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Miguel Membrado

L'entreprise 2.0 à l'épreuve de la productivité - Blogs - ZDNet.fr - 0 views

  • L’entreprise 2.0 à l’épreuve de la productivité
  • Tout cela reflète les multiples et insoupçonnés usages susceptibles de se développer à partir d’applications dont l’utilisateur est le centre de gravité
  • Pas encore gagné pour les évangélistes de l’entreprise 2.0 de convaincre des carences de l’e-mail en matière de productivité. L'improductivité est un bon argument pour ne pas s’égarer dans les méandres de l’entreprise 2.0
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  • Comment rendre compte de la qualité des échanges ? Comment passer d'une notion quantitative de l'action à une notion qualitative de l'"inter-action" ?
  • Si ces nouveaux outils génèrent les mêmes réactions que le téléphone, l'email et l'usage du web en leur temps, probablement faut-il aussi y voir le fait que la technologie, et ses usages, progresse beaucoup plus vite que les habitudes des décideurs, et qu'ils ont parfois du mal (légitimement) à comprendre l'intérêt de certains outils qu'ils n'ont jamais utilisés... par ailleurs, nombreux sont ceux qui ne jurent que par la relation directe, et qui restent méfiant vis-à-vis des apports des outils électroniques.
  • Le jour où la perte de productivité dûe aux réseaux sociaux ou plus généralement à l'utilisation d'internet dans l'entreprise sera quantifiée au delà du gain permit par ces mêmes outils, je reprends mon souffle car cette phrase est longue, des solutions seront amenées par des prestataires de services pour le contrôle de l'utilisation du réseau
  • Travaillant dans une société qui a mis en place un indicateur sur les mails je suis moins persuadfé que tous les employeurs voient le mail comme un outil de prtoductivité. Je crois qu'il y a un biai commun c'est de confondre l'outil et le besoin. Finalement un messenger, une formation et (même) une machine a café sont à la fois des causes de productivités et de non productivuté. Tous ceci ne sont que des outils et c'est la manière de les utiliser qui changent. Par exemple, aussi bien les mails que les messengers sont des causes d'interruptions dans le travail quotidien. Une interruption sur une tache sur laquelle vous êtes en cours est une cause de non productivité mais aussi souvent de stress ce qui est encore pire. Au global ce qui me soucie dans cette manière d'aborder les choses c'est qu'au lieu de réfléchir outillage il faudrait réfléchir condition et méthodes de travail en premier.
Yan Thoinet

L'information électronique accroît la productivité | Guitef - 0 views

  • Les travailleurs qui sont des concentrateurs de l’information électronique réalisent plus de projets dans un temps donné et ainsi génèrent plus de revenus pour leur firme.
  • Les travailleurs hypermaillés sont-ils plus productifs en raison de leur réseau d’information, ou sont-ils plus maillés parce que de nature plus productive au départ?
  • • Les technologies de l’information accroissent la productivité en facilitant le multitasking. • Le multitasking peut être productif, mais seulement jusqu’à un point. • L’accès à de nouvelles informations a des effets positifs sur la productivité. • Les discussions par courrier électronique se produisent plus spontanément entre les gens qui ont des choses en commun. • Un réseau diversifié de contacts est associé à une plus grande productivité.
Miguel Membrado

Web 2.0 : les entreprises n'adoptent pas les outils de collaboration - 0 views

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    Malgré leur succès incontesté dans le domaine grand public, les outils de collaboration en ligne du web 2.0 peinent à s'imposer en entreprise. C'est ce que révèle une récente étude du cabinet d'analyse Forrester. Quelques chiffres : 68 % des employés utilisent toujours email & téléphone pour collaborer (!). Ils sont de plus en plus souvent secondés par la messagerie instantanée (15% des employés) et la web conférence (13 %) (seulement !). Les réseaux sociaux ne sont utilisés que par 8 % des employés, les blogs par 5 % des collaborateurs et les wiki par 4 %. MAIS Les outils de bureautique en ligne (Google Apps, Windows Live, etc.) semblent en revanche décoller puisque 16 % des employés y auraient désormais recourt. La transformation des usages vers les nouveaux outils de productivité bureautique est bien en route :)
Yan Thoinet

Entreprise 2.0 - Wikipédia - 0 views

  • "Entreprise 2.0 est un terme pour les technologies et pratiques commerciales qui libère la force de travail des contraintes des outils de communication et de productivité comme l'email. Il permet aux cadres d'accéder à la bonne information au bon moment à travers un réseau d'applications inter-connectées, services et dispositifs. Entreprise 2.0 permet d'accéder à l'intelligence collective de nombreuses personnes, transférant un énorme avantage compétitif se traduisant par une augmentation de l'innovation, la productivité et de l'agilité."
Christophe Deschamps

La productivité en entreprise a besoin des liens humains - 0 views

  • Réseaux sociaux et outils 2.0 ne sont pas un facteur de dissipation en entreprise, au contraire. Ils permettent aux collaborateurs de construire un climat de confiance avec des collègues mais aussi avec d'éventuels clients et partenaires,
  • Donner plus de liberté et de flexibilité aux employés est généralement perçu comme contre-productif, pourtant il s'avère au contraire que cela donne plus de stabilité aux entreprises qui se prêtent au jeu
  • Les technologies et les solutions de gestion qui facilitent la communication changent perpétuellement. Au vu du climat d'affaires actuel, elles représentent une opportunité significative de créer de la valeur",
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  • Reste qu'une telle étude doit être prise pour ce qu'elle est : un rapport commandité en partie par un opérateur, qui fournit des outils de collaboration aux entreprises.
Yan Thoinet

Mes prévisions pour 2.0 08 | Bloc Note de Bertrand DUPERRIN - 0 views

  • au départ des projets localisés, sans grans bénéfices mais faciles à mettre en place, pour en arriver à la redéfinition du périmètre business, qui offre d’immenses bénéfices pour une transformation de grande ampleur.
  • une affaire de productivité et de coûts…)
Christophe Deschamps

L'entreprise et le web - 0 views

  • On ne consulte plus le web, on l’utilise.
  • Interfaces légères, utilisation intuitive, dimension sociale : on ne regarde plus le web sans se parler entre nous mais on s’en sert pour intéragir.
  • Soyons honnêtes, tout cela a été quelque peu survendu mais la masse critique était telle qu’il devait forcément en sortir quelque chose.
  • ...10 more annotations...
  • Un des éléments nécessaires au succès était le contexte, une dimension largement moins facile à importer que la technologie elle-même.
  • Pour la première fois l’appropriation technologique que l’entreprise pratiquait jusque là avec succès devait se doubler d’une appropriation comportementale. Un challenge d’autant plus difficile que les personnes en charge de l’un ne sont pas celles en charge de l’autre et que les fameux “usages” inquiétaient à juste titre : il fallait de plus les professionnaliser.
  • La professionalisation des usages est possible mais encore difficile à comprendre pour l’entreprise qui a besoin de quelque chose de plus structurant pour avancer. Ce qui amène à penser que la prochaine étape sera davantagé liée aux processus opérationnels.
  • Et dans l’entreprise utilisation signifie production et gains de productivité.
  • Le “web en tant que plateforme” au sein de l’entreprise va servir à enrichir les processus existants et donner de l’autonomie au collaborateur pour atteindre ses objectifs dans une entreprise en réseau.
  • Il n’est plus question ici d’importer des technologies mais de construire des “services” répondant à des besoins organisationnels. Cela peut sembler complexe mais c’est en fait plus compréhensible pour l’entreprise  car se rapproche de logiques d’organisation de production qui lui sont plus familières que les logiques d’usage. Par services j’entend des couples “outils / mode de travail”
  • Un alignement des outils doit donc également être mis en place. Le collaborateur ne peut passer sa vie à servir de gare de triage entre les flux des outils internes, des outils utilisés avec clients et partenaires et des outils permettant de communiquer avec le monde au sens large.
  • En fait la qualité de l’adoption du web dans une entreprise dépend quasi exclusivement de la capacité de celle-ci  à penser conjointement l’évolution de la technologie, des modes de travail et des rapports de l’entreprise à son ecosystème.
  • La preuve que finalement le web en tant que tel n’a aucune importance : il arrive naturellement dans tout projet d’entreprise bien pensé, s’appuyant sur une vraie vision.
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    Finalement beaucoup de débats actuels sont liés à la capacité de l'entreprise à comprendre, apprivoiser et utiliser le web à son profit, en interne. Un sujet a priori anodin puisque purement technologique et nécessitant des compétences autrement plus simples que celles mises en œuvres jusque là sur les infrastructures d'entreprise. Mais au final un sujet pas si anodin que cela.
Christophe Deschamps

La qualité est elle la version 2.0 de la quantité ? | Bloc-Notes de Bertrand ... - 2 views

  • On entend souvent qu’être “sales oriented” (à dire en anglais pour faire plus sérieux) est le seul moyen de réussir. Cela est vrai à condition que toute l’énergie de l’entreprise ne soit pas concentrée sur la vente et qu’il y ait des équipes de production et de services qui tiennent la promesse des vendeurs.
  • Dans un système davantage orienté vers l’intangible la notion de productivité est plus complexe. Tout le monde reconnait qu’elle compte, que la formule reste la même…c’est simplement la mesure de ses éléments qui devient plus confuse et reste encore mal maitrisée. L’objectif restant de faire ce qui est demandé avec, sinon le minimum de ressources en tout cas sans gachis.
  • Le temps passé a-t-il servi à produire quelque chose de valorisable par le client ? Le dossier a-t-il été traité d’une manière valorisable par le client etc ? En un mot, plus que la quantité c’est d’évaluer si ce qui est fait est valorisable par son destinataire qui importe. La qualité n’est plus du seul ressort du système, elle devient désormais la responsabilité de chacun à son niveau, simple collaborateur ou manager d’équipe. Sachant, d’autant plus, que cela correspond davantage à la notion de client interne dans laquelle on retrouve le collègue avec qui on collabore de manière non facturable.
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  • “L’entreprise 2.0 est un ensemble d’outils et pratiques destinées à augmenter le périmètre du capital humain et informationnel accessible et utilisable afin d’exécuter les process et workflows quotiens et délivrer les résultats attendus dans les délais impartis.”
  • Dès lors qu’on admet que les logiques “sociales” et “de réseau” permettent d’adresser des logiques qualitatives et quantitatives qui échappent à des modes d’organisation peu adaptés à certains contextes nouveau, cela ouvre un nombre considérable de portes pour positionner des projets “entreprise 2.0″ en interne et construire des méthodologies qui font du sens par rapport à des thèmes au sujet desquels les entreprises sont déjà sensibilisées.
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    Un débat complètement revisité au coeur des problématiques de l'entreprise 2.0
Ray Dacteur

Yammer, le micro blogging (presque) idéal pour les rédactions - Journalistiques - 5 views

  • Gains de productivité: ils échangent non pas sur ce qui les émeut ou sur ce qui pourrait les mettre en valeur - le bruit qui brouille le signal sur Twitter - mais sur l'état d'avancement de leurs tâches respectives.
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