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Eric Delcroix

Management 2.0 : maturité de l'usage des médias sociaux dans l'entreprise - 4 views

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    Entreprise, web, travail collaboratif… vers le management 2.0
Miguel Membrado

Six ways to make Web 2.0 work - The McKinsey Quarterly - Six ways Web 2.0 work - Business Technology - Application Management - 0 views

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    Excellent article from McKinsey about how web 2.0 tools can improve productivity and efficiency in the company. They are also very well explaining difference between participation and collaboration, which we are ourselves explaining it for many years. It's good to see this difference recognized. The different categories are very well explained also. But one of the key point of this article in the introduction of workflow tecnologies in this area. McKinsey is saying that workflow + participatory technologies is a key enhancer for the company. We agree of course with this, first because companies need both world, and second because providing automation and participation capabilities to the information system is the best way to improve it drastically.
Elise Carbone

Stop Blocking web 2.0 - 0 views

  • Stop Blocking! Companies everywhere are blocking employee access to the Net, fueled by questionable research and irresponsible pronouncements of self-serving individuals and organizations. This site is designed to serve as a hub information resource for those who believe the benefits of providing access far outweigh the risks.
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    Improved engagement, business results from internal Web 2.0
Christophe Deschamps

How to Use Web 2.0 Inside Your Company | BNET - 0 views

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    Etude de cas: déploiement d'outils 2.0 en entreprise
Elise Carbone

La gestion des talents et le travail collaboratif - 0 views

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    Travail collaboratif et gestion des talents tiré de M2IE : le blog du management de l'IE et de l'entreprise 2.0. Présentation et article sur le thème comment tirer profit du 2.0 pour gérer les talents au sein de l'organisation.
Gregory Culpin

Using Enterprise 2.0 to prepare for recovery (part II) - Whitepaper to download - 0 views

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    In a business world where change is constant, knowledge becomes an essential asset for any organization. Survival and growth require the development of solutions that will optimize collaboration and knowledge management. Focussing on this topic we recently produced our first whitepaper. It analyses the benefits associated with the introduction of Enterprise 2.0 solutions, and positions the collaborative management of knowledge as a stable and lasting solution, especially in these times of economic tumult.
Gregory Culpin

L'Entreprise 2.0 pour préparer la reprise (part II) - Whitepaper à télécharger - 0 views

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    Dans un monde des affaires en perpétuelle mutation, la connaissance devient un capital essentiel pour toute organisation. Leur survie et croissance passe par la mise en place de solutions optimisant la collaboration et la gestion des connaissances. Forts de ce constat, nous avons récemment travaillé à l'écriture de notre premier livre blanc (disponible en anglais uniquement). Il se veut être une analyse des avantages liés à l'introduction d'outils de l'Entreprise 2.0, et positionne la gestion collaborative des connaissances comme une solution stable et durable, plus particulièrement en ces périodes de tumulte économique.
Miguel Membrado

Web 2.0 : les entreprises n'adoptent pas les outils de collaboration - 0 views

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    Malgré leur succès incontesté dans le domaine grand public, les outils de collaboration en ligne du web 2.0 peinent à s'imposer en entreprise. C'est ce que révèle une récente étude du cabinet d'analyse Forrester. Quelques chiffres : 68 % des employés utilisent toujours email & téléphone pour collaborer (!). Ils sont de plus en plus souvent secondés par la messagerie instantanée (15% des employés) et la web conférence (13 %) (seulement !). Les réseaux sociaux ne sont utilisés que par 8 % des employés, les blogs par 5 % des collaborateurs et les wiki par 4 %. MAIS Les outils de bureautique en ligne (Google Apps, Windows Live, etc.) semblent en revanche décoller puisque 16 % des employés y auraient désormais recourt. La transformation des usages vers les nouveaux outils de productivité bureautique est bien en route :)
Christophe Deschamps

Panorama des outils 2.0 au service de la veille - 0 views

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    La veille collaborative est aujourd'hui une réalité dans de nombreuses entreprises. Cette collaboration s'insère à toutes les étapes du processus de veille : ciblage, collecte, analyse et diffusion. Dans ce contexte, les outils issus du web 2.0 peuvent largement contribués à l'amélioration des activités de veille.
Christophe Deschamps

Management.fr Vs 21ième siècle : le coût de la hiérarchie et du contrôle - 2 views

  • Right now, your company has 21st-century Internet-enabled business processes, mid-20th-century management processes, all built atop 19th-century management principles. (Gary Hamel – The Future Of Management)
  • Cette étude visait à démontrer que la culture d’entreprise ne pouvait pas être la même dans toutes les filiales car elle ne faisait nullement disparaître la culture nationale ; dans le meilleur des cas, elle se juxtaposait à elle.
  • Dans le cadre de cette étude, Hofstede mesure les distances hiérarchiques des différentes filiales. Pour un indice médian de 57, il mesure des distances hiérarchiques faibles dans les pays scandinaves (moins de 31) et anglo-saxons (moins de 40) et élevé en France (68).
  • ...5 more annotations...
  • Dans cette même étude, Hofstede mesure le contrôle d’incertitude.Le contrôle faible suppose davantage d’acceptation des situations comme ambiguës, réversibles dans leurs malheurs et leurs bonheurs. Les personnes sont acceptées comme pouvant changer d’humeur et de décision. Le contrôle fort veut s’appuyer sur des bases assurées qui peuvent aller de précautions concrètes à des précautions juridiques voire religieuses. Le contrôle fort est très en rapport avec le développement de la culture scientifique et techniqueEncore une fois, la France se classe en haut du tableau avec un contrôle fort de l’incertitude (un score de 86) tandis que les pays anglo-saxons ou nordiques affichent des résultats faibles attestant d’un contrôle faible de l’incertitude.
  • la primauté de la hiérarchie va à l’encontre des valeurs ayant emergé de la culture collaborative internet
  • Depuis au moins dix ans, la France est en retard sur les principaux pays de l’OCDE en matière de développement du télétravail (notamment dans l’administration), quelles que soient les sources ou les approches statistiques. Dans les pays scandinaves et anglo-saxons notamment, il concerne deux à trois fois plus de salariés.
  • ce détail a un coût. Cisco a ainsi publié un rapport intitulé the The Economics of Collaboration, et dans lequel l’entreprise explique comment en mettant en oeuvre des outils collaboratifs et en facilitant la mobilité des employés avec entre autres une démocratisation du télétravail, celle-ci a obtenu des résultats étonnants : Cisco IBSG analysis shows that Cisco realized net benefits of $691 million/year through its Web 2.0 and visual collaboration investments in FY08. (…) These benefits represent a 4.9 percent productivity increase for Cisco. We believe this is just the beginning of the value creation we will see around the new collaborative web.
  • These solutions achieve their remarkable benefits by removing the costs and inefficiencies with which our employees have been struggling. Eliminating these inefficiencies not only brings financial benefits to the company; it also increases employees’ work/life balance, reduces stress and fatigue from extensive travel, and increases job satisfaction.
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    Analyse d'études sur le contrôle et la hiérarchie dans les entreprises. Le modèle français est-il encore adapté?
Christelle Gamache

Des tutoriels sur le Web 2.0 et les réseau sociaux - 0 views

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    Les espaces numériques des bibliothèques ont pour mission de favoriser l'accès du grand public aux nouvelles technologies. Quels que soient l'âge et le niveau des utilisateurs, des ateliers et des rendez-vous individuels sont mis au point par les responsables tout au long de l'année. Le Centre de Ressources des EPN (Espaces Publics Numériques) de Wallonie nous signale une belle initiative de leurs collègues des Espaces Publics Numériques de la Bibliothèque Municipale de Lyon. En effet, ces derniers ont publié des tutoriels sur le Web 2.0 et les réseaux sociaux. Disponibles gratuitement au format PDF, ces documents sont destinés à sensibiliser et former le grand public sur les nouveaux outils du Net.
Christophe Deschamps

Portals and KM: Forrester on Enterprise 2.0 for KM Professionals - 1 views

  • Some of these tools can be cloud based but they also need to be business based.
  • They picked the same 11 technologies studied in the vendor report: blogs, forums, mashups, microblogs, podcasts, prediction markets, RSS, social bookmarks, social networks, widgets, and wikis
  • But microblogging will only become valuable to the enterprise once it truly integrates with other enterprise processes and applications, and only after a whole set of additional tools are added to help filter content and refine the value of aggregated information.
    • Christophe Deschamps
       
      Est-ce vraiment la solution? Est-ce que l'intérêt du micro-blogging n'est pas justement dans le fait de plugger ces solutions sur l'existant et d'attendre... Micro-blogging as usual.
  • ...2 more annotations...
  • On the other hand, in talking with a few implementers, they have not yet seen the big wave of demand for enterprise 2.0 tools.
  • I think the preconditions for making microblogging useful will appear sooner than later
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    Bill Ives revient sur un rapport de Forrester consacré aux technologies du web social pour l'entreprise qui s'adresse aux responsables KM et souligne les opportunités qu'ils peuvent en tirer.
Yan Thoinet

Formation Web 2.0 - Séminaire CapGemini Institut - 0 views

  • Web 2.0 : l’état de l’art> nouveaux usages, nouveaux outils, Entreprise 2.0
Dominique Hebert

Formation L'intranet 2.0 - Benchmark Group - 0 views

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    Formation Benchmark Group sur l'évolution des usages de l'Intranet pour aller vers l'entreprise 2.0
Christophe Deschamps

Beyond Enterprise 2.0 ROI, evaluation and management of knowledge in the workplace - 0 views

  • It is common knowledge that “what you can’t measure, you can’t manage”. And because knowledge is intangible by nature, it is not measurable and therefore not manageable.  This argument is seated in a fundamental law of Science. Consequently, the only way to move forward is to rematerialise knowledge, which we do by transforming knowledge into information or data.
  • Social computing helps transform tacit knowledge into formal transferable knowledge. This is why social software fundamentally complements existing organisational information architecture, as well as provides a constructive replacement for email, which is often considered a silo because of its overtly individualistic nature.
  • Today, ROI is the iconic, easy-to-catch and use wording for a much significant concern: evaluation. ROI is one tiny piece of a real big puzzle. ROI is an indicative ratio commonly used to anticipate the financial impact of decisions. It is a simplistic rendering of a very complex set of parameters.
  • ...3 more annotations...
  • * New metrics. Because we deal with different stuff, we need to invent metrics that are relevant to what we are trying to follow and drive. For social software, one can start with the usual web and online community metrics. Some new initiatives, such as Me-trics, open doors to more in-depth analytics that are worth considering (with a barrage of ethical considerations however).
  • In fact, calculating the ROI on social software is complicated to the point that economically it is unrealistic to do so. Instead of an estimation a posteriori a pilot phase, ROI as it is commonly referenced in the “Enterprise 2.0″ scene is pure guess and absolute non-sense in most cases.
  • Why Balanced Score Cards? For four reasons: 1. Kaplan & Norton have escaped the collusion of measurement and quantity. Measurement is not necessarily quantitative. That is a common source of confusion and of inefficiencies in numerous parts of human activity (to name a few: reporting (exhaustiveness), research (methodology), education (elite creation via selection on maths)). Measurement can be qualitative (see  Georgescu Roegen work if you’re curious). It is no surprise if numerous initiatives in intellectual capital used Balanced Score Cards 2. Balanced Score Cards are notably visual, which is not so with quantitative ratios.  That visual characteristic invites greater meaning and relevance. 3. Balanced Score Cards are heterogeneous and are therefore a more natural receptacle for a) qualitative and quantitative analytics and b) can encompass a variety of topics. In this regard, one can build official reporting encompassing both physical and knowledge activities. 4. Balanced Score Cards are aggregative so that one can build reports from various levels in the organisations. Coupled with its heterogeneous nature (previous point), one can build reports for HR, Marketing, Finance, … under the same format and surface analytics at one or many levels. The result is that some knowledge related metrics can climb the hierarchy up to the summit.
Miguel Membrado

L'entreprise 2.0 à l'épreuve de la productivité - Blogs - ZDNet.fr - 0 views

  • L’entreprise 2.0 à l’épreuve de la productivité
  • Tout cela reflète les multiples et insoupçonnés usages susceptibles de se développer à partir d’applications dont l’utilisateur est le centre de gravité
  • Pas encore gagné pour les évangélistes de l’entreprise 2.0 de convaincre des carences de l’e-mail en matière de productivité. L'improductivité est un bon argument pour ne pas s’égarer dans les méandres de l’entreprise 2.0
  • ...4 more annotations...
  • Comment rendre compte de la qualité des échanges ? Comment passer d'une notion quantitative de l'action à une notion qualitative de l'"inter-action" ?
  • Si ces nouveaux outils génèrent les mêmes réactions que le téléphone, l'email et l'usage du web en leur temps, probablement faut-il aussi y voir le fait que la technologie, et ses usages, progresse beaucoup plus vite que les habitudes des décideurs, et qu'ils ont parfois du mal (légitimement) à comprendre l'intérêt de certains outils qu'ils n'ont jamais utilisés... par ailleurs, nombreux sont ceux qui ne jurent que par la relation directe, et qui restent méfiant vis-à-vis des apports des outils électroniques.
  • Le jour où la perte de productivité dûe aux réseaux sociaux ou plus généralement à l'utilisation d'internet dans l'entreprise sera quantifiée au delà du gain permit par ces mêmes outils, je reprends mon souffle car cette phrase est longue, des solutions seront amenées par des prestataires de services pour le contrôle de l'utilisation du réseau
  • Travaillant dans une société qui a mis en place un indicateur sur les mails je suis moins persuadfé que tous les employeurs voient le mail comme un outil de prtoductivité. Je crois qu'il y a un biai commun c'est de confondre l'outil et le besoin. Finalement un messenger, une formation et (même) une machine a café sont à la fois des causes de productivités et de non productivuté. Tous ceci ne sont que des outils et c'est la manière de les utiliser qui changent. Par exemple, aussi bien les mails que les messengers sont des causes d'interruptions dans le travail quotidien. Une interruption sur une tache sur laquelle vous êtes en cours est une cause de non productivité mais aussi souvent de stress ce qui est encore pire. Au global ce qui me soucie dans cette manière d'aborder les choses c'est qu'au lieu de réfléchir outillage il faudrait réfléchir condition et méthodes de travail en premier.
Elise Carbone

L'entreprise 2.0 : back to basics (interview d'Andrew McAfee) - 0 views

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    Interview d'Andrew McAfee, publié sur le blog du management de l'IE et du management 2.0
Christophe Deschamps

L'entreprise 2.0 et le mythe de la création de contenu - 0 views

  • L’employé ne produit pas des contenus mais de l’information, il en produit de plus en plus, et en vertu du principe selon lequel “si seulement l’entreprise savait ce que sait l’entreprise”, il serait bon qu’il en produise davantage.
  • l’entreprise a l’habitude de considérer que ce qui ne répond pas à ces critères ne sert à rien (ce qui n’est pas faut car ne répondant pas à un besoin) et donc que sa génération est du temps perdu. C’est là où les fameux contenus resemblent à ceux du web 2.0 : générés, mis à dispostion, sans pour autant savoir a priori comment ils seront utilisés par la suite. Et lorsqu’elle ne sait pas a priori a quoi quelque chose va servir, l’entreprise a tendance à decreter que ce quelque chose est inutile.
  • La “génération du contenu” étant un acte unique alors que le besoin pouvant se répeter un nombre indéfini de fois dans le temps temps, éviter ce qui était une perte de temps a priori donne lieu à de multiples pertes de temps a postériori.
  • ...4 more annotations...
  • Une collection de best practices que personne ne consulte et ne met en œuvre n’a d’autre valeur que celle d’exister. Il faut donc peu a peu faire acquérir ce réflexe aux collaborateurs, faire en sorte que concentrer expression des besoins et des solutions en un même endroit.
  • Cette mise en relation sera logicielle et humaine. Logicielle car il existe aujourd’hui des outils de publication / classement / évaluation / recherche / redirection de l’information parfaitement adaptés.
  • Humaine ensuite car la logique de sollicitation de ses contacts afin qu’à leur tour ils sollicitent les leurs afin de trouver une solution, une réponse, qui est existe et a prouvé son efficacité depuis la nuit des temps de va pas disparaitre pour autant. Il s’agit simplement de la faciliter, connecter les bonnes personnes sur des critères de pertinence afin qu’elles intéragissent entre elles, partagent informations et contacts. Par contre le caractère chronophage de ce type de pratique est proportionnel à la taille de l’organisation. Il s’agit donc de fluidifer et rationaliser tout cela, et là intervient la composante réseau social qui va devenir bientôt nécessaire à tout système d’information nécessaire.
  • rien ne sera possible tant que la logique amenant du contenu à la valeur ne sera pas explicitée et que ce qui permet de passer de l’un à l’autre ne sera pas mis en place. Contenus, outils et bonnes pratiques ne se suffisent pas, il faut les trois. Et les managers verront alors l’intérêt de voir leurs équipes générer du contenu.
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    Très bon article de Bertrand Duperrin sur la création de contenu dans l'entreprise et comment y parvenir.
Elise Carbone

Determining the ROI of Enterprise 2.0 - 0 views

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    Un récent article qui se penche sur le ROI de l'entreprise 2.0.
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