises vont désormais vers les consommateurs, où la question des distances a changé de visage : la livraison dans les centres doit être le point d'appui de nouvelles innovations.
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We Demain - Coronavirus : l'épidémie va-t-elle provoquer un exode des citadin... - 0 views

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    "L'épidémie de Covid-19 a fait fuir de nombreux citadins vers les zones rurales, notamment des Parisiens. Prémisses d'un exode urbain plus massif ? Fin de règne des métropoles ? Entre ville et campagne, une troisième voie existe peut-être…. Marie et Pablo, réfugiés dans une maison du Perche, font partie des Parisiens qui s'accommodent assez bien du confinement. "Ici, nos deux enfants peuvent jouer dehors, ils sont heureux… et moins sur notre dos !" Leurs rêves de campagne ont même été confortés par la crise. "Cela fait réfléchir pour la suite…"   Comme eux, 17 %, des habitants de la capitale ont fui la ville dès le début du confinement, et plus d'un million de personnes avaient quitté l'Ile-de-France à la fin du mois de mars. Dans le même temps, les professionnels de l'immobilier observent une hausse des demandes de maison de campagne : 60 % des recherches sur seloger.com concernent des demeures avec jardin. Tandis que celles d'appartements parisiens ont baissé de 20 % depuis le confinement...  Rêves passagers liés à la crise sanitaire ou début d'un véritable "exode urbain" ? Le XXIe siècle verra-t-il un retour à la campagne, une sorte de "contre-urbanisation" ? "
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INSEE - En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville - 0 views

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    "L'aire d'attraction d'une ville définit l'étendue de son influence sur les communes environnantes. En France, les 699 aires d'attraction des villes regroupent plus de neuf personnes sur dix : 51 % de la population française habite dans les pôles et 43 % dans les couronnes. Une personne sur cinq vit dans l'aire d'attraction de Paris. Entre 2007 et 2017, la population augmente nettement dans les aires d'attraction de 700 000 habitants ou plus. Depuis 2012, la population est stable dans les aires de moins de 50 000 habitants et dans les communes hors attraction des villes. Au sein des aires, la croissance de la population est plus faible dans les communes-centres que dans les couronnes."
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CESE - Nouvelle saisine - La nature en ville : comment accélérer la dynamique ? - 0 views

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    "Comme les chiffres le prouvent actuellement, nous sommes désormais plus nombreux à vivre en ville qu'à la campagne au niveau mondial. Or, pour une ville accueillante et durable, la biodiversité et les services que l'humanité en tire sont nécessaires. Des choix ambitieux en matière de préservation et d'intégration de la nature en ville peuvent ainsi améliorer la qualité de vie de millions de personnes, tout en participant à l'objectif international d'arrêt de la perte de biodiversité, dans lequel la France est pleinement investie. "
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RAC - Les villes "Respire" de demain : Agir sur la mobilité et les transports... - 0 views

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    Le Réseau Action Climat a publié le 22 septembre un guide à destination des élus locaux qui leur propose des leviers d'action pour modérer le trafic routier au profit des mobilités alternatives (marche, vélo, voiture partagée, transports en commun). "Tous les territoires sont concernés par la pollution de l'air : en moyenne, l'espérance de vie à 30 ans est réduite de 15 mois dans les grandes villes, de 10 mois dans les petites et moyennes villes et 9 mois en zone rurale, rappelle l'association, citant les conclusions d'une étude publiée en juin dernier par Santé Publique France (lire ci-contre notre article du 22 juin 2016). "En agissant sur les causes de la pollution de l'air, les collectivités peuvent contribuer à sauver 34.000 vies par an", ajoute-t-elle. Alors que la moitié des déplacements automobiles fait moins de 3 km en France, elle estime que la réduction du trafic routier constitue un "vrai potentiel" pour reconquérir la qualité de l'air.
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We Demain - Nantes, Metz, Poitiers, Brest… Quelles sont les villes les plus v... - 0 views

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    "Depuis 2014, l'Observatoire des villes vertes publie tous les trois ans un Palmarès des villes les plus végétalisées de France. Voici le classement de 2020. Votre ville en fait-elle partie ?"
Sophie Chergui

Le Figaro Premium - Cittaslow, le réseau de villes qui revendique la lenteur - 0 views

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    "FIGARO DEMAIN - Créé en Italie en 1999, ce réseau regroupe aujourd'hui 168 villes à travers le monde, dont Valmondois en Ile-de-France. Modes de circulation plus doux, développement des commerces de proximité... le but est d'améliorer la qualité de vie des habitants des villes adhérentes."
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