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Christelle Gamache

Centre de Ressources des Espaces Publics Numériques de Wallonie : Le Web 2, U... - 0 views

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    Le Web 2.0, Un phénomène de société" , c'est le titre et le thème du numéro spécial de la nouvelle édition de la lettre d'information scientifique EMERIT (Expériences de Médiation et d'Evaluation dans la Recherche et l'Innovation Technologique) éditée par la Fondation Travail-Université, Namur (Belgique) : n°57 - Mars 2009.
Christelle Gamache

Des tutoriels sur le Web 2.0 et les réseau sociaux - 0 views

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    Les espaces numériques des bibliothèques ont pour mission de favoriser l'accès du grand public aux nouvelles technologies. Quels que soient l'âge et le niveau des utilisateurs, des ateliers et des rendez-vous individuels sont mis au point par les responsables tout au long de l'année. Le Centre de Ressources des EPN (Espaces Publics Numériques) de Wallonie nous signale une belle initiative de leurs collègues des Espaces Publics Numériques de la Bibliothèque Municipale de Lyon. En effet, ces derniers ont publié des tutoriels sur le Web 2.0 et les réseaux sociaux. Disponibles gratuitement au format PDF, ces documents sont destinés à sensibiliser et former le grand public sur les nouveaux outils du Net.
Christophe Deschamps

La collaboration… une fumisterie ? - 8 views

  • Le Web social montre la voie à de nouvelles manières de faciliter l’échange de savoir, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de nos organisations, mais les comportements collaboratifs, indispensables à l’éclosion de modes de travail en accord avec la nouvelle économie en réseau qui est en train de se dessiner, ne sont présents (voire même imaginables) que chez bien peu d’entre nous.
  • Des milliers de pages Facebook sont créées chaque jour au nom de la promesse presque toujours fallacieuse de construire des communautés.
  • Ce dont nous avons besoin n’est pas de forcer l’adoption de nouvelles pratiques dans des structures conservatrices, mais de faciliter leur diffusion, par l’utilisation et la modification de mécanismes existants, quoique latents, pour permettre l’émergence de nouvelles pratiques.
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  • La véritable collaboration requiert non seulement le développement d’un environnement collectif favorable, mais aussi de la confiance. Le problème est que la confiance est une qualité en voie de disparition. Les marques ne peuvent prétendre ignorer que les clients leur font chaque année de moins en moins confiance, et que cette érosion de la confiance s’exprime partout, y compris sur les médias sociaux. Dans les entreprises, le niveau de confiance est encore plus bas. Le micro-management, l’évaluation continue basée sur la performance dans des environnements de travail prédéfinis, la pression hiérarchique et économique, ont gravement endommagée la confiance parmi les employés. Dans la plupart des cas, la collaboration est une fumisterie.
  • Les travailleurs du savoir doivent continuellement pouvoir disposer de nouvelles ressources, tandis que travail et apprentissage doivent se fondre en un flux continu. Mais, alors que si peu d’entreprises sont suffisamment mûres pour accepter et adopter cette complexité et ainsi redéfinir le travail en termes de flux fluide et collaboratif, comment pouvons-nous aider et accompagner les autres ?
  • Un tel modèle facilite l’adoption de pratiques collaboratives, mais ne tient compte ni des relations réelles entre les membres d’une entreprise et du manque sous-jacent de confiance, ni d’un des défauts majeurs des processus business : les «socialiser» permet plus facilement de prendre en compte les opérations floues ou incertaines, une approche voisine de celle des Barely Repeatable Processes de Thingamy, mais ne fonctionne pas correctement lorsque l’issue elle-même est incertaine. Les processus fonctionnent lorsque le résultat en est prévisible, ce qui est de moins en moins le cas.
  • Les communautés de pratiques, qui développent avec le temps de véritables comportements collaboratifs et adaptatifs, reposent bien plus sur la passion, la patience et l’implication que sur les technologies 2.0. Elles fonctionnent généralement bien en ligne lorsqu’elles fonctionnent bien hors ligne.
  • Ces relations ne sont pas basées sur une transaction, mais reposent sur la valeur que les entreprises peuvent créer en aidant les clients à résoudre les problèmes qu’ils rencontrent dans leur vie quotidienne, en leur proposant de meilleurs produits et services. Le Web social facilite cette logique à dominante service, permettant de recueillir davantage d’informations à partir des interactions entre les individus (c’est ce à quoi s’emploie le CRM Social). La mise en place de ce type de relation est un pré-requis de la collaboration, dont le but ultime est la co-création de valeur.
  • Plutôt que d’aider leurs clients à faire ce qu’ils ont à faire en entretenant une interaction constante, beaucoup de fonctions support les mettent au bout d’un entonnoir orienté processus. Par exemple, la DSI formalise en vain ses relations avec ses clients internes à travers la gestion des exigences, malgré leur inaptitude avérée à résoudre des problèmes réels en temps réel.
  • Redéfinir le client interne en suivant une logique orientée service permettrait de jeter les bases organisationnelles de la collaboration. La plupart des services en bénéficierait; les Ressources Humaines, par exemple, pourrait mettre en place un vrai développement de carrière, au-delà des référentiels métiers et fonctions.
  • Que se passerait-il si les managers considéraient leurs équipes comme des clients ? Faciliter la tâche de ses subordonnés et observer la manière dont ils les gèrent…
  • Je crois que l’application en interne de ce que nous apprenons à faire vis-à-vis de nos clients externes fournit une solution concrète à la préparation du changement vers une entreprise collaborative, pour la grande majorité des entreprises pour qui la collaboration est une fumisterie. Je ne propose pas de modèle, juste un appel au passage à l’acte. Pour faciliter la diffusion de pratiques collaboratives, redéfinissons le client interne, et tenons en compte de la même manière que nous devons à présent tenir compte des clients de nos marques.
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    Texte essentiel de @tdebaillon
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    Bravo, une grande part de ces constats est faire un pas dans une conscience de soi et de son impact sur la société. Les entreprises sont les ultimes clés, aussi je vous propose de penser en terme d'entreprise civile... voir ici: http://www.facebook.com/topic.php?uid=67036426665&topic=8274 le groupe ADN2 .. don t vous pourrez constater qu'il n'y a pratiquement jamais d'intervenants ou de critiques constructives (c'est à dire basée sur ce que l'autre pose comme support ou erreur à corriger.). souvent les forums sont au plus près de ce que les gens arrivent à faire: parler dans leur coin et corriger un par un.. mais il est vrai qu'il y a toujours un aspect "virtuel" sur ce qui est déposé en commun. Or c'est à partir du moment où nous pourrons affirmer travailler en efforts personnels pour des projets communs que nous pourrons parler de réelle collaboration. La différence entre "participer" à un débat en y déposant son avis (et donc d'en recevoir sa propre satisfaction egotiste) ET tenter de construire afin d'affiner et d'optimiser une réponse, en théorie comme en concret est vicieuse: la forme prime encore parce qu'apposer sa signature est devenu le gage d'un "pseudo-engagement, proche de ce que les gouvernances actuelles nous sommes de faire: voter" : cela se rejoint parfaitement dans un lien direct.
Elise Carbone

La génération Y et les RH - 0 views

  • MERCREDI 29 AVRIL 2009 de 18h30 à 20hAmphithéâtre Louis Liard à la Sorbonne
  • Isabelle AbaResponsable des Ressources Humaines, Etam LingerieCharlotte DudaPrésidente Nationale de l'Association des DRH (ANDRH)Laurence LaigoSecrétaire Nationale, CFDTDominique LaurentSenior Vice-Président Ressources Humaines, Schneider Electric
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    Colloque à la sorbonne le 29 avril de 18h30 à 20h
Michael Nezet

Diffuser les résultats de la veille - Formation curation | URFIST - 0 views

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    Paper.li, scoop.it...
Christophe Deschamps

La fin du management - 2 views

  • le livre de Clayton Christensen, le dilemme de l’innovateur, qui montre comment les entreprises leaders ont bien souvent raté les changements qui ont eu lieu dans leur propre secteur industriel, non pas du fait d’une mauvaise gestion, mais parce qu’ils ont suivi les préceptes de “la bonne gestion”. “Ils ont écouté attentivement leurs clients. Ils ont soigneusement étudié les tendances du marché. Ils se sont réparti le capital autour d’innovations qui promettait le plus grand rendement. Et dans le processus, ils ont manqué les innovations perturbatrices qui se sont ouvertes à de nouveaux clients et à des marchés de faible marge, avant de devenir des produits à succès.”
  • Le consultant Gary Hamel est un ardent défenseur de la nécessité de repenser le management via des laboratoires en ligne, permettant d’élaborer de nouvelles formes de collaboration de masse pour traiter les problèmes actuels du management. “Le nouveau modèle devra être davantage comme le marché, et moins comme les sociétés du passé. Il devra être flexible, agile, capable de s’adapter rapidement aux évolutions du marché, et impitoyable à réaffecter des ressources à de nouvelles opportunités.”
  • Les grandes entreprises étudiées par Clayton Christensen ont échoué, non pas nécessairement parce qu’elles ne voyaient pas les innovations à venir, mais parce qu’elles n’ont pas suffisamment investi dans les innovations. Pour éviter ce problème, les gens qui contrôlent les grands pools de capitaux doivent davantage investir comme des sociétés de capital-risque, et moins comme un ministère des finances de l’entreprise. Ils ont besoin de faire beaucoup de paris.”
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  • Or, “le nouveau modèle devra inculquer aux travailleurs la créativité et l’esprit innovant qu’on trouve le plus souvent chez les entrepreneurs. Il faut donner le pouvoir et la prise de décision à l’organisation autant que possible, plutôt que de la laisser concentrée au sommet. Les structures traditionnelles bureaucratiques devraient être remplacées par quelque chose comme des équipes de pairs ad hoc, qui se réunissent pour aborder des projets individuels, avant de se dissoudre”, à la manière de la société de logiciels SAS qui investit massivement dans la recherche et développement et offre des avantages sociaux généreux à ses employés.
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    InternetActu
Yan Thoinet

Web 2.0 : la révolution par les usages - 0 views

  • Tout au plus les technologies sur lesquelles est fondé l'Internet (HTML, javascript, CSS...) ont-elles légèrement évolué vers un cadre mieux défini, plus ouvert et plus standard.
  • "Une participation plus forte des internautes"
  • Des utilisateurs qui partagent plus
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  • De même, les wikis connaissent également une forte croissance. Wikipedia, l'encyclopédie en ligne collaborative, en est la figure emblématique. Tellement emblématique qu'elle en devient la cible de critiques organisées. Qu'à cela ne tienne, de nombreuses déclinaisons existent déjà : WikiNews, WikiBooks, WikiTravel et même YelloWikis (les pages jaunes en version collaborative).
  • un système de classification basé sur des mots-clés collectifs (ou tags). Le principe est simple : ce sont les utilisateurs qui organisent leur contenu (photos, liste de liens, musique...) en appliquant à chacun des éléments un ou plusieurs tags. Ces tags sont ensuite mis en commun et les plus pertinents ressortent statistiquement du lot. Il s'agit en quelque sorte d'une forme de classement empirique qui repose sur l'appréciation de chacun.
    • Yan Thoinet
       
      Bonne definition
  • Les folksonomies en sont un bon exemple avec des services aux noms étranges comme del.icio.us ou FlickR.
  • Les réseaux sociaux trouvent également d'autres domaines d'application comme les ressources humaines où les sites de recrutement reposant sur le principe de cooptation commencent à voir le jour : Jobster aux Etats-Unis ou encore Cooptin lancé récemment par Keljob.
  • "Une ère nouvelle où les utilisateurs sont contributeurs et bénéficiaires"
Yan Thoinet

Technologie: Le Wiki, le tableau blanc de l'intelligence collective - 0 views

  • Un Wiki est un outil de travail collaboratif permettant à n'importe quel internaute armé d'un fureteur Internet de créer ou de modifier à volonté une page Web
  • le Wiki est l'outil idéal pour stimuler la créativité d'un groupe et partager des connaissances.
  • la seule métaphore pour décrire le Wiki qui vient en tête à ces deux internautes est celle du tableau blanc.
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  • un Wiki est un outil de travail collaboratif permettant à n'importe quel internaute armé d'un fureteur Internet de créer ou de modifier à volonté une page Web, et ce, sans qu'il lui soit nécessaire d'apprendre un quelconque langage de programmation.
  • l'utilisation d'un Wiki se décline en quatre grands enjeux: le Wiki est incitatif, «sa vertu d'incitation à la participation est la première clause de son cahier des charges». Il est aussi délibératif, en proposant «une forme d'approfondissement du consensus virtuel [...] faisant partie de son attractivité et donc de son caractère incitatif». Le Wiki doit être instructif, en ce sens que la collaboration directe ou différée de ses contributeurs est synthétisée en un ensemble de ressources centrées sur l'objet qui les motive. Et enfin, il est expressif, c'est-à-dire qu'il est «l'expression d'un collectif, d'un ensemble d'individus présentant au moins une attente commune
  • Toutes les versions restent cependant accessibles, tandis que l'historique des modifications peut être consulté en tout temps
  • L'encyclopédie Wikipédia est d'ailleurs conçue sur ce mode de publication.
  • on constate dans la réalité que ce genre de choses arrive fort peu souvent. D'expliquer Marc Laporte, «puisque n'importe qui peut détruire une page, ou est le défi qui est la marque de commerce des hackers?
  • Or, bien que l'application Wiki la plus connue soit l'encyclopédie Wikipédia, des centres de recherche, des «think tank» et des gestionnaires de projets commencent à implanter des Wiki en entreprise.
  • l'implantation d'un Wiki en entreprise responsabilisait ses utilisateurs.
  • «Aborder un Wiki demande toutefois de revoir ses processus de réflexion. Installer un Wiki en entreprise en voulant enchâsser ses membres dans une structure rigide est inévitablement voué à l'échec.»
  • Par exemple, un Wiki pourra être utilisé pour le développement de projets en petites équipes,
  • Le principe est simple: il s'agit d'un modèle coopératif de rédaction de documents. Concrètement, n'importe quel visiteur a la possibilité de modifier la page qu'il est en train de lire. Les modifications sont ensuite enregistrées, et toutes les versions historiques restent accessibles [comme dans un logiciel de gestion de versions]. Ainsi, un premier auteur rédige un article, un second le complète, puis un visiteur en corrige d'éventuelles erreurs qu'il aura remarquées en naviguant sur le site.»
Elise Carbone

Les dirigeants dans les NTIC affichent une attitude mitigée face aux blogs ..... - 0 views

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    Une enquête d'Eurocom Worldwide révèle à la fois des défis et des opportunités Une nouvelle enquête, réalisée auprès de dirigeants du secteur des NTIC dans différents pays par le réseau international d'agences de communication Eurocom Worldwide en partenariat avec l'agence Hardcom, révèle une attitude mitigée face aux blogs d'entreprise. C'est ainsi que seules 33% des sociétés technologiques consultées disposent d'un blog d'entreprise, alors que la majorité ( 63%) n'en a pas.
Christophe Deschamps

La qualité est elle la version 2.0 de la quantité ? | Bloc-Notes de Bertrand ... - 2 views

  • On entend souvent qu’être “sales oriented” (à dire en anglais pour faire plus sérieux) est le seul moyen de réussir. Cela est vrai à condition que toute l’énergie de l’entreprise ne soit pas concentrée sur la vente et qu’il y ait des équipes de production et de services qui tiennent la promesse des vendeurs.
  • Dans un système davantage orienté vers l’intangible la notion de productivité est plus complexe. Tout le monde reconnait qu’elle compte, que la formule reste la même…c’est simplement la mesure de ses éléments qui devient plus confuse et reste encore mal maitrisée. L’objectif restant de faire ce qui est demandé avec, sinon le minimum de ressources en tout cas sans gachis.
  • Le temps passé a-t-il servi à produire quelque chose de valorisable par le client ? Le dossier a-t-il été traité d’une manière valorisable par le client etc ? En un mot, plus que la quantité c’est d’évaluer si ce qui est fait est valorisable par son destinataire qui importe. La qualité n’est plus du seul ressort du système, elle devient désormais la responsabilité de chacun à son niveau, simple collaborateur ou manager d’équipe. Sachant, d’autant plus, que cela correspond davantage à la notion de client interne dans laquelle on retrouve le collègue avec qui on collabore de manière non facturable.
  • ...2 more annotations...
  • “L’entreprise 2.0 est un ensemble d’outils et pratiques destinées à augmenter le périmètre du capital humain et informationnel accessible et utilisable afin d’exécuter les process et workflows quotiens et délivrer les résultats attendus dans les délais impartis.”
  • Dès lors qu’on admet que les logiques “sociales” et “de réseau” permettent d’adresser des logiques qualitatives et quantitatives qui échappent à des modes d’organisation peu adaptés à certains contextes nouveau, cela ouvre un nombre considérable de portes pour positionner des projets “entreprise 2.0″ en interne et construire des méthodologies qui font du sens par rapport à des thèmes au sujet desquels les entreprises sont déjà sensibilisées.
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    Un débat complètement revisité au coeur des problématiques de l'entreprise 2.0
Ray Dacteur

[Conférence] Recruter via les réseaux sociaux, de la théorie à la pratique | ... - 1 views

  • les candidats n’étaient que 30 % à les mettre en œuvre pour leur recherche d’emploi, tandis que la moitié (49%) des professionnels des ressources humaines interrogés les utilisaient.
  • Mais alors que faire, lorsque l’on est un recruteur : y aller, continuer ou arrêter ?
  • A noter que cette conférence se déroulera également en mode 2.0 dans la mesure où elle sera retransmise en livestreaming, avec la possibilité d’interagir avec les speakers et participants
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