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Christelle Gamache

Un test pour sentir si votre entreprise est déjà prête pour le modèle collabo... - 5 views

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    La direction de votre entreprise est-elle déjà préparée aux principes du modèle collaboratif ? Mais comment passer au modèle collaboratif ?
Elise Carbone

La gestion des talents et le travail collaboratif - 0 views

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    Travail collaboratif et gestion des talents tiré de M2IE : le blog du management de l'IE et de l'entreprise 2.0. Présentation et article sur le thème comment tirer profit du 2.0 pour gérer les talents au sein de l'organisation.
Ray Dacteur

Evolution des modes de travail : les entreprises françaises à la traîne | Col... - 0 views

  • en France. Moins qu'ailleurs, l'apport des nouvelles technologies, notamment collaboratives, s'est traduit par un assouplissement des modes de travail
  • Le Français serait donc un citoyen ordinaire et un salarié atypique
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  • Trop souvent la technologie a été plaquée sur des processus existants sans profiter de l'opportunité offerte pour revoir l'organisation. » 
  • Chez Google, par exemple, quand l'idée d'un ingénieur est retenue, il ne touche pas nécessairement une prime, mais l'entreprise lui donne les moyens de la concrétiser.
Christophe Deschamps

La collaboration… une fumisterie ? - 8 views

  • Le Web social montre la voie à de nouvelles manières de faciliter l’échange de savoir, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de nos organisations, mais les comportements collaboratifs, indispensables à l’éclosion de modes de travail en accord avec la nouvelle économie en réseau qui est en train de se dessiner, ne sont présents (voire même imaginables) que chez bien peu d’entre nous.
  • Des milliers de pages Facebook sont créées chaque jour au nom de la promesse presque toujours fallacieuse de construire des communautés.
  • Ce dont nous avons besoin n’est pas de forcer l’adoption de nouvelles pratiques dans des structures conservatrices, mais de faciliter leur diffusion, par l’utilisation et la modification de mécanismes existants, quoique latents, pour permettre l’émergence de nouvelles pratiques.
  • ...9 more annotations...
  • La véritable collaboration requiert non seulement le développement d’un environnement collectif favorable, mais aussi de la confiance. Le problème est que la confiance est une qualité en voie de disparition. Les marques ne peuvent prétendre ignorer que les clients leur font chaque année de moins en moins confiance, et que cette érosion de la confiance s’exprime partout, y compris sur les médias sociaux. Dans les entreprises, le niveau de confiance est encore plus bas. Le micro-management, l’évaluation continue basée sur la performance dans des environnements de travail prédéfinis, la pression hiérarchique et économique, ont gravement endommagée la confiance parmi les employés. Dans la plupart des cas, la collaboration est une fumisterie.
  • Les travailleurs du savoir doivent continuellement pouvoir disposer de nouvelles ressources, tandis que travail et apprentissage doivent se fondre en un flux continu. Mais, alors que si peu d’entreprises sont suffisamment mûres pour accepter et adopter cette complexité et ainsi redéfinir le travail en termes de flux fluide et collaboratif, comment pouvons-nous aider et accompagner les autres ?
  • Un tel modèle facilite l’adoption de pratiques collaboratives, mais ne tient compte ni des relations réelles entre les membres d’une entreprise et du manque sous-jacent de confiance, ni d’un des défauts majeurs des processus business : les «socialiser» permet plus facilement de prendre en compte les opérations floues ou incertaines, une approche voisine de celle des Barely Repeatable Processes de Thingamy, mais ne fonctionne pas correctement lorsque l’issue elle-même est incertaine. Les processus fonctionnent lorsque le résultat en est prévisible, ce qui est de moins en moins le cas.
  • Les communautés de pratiques, qui développent avec le temps de véritables comportements collaboratifs et adaptatifs, reposent bien plus sur la passion, la patience et l’implication que sur les technologies 2.0. Elles fonctionnent généralement bien en ligne lorsqu’elles fonctionnent bien hors ligne.
  • Ces relations ne sont pas basées sur une transaction, mais reposent sur la valeur que les entreprises peuvent créer en aidant les clients à résoudre les problèmes qu’ils rencontrent dans leur vie quotidienne, en leur proposant de meilleurs produits et services. Le Web social facilite cette logique à dominante service, permettant de recueillir davantage d’informations à partir des interactions entre les individus (c’est ce à quoi s’emploie le CRM Social). La mise en place de ce type de relation est un pré-requis de la collaboration, dont le but ultime est la co-création de valeur.
  • Plutôt que d’aider leurs clients à faire ce qu’ils ont à faire en entretenant une interaction constante, beaucoup de fonctions support les mettent au bout d’un entonnoir orienté processus. Par exemple, la DSI formalise en vain ses relations avec ses clients internes à travers la gestion des exigences, malgré leur inaptitude avérée à résoudre des problèmes réels en temps réel.
  • Redéfinir le client interne en suivant une logique orientée service permettrait de jeter les bases organisationnelles de la collaboration. La plupart des services en bénéficierait; les Ressources Humaines, par exemple, pourrait mettre en place un vrai développement de carrière, au-delà des référentiels métiers et fonctions.
  • Que se passerait-il si les managers considéraient leurs équipes comme des clients ? Faciliter la tâche de ses subordonnés et observer la manière dont ils les gèrent…
  • Je crois que l’application en interne de ce que nous apprenons à faire vis-à-vis de nos clients externes fournit une solution concrète à la préparation du changement vers une entreprise collaborative, pour la grande majorité des entreprises pour qui la collaboration est une fumisterie. Je ne propose pas de modèle, juste un appel au passage à l’acte. Pour faciliter la diffusion de pratiques collaboratives, redéfinissons le client interne, et tenons en compte de la même manière que nous devons à présent tenir compte des clients de nos marques.
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    Texte essentiel de @tdebaillon
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    Bravo, une grande part de ces constats est faire un pas dans une conscience de soi et de son impact sur la société. Les entreprises sont les ultimes clés, aussi je vous propose de penser en terme d'entreprise civile... voir ici: http://www.facebook.com/topic.php?uid=67036426665&topic=8274 le groupe ADN2 .. don t vous pourrez constater qu'il n'y a pratiquement jamais d'intervenants ou de critiques constructives (c'est à dire basée sur ce que l'autre pose comme support ou erreur à corriger.). souvent les forums sont au plus près de ce que les gens arrivent à faire: parler dans leur coin et corriger un par un.. mais il est vrai qu'il y a toujours un aspect "virtuel" sur ce qui est déposé en commun. Or c'est à partir du moment où nous pourrons affirmer travailler en efforts personnels pour des projets communs que nous pourrons parler de réelle collaboration. La différence entre "participer" à un débat en y déposant son avis (et donc d'en recevoir sa propre satisfaction egotiste) ET tenter de construire afin d'affiner et d'optimiser une réponse, en théorie comme en concret est vicieuse: la forme prime encore parce qu'apposer sa signature est devenu le gage d'un "pseudo-engagement, proche de ce que les gouvernances actuelles nous sommes de faire: voter" : cela se rejoint parfaitement dans un lien direct.
Yan Thoinet

Diigo: excellent outil de travail collaboratif | Activeille - 0 views

  • Mais il me semble qu’il prend toute sa valeur comme outil de travail collaboratif quand on mesure, comme je viens de le faire, que tout ce qui précède semble applicable en intranet
    • Yan Thoinet
       
      Usage en entreprise
  • oilà un outil qui vient de sortir en version publique, après six mois de tests privés, et qui est tout à fait remarquable.
  • La première, celle des concepteurs, permet de découvrir une architecture riche qui couvre la gestion des liens, avec de nombreuses possibilités de classement (répertoires, tags), la recherche dans les signets (incluant le texte de la page et les annotations). Le contenu d’une page web peut être sélectionné (en totalité ou partie) et marqué (par soulignement).
  • ...3 more annotations...
  • En principe en survolant le paragraphe précédent vous devriez en voir le contenu (si vous êtes membre enregistré).
    • Yan Thoinet
       
      Il faut etre enregistré pour voir le contenu surligné!!
  • Encore plus fort: à cette partie, que j’ai soulignée et que vous voyez, vous pouvez associer (si vous êtes enregistré) une note brève que vous créez à la volée. A mon tour je serai en mesure de lire vos commentaires…
  • en lisant une page web intéressante, vous vous dites qu’il y a un ou deux paragraphes qu’il serait intéressant d’envoyer à un collègue. A coups de copier/coller c’est faisable mais plutôt rébarbatif. En deux clics droit de souris Diigo le fait pour vous.
    • Yan Thoinet
       
      simplicité de l'outil
Eric Delcroix

Management 2.0 : maturité de l'usage des médias sociaux dans l'entreprise - 4 views

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    Entreprise, web, travail collaboratif… vers le management 2.0
Yan Thoinet

Technologie: Le Wiki, le tableau blanc de l'intelligence collective - 0 views

  • Un Wiki est un outil de travail collaboratif permettant à n'importe quel internaute armé d'un fureteur Internet de créer ou de modifier à volonté une page Web
  • le Wiki est l'outil idéal pour stimuler la créativité d'un groupe et partager des connaissances.
  • la seule métaphore pour décrire le Wiki qui vient en tête à ces deux internautes est celle du tableau blanc.
  • ...10 more annotations...
  • un Wiki est un outil de travail collaboratif permettant à n'importe quel internaute armé d'un fureteur Internet de créer ou de modifier à volonté une page Web, et ce, sans qu'il lui soit nécessaire d'apprendre un quelconque langage de programmation.
  • l'utilisation d'un Wiki se décline en quatre grands enjeux: le Wiki est incitatif, «sa vertu d'incitation à la participation est la première clause de son cahier des charges». Il est aussi délibératif, en proposant «une forme d'approfondissement du consensus virtuel [...] faisant partie de son attractivité et donc de son caractère incitatif». Le Wiki doit être instructif, en ce sens que la collaboration directe ou différée de ses contributeurs est synthétisée en un ensemble de ressources centrées sur l'objet qui les motive. Et enfin, il est expressif, c'est-à-dire qu'il est «l'expression d'un collectif, d'un ensemble d'individus présentant au moins une attente commune
  • Toutes les versions restent cependant accessibles, tandis que l'historique des modifications peut être consulté en tout temps
  • L'encyclopédie Wikipédia est d'ailleurs conçue sur ce mode de publication.
  • on constate dans la réalité que ce genre de choses arrive fort peu souvent. D'expliquer Marc Laporte, «puisque n'importe qui peut détruire une page, ou est le défi qui est la marque de commerce des hackers?
  • Or, bien que l'application Wiki la plus connue soit l'encyclopédie Wikipédia, des centres de recherche, des «think tank» et des gestionnaires de projets commencent à implanter des Wiki en entreprise.
  • l'implantation d'un Wiki en entreprise responsabilisait ses utilisateurs.
  • «Aborder un Wiki demande toutefois de revoir ses processus de réflexion. Installer un Wiki en entreprise en voulant enchâsser ses membres dans une structure rigide est inévitablement voué à l'échec.»
  • Par exemple, un Wiki pourra être utilisé pour le développement de projets en petites équipes,
  • Le principe est simple: il s'agit d'un modèle coopératif de rédaction de documents. Concrètement, n'importe quel visiteur a la possibilité de modifier la page qu'il est en train de lire. Les modifications sont ensuite enregistrées, et toutes les versions historiques restent accessibles [comme dans un logiciel de gestion de versions]. Ainsi, un premier auteur rédige un article, un second le complète, puis un visiteur en corrige d'éventuelles erreurs qu'il aura remarquées en naviguant sur le site.»
Christophe Deschamps

Les outils collaboratifs pour l'entreprise - 0 views

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    Présentation d'@poncier lors de Co-Lab
Christophe Deschamps

Les managers de proximité sont des acteurs clés de l'acceptation du 2.0 - 3 views

  • Comme pour toute transformation d’entreprise, ils sont les principaux relais de la direction. Ils sont donc le passage obligé de tout changement et ont un rôle crucial dans l’échec ou la réussite d’un projet de transformation.
  • Cela ne signifie pas forcément qu’il y a une évolution des compétences dont ils vont avoir besoin, mais leur posture va changer. Ils devront endosser un rôle d’animateur, permettre à l’équipe de collaborer et de s’organiser. Leur rôle est moins hiérarchique, c’est plus une question de leadership et de management transverse.
  • A l’inverse ils seront les premiers à faire frein si on ne leur donne pas de possibilités d’évoluer. Ce sont à la fois les plus impactés et ceux qui vont conduire le changement. Les middle managers sont des acteurs clés.
  • ...2 more annotations...
  • Si on leur demande de travailler au delà de leur département sans que les règles d’évaluation n’aient été changées, il peut y avoir une certaine réticence de la part de leur manager. Donc il faut changer les règles de jeu au niveau du haut de la pyramide. Il ne faut plus noter seulement sur la performance individuelle mais sur le collaboratif.
  • Souvent ce sont des gens de la génération X, contrairement aux idées reçues qui veulent que la génération Y soit forcément championne du collaboratif. Ce sont eux qui vont rendre l’adoption plus facile dans le reste de l’entreprise. Il y a aussi un effet viral.
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    Anthony Poncier revient dans cette interview sur le rôle essentiel du middle-management dans le succès d'un projet 2.0
Michael Nezet

PersonAll - Plateforme d'aggrégation et de réseau social d'entreprise (Fr) - 0 views

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    PersonAll propose des solutions de portail social et collaboratif d'entreprise, complètement personnalisable par simple configuration, agrégeant toutes les informations utiles (applications métiers, modules publics, internet, etc.) en un lieu unique.
Nicolas Krzyzanowski

Faire émerger la vraie Entreprise 2.0 | Collaboratif-Info - 3 views

Christophe Deschamps

L'homophilie peut-elle freiner les dynamiques de réseau? - 3 views

  • Si le concept d'homophilie - les personnes qui se ressemblent ont de fortes chances de se rassembler - peut jouer de façon positive sur les dynamiques des réseaux sociaux, il est également à l'origine d'interférences sur les mécaniques relationnelles
  • Dans les logiques de réseaux professionnels, l'intégration d'un salarié dans un groupe correspond à une validation managériale, qui vise à encourager l'activité réelle et productive des acteurs de l'entreprise", développe-t-il. Ainsi, selon le spécialiste, il s'agit d'une logique beaucoup plus fonctionnelle qu'affinitaire. Cette première différence corrige certains écueils de l'homophilie. "La deuxième différence majeure, qui nuance également ce phénomène, c'est la présence de community managers sur les plates-formes collaboratives professionnelles"
  • Le principal : ces membres perdent contact avec les autres groupes du réseau. En entreprise, des distanciations sont aussi possibles, liées aux mouvements à l'œuvre au sein de l'institution : "si l'on change de service, si l'on cesse de travailler sur un projet, s'il y a une réorganisation des groupes de travail, des connexions peuvent se briser", note le spécialiste. "C'est la raison pour laquelle il faut renforcer les méta-connexions, les nuages de tags, les passerelles entre les secteurs d'activité"
Dominique Hebert

Formation L'intranet 2.0 - Benchmark Group - 0 views

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    Formation Benchmark Group sur l'évolution des usages de l'Intranet pour aller vers l'entreprise 2.0
Christophe Gauthier

Collaborative Thinking: 2009: Planning Considerations For Enterprise 2.0 - 0 views

  • Jive: Perhaps the most successful "mini suite" in the market right now and a good option for organizations that don't want to commit to SharePoint and have reservations about IBM.
  • Telligent: Telligent could be the "Jive of 2009" given its latest release (which rounds out the features), its integration with SharePoint, and alignment with a Microsoft environment overall.
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    les tendances pour 2009 en logiciels socialmedia pour l'entreprise 2.0
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