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Christophe Deschamps

Il ne peut y avoir de stratégie "entreprise 2.0" - 0 views

  • Quelqu’un demande “mais quelle stratégie pour devenir une entreprise 2.0″ et l’on a envie de répondre “mais pourtant c’est clair, on vient de le dire, et tu l’as dit toi même”.
  • Essayer de chercher une stratégie pour faire l’entreprise 2.0 revient à réflechir “en boucle” sans risque d’en sortir puisque l’entreprise 2.0 est le nom donné à la stratégie (ou plus exactement à une partie de celle-ci).
  • La stratégie entreprise 2.0 et, l’exemple CISCO le prouve, revient donc à utiliser les boites à outils classiques pour mettre en œuvre les composantes du projet qu’on a dénommé entreprise 2.0 et non à mettre en œuvre l’entreprise 2.0 en espérant que ses composantes auxquelles on a pas envie de s’attaquer se mettent en œuvre par hasard.
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  • Il me semble seulement que le “comment je fais l’entreprise 2.0″ signifie juste “je ne veux pas m’attaquer à tout ça alors je fais l’entreprise 2.0 et tout va se mettre en place seul”. Sauf que faire l’entreprise 2.0 c’est justement s’attaquer à “tout cela”.
  • L’entreprise 2.0 n’est pas une baguette magique qui évite de s’attaquer aux questions importantes et structurantes. Elle est justement la conséquence du fait qu’on s’y attaque. Inutile donc de lui donner une stratégie car elle est stratégie elle-même. Elle est le nom donné à ce qu’il faut faire donc inutile d’aller chercher plus loin.
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    Il s'agit d'un autre malentendu fréquent. Quelqu'un demande "mais quelle stratégie pour devenir une entreprise 2.0″ et l'on a envie de répondre "mais pourtant c'est clair, on vient de le dire, et tu l'as dit toi même". Bizarre non ?
Christophe Deschamps

Enterprise Web 2.0: Building the Next-Generation Workplace - the Driving Force behind J... - 0 views

  • Building on the somewhat vague and yet particular usage of the term 'Web 2.0', 'Enterprise Web 2.0' describes a fresh, and some would say new, approach to the design and provision of business applications that incorporates aspects such as social networking, collaboration, and real-time communication. In addition, Enterprise Web 2.0 focuses a great deal of attention on the user's 'experience' or 'joy of use' -- something of a novelty in enterprise IT these days. By comparison, when Butler Group talks about 'Enterprise 2.0', we are focusing on the composition and architecture of the IT ecosystem, and the associated business models that will support Enterprise Web 2.0 applications.
  • Enterprise Web 2.0 is very much concerned with the user experience of corporate systems and applications, and on extracting business value from the social contributions and interactions of the organisation's various stakeholders.
  • The management of customer relationships continues to remain pivotal for most organisations, and so the social aspects of Web 2.0 are mirrored in the corporate world of Enterprise Web 2.0
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  • Workforce mobility and changing communication patterns are two more trends that are driving change at the infrastructure layer, and so unified communication and collaboration requirements form an important part of Enterprise 2.0 strategy.
  • Enterprise Web 2.0 might be about putting the user (i.e. employee, customer, or stakeholder) first, but in order to do so it also requires supporting technology. And so at the IT infrastructure level, Enterprise 2.0 means Internet Protocol (IP) everywhere -- voice, video, and data. Enterprise 2.0 also means, 'open' standards rather than proprietary or 'closed' systems. Furthermore, Enterprise 2.0 technology means user-driven technology and not IT-driven technology.
  • Having accepted the fact that 'processes' means 'people', then we have to look for ways in which these people (i.e. processes) can self-organise and reference one another. Then, where possible, we need to somehow incapsulate the processes into a set of business services. One day (we might call it Web 3.0), Artificial Intelligence (AI) will enable organisations to do with computers that which they do via human beings today, but until that day arrives, organisations must do more to aid interdepartment and inter-company collaboration. Workflow has not yet figured largely in the consumer-oriented world of Web 2.0, but Butler Group sees this as pivotal when considering Enterprise Web 2.0.
  • Today applications that embody processes are built by IT professionals, but tomorrow they will be built by a new breed of power user, using mashup builders, software agents, and other Web 2.0 technologies.
  • Business and IT managers must therefore prepare themselves for the new generation of power user who will be creating mashups and situational applications that have a far broader impact than the typical spreadsheet macro of yesteryear, and that if organisations are to avoid a proliferation of unmanageable, siloed, micro-applications, then they must blend the power of personal productivity with an appropriate management layer and a degree of central oversight.
  • Web 2.0 is no longer PC-centric.
  • It is clearly a mistake to think that Web 2.0 is all about technology, and likewise Enterprise Web 2.0, but it is also a mistake to dismiss the technology altogether. Therefore, selecting and implementing enterprise social software solutions, next-generation collaboration solutions, and Rich Internet Applications requires careful thought, consideration, and planning.
  • The driving force behind just about every aspect of Enterprise Web 2.0, is of course, the user -- something that has not always ranked highly on the list of priorities for corporate IT mangers -- and so the challenge for all forward-looking organisations is to refocus on this aspect of their IT strategies.
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    Nouvelle étude de Research & Markets. Pas mal d'infos dans cette synthèse. User-centric
Christophe Deschamps

SÉCURITÉ : Les entreprises ne s'y retrouvent plus face au Web 2.0 - 0 views

  • Selon l'étude, 95 % des responsables informatiques autorisent actuellement les employés à accéder à certains sites du Web 2.0, une liberté logique, dans la mesure où 62 % des sondés estiment que le Web 2.0 est indispensable à l'activité de leur entreprise.
  • Mais la liberté accordée semble insuffisante : 86 % des responsables interrogés déclarent être sous pression, notamment de la part des cadres dirigeants et des services marketing et commerciaux, pour "autoriser un accès élargi" au Web 2.0, souvent très bridé.
  • Paradoxalement, les sites les plus souvent autorisés sont aussi ceux qui sont, dans d'autres entreprises, le plus souvent bloqués : les webmails (type Hotmail, Gmail, Yahoo Mail, etc.), les portails Web comme iGoogle, les wikis (pages collaboratives, comme Wikipedia) et, évidemment, les réseaux sociaux, dont Facebook,
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  • 47 % des responsables interrogés admettent que les employés essaient de contourner la politique de sécurité Web des entreprises.
  • Facebook est, par exemple, un vecteur de codes malicieux, qui se propagent via les applications, des extensions du site créées par tout un chacun, et auxquelles les utilisateurs doivent donner un accès complet à leur profil pour profiter de nouvelles fonctions alléchantes (préparer des sondages pour ses amis, savoir qui a écrit quoi sur quelqu'un, etc.).
  • 80 % des responsables informatiques se déclarent confiants pour la sécurité de leur entreprise. Mais Websense, qui travaille dans le secteur, affirme : "Les chiffres montrent qu'elles (les entreprises, NDLR) ne sont pas bien équipées pour se protéger contre les menaces du Web 2.0." Paradoxalement, lorsque les questions du sondage se font plus précises, seules 9 % des entreprises reconnaissent avoir déployé des moyens de sécurité couvrant tous les vecteurs de menaces : rien à voir avec la confiance affichée au début.
  • L'étude montre une méconnaissance du Web 2.0 et des nouveaux usages d'Internet en général, de la part des entreprises. Peut-être ont-elles besoin de temps pour s'adapter, mais, au vu des menaces, la prise de conscience risque d'être plutôt brutale.
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    via @aponcier Une étude qui montre bien la nécessité d'avancer dans le dialogue sur ce thème.
Christophe Deschamps

Entreprise 2.0 en 2011 : la valeur ou le déni ? - 3 views

  • Maintenant il y a loin des discours aux actes et tout dépendra de la capacité de l’entreprise 2.0 à sortir d’une forme de déni d’entreprise. Accepter de parler franchement de valeur, mettre les mains dans les sujets complexes et sensibles de la mécanique productive, sortir de la vision idéaliste et angélique d’une entreprise rêvée menée par la passion, l’ouverture et les bons sentiments seront des sujets clé en 2011.
  • 1°) Futile : Beaucoup de temps et d’énergie seront gaspillés à discuter les mérites respectifs de l’entreprise 2.0 et du social business. Ca évitera de parler d’autre chose et laissera les entreprises dans un doute encore plus profond qu’aujourd’hui.
  • il est devenu évident qu’il fallait s’attaquer en profondeur à la structure du travail et de l’organisation (voir mes “prédictions” 2009 et 2010), à la fois pour rendre les choses possibles et pour s’assurer du bénéfice de l’opération en termes de création de valeur. Ce qui a amené un certain consensus courant 2010 vers la nécessité de s’attaquer, entre autres, aux business process à la fois pour des raisons d’alignement et d’impact sur la valeur.
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  • Récapitulons : • Prise de conscience qu’il faut s’attaquer aux rouages, à la mécanique de l’organisation • Prise de conscience qu’il faut articuler les dynamiques “hors flux” et “dans le flux” de travail (in the flow et above the flow pour les érudits). • Prise de conscience qu’il faut aller au delà des simples dynamiques communautaires. • Développement, par ailleurs, d’un grand savoir faire sur la mise en place de ces dynamiques communautaires. Soyons honnêtes : on a les best practices, des monceaux de méthodologie, des cas à foison et des outils pour supporter le tout. On sait faire fonctionner des communautés et ce qui donne le sentiment contraire, fait penser que la réussite dans ce domaine est rare, c’est qu’on veut transformer en communautés ce qui n’en n’est pas (d’où l’intérêt d’aller voir au delà…). • On a des outils qui tiennent la route.
  • N’avez vous pas remarqué que finalement peu de choses nouvelles vraiment intéressantes ont été dites ou écrites ces derniers mois (j’ai dit “peu”…pas “pas”) ? Qu’on pourrait republier nos billets d’il y a un an sans que personne ne s’en rende compte ? Deux reponses à cela : soit nous étions quelques visionnaires vraiment en avance…soit rien n’a changé. Et je penche plutôt pour la seconde solution.
  • La raison ? Le microcosme 2.0 se complait dans une forme d’angélisme fondé sur une sorte de “flower power management” qui aurait été de bon teint dans les années 70. Tout doit n’être qu’engagement volontaire, passion, démonstration, engouement. Le process c’est le vieux monde et c’est sale. La valeur et l’argent aussi. Le ROI n’en parlons pas. Il y a un point de basculement a passer, des choses à acter, une direction à prendre mais au delà du consensus mou il y a une gêne évidente. On rechigne a abandonner le territoire de l’entreprise confraternelle idéalisée pour mettre le bleu de chauffe et aller réparer la chaudière et la tuyauterie dans la salle des machines.
  • quelques tendances fortes pour 2011 :
  • C’est ce qu’il nomme la mise en capacité de l’organisation par la technologie (ou tech-enabled organization). Ce mode de fonctionnement étant rendu souhaitable, voire nécessaire, par la transformation des modes de travail induite par l’évolution de notre économie et des modèles de création de valeur, on a essayé d’implanter ces fameux outils dans l’entreprise. Souvent en vain. On s’est alors rendu compte (pour ceux qui en doutaient) que l’outil n’était qu’un facilitateur
  • 2°) Stratégique : soit l‘entreprise 2.0 reste dans le déni de réalité soit elle met les mains dans le cambouis. Dans le second cas on sera encore là pour parler du sujet dans un an ou deux, avec des résultats tangibles et mesurables, dans le premier les entreprises se seront lassées avant.
  • Avoir le courage de parler des sujets qui font peur : redéfinir le travail, la manière dont on évalue la contribution de chacun à la création de valeur, dont on rémunère les gens en fonction, trouver des indicateurs financiers et comptables pertinents pour rendre les modes de fonctionnement nouveaux acceptables.
  • Assumer le fait que soit on parle d’un projet stratégique d’entreprise qui doit s’imposer à tous, ce qui implique d’assumer ses choix et avoir le courage d’en tirer toutes les conséquences, soit on est dans le nice to have cosmétique et se demander si l’énergie et l’argent dépensés en valent la peine.
  • Et attendons à entendre des choses du genre “pour faire les malins avec des médias sociaux et avoir des discussions sympas y’a du monde, pour régler des vrais problèmes business y’a plus personne”. Et ça sera mérité.
  • On ne transformera pas l’essai tant que les “outils sociaux” constitueront une bulle à part, seront indépendants du reste des outils de l’entreprise. Devoir dire à un utilisateur : “rendez vous sur tel outil” c’est déjà perdre la partie.
  • intégration avec toute type d’outil du SI traditionnel et possibilité d’utiliser (et enrichir)les fonctionnalités de l’application en tant que services hors de l’application, au sein d’une couche sociale commune à l’ensemble du SI.
  • Une entreprise est une structure économique et sociale qui regroupe des moyens humains, matériels, immatériels (service) et financiers, qui sont combinés de manière organisée pour fournir des biens ou des services à des clients dans un environnement concurrentiel (le marché) ou non concurrentiel (le monopole) avec un objectif de rentabilité.
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    Excellent billet de @bduperrin
Christophe Deschamps

Les études de cas nous disent "c'est possible" et rien de plus ! | Bloc-Notes... - 5 views

  • au fur et à mesure que les premiers cas solides arrivent à propos des projets étiquetés “social media”, on a l’impression qu’un doute subsiste, ou que les cas ne semblent pas assez nombreux ou assez proches de leurs lecteurs pour les convaincre. Combien de fois entend on “ils n’ont pas notre culture, notre passé, nous ne sommes pas sur le même marché, nos produits sont différents, nos clients sont différents”.
  • D’ailleurs, tout le monde y croyait d’autant plus que toutes les entreprises étant sur un même secteur ou ayant les mêmes besoins déployaient peu ou prou les mêmes logiciels, accompagnées par les mêmes consultants qui en utilisant les mêmes méthodes en arrivaient aux mêmes implémentations.
  • i toutes les entreprises implémentaient les mêmes choses de la même manière, faisaient les mêmes choix, c’est également parce qu’on leur demandait d’être comparables. Les investisseurs avaient bien compris qu’ils ne pouvaient comparer des pommes et des poires alors ils exerçaient, même de manière inconsciente, une pression amenant à l’uniformisation des pratiques et des technologies. Qui aurait pris le risque de se retrouver montré du doigt en raison de choix manageriaux, technologies ou organisationnels non conformistes qui auraient fait qu’on aurait pas pu comparer ses résultats avec les autres, point par point, en utilisant les mêmes indicateurs dans le même contexte.
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  • Le cas “entreprise 2.0″ se distingue par deux aspects. Le premier c’est que le logiciel en question ne fait rien par lui-même, que tout dépend des variables humaines, managériales, etc… qui étaient la variable cachée des cas des années 2000.
  • es réponses apportées par une entreprise A à ces questions sont peut être aux antipodes de celles qui conviennent à une entreprise B.
  • Souvenons nous d’un des principes de base, un des fondements du social media en entreprise. “Rendre les entreprises moins semblables”. Il est donc normal de ne pas trouver de réponse standardisée et standardisable à la manière de réussir.
  • l’apport de l’outil dépend de facteurs qui sont quasi uniques à chaque entreprise. Savoir, culture, capital humain, potentiel innovant…c’est ce qui différencie deux entreprises même lorsqu’elles ont l’air a priori identiques. Ce qui laisse à penser qu’une bonne implémentation de solutions de social software sera beaucoup plus différenciante que d’autres projets informatiques ont pu l’être par le passé. Mais s’agit il encore de projets informatiques ?
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    Billet essentiel de Bertrand Duperrin pour comprendre la logique qui doit animer les projets 2.0 et qui est radicalement différente des projets de type ERP.
Yan Thoinet

Emploi - Le blog de Moovement: Entreprise 2.0, Management 2.0, RH 2.0 et Culture 2.0 se... - 0 views

  • Bertrand Duperrin intervenait à Montreal lors du Webcom. A cette occasion, il nous fait un petit récapitulatif sur la vision de Jon Husband au sujet de l’Entreprise 2.0, Management 2.0, RH 2.0 et Culture 2.0
Christophe Deschamps

How companies are benefiting from web 2.0: McKinsey Global Survey Results - 0 views

  • 69 percent of respondents report that their companies have gained measurable business benefits, including more innovative products and services, more effective marketing, better access to knowledge, lower cost of doing business, and higher revenues. Companies that made greater use of the technologies, the results show, report even greater benefits.
  • We found that successful companies not only tightly integrate Web 2.0 technologies with the work flows of their employees but also create a “networked company,” linking themselves with customers and suppliers through the use of Web 2.0 tools. Despite the current recession, respondents overwhelmingly say that they will continue to invest in Web 2.0.
  • When we asked respondents about the business benefits their companies have gained as a result of using Web 2.0 technologies, they most often report greater ability to share ideas; improved access to knowledge experts; and reduced costs of communications, travel, and operations. Many respondents also say Web 2.0 tools have decreased the time to market for products and have had the effect of improving employee satisfaction.
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  • Respondents also say they have been able to burnish their innovation skills, perhaps because their companies and customers jointly shape and cocreate products using Web 2.0 connections.
  • The median level of gains derived from internal Web 2.0 use ranged from a 10 percent improvement in operational costs to a 30 percent increase in the speed at which employees are able to tap outside experts.
  • Web 2.0 delivers benefits by multiplying the opportunities for collaboration and by allowing knowledge to spread more effectively. These benefits can accrue through companies’ use of automatic information feeds such as RSS2 or microblogs, of which Twitter is the most popular manifestation. Although many companies use a mix of tools, the survey shows that among all respondents deriving benefits, the more heavily used technologies are blogs, wikis, and podcasts—the same tools that are popular among consumers
  • Similarly, among those capturing benefits in their dealings with suppliers and partners, the tools of choice again are blogs, social networks, and video sharing. While respondents tell us that tapping expert knowledge from outside is their top priority, few report deploying prediction markets to harvest collective insights from these external networks.
  • Comparing respondents’ industries, those at high-technology companies are most likely to report measurable benefits from Web 2.0 across the board, followed by those at companies offering business, legal, and professional services
  • These survey results indicate that a different type of company may be emerging—one that makes intensive use of interactive technologies. This networked organization is characterized both by the internal integration of Web tools among employees, as well as use of the technologies to strengthen company ties with external stakeholders—customers and business partners.
  • As such, companies reporting business benefits also report high levels of Web 2.0 integration into employee workflows. They most often deploy three or more Web tools, and usage is high throughout these organizations
  • Respondents reporting measurable benefits say their companies, on average, have Web 2.0 interactions with 35 percent of their customers. These companies forged similar Web ties to 48 percent of their suppliers, partners, and outside experts. An organizational structure that’s more porous and networked may make companies more resilient and adaptive, sharpening their ability to access knowledge and thus innovate more effectively.
  • The survey results confirm that successful adoption requires that the use of these tools be integrated into the flow of users’ work (Exhibit 5). Furthermore, encouraging continuing use requires approaches other than the traditional financial or performance incentives deployed as motivational tools.
  • They also say role modeling—active Web use by executives—has been important for encouraging adoption internally.
    • Christophe Deschamps
       
      Cf le président de Cisco
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    L'entreprise 2.0 n'est pas qu'un concept et cette étude menée sur 1700 dirigeants le prouve.
Yan Thoinet

Bloc Note de Bertrand DUPERRIN » Comment passer votre entreprise au 2.0 - 0 views

  • S’il s’agit juste d’adopter des outils 2.0 en interne je suis 100% d’accord avec Euan. Laissons faire…Il est évident qu’aucune entreprise ne pouvant tolérer de laisser rentrer de nouveaux outils, cela doit se faire à la marge de l’organisation dont on espère bien que l’inertie empêche un éventuel contre-feux en attendant que s’installent des pratiques que personne ne remettre alors en cause
  • ce qui caractérise l’adoption d’outils 2.0 n’est pas l’outil en soi mais la manière dont en s’en sert. Il ne s’agit pas là d’installer à la sauvette un navigateur web autre que le navigateur officiel certifié par la DSI de l’entreprise
  • Oui. A moins que… A moins que l’entreprise ne décide elle même que l’adoption de nouveaux modes d’interactions interpersonnels ne soit nécessaire à sa compétitivité dans le monde d’aujourd’hui. Et la seule manière de rendre ces pratiques effectives dans l’entreprise déconcontrée est de rendre ces pratiques effectives sur le seul lieu de rencontre et d’échange commun à tous les membres de l’entreprise : l’intranet.
    • Yan Thoinet
       
      Ca tombe bien ; )
  • ...3 more annotations...
  • Les outils seraient donc, à ce moment, le support d’une politique d’entreprise et ils y trouveraient de suite leur place par le besoin même de l’organisation.
  • Stratégie 2.0 implique ==> Management 2.0, Outils 2.0, marketing 2.0, recrutement 2.0, Rh 2.0 afin de construire ==> Entreprise 2.0.
  • Le projet entreprise 2.0 doit donc être un projet d’entreprise.
Christophe Deschamps

Qu'est ce qu'une entreprise 2.0 fin 2010 ? - 7 views

  • Et là… la problématique est plus lourde. C’est d’ailleurs sur ces éléments qu’on constate les plus grands écarts générationnels (Attention je ne parle pas de génération Y). Nous avons d’un coté les jeunes qui contestent la hiérarchie ou la propriété auxquels ils n’ont pas accès et les anciens qui en sont dotés et pas tout à fait prêts à s’en défaire.
  • Une façon pour les jeunes de renverser la question et de ne pas demander le pouvoir mais le répartir de facto… Un sujet à creuser assurément, qui en dit long aussi sur la dimension symbolique que prennent les luttes actuelles
  • Prenons une entreprise qui propose des services « 2.0 ». Si on prend l’hypothèse qu’elle double son chiffre tous les ans (ce qui est déjà un signe de croissance exceptionnelle), qui commence avec 100K€ de chiffre d’affaire…elle pèse actuellement au mieux 0,8M euros… Moins que le chiffre d’affaire d’une brasserie ! Normal donc, que pour un grand compte, ces budgets « 2.0 » soient vus comme « faibles »… Mais faible, ne veut pas dire non stratégique.
  • ...4 more annotations...
  • Généralement les mêmes qui avaient tourné le dos au Web. Il faut bien comprendre que nombreuses sont les entreprises qui n’ont pas besoin de relais de croissance que ce soit par la situation économique ou un effet de « monopole ».
  • Ensuite, nombreuses sont les entreprises qui se sont lancées dans le 2.0 comme elles s ‘étaient ruées sur SecondLife. Pour faire bien. On retrouve ce type de projets dans les grands groupes qui s’essayent à des nouveaux concepts. Ce qui caractérise ces projets c’est le fait qu’ils ne sont pas en lien avec le business. L’exemple qui me vient à l’esprit est celui de rendre « 2.0 » une communauté visible… Cette Entreprise2.0 on l’aura compris n’a pas dépassé le stade d’intérêt poli des décideurs.
  • Il y a enfin ceux qui prennent ce concept en se posant la question simple « Qu’est ce que ce nouveau machin peut m’apporter à mon business ? ». Sans préjugés, ni arrières pensées et de sous un angle très pragmatique. Et là, le résultat est somme toute très différent. Car il est indéniable que les concepts du 2.0 (collaboration, temps réel, connexions des personnes, informations etc…)  sont de nature à faire progresser le business. Encore faut-il le démontrer ? Et c’est justement la bonne récolte 2010. Les premiers projets mis en place à dimension business donnent des résultats concrets : plus de ventes, plus de qualité dans la relation client etc…
  • L’entreprise 2.0 –en tout cas son concept papier –  vit sans doute ces derniers jours, au profit d’une nouvelle ère : l’irruption massive des réseaux sociaux dans le champ numérique de l’entreprise : depuis les entrepôts, jusqu’aux points de ventes en passant par les bureaux.
Christophe Deschamps

Entreprise 2.0, collaboration et contraintes individuelles - 7 views

  • Le groupe ne délivre en effet que la somme de la tâches effectuées par ses membres. D’où l’importance de la coordination. On peut même se dire que par une étrangle ironie du sort, le travail des travailleurs du savoir donne une part encore plus belle à la tâche individuelle de l’individu au sein du groupe : si on peut effectuer une tâche physique ensemble on ne peut penser ensemble. On pense individuellement et le travail de groupe demande de multiplier les intéractions entre tous pour rester coordonné et cohérent.
  • Ce qui se traduit à nouveau par un travail individuel même si ponctué de nombreux échanges qui donnent une impression de collectif. Mais il n’en est pas moins que chacun se retrouve avec une tâche personnelle.
  • Mais l’apport du “2.0″ peut être important dans la multiplication des signaux “informels” donnant aux autres de la visibilité sur son travail et leur permettant de s’adapter en évitant une coordination lourde, peu réactive et chronophage.
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  • C’est là qu’une logique “2.0″ commence à porter ses fruits : on s’en remet au réseau, et à d’éventuelles communautés où des discussions sur le sujet auraient lieu. Si le sujet a déjà été traité tant mieux, sinon on trouve des personnes pertinentes à qui le soumettre, soit dans une communauté soit en identifiant un individu à contacter (très souvent on trouve ces personnes car leur activité “sociale” enrichit leur profil…et une recherche suffit.
  • l’individu part de lui, passe ensuite au groupe et ensuite aux réseaux/communautés. Il passe d’un travail solitaire à un travail coordonné dans une équipe définie avant de passer à quelque chose d’informel, avec une logique destructurée, dans un périmètre humain relativement flou.
  • On améliore l’efficacité au sein du groupe en se donnant la possibilité d’en sortir si besoin. On est, quoi qu’il en soit, dans une problématique d’organisation : on amplifie le potentiel des pratiques existantes, on en met en place éventuellement de nouvelles mais de manière très “orientée tâche”. On construit du “social” autour d’un business process, d’un workflow dont on essaie d’augmenter la bande passante. On “étend” le périmètre de l’existant.
  • il faut que des communautés actives et pertinentes existent pour pouvoir mener la logique à son terme, pour permettre au collaborateur de passer en mode “réseau” lorsque le groupe montre ses limites.  Là on entre dans une logique plus “sociale”. Ces communautés seront composées de personnes qui décideront volontairement de partager expériences et réflexions sur un sujet donné, de faire un pas au delà du travail qui leur est demandé, de donner une sorte de supplément d’âme à leur investissement professionnel.
  • on est dans le “pur 2.0″ : des conversations, des communautés qui se forment et vivent librement, de la collaboration “douce”, informelle, non structurée, de l’imprévisible et une importante composante humaine car ici on parle de l’envie d’avancer avec les autres, de partager, d’apprendre, de se lier à des personnes que l’on aurait peut être jamais rencontré autrement. En général c’est surtout cette dimension qui vient à l’esprit lorqu’on parle d’entreprise 2.0
  • les collaborateurs (et quelle que soit leur génération) tiennent à garder une frontière claire entre leurs vies privées et professionnelles et surtout dans les pratiques liées à chaque. On “socialise” entre amis mais pas dans l’entreprise. Ou avec d’infinies précautions et dans un périmètre connu. Ce qui nous ramène au “moi, mon groupe, mon réseau” énoncé plus haut.
  • ceux qui n’ont d’autres objectifs que de faire leur travail, se limitent à intéragir dans le périmètre de leur équipe et vont occasionnellement plus loin s’il n’y a pas moyen de faire autrement.
  • ceux qui, en plus, ont envie de s’investir pour échanger, benchmarquer, apprendre, proposer…sur des sujets professionnels,
  • Cela est tout sauf anecdotique lorsqu’on conçoit un projet 2.0 au niveau macro : il faut des scénarios d’usages pour chacun et surtout ne pas s’imaginer qu’on pourra emmener tout le monde dans le communautaire et l’informel, ce que d’aucuns appelleront le chaotique.Il faut penser non pas à ce qu’on aimerait que les gens fassent dans un monde idéal voire fantasmé mais s’adapter à leur logique de collaboration.
  • On dit que l’entreprise 2.0 c’est beaucoup de choses : connecter, engager, partager… Je pense qu’on oublie trop souvent une dimension qui est pourtant l’essence même de l’entreprise: réaliser des choses. C’est pour cela que le collaborateur n’a que faire d’être 1.0 ou 2.0, il veut juste une logique claire qui lui permette de faire son travail plus efficacement.
  • L’entreprise 2.0 n’est pas la fin du groupware, n’est pas le “tout réseau”, “tout communautaire”. C’est le fait de mettre en face de chaque situation les bons outils et les bons usages en fonction de l’objectif à atteindre et de la capacité d’engagement de chacun.
  • Quoi qu’il en soit il n’y a pas un contexte de travail et de collaboration unique mais une infinité de contextes dans lesquels on peut et doit développer des logiques d’intéractions spécifiques qui permettront aux collaborateurs de passer d’un extrême à l’autre en faisant des petits pas intermédiaires en fonction de son contexte propre.
  • Le collaborateur n’est pas si opposé au changement que cela, il veut juste des petits pas plutôt qu’un grand saut et que le processus respecte sa logique propre, fasse sens par rapport à ses besoins et ne violente pas sa volonté de s’engager ou non.
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    Très intéressant billet de @bduperrin sur les besoins des travailleurs du savoir
Christophe Deschamps

l'Entreprise 2.0 dans une impasse ? - 0 views

  • "Aujourd’hui, la plupart des solutions Web 2.0 mises en place dans les grandes entreprises sont dans une impasse ou en voie de l’être. Personne n’en parle, ni l’acheteur, ni le vendeur, parce que l’échec est sans conséquence. Le logiciel est mis en place et après quelques mois plus personne ne l’utilise à l’exception de quelques « déviants » (j’en fais partie !) que j’appelle des « ambassadeurs de l’intelligence collective » ou « créatif culturel ». Il faut espérer qu’un jour, leur rôle soit reconnu et valorisé. Mais, avec ou sans déviants, l’échec passe inaperçu parce qu’un logiciel que personne n’utilise, ça ne fait pas de bruit et ça ne dérange personne. L’organisation continue à fonctionner comme avant et tout le monde est conten
  • Ce que Olivier Zara explique ici, c'est que l'utilisation des outils 2.0 en Entreprise ne peut fonctionner que : - s'ils répondent à de réels besoins quotidiens et métiers. - s'ils sont accompagnés par des mesures de changement de la culture et d'accompagnement
  • Si l'échec de ce type de projets est "sans conséquence", et cela doit être le cas effectivement pour un grand nombre d'entre eux, n'est-ce pas le signe : - que l'organisation a été trop timide dans sa démarche ? - qu'elle a précisément choisi un projet où le besoin n'était pas assez fort pour être critique en cas d'échec ?
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  • Les outils "2.0" recouvrent un certain nombre de solutions telles que les flux RSS, les Tags (taxonomies et/ou folksonomies), les blogs, les wikis, les commentaires, les votes, les réseaux sociaux,... Tous n'imposent pas les mêmes contraintes en terme de mise en oeuvre, d'accompagnement, de gestion du changement.
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    Dans un article récent intéressant, Olivier Zara, consultant très connu pour ses publications sur l'Intelligence collective, semble pessimiste sur la mise en oeuvre des solutions issues du web 2.0 dans l'Entreprise.
Christophe Deschamps

L'entreprise 2.0 entre simplicité volontaire et taichi - 0 views

  • Osez la simplicité, elle vous permettra d’être agile, réactif et d’économiser votre énergie, osez les projets low-cost qui paraissent plus risqués car portés par des plus petites entreprises avec des solutions plus légères.
  • Osez permettre à vos salariés de trouver du plaisir dans leur travail en leur offrant la possibilité de participer, collaborer à des projets qui les intéressent, en développant leurs compétences, en adaptant leurs horaires et temps de travail.
  • Développez leur confiance, leur implication en réduisant les niveaux hiérarchiques comme ceux de la grille de salaire. La réussite de l’entreprise doit trouver les moyens d’une juste redistribution et non pas des miettes aux salariés et les gâteaux aux dirigeants et plus gros actionnaires comme les dernières enquête l’ont encore une fois prouvées.
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  • Osez accepter les critiques en interne comme en externe, un client mécontent vous en apprend bien plus qu’un client anonyme, investissez dans la perte ! N’ayez pas peur de l’échec juste de ne pas apprendre, ne pas bouger, osez de nouveaux projets, développez l’imagination, l’innovation.
  • Ce qui se passe actuellement c’est un basculement des outils 2.0 avec une perte de leur sens originel  désormais résumé à des discours creux sur la place de l’homme dans l’entreprise et donnent lieu à toutes les manipulations possibles pour augmenter le chiffre d’affaire sans grand souci ni des hommes, ni de l’environnement.
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    Une réflexion sur le thème où vont les technos 2.0 en entreprise? Ou plutôt ou ne vont-elles pas alors qu'elles pourraient nous permettre de le faire aisément.
Christophe Deschamps

KnowledgeMag - Numéro 1 - Octobre 2008 - 0 views

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    Loin d'être figées, les activités de veille dans les entreprises évoluent. La tendance actuelle est de favoriser la collaboration au sein d'une même entreprise entre les personnes impliquées dans le processus de veille mais aussi, et c'est plus récent, entre plusieurs entreprises notamment au travers des réseaux d'entreprises. Cette tendance à la collaboration intra et inter entreprises s'est nettement accélérée avec l'arrivée du web 2.0, de ses nouveaux modes de travail et de ses nouveaux outils.
Christophe Deschamps

Darwin offre un engin de veille à l'entreprise 2.0 - Darwin Discovery Engine ... - 0 views

  • “Une approche plus fidèle au Web 2.0 serait en mesure de livrer ces faits dans leur contexte, avec en prime des accroches qui attirent l’attention et permettant à l’utilisateur de creuser certains aspects de son choix”.
  • L’introduction des outils de Web 2.0 dans l’entreprise augmentent le risque de perte par l’isolation des informations dans les différents silos de stockage, surtout si ces nouveaux outils ne sont pas connectés entre eux et avec le reste. Darwin offre la possibilité de percevoir l'émergence des relations entre les différents contenus à travers l'ensemble des outils utilisés.
  • Grâce à son Scan Cloud™ Darwin rend la valeur du contenu de l’Entreprise 2.0 visible et mesurable (Veille et Evaluation). Non seulement vous pouvez voir les relations entre les éléments reliés entre eux dans un nuage de mots, mais aussi ces liens se rafraîchissent à mesure que vous vous déplacez dans le nuage. Cette propriété dynamique permet aux utilisateurs de voir les corrélations qui existent à travers les contenus de l'entreprise 2.0 (Découverte et Partage)
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  • Darwin cherche à faire émerger les thèmes corrélés entre eux issus d’un environnement chaotique en se basant sur la mesure de corrélation vue dans la théorie du chaos. Ainsi, Darwin s'éloigne clairement des systèmes de classification par vote ou popularité actuellement utilisés par nombreux moteurs de recherche et aggregateurs de contenu pour ordonner leur résultats.
  • Darwin n’est pas un engin de remplacement des technologies entreprise 2.0, tableaux de bord, et autre outils de management des documents. Il est conçu pour compléter et renforcer ces technologies en rendant plus visible le savoir tacite enfermé dans leurs systèmes.
  • C’est une application internet (Scan Cloud™) ou cela peut aussi devenir une solution customisée grâce à l'accès API offert. Cela fonctionne sur un serveur Web avec des services et base de données qui corrèlent les différentes sources Web 2.0.
Yan Thoinet

Symposium Gartner Les trois domaines impactés par l'Entreprise 2.0 - 0 views

  • Symposium Gartner Les trois domaines impactés par l’Entreprise 2.0 jeudi 08 novembre 2007 Par Bernard Laur, consultant Synthèse Informatique. Quel sera l'impact des évolutions actuelles du Web 2.0 sur l'entreprise et son système d'information ? La question mérite d'être posée même si l'on a du mal à imaginer le type d'intégration envisageable et applicable au phénomène actuel marqué par les réseaux sociaux et autres « mashups ».  Les analystes du Gartner ont évalué trois grands domaines dans lesquels cet impact devrait se faire sentir : les utilisateurs, les services et les architectures applicatives.  Les utilisateurs sont incontestablement un des facteurs qui devraient favoriser (pousser) l'utilisation du Web 2.0 en entreprise. Les « Digital natives », nés dans les années 90's et élevés devant un PC connecté au Net,  portent aujourd'hui les technologies Web 2.0 et  vont intégrer les entreprises dans les toutes prochaines années. Il faut s'attendre à ce qu'ils demandent à retrouver en entreprises, comme collaborateurs ou comme clients, certains des outils et services auxquels ils se sont habitués très tôt dans leur utilisation du Web « grand public ». Soit dit en passant, on peut s'attendre également à ce que la fracture se creuse entre les « Digital natives » et les « Digital migrants » au sein de l'entreprise, les modes d'utilisation des premiers nommés n'ayant guère à voir avec ceux des utilisateurs classiques d'entreprise, à l'âge moyen plus élevé et au « passé » d'Internaute nettement moins riche.
Christophe Deschamps

La qualité est elle la version 2.0 de la quantité ? | Bloc-Notes de Bertrand ... - 2 views

  • On entend souvent qu’être “sales oriented” (à dire en anglais pour faire plus sérieux) est le seul moyen de réussir. Cela est vrai à condition que toute l’énergie de l’entreprise ne soit pas concentrée sur la vente et qu’il y ait des équipes de production et de services qui tiennent la promesse des vendeurs.
  • Dans un système davantage orienté vers l’intangible la notion de productivité est plus complexe. Tout le monde reconnait qu’elle compte, que la formule reste la même…c’est simplement la mesure de ses éléments qui devient plus confuse et reste encore mal maitrisée. L’objectif restant de faire ce qui est demandé avec, sinon le minimum de ressources en tout cas sans gachis.
  • Le temps passé a-t-il servi à produire quelque chose de valorisable par le client ? Le dossier a-t-il été traité d’une manière valorisable par le client etc ? En un mot, plus que la quantité c’est d’évaluer si ce qui est fait est valorisable par son destinataire qui importe. La qualité n’est plus du seul ressort du système, elle devient désormais la responsabilité de chacun à son niveau, simple collaborateur ou manager d’équipe. Sachant, d’autant plus, que cela correspond davantage à la notion de client interne dans laquelle on retrouve le collègue avec qui on collabore de manière non facturable.
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  • “L’entreprise 2.0 est un ensemble d’outils et pratiques destinées à augmenter le périmètre du capital humain et informationnel accessible et utilisable afin d’exécuter les process et workflows quotiens et délivrer les résultats attendus dans les délais impartis.”
  • Dès lors qu’on admet que les logiques “sociales” et “de réseau” permettent d’adresser des logiques qualitatives et quantitatives qui échappent à des modes d’organisation peu adaptés à certains contextes nouveau, cela ouvre un nombre considérable de portes pour positionner des projets “entreprise 2.0″ en interne et construire des méthodologies qui font du sens par rapport à des thèmes au sujet desquels les entreprises sont déjà sensibilisées.
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    Un débat complètement revisité au coeur des problématiques de l'entreprise 2.0
Christophe Deschamps

La collaboration… une fumisterie ? - 8 views

  • Le Web social montre la voie à de nouvelles manières de faciliter l’échange de savoir, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de nos organisations, mais les comportements collaboratifs, indispensables à l’éclosion de modes de travail en accord avec la nouvelle économie en réseau qui est en train de se dessiner, ne sont présents (voire même imaginables) que chez bien peu d’entre nous.
  • Des milliers de pages Facebook sont créées chaque jour au nom de la promesse presque toujours fallacieuse de construire des communautés.
  • Ce dont nous avons besoin n’est pas de forcer l’adoption de nouvelles pratiques dans des structures conservatrices, mais de faciliter leur diffusion, par l’utilisation et la modification de mécanismes existants, quoique latents, pour permettre l’émergence de nouvelles pratiques.
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  • La véritable collaboration requiert non seulement le développement d’un environnement collectif favorable, mais aussi de la confiance. Le problème est que la confiance est une qualité en voie de disparition. Les marques ne peuvent prétendre ignorer que les clients leur font chaque année de moins en moins confiance, et que cette érosion de la confiance s’exprime partout, y compris sur les médias sociaux. Dans les entreprises, le niveau de confiance est encore plus bas. Le micro-management, l’évaluation continue basée sur la performance dans des environnements de travail prédéfinis, la pression hiérarchique et économique, ont gravement endommagée la confiance parmi les employés. Dans la plupart des cas, la collaboration est une fumisterie.
  • Les travailleurs du savoir doivent continuellement pouvoir disposer de nouvelles ressources, tandis que travail et apprentissage doivent se fondre en un flux continu. Mais, alors que si peu d’entreprises sont suffisamment mûres pour accepter et adopter cette complexité et ainsi redéfinir le travail en termes de flux fluide et collaboratif, comment pouvons-nous aider et accompagner les autres ?
  • Un tel modèle facilite l’adoption de pratiques collaboratives, mais ne tient compte ni des relations réelles entre les membres d’une entreprise et du manque sous-jacent de confiance, ni d’un des défauts majeurs des processus business : les «socialiser» permet plus facilement de prendre en compte les opérations floues ou incertaines, une approche voisine de celle des Barely Repeatable Processes de Thingamy, mais ne fonctionne pas correctement lorsque l’issue elle-même est incertaine. Les processus fonctionnent lorsque le résultat en est prévisible, ce qui est de moins en moins le cas.
  • Les communautés de pratiques, qui développent avec le temps de véritables comportements collaboratifs et adaptatifs, reposent bien plus sur la passion, la patience et l’implication que sur les technologies 2.0. Elles fonctionnent généralement bien en ligne lorsqu’elles fonctionnent bien hors ligne.
  • Ces relations ne sont pas basées sur une transaction, mais reposent sur la valeur que les entreprises peuvent créer en aidant les clients à résoudre les problèmes qu’ils rencontrent dans leur vie quotidienne, en leur proposant de meilleurs produits et services. Le Web social facilite cette logique à dominante service, permettant de recueillir davantage d’informations à partir des interactions entre les individus (c’est ce à quoi s’emploie le CRM Social). La mise en place de ce type de relation est un pré-requis de la collaboration, dont le but ultime est la co-création de valeur.
  • Plutôt que d’aider leurs clients à faire ce qu’ils ont à faire en entretenant une interaction constante, beaucoup de fonctions support les mettent au bout d’un entonnoir orienté processus. Par exemple, la DSI formalise en vain ses relations avec ses clients internes à travers la gestion des exigences, malgré leur inaptitude avérée à résoudre des problèmes réels en temps réel.
  • Redéfinir le client interne en suivant une logique orientée service permettrait de jeter les bases organisationnelles de la collaboration. La plupart des services en bénéficierait; les Ressources Humaines, par exemple, pourrait mettre en place un vrai développement de carrière, au-delà des référentiels métiers et fonctions.
  • Que se passerait-il si les managers considéraient leurs équipes comme des clients ? Faciliter la tâche de ses subordonnés et observer la manière dont ils les gèrent…
  • Je crois que l’application en interne de ce que nous apprenons à faire vis-à-vis de nos clients externes fournit une solution concrète à la préparation du changement vers une entreprise collaborative, pour la grande majorité des entreprises pour qui la collaboration est une fumisterie. Je ne propose pas de modèle, juste un appel au passage à l’acte. Pour faciliter la diffusion de pratiques collaboratives, redéfinissons le client interne, et tenons en compte de la même manière que nous devons à présent tenir compte des clients de nos marques.
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    Texte essentiel de @tdebaillon
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    Bravo, une grande part de ces constats est faire un pas dans une conscience de soi et de son impact sur la société. Les entreprises sont les ultimes clés, aussi je vous propose de penser en terme d'entreprise civile... voir ici: http://www.facebook.com/topic.php?uid=67036426665&topic=8274 le groupe ADN2 .. don t vous pourrez constater qu'il n'y a pratiquement jamais d'intervenants ou de critiques constructives (c'est à dire basée sur ce que l'autre pose comme support ou erreur à corriger.). souvent les forums sont au plus près de ce que les gens arrivent à faire: parler dans leur coin et corriger un par un.. mais il est vrai qu'il y a toujours un aspect "virtuel" sur ce qui est déposé en commun. Or c'est à partir du moment où nous pourrons affirmer travailler en efforts personnels pour des projets communs que nous pourrons parler de réelle collaboration. La différence entre "participer" à un débat en y déposant son avis (et donc d'en recevoir sa propre satisfaction egotiste) ET tenter de construire afin d'affiner et d'optimiser une réponse, en théorie comme en concret est vicieuse: la forme prime encore parce qu'apposer sa signature est devenu le gage d'un "pseudo-engagement, proche de ce que les gouvernances actuelles nous sommes de faire: voter" : cela se rejoint parfaitement dans un lien direct.
Christophe Deschamps

Management 2.0 : quel rôle pour le management de proximité dans les organisat... - 0 views

  • Dans l'entreprise 2.0, l'information devient accessible à tous et le manager perd ce pouvoir traditionnel. De même, le rôle du manager est d'évaluer son équipe. Dans un système en réseau on est beaucoup plus proche d'un "personal branding interne" qui va forcément jouer sur la réputation du collaborateur au sein de l'entreprise. De nouveau le rôle d'évaluateur traditionnel est amoindri.
  • Comme je l'avais expliqué dans ma petite liste de conseils pour passer à l'entreprise 2.0, ne laisser personne derrière soi, que ce soit d'un point de vue technologique ou organisationnel. Plus les managers de proximités seront impliqués tôt, moins ils auront l'impression d'être "la dernière roue du carrosse" et seront ouverts à ce changement.
  • L'évaluation de la performance non plus individuelle, mais collective doit les inclure. Les managers de proximités jouent un rôle dans ce changement culturel et eux aussi doivent être reconnus pour ce travail d'apports à l'entreprise collaborative. Cela doit faire partie de leur évaluation, même si eux aussi devront s'adapter à cette idée de "personnal branding interne".
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    Problématique cruciale pour l'entreprise 2.0
Yan Thoinet

Entreprise et marketing 2.0 état des lieux entre le Quebec et la France (part... - 0 views

  • Entreprise et marketing 2.0 état des lieux entre le Quebec et la France
  • le marketing 2.0 est un marketing du pull, c'est à dire qui attire le public à soi, adossé à une humanisation du produit et du service par l'établissement d'une conversation
  • Encore faut-il que les entreprises aient cet état d'esprit, d'être par exemple, dans une attitude d'écoute et de conversation
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  • Une question essentielle pour la réussite des déploiements des Intranet et applications 2.0
  • une fonction en soi qui participe à l'essor de l'ensemble des fonctions
  • monoculture de l'informatique propriétaire
Yan Thoinet

Entreprise 2.0 at Savoirs en réseau - 0 views

  • 2008, l’année de l’entreprise 2.0 selon Forrester 03.02.08 - 12:45 Selon le Forrester Research, l’année 2008 sera l’année de l’entreprise 2.0. Toujours selon lui, 42 % des entreprises n’envisagent pas de recourir aux technologies Web 2.0. Et pourtant, trois raisons résumées par Anthony Poncier, devraient les faire changer d’avis : 1. De nombreuses personnes qui travaillent dans les nouvelles techonologies utilisent déjà des services web […]
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