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Tyme 2.0

Online Meeting, Web Conferencing, Desktop Sharing and Remote Support with Mikogo - 0 views

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    Mikogo is an easy-to-use cross-platform desktop sharing tool, ideal for web conferencing, online meetings or remote support, with up to 10 others participants. Iit's FREE for both commercial and private use. There's also a "portable " version. The organiser/presenter must register, but presenter ( could be another participant) and the viewer participants don't need, they just have to know the session ID Mikogo is a BeamYourScreen company product
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    Une application trés facile à mettre en place avec un collaborateur ou un client, trés facile à utiliser et qui fera gagner beaucoup de temps : Un partage d'écran vaut mieux qu'un long discours au téléphone !
Miguel Membrado

Six ways to make Web 2.0 work - The McKinsey Quarterly - Six ways Web 2.0 work - Busine... - 0 views

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    Excellent article from McKinsey about how web 2.0 tools can improve productivity and efficiency in the company. They are also very well explaining difference between participation and collaboration, which we are ourselves explaining it for many years. It's good to see this difference recognized. The different categories are very well explained also. But one of the key point of this article in the introduction of workflow tecnologies in this area. McKinsey is saying that workflow + participatory technologies is a key enhancer for the company. We agree of course with this, first because companies need both world, and second because providing automation and participation capabilities to the information system is the best way to improve it drastically.
Miguel Membrado

The AppGap » » The Company as a Wirearchy … in 2013 ?: Work 2.0, Web 2.0, Ent... - 0 views

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    Jon Husband clarifying some concepts about wirearchy. Wirearchy concept is almost the same than heterarchy we have developed within eSangathan project and within Kimind quadrant. Heterarchy is more focus on free participation where wirearchy is focused on connexion between people. But at the end, the result is the same, a horizontal organization instead of a vertical one.
Yan Thoinet

Techinnov Orly - Rencontres innovation et développement Paris Sud - Orly - Je... - 0 views

  • Techinnov 2008 2e édition des Rencontres Innovation & Développement Paris-Sud Jeudi 7 février 2008 – Aéroport Paris-Orly J - 3 Actualités : Découvrez en exclusivité les premiers grands comptes, participants à Techinnov    Des rendez-vous qualifiés, des rencontres optimisées Des bénéfices concrets 87% des participants à Techinnov 2007 sont satisfaits de cet évènement Techinnov est un forum dynamique dédié aux rencontres d’affaires entre grands comptes, PME, laboratoires, jeunes créateurs innovants et investisseurs du sud-francilien. Ses objectifs : drainer des courants d’affaires, stimuler les collaborations stratégiques et initier un dialogue constructif inter-entreprises autour d’une thématique commune, l’innovation et le développement. Techinnov privilégie le contact direct et qualifié : rendez-vous préprogrammés en face à face, ateliers thématiques, "partage de savoirs", ... La diversité des secteurs d’activités et des types d’entreprises participantes favorise les échanges et multiplie les opportunités de partenariat et de développement pour : Trouver des financements Se faire référencer Rencontrer des partenaires technologiques Se positionner sur des marchés porteurs Favoriser l’internationalisation de son activité Soutenir des projets à fort potentiel de croissance Les 4 temps forts de l’événement : La convention de financement : des jeunes créateurs innovants présentent leur projet à des investisseurs. Les rencontres d’affaires : les PME rencontrent d’autres PME mais aussi des grands comptes – sur des offres de marché - et des laboratoires pour des échanges/partenariats technologiques. Les conférences prospectives : des experts abordent l’innovation et le développement sous un angle opérationnel. Les rencontres européennes : des entreprises innovantes européennes développent des relations avec les entreprises du territoire. Le succès et les contacts générés lors de Techinnov 2007 ont amené les institutions organisatrices à renouveler l’expérience. Le Conseil régional d’Île-de-France, les Conseils généraux, les Chambres de commerce et d’industrie, les Agences pour l’économie ou de développement de l’Essonne et du Val-de-Marne, en partenariat avec le MEDEF, la CGPME et le CJD s’associent donc une seconde fois pour continuer à proposer un événement professionnel attendu et efficace. Inscrivez-vous dès aujourd'hui à la 2e édition de Techinnov qui se déroulera le Jeudi 7 février 2008 à l’aéroport de Paris-Orly.
Frank Hamm

Enterprise 2.0 SUMMIT on 10 - 12 November, 2009 - 2 views

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    "The Enterprise 2.0 SUMMIT is organized by Kongress Media and was first been held at CeBIT 2008. The event is about how corporations have to change to be more productive as well as innovative and competitive for their markets by the use of social software. With the presentation of European and international best-practices coupled with a gathering of the international expert's community the Enterprise 2.0 SUMMIT is helping participants in gaining new ideas and inspiration for their projects as well as learning about the real-life opportunities and challenges. The upcoming conference is held on November 11 & 12th, 2009 in Frankfurt with additional pre-conference seminars on November 10th." With Lee Bryant, Markus Bentele, Betrand Duperrin, Craig Hepburn, Dion Hinchcliffe, Oliver Marks, Mark Masterson, Frank Schönefeld, Simon Wardley, Gil Yehuda and others With best practises from * CSC * Dassault Systems * Deutsche Bundeswehr * ISO * Lago * National Suisse * Otto Group * SUN Microsystems * Westaflex
Christophe Deschamps

La collaboration… une fumisterie ? - 8 views

  • Le Web social montre la voie à de nouvelles manières de faciliter l’échange de savoir, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de nos organisations, mais les comportements collaboratifs, indispensables à l’éclosion de modes de travail en accord avec la nouvelle économie en réseau qui est en train de se dessiner, ne sont présents (voire même imaginables) que chez bien peu d’entre nous.
  • Des milliers de pages Facebook sont créées chaque jour au nom de la promesse presque toujours fallacieuse de construire des communautés.
  • Ce dont nous avons besoin n’est pas de forcer l’adoption de nouvelles pratiques dans des structures conservatrices, mais de faciliter leur diffusion, par l’utilisation et la modification de mécanismes existants, quoique latents, pour permettre l’émergence de nouvelles pratiques.
  • ...9 more annotations...
  • La véritable collaboration requiert non seulement le développement d’un environnement collectif favorable, mais aussi de la confiance. Le problème est que la confiance est une qualité en voie de disparition. Les marques ne peuvent prétendre ignorer que les clients leur font chaque année de moins en moins confiance, et que cette érosion de la confiance s’exprime partout, y compris sur les médias sociaux. Dans les entreprises, le niveau de confiance est encore plus bas. Le micro-management, l’évaluation continue basée sur la performance dans des environnements de travail prédéfinis, la pression hiérarchique et économique, ont gravement endommagée la confiance parmi les employés. Dans la plupart des cas, la collaboration est une fumisterie.
  • Les travailleurs du savoir doivent continuellement pouvoir disposer de nouvelles ressources, tandis que travail et apprentissage doivent se fondre en un flux continu. Mais, alors que si peu d’entreprises sont suffisamment mûres pour accepter et adopter cette complexité et ainsi redéfinir le travail en termes de flux fluide et collaboratif, comment pouvons-nous aider et accompagner les autres ?
  • Un tel modèle facilite l’adoption de pratiques collaboratives, mais ne tient compte ni des relations réelles entre les membres d’une entreprise et du manque sous-jacent de confiance, ni d’un des défauts majeurs des processus business : les «socialiser» permet plus facilement de prendre en compte les opérations floues ou incertaines, une approche voisine de celle des Barely Repeatable Processes de Thingamy, mais ne fonctionne pas correctement lorsque l’issue elle-même est incertaine. Les processus fonctionnent lorsque le résultat en est prévisible, ce qui est de moins en moins le cas.
  • Les communautés de pratiques, qui développent avec le temps de véritables comportements collaboratifs et adaptatifs, reposent bien plus sur la passion, la patience et l’implication que sur les technologies 2.0. Elles fonctionnent généralement bien en ligne lorsqu’elles fonctionnent bien hors ligne.
  • Ces relations ne sont pas basées sur une transaction, mais reposent sur la valeur que les entreprises peuvent créer en aidant les clients à résoudre les problèmes qu’ils rencontrent dans leur vie quotidienne, en leur proposant de meilleurs produits et services. Le Web social facilite cette logique à dominante service, permettant de recueillir davantage d’informations à partir des interactions entre les individus (c’est ce à quoi s’emploie le CRM Social). La mise en place de ce type de relation est un pré-requis de la collaboration, dont le but ultime est la co-création de valeur.
  • Plutôt que d’aider leurs clients à faire ce qu’ils ont à faire en entretenant une interaction constante, beaucoup de fonctions support les mettent au bout d’un entonnoir orienté processus. Par exemple, la DSI formalise en vain ses relations avec ses clients internes à travers la gestion des exigences, malgré leur inaptitude avérée à résoudre des problèmes réels en temps réel.
  • Redéfinir le client interne en suivant une logique orientée service permettrait de jeter les bases organisationnelles de la collaboration. La plupart des services en bénéficierait; les Ressources Humaines, par exemple, pourrait mettre en place un vrai développement de carrière, au-delà des référentiels métiers et fonctions.
  • Que se passerait-il si les managers considéraient leurs équipes comme des clients ? Faciliter la tâche de ses subordonnés et observer la manière dont ils les gèrent…
  • Je crois que l’application en interne de ce que nous apprenons à faire vis-à-vis de nos clients externes fournit une solution concrète à la préparation du changement vers une entreprise collaborative, pour la grande majorité des entreprises pour qui la collaboration est une fumisterie. Je ne propose pas de modèle, juste un appel au passage à l’acte. Pour faciliter la diffusion de pratiques collaboratives, redéfinissons le client interne, et tenons en compte de la même manière que nous devons à présent tenir compte des clients de nos marques.
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    Texte essentiel de @tdebaillon
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    Bravo, une grande part de ces constats est faire un pas dans une conscience de soi et de son impact sur la société. Les entreprises sont les ultimes clés, aussi je vous propose de penser en terme d'entreprise civile... voir ici: http://www.facebook.com/topic.php?uid=67036426665&topic=8274 le groupe ADN2 .. don t vous pourrez constater qu'il n'y a pratiquement jamais d'intervenants ou de critiques constructives (c'est à dire basée sur ce que l'autre pose comme support ou erreur à corriger.). souvent les forums sont au plus près de ce que les gens arrivent à faire: parler dans leur coin et corriger un par un.. mais il est vrai qu'il y a toujours un aspect "virtuel" sur ce qui est déposé en commun. Or c'est à partir du moment où nous pourrons affirmer travailler en efforts personnels pour des projets communs que nous pourrons parler de réelle collaboration. La différence entre "participer" à un débat en y déposant son avis (et donc d'en recevoir sa propre satisfaction egotiste) ET tenter de construire afin d'affiner et d'optimiser une réponse, en théorie comme en concret est vicieuse: la forme prime encore parce qu'apposer sa signature est devenu le gage d'un "pseudo-engagement, proche de ce que les gouvernances actuelles nous sommes de faire: voter" : cela se rejoint parfaitement dans un lien direct.
Christophe Deschamps

SaaS market will 'collapse' in two years | Tech News on ZDNet - 0 views

  • People are stupid. History has shown it repeats itself, and people make the same mistakes.
    • Christophe Deschamps
       
      A l'ère de la participation voilà quelqu'un qui n'aime pas le politiquement correcte.
Christophe Deschamps

IndustryWeek : Seven Strategies for Implementing a Successful Corporate Wiki - 0 views

  • Integrate the wiki as one of several important tools in an organization's IT collaboration architecture.Understand the wiki "rules of conduct" and ensure they are monitored and enforced.Optimize the use of wikis for collaborative knowledge creation across geographically dispersed employees, and for crossing divisional or functional boundaries, in order to gain insights from people not previously connected.Assign a champion to each wiki and have that champion observe contributions that people make to the wiki; the champion will help foster employees who adopt the important "shaper" role within the wiki.Recognize that the most difficult barrier to cross in sustaining a wiki is convincing people to edit others' work; organizations should ask their champion and managers to help with this.Recognize that a significant value of wikis comes from embedding small software programs into the wiki that structure repetitive behavior. Some include organizing meeting minutes, rolling up project status or scheduling meetings. Ask wiki participants to keep watching for repetitive activity to evolve and enhance wiki technology.Understand wikis are best used in work cultures that encourage collaboration. Without an appropriate fit with the workplace culture, wiki technology will be of limited value in sharing knowledge, ideas and practices.
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    Tout est dans le titre
Yan Thoinet

etrevivant - 0 views

  • De plus en plus d'industries ont compris les avantages qu'elles pouvaient tirer des participations collaboratives en ligne ou même d'une forme d'intelligence collective pour créer de nouveaux produits, anticiper des marchés, évaluer des services.
  • Rapidement, d'autres grandes entreprises, comme Dow ou Procter & Gamble, qui consacre 1,7 milliard de dollars à la R&D, ont compris l'intérêt de cette forme de recherche mondiale mutualisée et sont venues rejoindre InnoCentive.
  • Les problèmes sont mis en ligne sur le site avec un résumé de la demande, une date limite de réponse et le montant prévu de la récompense qui sera attribuée à la meilleure solution (entre 2000 et 100000 dollars). Pour que sa demande soit mise en ligne, l'entreprise verse un acompte d'environ 20000 dollars à InnoCentive. Pour avoir accès aux demandes des entreprises, il faut s'inscrire comme solver.
Yan Thoinet

AgoraVox le média citoyen : L'entreprise 2.0 ou la mutation à l'œuvre - 0 views

  • mesure des possibilités offertes par ces nouvelles technologies collaboratives
  • un mode de fonctionnement basé sur la participation active du plus grand nombre.
  • la banque Dresdner Kleinwort Wasserstein qui, à l’automne 2005, termina la mise en oeuvre d’une nouvelle plate-forme intranet basée sur les technologies du blog, du Wiki et de la messagerie instantanée, et qui réalisa très vite que le système manquait d’une fonctionnalité cruciale, permettant de connaître en temps réel la disponibilité des utilisateurs connectés. 64 minutes plus tard, et cela sans définition de projet ni même de planning, une petite communauté d’employés avait développé un outil répondant à ce besoin. La technologie collaborative avait joué à plein son rôle d’outil communautaire.
Yan Thoinet

Web 2.0 : la révolution par les usages - 0 views

  • Tout au plus les technologies sur lesquelles est fondé l'Internet (HTML, javascript, CSS...) ont-elles légèrement évolué vers un cadre mieux défini, plus ouvert et plus standard.
  • "Une participation plus forte des internautes"
  • Des utilisateurs qui partagent plus
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  • De même, les wikis connaissent également une forte croissance. Wikipedia, l'encyclopédie en ligne collaborative, en est la figure emblématique. Tellement emblématique qu'elle en devient la cible de critiques organisées. Qu'à cela ne tienne, de nombreuses déclinaisons existent déjà : WikiNews, WikiBooks, WikiTravel et même YelloWikis (les pages jaunes en version collaborative).
  • Les réseaux sociaux trouvent également d'autres domaines d'application comme les ressources humaines où les sites de recrutement reposant sur le principe de cooptation commencent à voir le jour : Jobster aux Etats-Unis ou encore Cooptin lancé récemment par Keljob.
  • Les folksonomies en sont un bon exemple avec des services aux noms étranges comme del.icio.us ou FlickR.
  • un système de classification basé sur des mots-clés collectifs (ou tags). Le principe est simple : ce sont les utilisateurs qui organisent leur contenu (photos, liste de liens, musique...) en appliquant à chacun des éléments un ou plusieurs tags. Ces tags sont ensuite mis en commun et les plus pertinents ressortent statistiquement du lot. Il s'agit en quelque sorte d'une forme de classement empirique qui repose sur l'appréciation de chacun.
    • Yan Thoinet
       
      Bonne definition
  • "Une ère nouvelle où les utilisateurs sont contributeurs et bénéficiaires"
Yan Thoinet

Technologie: Le Wiki, le tableau blanc de l'intelligence collective - 0 views

  • Un Wiki est un outil de travail collaboratif permettant à n'importe quel internaute armé d'un fureteur Internet de créer ou de modifier à volonté une page Web
  • le Wiki est l'outil idéal pour stimuler la créativité d'un groupe et partager des connaissances.
  • la seule métaphore pour décrire le Wiki qui vient en tête à ces deux internautes est celle du tableau blanc.
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  • un Wiki est un outil de travail collaboratif permettant à n'importe quel internaute armé d'un fureteur Internet de créer ou de modifier à volonté une page Web, et ce, sans qu'il lui soit nécessaire d'apprendre un quelconque langage de programmation.
  • l'utilisation d'un Wiki se décline en quatre grands enjeux: le Wiki est incitatif, «sa vertu d'incitation à la participation est la première clause de son cahier des charges». Il est aussi délibératif, en proposant «une forme d'approfondissement du consensus virtuel [...] faisant partie de son attractivité et donc de son caractère incitatif». Le Wiki doit être instructif, en ce sens que la collaboration directe ou différée de ses contributeurs est synthétisée en un ensemble de ressources centrées sur l'objet qui les motive. Et enfin, il est expressif, c'est-à-dire qu'il est «l'expression d'un collectif, d'un ensemble d'individus présentant au moins une attente commune
  • Toutes les versions restent cependant accessibles, tandis que l'historique des modifications peut être consulté en tout temps
  • L'encyclopédie Wikipédia est d'ailleurs conçue sur ce mode de publication.
  • on constate dans la réalité que ce genre de choses arrive fort peu souvent. D'expliquer Marc Laporte, «puisque n'importe qui peut détruire une page, ou est le défi qui est la marque de commerce des hackers?
  • Or, bien que l'application Wiki la plus connue soit l'encyclopédie Wikipédia, des centres de recherche, des «think tank» et des gestionnaires de projets commencent à implanter des Wiki en entreprise.
  • l'implantation d'un Wiki en entreprise responsabilisait ses utilisateurs.
  • «Aborder un Wiki demande toutefois de revoir ses processus de réflexion. Installer un Wiki en entreprise en voulant enchâsser ses membres dans une structure rigide est inévitablement voué à l'échec.»
  • Par exemple, un Wiki pourra être utilisé pour le développement de projets en petites équipes,
  • Le principe est simple: il s'agit d'un modèle coopératif de rédaction de documents. Concrètement, n'importe quel visiteur a la possibilité de modifier la page qu'il est en train de lire. Les modifications sont ensuite enregistrées, et toutes les versions historiques restent accessibles [comme dans un logiciel de gestion de versions]. Ainsi, un premier auteur rédige un article, un second le complète, puis un visiteur en corrige d'éventuelles erreurs qu'il aura remarquées en naviguant sur le site.»
Yan Thoinet

émergenceweb : blogue » Blog Archive » Pourquoi bloguer ? Pour se souvenir ! - 0 views

  • Comment intégrer les nouvelles générations en entreprises et surtout comment créer à leur intention une mémoire d’entreprise ? J’ai fait de nombreux billets sur mon blogue, au cours des derniers mois, pour expliquer mes réflexions sur la mémoire d’entreprise. Pour la créer, neuf pré-requis : Bâtir les savoirs (multiplication des wikis) Communiquer les savoirs (aggrégation de blogues)* Identifier les savoirs (mise en relation) Localiser les savoirs (géo-localisation) Récupérer les savoirs (Peer-to-peer avec les retraités) Documenter les savoirs (Carnets de vie)* Gérer les savoirs (Les entrepôts de données)* Rechercher les savoirs (tagging, recherche sémantique) Transmettre les savoirs (vLearning)
  • le wiki, les blogues d’entreprise sont des espaces individuels de communication et de partage, qui permettent de regrouper (ou agréger) et mettre en valeur les expertises internes.
  • les blogues sont clairement définis comme un lieu particulier où l’on trouve des groupes d’expertise, des lieux d’échanges et de communication sur des sujets très précis et pertinents à la mission et aux objectifs d’affaires de l’entreprise.
  • ...8 more annotations...
  • mélanger (mashup) deux technologies du Web 2.0, soit le blogue et les fils de presse Web, que l’on nomme habituellement flux RSS (pour Really Simple Syndication), et ainsi de créer un mini-portail personnalisé de blogues d’expertise, selon l’unité, la division, le service.
  • Faites la transposition de Netvibes en entreprise… Il est donc facile de concevoir, par exemple, une agrégation de blogues d’experts en vins à la SAQ, de conseillers en rénovation chez Rona ou d’experts en efficacité énergétique à Hydro-Québec !
  • Pour toutes sortes de raisons, bonnes ou mauvaises, on craint que cette « liberté d’opinion » mette en danger l’image, la sécurité, la réputation et les avantages concurrentiels.
  • Il n’est pas rare de voir des employés d’entreprises ou de sociétés publiques tenir leur propre blogue professionnel. Pourquoi ne pas utiliser ces forces vives pour la construction d’une expertise collective interne
  • À l’interne, on a donc mis ces produits à bon usage. Résultat : 26 000 blogues individuels, 20 000 wikis regroupant 100 000 participants… et un réseau social appelé BluePages qui «réseaute» plus de 400 000 personnes ! Tous les employés peuvent bloguer et «podcaster». Pour éviter les débordements, personne n’est autorisé à rester anonyme dans l’intranet et l’entreprise s’attend à ce que chacun respecte un code de conduite spécifique.
  • Et, en plus de déclencher le partage de connaissance et d’expertise, les agrégations de blogues, ou fermes de blogues, comme certains les nomment, permettent l’articulation et l’organisation des idées, développent et maintiennent les expertises, humanisent l’entreprise, génèrent la communication et favorisent l’appartenance à l’entreprise.
  • dans la majorité des sondages internes effectués par les entreprises sur la satisfaction des employés, la question de la non-reconnaissance de l’expertise et des réalisations des employés revient toujours
  • Combien de fois entend-on la réflexion suivante en entreprise : « Mon expertise n’est pas reconnue. Ils préfèrent écouter un consultant externe » ? Les blogues d’expertise constituent une des réponses à cette question.
Yan Thoinet

Documation 2008 - 12 et 13 mars 2008 - CNIT Paris, La Défense - 0 views

  • Le salon DOCUMATION, dont la 14ème édition se tiendra les 12 et 13 mars prochains au CNIT de Paris la Défense représente cette année encore, l'occasion unique de rencontrer tous les acteurs du marché de la gestion de contenu et du document, découvrir de nouvelles applications, participer à des conférences gratuites à forte valeur ajoutée, se former et faire de la prospective dans le cadre du congrès !
Yan Thoinet

Entreprise et marketing 2.0 état des lieux entre le Quebec et la France (part... - 0 views

  • Entreprise et marketing 2.0 état des lieux entre le Quebec et la France
  • le marketing 2.0 est un marketing du pull, c'est à dire qui attire le public à soi, adossé à une humanisation du produit et du service par l'établissement d'une conversation
  • Encore faut-il que les entreprises aient cet état d'esprit, d'être par exemple, dans une attitude d'écoute et de conversation
  • ...3 more annotations...
  • Une question essentielle pour la réussite des déploiements des Intranet et applications 2.0
  • une fonction en soi qui participe à l'essor de l'ensemble des fonctions
  • monoculture de l'informatique propriétaire
Christophe Deschamps

12 Rules For Bringing 'Social' To Your Business - 0 views

  • But for most of us to really get strategic value from social business, we'll need to understand the ground rules. In other words, let's ask and answer the tough questions in making this transition: Are social business activities generally better than non-social business activities? How does having a social business help the bottom line and the long-term health of an organization? What, in the end, does "taking a business social" really mean?
  • the network (the Web or enterprise or both) is about who is on it and how involved they are.
  • ...14 more annotations...
  • the transition to social business is about involving and engaging people far more than it is about picking a technology or building the infrastructure.
  • There is no simpler or more effective way to build the connections and your social business fabric than creating conversation.
  • But sitting back and waiting for the world to involve your business in what they do is just no longer an option. Too often, they will just go off to the communities that have already engaged them and that will be that. "Experience share" is your new measure of success, meaning the amount of time that the world interacts with you socially.
  • As I said then, "communities exist to serve the needs of their members" and themselves second if they intend to have a successful long-term relationship, as in most human relationships.
  • Social business doesn't mean we throw open the doors to everything automatically as a public process either. But we are usually so far in the other direction that a step towards this is just the right medicine right now.
  • Social analytics, however, are already here and this story is about individuals anyway. If workers aren't measured by how effective they are at creating value on the network, they will just focus on what they are measured on to get their recognition, raises, and promotions. This is a complex subject that will often have very different ground rules for different organizations.
  • Do not use social channels for traditional push communication. Classic examples: Don't use online communities for distributing press releases, product literature, PR, or spokesperson canned messages.
  • Censorship kills participation. Nothing will stop a social business in its tracks faster than inappropriate censorship.
  • But nothing will remove you from the world of social businesses faster or more effectively. Honest, open conversation is always the better choice and is truly valuable in its own right. Respond to criticism constructively and quickly.
  • If you are working closely with customers, partners, employees using social tools (as well as people are potentially want to be in one of those three groups) the more you do it, the more it will seem as if there is one cohesive community.
  • Where one gets a paycheck and what organization's name is on a business card is less important than the fact that everyone is getting more value than if they were doing things in a non-social way.
  • Everyone involved in a social relationship must get something out of it or there's no reason for it.
  • Being social for it's own sake may generate downstream value accidentally but social businesses will often have a long list of intentional reasons they are being social.
  • There are almost certainly a lot more rules for social businesses, but we're still learning them.
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    Un "classique" Dion Hinchcliffe
Christophe Deschamps

L'entreprise 2.0 entre simplicité volontaire et taichi - 0 views

  • Osez la simplicité, elle vous permettra d’être agile, réactif et d’économiser votre énergie, osez les projets low-cost qui paraissent plus risqués car portés par des plus petites entreprises avec des solutions plus légères.
  • Osez permettre à vos salariés de trouver du plaisir dans leur travail en leur offrant la possibilité de participer, collaborer à des projets qui les intéressent, en développant leurs compétences, en adaptant leurs horaires et temps de travail.
  • Développez leur confiance, leur implication en réduisant les niveaux hiérarchiques comme ceux de la grille de salaire. La réussite de l’entreprise doit trouver les moyens d’une juste redistribution et non pas des miettes aux salariés et les gâteaux aux dirigeants et plus gros actionnaires comme les dernières enquête l’ont encore une fois prouvées.
  • ...2 more annotations...
  • Osez accepter les critiques en interne comme en externe, un client mécontent vous en apprend bien plus qu’un client anonyme, investissez dans la perte ! N’ayez pas peur de l’échec juste de ne pas apprendre, ne pas bouger, osez de nouveaux projets, développez l’imagination, l’innovation.
  • Ce qui se passe actuellement c’est un basculement des outils 2.0 avec une perte de leur sens originel  désormais résumé à des discours creux sur la place de l’homme dans l’entreprise et donnent lieu à toutes les manipulations possibles pour augmenter le chiffre d’affaire sans grand souci ni des hommes, ni de l’environnement.
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    Une réflexion sur le thème où vont les technos 2.0 en entreprise? Ou plutôt ou ne vont-elles pas alors qu'elles pourraient nous permettre de le faire aisément.
Christophe Deschamps

5 Factors to Consider When Selecting Enterprise Social Tools - 0 views

  • Know what you want to achieve with your initiative. Social media tools can achieve a huge range of different tasks, from better internal collaboration to lead generation. What does your firm need to do?
  • Understand your organization’s culture and leadership. Social media won’t change an organization’s culture. Understanding the culture and leadership of your organization will have a huge impact on your requirements, choice of tool and how to implement and configure it.
  • Listen, watch, understand and interview or survey the constituent base that will be asked to participate in your social initiative. It’s important to figure out how your new social initiative will be received and used by the people you hope will utilize it. Make sure you have involvement and buy-in at an early stage, and understand your users’ needs.
  • ...2 more annotations...
  • Ensure that you have an effective resource and content plan in place to manage your community. Your new social software can enable an existing community or form new ones, but in order to be successful, communities need ongoing cultivation. Make sure that you have the resources and a plan in place to cultivate your community.
  • Initiate conversations with your legal, HR and IT teams early on, in order to understand the limitations and risks that may be associated with your initiative. As with any new business initiative, you should make sure that you understand the risks involved with implementing social software.
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    What factors should you consider when selecting an enterprise social media tool for your business?
Christophe Gauthier

Sens du client - Le blog des professionnels du marketing client: Les 10 tendances du Se... - 3 views

  • Les 10 tendances du Sens du client 2010
  • LE CLIENT SERA PLUSIEURS Le client est devenu mutliple. Présent à plusieurs endroits sous une forme différente, c’est un individu fragmenté auquel les marketers doivent désormais faire face. Multiples identités (on compte en France 2,4 adresses mails par personne et 65% ont 2 adresses ou plus), contextes variables : le client est plusieurs et il devient parfois invisible. Pour les entreprises qui gèrent des données concernant leurs clients (une catégorie en très forte augmentation), l’organisation de ces données, la déduplication et la segmentation sont devenues des exercices complexes.
  • Au moment ou le marketing de masse laisse place au marketing comportemental ou ciblé, le marketing des données devient un marketing de masse. La preuve : le one-to-one est moins à la mode que la gestion des communautés qui est une espèce de one to many. On parle désormais de social CRM comme pour habiller délicatement l’ignorance dans laquelle se trouvent beaucoup d’entreprises. Les systèmes d’information qui ont couté des millions aux entreprises se révèlent insuffisants pour appréhender la réalité du client. Comment donner du sens à ces masses de données ? Comment appréhender les nouveaux segments de clients ?
  • ...26 more annotations...
  • les nouveaux segments sont devenus un fait acquis, alors demandez-vous : comment concevrais-je mon organisation si je savais que dans les cinq prochaines années, 5 ou 6 segments émergeront pour occuper plus de la moitié de mon chiffre d'affaire ?
  • la convergence des canaux de relation et la cohérence des sollicitations. Comment avoir une vision unique du client et comment gérer la pression de communication ? Comment comprendre un client multiple et anticiper son comportement ?
  • LE CLIENT SERA SEUL Le self-service est un progrès de notre société
  • LE CLIENT SERA ECO-SENSIBLE Passer la marque à la machine sur le programme « GreenWashing » : l'occupation de ces dernières années pour les entreprises au marketing qui lave plus vert. Sous la pression d’une actualité dramatisante et de clients anxieux, presque toutes les entreprises adoptent les valeurs « développement durable » ou « respect de l’environnement », espérant réchauffer le climat entre leurs clients et elles
  • Mais le client veut des marques ou des enseignes disponibles et réactives, il désire être autonome, échanger en temps réel n’importe quel jour et à n’importe quelle heure, dans une relation personnalisée
  • En 2009, 36% des entreprises, soit deux fois plus qu’en 2008, (selon cette étude) « ont opté pour les modes de communication économiques, comme le Web et le self-service ». Parfois mauvais calcul quand on constate que –selon la même étude- « Malgré la mise en place de ces services sur Internet, les centres de contacts constatent que le nombre d’appels entrants n’a pas été impacté
  • Dès qu’on ouvre un nouveau canal de relation avec le client type Serveur Vocal Interactif, celà aurait plutôt tendance à faire croitre le nombre de contact globalement. Au bénéfice de la marque qui maitrise l’information qui la concerne et héberge la conversation, et au bénéfice du client qui choisit son mode de communication
  • apporter un vrai bénéfice au client lorsqu’il est seul. Seul face à un site Internet, avec un SVI, une borne interactive, il se sent trop souvent abandonné
  • Bénéfices évidents du client seul : l’aspect pratique et la réduction des prix.
  • LSA nous rapporte qu’une enseigne espagnole a conçu et marketé son espace de vente en trois circuits d’achat : court (convenience store), moyen (achats quotidiens) et longs (courses de la semaine) pour répondre aux besoins du client.
  • LE CLIENT SERA ORGANISE On sait que le client est multiple, tout comme le sont les propositions commerciales qui s’adressent à lui. Lorsque celles–ci manquent de clarté ou sont défaillantes dans le bénéfice réel, le client revoit ses préférences et hiérarchise ses fournisseurs. Parfois perdu (8 français sur 10 ignorent encore ce que sont les soldes flottants ), souvent sur-sollicité (rappelons que nous sommes confrontés à 400 messages commerciaux par jour-source Francoscopie 2010), le client doit s’organiser
  • les marques ont l’occasion unique de redonner du sens à leur discours avec des valeurs et de créer du lien avec leurs clients. Seront gagnantes les marques qui apporteront des preuves concrètes, qui feront des gestes sans calcul cynique sur un sujet qui n’est pas prêt de quitter l’esprit du client
  • LE CLIENT SERA AMELIORE (Photo Avatar). Le client est un roi doté de super-pouvoirs. Entourés, enrichis, connectés, les français sont 67% à avoir accès à Internet chez eux (+6% en un an), et 82% des Français de plus de 12 ans ont un téléphone mobile. Le monde dans le creux de sa main est une réalité pour déjà 5 millions de personnes utilisant Internet mobile (doublement en un an) Source : ARCEP. Le client est assisté, aidé : il ne faut plus faire partie d'une minorité de privilégiés pour savoir qu'il faut tourner à droite dans 200 mètres avec son GPS embarqué dans sa voiture ou sur son téléphone mobile... Le client français a adopté les réseaux sociaux : près de 16 millions d’inscrits dont les trois quarts pour « rester en contact avec leurs amis ». Le réseau social virtuel qui entoure le client l’aide aussi à faire des choix dans sa consommation. Selon Harris interactive (pour Fleishman Hillard), "50% des français pensent qu’Internet les aide à prendre de meilleures décisions d’achat" et "85% des consommateurs consultent les avis des internautes avant d’acheter". Le téléphone est devenu « smart » pour 3,5 millions d’utilisateurs nouveaux en une année, et pas tous des professionnels ! Que vous partiez en voyage ou que vous vous rendiez au restaurant du coin, vous trouverez sur la route de votre choix des avis de consommateurs en qui vous avez confiance.
  • prendre sa place dans un monde digital et virtuel pour y accueillir son client. Proposer de nouvelles voies d'accès et de dialogue avec lui.
  • LE CLIENT SERA OCCUPE La moitié des adolescents regardent déjà la télé en surfant sur le net et 47% utilisent leur téléphone mobile en étant connectés (source Forrester). La multi-activité se développe
  • Le client est surbooké et ce que nous nommons une maladie pour nos enfants n’est que la caricature et le signe précurseur d’un futur proche de consommateur de média. Le client n’est pas absent ou distrait, il est très occupé. Les Français ont eu en moyenne 40,4 contacts par jour avec une activité média ou multimédia (hors ordinateur) en 2009, un chiffre toujours en augmentation. Un français sur deux se connecte chaque jour à Internet, et les médias sont de plus en plus consultés sur de nouveaux supports
  • LE CLIENT SERA FAN Les grandes marques vont sortir de la crise avec panache et le client n’attend que ça. Pourquoi ? Parce qu’il a désormais la possibilité de se manifester et de faire savoir qu’il aime une marque ou qu’il s’y intéresse sur les réseaux sociaux. 40% des inscrits à Facebook sont amis ou fans des marques et 25% « suivent » des marques sur Twitter selon Razorfish
  • LE CLIENT SERA BAVARD Si je me fie à ce compteur Twitter, au mois de mars prochain, nous passerons la barre des 10 milliards de tweets. Rien qu’en France, si on suit les 25 premiers utilisateurs de ce réseau social, on peut lire 360 000 posts de 140 caractères Pour 23% des Français de plus de 12 ans inscrits sur les réseaux sociaux , le quotidien est fait de conversations.
  • Un tweet sur 5 concernerait un échange d’expérience à propos d’une marque. C’est considérable. A la recherche de la relation authentique, de l’avis sincère, le client est prêt à contribuer et donner de son temps. Sur le très fiable site d’avis consommateurs Beauté Test par exemple, tous les jours, 400 nouveaux avis sont postés et 10 à 20 nouveaux produits sont référencés. On donne la parole au client, il en fait un usage à son profit !
  • les avis seront de plus en plus donnés en temps réel (18% des membres Facebook mettent à jour leur profil depuis un téléphone mobile)
  • favoriser l’expression du client en la rationnalisant. Et face à l’infopollution, investir dans le tri sélectif
  • LE CLIENT SERA AVENTUREUX Seuls 15 %, c’est-à dire un client sur sept se déclare «fidèle » aux marques et 21 % sont moins fidèle qu’avant, c’est ce qu’avait révélé l’étude faite en 2009 à l’occasion de la Saint Fidèle sur ce blog.
  • Laurent Habib de RSCG C&O déclarait à LSA le 29 octobre dernier : «les marques ne parviennent plus à justifier leur positionnement premium, ni a susciter la préférence et la fidélité». Sensible au prix, le client observe avec un scanner dans les yeux les propositions low cost et les propositions premium, délaissant un ventre mou sans odeur et sans saveur. Il privilégie la valeur d’usage et se montre critique envers les innovations sans bénéfice
  • proposer aux clients de vraies innovations, prendre des risques. C’est le moment de mettre en pratique le subtil précepte de Jacques Séguéla (qui a le sens de la formule) : « moins de tests, plus de testicules »
  • LE CLIENT SERA ENTENDU 20% des français ont déjà dénoncé en ligne des entreprises ayant mal agi à leurs yeux TNS Sofres LSA 11/09. Nous sommes entrés dans le nouvel âge de la relation client, l’époque où le client peut s’exprimer et être entendu par des milliers de personnes (cf mon billet à ce sujet). Le patron d’Amazon disait "Si vous rendez vos clients mécontents dans le monde réèl, ils sont susceptibles d'en parler chacun à 6 amis. Sur internet, vos clients mécontents peuvent en parler chacun à 6000 amis."
  • gérer sa réputation et repenser son organisation pour l’orienter vers un client omniprésent. Il ne s’agit plus de surveiller ou faire du buzz monitoring mais bien de pratiquer une écoute active et participer à un nouvel échange.
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