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Christophe Deschamps

La collaboration… une fumisterie ? - 8 views

  • Le Web social montre la voie à de nouvelles manières de faciliter l’échange de savoir, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de nos organisations, mais les comportements collaboratifs, indispensables à l’éclosion de modes de travail en accord avec la nouvelle économie en réseau qui est en train de se dessiner, ne sont présents (voire même imaginables) que chez bien peu d’entre nous.
  • Des milliers de pages Facebook sont créées chaque jour au nom de la promesse presque toujours fallacieuse de construire des communautés.
  • Les communautés de pratiques, qui développent avec le temps de véritables comportements collaboratifs et adaptatifs, reposent bien plus sur la passion, la patience et l’implication que sur les technologies 2.0. Elles fonctionnent généralement bien en ligne lorsqu’elles fonctionnent bien hors ligne.
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  • La véritable collaboration requiert non seulement le développement d’un environnement collectif favorable, mais aussi de la confiance. Le problème est que la confiance est une qualité en voie de disparition. Les marques ne peuvent prétendre ignorer que les clients leur font chaque année de moins en moins confiance, et que cette érosion de la confiance s’exprime partout, y compris sur les médias sociaux. Dans les entreprises, le niveau de confiance est encore plus bas. Le micro-management, l’évaluation continue basée sur la performance dans des environnements de travail prédéfinis, la pression hiérarchique et économique, ont gravement endommagée la confiance parmi les employés. Dans la plupart des cas, la collaboration est une fumisterie.
  • Les travailleurs du savoir doivent continuellement pouvoir disposer de nouvelles ressources, tandis que travail et apprentissage doivent se fondre en un flux continu. Mais, alors que si peu d’entreprises sont suffisamment mûres pour accepter et adopter cette complexité et ainsi redéfinir le travail en termes de flux fluide et collaboratif, comment pouvons-nous aider et accompagner les autres ?
  • Un tel modèle facilite l’adoption de pratiques collaboratives, mais ne tient compte ni des relations réelles entre les membres d’une entreprise et du manque sous-jacent de confiance, ni d’un des défauts majeurs des processus business : les «socialiser» permet plus facilement de prendre en compte les opérations floues ou incertaines, une approche voisine de celle des Barely Repeatable Processes de Thingamy, mais ne fonctionne pas correctement lorsque l’issue elle-même est incertaine. Les processus fonctionnent lorsque le résultat en est prévisible, ce qui est de moins en moins le cas.
  • Ce dont nous avons besoin n’est pas de forcer l’adoption de nouvelles pratiques dans des structures conservatrices, mais de faciliter leur diffusion, par l’utilisation et la modification de mécanismes existants, quoique latents, pour permettre l’émergence de nouvelles pratiques.
  • Ces relations ne sont pas basées sur une transaction, mais reposent sur la valeur que les entreprises peuvent créer en aidant les clients à résoudre les problèmes qu’ils rencontrent dans leur vie quotidienne, en leur proposant de meilleurs produits et services. Le Web social facilite cette logique à dominante service, permettant de recueillir davantage d’informations à partir des interactions entre les individus (c’est ce à quoi s’emploie le CRM Social). La mise en place de ce type de relation est un pré-requis de la collaboration, dont le but ultime est la co-création de valeur.
  • Plutôt que d’aider leurs clients à faire ce qu’ils ont à faire en entretenant une interaction constante, beaucoup de fonctions support les mettent au bout d’un entonnoir orienté processus. Par exemple, la DSI formalise en vain ses relations avec ses clients internes à travers la gestion des exigences, malgré leur inaptitude avérée à résoudre des problèmes réels en temps réel.
  • Redéfinir le client interne en suivant une logique orientée service permettrait de jeter les bases organisationnelles de la collaboration. La plupart des services en bénéficierait; les Ressources Humaines, par exemple, pourrait mettre en place un vrai développement de carrière, au-delà des référentiels métiers et fonctions.
  • Que se passerait-il si les managers considéraient leurs équipes comme des clients ? Faciliter la tâche de ses subordonnés et observer la manière dont ils les gèrent…
  • Je crois que l’application en interne de ce que nous apprenons à faire vis-à-vis de nos clients externes fournit une solution concrète à la préparation du changement vers une entreprise collaborative, pour la grande majorité des entreprises pour qui la collaboration est une fumisterie. Je ne propose pas de modèle, juste un appel au passage à l’acte. Pour faciliter la diffusion de pratiques collaboratives, redéfinissons le client interne, et tenons en compte de la même manière que nous devons à présent tenir compte des clients de nos marques.
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    Texte essentiel de @tdebaillon
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    Bravo, une grande part de ces constats est faire un pas dans une conscience de soi et de son impact sur la société. Les entreprises sont les ultimes clés, aussi je vous propose de penser en terme d'entreprise civile... voir ici: http://www.facebook.com/topic.php?uid=67036426665&topic=8274 le groupe ADN2 .. don t vous pourrez constater qu'il n'y a pratiquement jamais d'intervenants ou de critiques constructives (c'est à dire basée sur ce que l'autre pose comme support ou erreur à corriger.). souvent les forums sont au plus près de ce que les gens arrivent à faire: parler dans leur coin et corriger un par un.. mais il est vrai qu'il y a toujours un aspect "virtuel" sur ce qui est déposé en commun. Or c'est à partir du moment où nous pourrons affirmer travailler en efforts personnels pour des projets communs que nous pourrons parler de réelle collaboration. La différence entre "participer" à un débat en y déposant son avis (et donc d'en recevoir sa propre satisfaction egotiste) ET tenter de construire afin d'affiner et d'optimiser une réponse, en théorie comme en concret est vicieuse: la forme prime encore parce qu'apposer sa signature est devenu le gage d'un "pseudo-engagement, proche de ce que les gouvernances actuelles nous sommes de faire: voter" : cela se rejoint parfaitement dans un lien direct.
Miguel Membrado

Web 2.0 : les entreprises n'adoptent pas les outils de collaboration - 0 views

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    Malgré leur succès incontesté dans le domaine grand public, les outils de collaboration en ligne du web 2.0 peinent à s'imposer en entreprise. C'est ce que révèle une récente étude du cabinet d'analyse Forrester. Quelques chiffres : 68 % des employés utilisent toujours email & téléphone pour collaborer (!). Ils sont de plus en plus souvent secondés par la messagerie instantanée (15% des employés) et la web conférence (13 %) (seulement !). Les réseaux sociaux ne sont utilisés que par 8 % des employés, les blogs par 5 % des collaborateurs et les wiki par 4 %. MAIS Les outils de bureautique en ligne (Google Apps, Windows Live, etc.) semblent en revanche décoller puisque 16 % des employés y auraient désormais recourt. La transformation des usages vers les nouveaux outils de productivité bureautique est bien en route :)
Christophe Deschamps

Management.fr Vs 21ième siècle : le coût de la hiérarchie et du contrôle - 2 views

  • Right now, your company has 21st-century Internet-enabled business processes, mid-20th-century management processes, all built atop 19th-century management principles. (Gary Hamel – The Future Of Management)
  • Cette étude visait à démontrer que la culture d’entreprise ne pouvait pas être la même dans toutes les filiales car elle ne faisait nullement disparaître la culture nationale ; dans le meilleur des cas, elle se juxtaposait à elle.
  • Dans le cadre de cette étude, Hofstede mesure les distances hiérarchiques des différentes filiales. Pour un indice médian de 57, il mesure des distances hiérarchiques faibles dans les pays scandinaves (moins de 31) et anglo-saxons (moins de 40) et élevé en France (68).
  • ...5 more annotations...
  • Dans cette même étude, Hofstede mesure le contrôle d’incertitude.Le contrôle faible suppose davantage d’acceptation des situations comme ambiguës, réversibles dans leurs malheurs et leurs bonheurs. Les personnes sont acceptées comme pouvant changer d’humeur et de décision. Le contrôle fort veut s’appuyer sur des bases assurées qui peuvent aller de précautions concrètes à des précautions juridiques voire religieuses. Le contrôle fort est très en rapport avec le développement de la culture scientifique et techniqueEncore une fois, la France se classe en haut du tableau avec un contrôle fort de l’incertitude (un score de 86) tandis que les pays anglo-saxons ou nordiques affichent des résultats faibles attestant d’un contrôle faible de l’incertitude.
  • la primauté de la hiérarchie va à l’encontre des valeurs ayant emergé de la culture collaborative internet
  • Depuis au moins dix ans, la France est en retard sur les principaux pays de l’OCDE en matière de développement du télétravail (notamment dans l’administration), quelles que soient les sources ou les approches statistiques. Dans les pays scandinaves et anglo-saxons notamment, il concerne deux à trois fois plus de salariés.
  • ce détail a un coût. Cisco a ainsi publié un rapport intitulé the The Economics of Collaboration, et dans lequel l’entreprise explique comment en mettant en oeuvre des outils collaboratifs et en facilitant la mobilité des employés avec entre autres une démocratisation du télétravail, celle-ci a obtenu des résultats étonnants : Cisco IBSG analysis shows that Cisco realized net benefits of $691 million/year through its Web 2.0 and visual collaboration investments in FY08. (…) These benefits represent a 4.9 percent productivity increase for Cisco. We believe this is just the beginning of the value creation we will see around the new collaborative web.
  • These solutions achieve their remarkable benefits by removing the costs and inefficiencies with which our employees have been struggling. Eliminating these inefficiencies not only brings financial benefits to the company; it also increases employees’ work/life balance, reduces stress and fatigue from extensive travel, and increases job satisfaction.
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    Analyse d'études sur le contrôle et la hiérarchie dans les entreprises. Le modèle français est-il encore adapté?
Gregory Culpin

Using Enterprise 2.0 to prepare for recovery (part II) - Whitepaper to download - 0 views

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    In a business world where change is constant, knowledge becomes an essential asset for any organization. Survival and growth require the development of solutions that will optimize collaboration and knowledge management. Focussing on this topic we recently produced our first whitepaper. It analyses the benefits associated with the introduction of Enterprise 2.0 solutions, and positions the collaborative management of knowledge as a stable and lasting solution, especially in these times of economic tumult.
Gregory Culpin

L'Entreprise 2.0 pour préparer la reprise (part II) - Whitepaper à télécharger - 0 views

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    Dans un monde des affaires en perpétuelle mutation, la connaissance devient un capital essentiel pour toute organisation. Leur survie et croissance passe par la mise en place de solutions optimisant la collaboration et la gestion des connaissances. Forts de ce constat, nous avons récemment travaillé à l'écriture de notre premier livre blanc (disponible en anglais uniquement). Il se veut être une analyse des avantages liés à l'introduction d'outils de l'Entreprise 2.0, et positionne la gestion collaborative des connaissances comme une solution stable et durable, plus particulièrement en ces périodes de tumulte économique.
Christophe Deschamps

Entreprise 2.0, collaboration et contraintes individuelles - 7 views

  • Le groupe ne délivre en effet que la somme de la tâches effectuées par ses membres. D’où l’importance de la coordination. On peut même se dire que par une étrangle ironie du sort, le travail des travailleurs du savoir donne une part encore plus belle à la tâche individuelle de l’individu au sein du groupe : si on peut effectuer une tâche physique ensemble on ne peut penser ensemble. On pense individuellement et le travail de groupe demande de multiplier les intéractions entre tous pour rester coordonné et cohérent.
  • Ce qui se traduit à nouveau par un travail individuel même si ponctué de nombreux échanges qui donnent une impression de collectif. Mais il n’en est pas moins que chacun se retrouve avec une tâche personnelle.
  • Mais l’apport du “2.0″ peut être important dans la multiplication des signaux “informels” donnant aux autres de la visibilité sur son travail et leur permettant de s’adapter en évitant une coordination lourde, peu réactive et chronophage.
  • ...13 more annotations...
  • C’est là qu’une logique “2.0″ commence à porter ses fruits : on s’en remet au réseau, et à d’éventuelles communautés où des discussions sur le sujet auraient lieu. Si le sujet a déjà été traité tant mieux, sinon on trouve des personnes pertinentes à qui le soumettre, soit dans une communauté soit en identifiant un individu à contacter (très souvent on trouve ces personnes car leur activité “sociale” enrichit leur profil…et une recherche suffit.
  • l’individu part de lui, passe ensuite au groupe et ensuite aux réseaux/communautés. Il passe d’un travail solitaire à un travail coordonné dans une équipe définie avant de passer à quelque chose d’informel, avec une logique destructurée, dans un périmètre humain relativement flou.
  • On améliore l’efficacité au sein du groupe en se donnant la possibilité d’en sortir si besoin. On est, quoi qu’il en soit, dans une problématique d’organisation : on amplifie le potentiel des pratiques existantes, on en met en place éventuellement de nouvelles mais de manière très “orientée tâche”. On construit du “social” autour d’un business process, d’un workflow dont on essaie d’augmenter la bande passante. On “étend” le périmètre de l’existant.
  • il faut que des communautés actives et pertinentes existent pour pouvoir mener la logique à son terme, pour permettre au collaborateur de passer en mode “réseau” lorsque le groupe montre ses limites.  Là on entre dans une logique plus “sociale”. Ces communautés seront composées de personnes qui décideront volontairement de partager expériences et réflexions sur un sujet donné, de faire un pas au delà du travail qui leur est demandé, de donner une sorte de supplément d’âme à leur investissement professionnel.
  • on est dans le “pur 2.0″ : des conversations, des communautés qui se forment et vivent librement, de la collaboration “douce”, informelle, non structurée, de l’imprévisible et une importante composante humaine car ici on parle de l’envie d’avancer avec les autres, de partager, d’apprendre, de se lier à des personnes que l’on aurait peut être jamais rencontré autrement. En général c’est surtout cette dimension qui vient à l’esprit lorqu’on parle d’entreprise 2.0
  • les collaborateurs (et quelle que soit leur génération) tiennent à garder une frontière claire entre leurs vies privées et professionnelles et surtout dans les pratiques liées à chaque. On “socialise” entre amis mais pas dans l’entreprise. Ou avec d’infinies précautions et dans un périmètre connu. Ce qui nous ramène au “moi, mon groupe, mon réseau” énoncé plus haut.
  • ceux qui n’ont d’autres objectifs que de faire leur travail, se limitent à intéragir dans le périmètre de leur équipe et vont occasionnellement plus loin s’il n’y a pas moyen de faire autrement.
  • ceux qui, en plus, ont envie de s’investir pour échanger, benchmarquer, apprendre, proposer…sur des sujets professionnels,
  • Cela est tout sauf anecdotique lorsqu’on conçoit un projet 2.0 au niveau macro : il faut des scénarios d’usages pour chacun et surtout ne pas s’imaginer qu’on pourra emmener tout le monde dans le communautaire et l’informel, ce que d’aucuns appelleront le chaotique.Il faut penser non pas à ce qu’on aimerait que les gens fassent dans un monde idéal voire fantasmé mais s’adapter à leur logique de collaboration.
  • On dit que l’entreprise 2.0 c’est beaucoup de choses : connecter, engager, partager… Je pense qu’on oublie trop souvent une dimension qui est pourtant l’essence même de l’entreprise: réaliser des choses. C’est pour cela que le collaborateur n’a que faire d’être 1.0 ou 2.0, il veut juste une logique claire qui lui permette de faire son travail plus efficacement.
  • L’entreprise 2.0 n’est pas la fin du groupware, n’est pas le “tout réseau”, “tout communautaire”. C’est le fait de mettre en face de chaque situation les bons outils et les bons usages en fonction de l’objectif à atteindre et de la capacité d’engagement de chacun.
  • Quoi qu’il en soit il n’y a pas un contexte de travail et de collaboration unique mais une infinité de contextes dans lesquels on peut et doit développer des logiques d’intéractions spécifiques qui permettront aux collaborateurs de passer d’un extrême à l’autre en faisant des petits pas intermédiaires en fonction de son contexte propre.
  • Le collaborateur n’est pas si opposé au changement que cela, il veut juste des petits pas plutôt qu’un grand saut et que le processus respecte sa logique propre, fasse sens par rapport à ses besoins et ne violente pas sa volonté de s’engager ou non.
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    Très intéressant billet de @bduperrin sur les besoins des travailleurs du savoir
Christophe Gauthier

Ten Leading Business Intelligence Software Solutions - 2 views

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    "Ten Leading Business Intelligence Software Solutions By Thor Olavsrud May 5, 2010 The Business Intelligence software market is shaping up as a David vs. Goliath struggle. Behemoths like Microsoft, Oracle and IBM offer feature-rich BI suites along with their many other enterprise software products. Meanwhile, pure-play business intelligence software vendors -- such as MicroStrategy and Tableau -- have avid followers and are known for innovating around new features and quickly adjusting to the shifting marketplace. Why is this important? Because Business Intelligence software is used to extract data from disparate sources -- spreadsheets, databases and other software programs -- inside companies and then analyze that business data to better understand a firm's internal and external strengths and weaknesses. A business relies heavily on this data. Bottom line: Business intelligence software enables managers to better see the relationship between different data for critical decision-making -- particularly opportunities for innovation, cost reduction and optimal resource deployment. The list below includes ten industry-leading BI solutions, from vendors large and not-so-large. If you're looking for a bird's eye view of this rapidly evolving market, the following condensed portraits should help. Business Intelligence Software: Ten Solutions Note: This list is NOT ordered "best to worst." The question of what business intelligence software solution is best for a given company depends on an entire matrix of factors. This list is simply an overview of BI solutions, with the debate about quality left to individual clients. SAP Crystal Reports Crystal Reports is part of SAP's Business Objects portfolio of business intelligence software solutions. It allows users to graphically design interactive reports and connect them to virtually any data source, Microsoft Excel spreadsheets, Oracle databases, Business Objects Enterprise business views and local file system info
Christophe Deschamps

Enterprise Web 2.0: Building the Next-Generation Workplace - the Driving Force behind J... - 0 views

  • Building on the somewhat vague and yet particular usage of the term 'Web 2.0', 'Enterprise Web 2.0' describes a fresh, and some would say new, approach to the design and provision of business applications that incorporates aspects such as social networking, collaboration, and real-time communication. In addition, Enterprise Web 2.0 focuses a great deal of attention on the user's 'experience' or 'joy of use' -- something of a novelty in enterprise IT these days. By comparison, when Butler Group talks about 'Enterprise 2.0', we are focusing on the composition and architecture of the IT ecosystem, and the associated business models that will support Enterprise Web 2.0 applications.
  • Enterprise Web 2.0 is very much concerned with the user experience of corporate systems and applications, and on extracting business value from the social contributions and interactions of the organisation's various stakeholders.
  • The management of customer relationships continues to remain pivotal for most organisations, and so the social aspects of Web 2.0 are mirrored in the corporate world of Enterprise Web 2.0
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  • Workforce mobility and changing communication patterns are two more trends that are driving change at the infrastructure layer, and so unified communication and collaboration requirements form an important part of Enterprise 2.0 strategy.
  • Enterprise Web 2.0 might be about putting the user (i.e. employee, customer, or stakeholder) first, but in order to do so it also requires supporting technology. And so at the IT infrastructure level, Enterprise 2.0 means Internet Protocol (IP) everywhere -- voice, video, and data. Enterprise 2.0 also means, 'open' standards rather than proprietary or 'closed' systems. Furthermore, Enterprise 2.0 technology means user-driven technology and not IT-driven technology.
  • Having accepted the fact that 'processes' means 'people', then we have to look for ways in which these people (i.e. processes) can self-organise and reference one another. Then, where possible, we need to somehow incapsulate the processes into a set of business services. One day (we might call it Web 3.0), Artificial Intelligence (AI) will enable organisations to do with computers that which they do via human beings today, but until that day arrives, organisations must do more to aid interdepartment and inter-company collaboration. Workflow has not yet figured largely in the consumer-oriented world of Web 2.0, but Butler Group sees this as pivotal when considering Enterprise Web 2.0.
  • Today applications that embody processes are built by IT professionals, but tomorrow they will be built by a new breed of power user, using mashup builders, software agents, and other Web 2.0 technologies.
  • Business and IT managers must therefore prepare themselves for the new generation of power user who will be creating mashups and situational applications that have a far broader impact than the typical spreadsheet macro of yesteryear, and that if organisations are to avoid a proliferation of unmanageable, siloed, micro-applications, then they must blend the power of personal productivity with an appropriate management layer and a degree of central oversight.
  • Web 2.0 is no longer PC-centric.
  • It is clearly a mistake to think that Web 2.0 is all about technology, and likewise Enterprise Web 2.0, but it is also a mistake to dismiss the technology altogether. Therefore, selecting and implementing enterprise social software solutions, next-generation collaboration solutions, and Rich Internet Applications requires careful thought, consideration, and planning.
  • The driving force behind just about every aspect of Enterprise Web 2.0, is of course, the user -- something that has not always ranked highly on the list of priorities for corporate IT mangers -- and so the challenge for all forward-looking organisations is to refocus on this aspect of their IT strategies.
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    Nouvelle étude de Research & Markets. Pas mal d'infos dans cette synthèse. User-centric
Eric Salviac

Google se rapproche des entreprises et de... Microsoft - 0 views

  • Google de son côté est particulier actif ses derniers temps sur le marchés des applications d'entreprise. Parmi les annonces de ces derniers jours, on peut citer Google Apps Sync for Microsoft Outlook, Google Wave, une nouvelle version de sa Google Search Appliance sans oublier Fusion Tables qui n'est encore qu'un outil expérimental, mais qui pourrait bousculer le domaine des bases de données.
  • « La division entreprise est l'un des trois axes stratégiques de Google parmi les outils de recherches (search), les liens publicitaires et commerciaux (ads) et la suite applicative bureautique Web 2.0 en mode SAAS (apps) »
  • Contrairement aux éditeurs traditionnels, Google a une phase de développement de produits qui s'appuie largement sur les utilisateurs. Il peut donc proposer des versions beta accessibles en libre service auprès de développements, sans trop se soucier de l'intérêt commercial de ces nouveaux outils.
  • ...15 more annotations...
  • Fusion Tables est encore un produit expérimental destiné à intégrer des données issues de sources différentes et de formats différents dans une même table et de fournir des fonctions de collaboration, de requêtes, de visualisation et de publication sur le Web. Fusion Tables est plutôt destinée aux très grands volumes de données.
  • Cette semaine, Google dévoilait Google Apps Sync for Microsoft Outlook, un outil permettant de synchroniser leurs courriers, calendrier et carnets d'adresse entre Exchange/Outlook et Gmail. Cet outil fait suite à un autre qui permet de faire à peu près la même chose sur la téléphonie mobile. Cet outil qui est proposé comme un plug in est disponible pour les utilisateurs des versions payantes de Google Apps, à savoir les versions Premier et Education Edition.
  • Quel est l'intérêt de cette offre ? Tout simplement que beaucoup d'utilisateurs préfèrent ou sont déjà habitués à l'interface d'Outlook.
  • Le plug-in est pour l'instant disponible uniquement en anglais, il est compatible avec Outlook 2007, Windows XP SP3 et Vista.
  • Google Apps est commercialisé à 50 dollars par utilisateur et par an. Google aurait quelque 500 000 utilisateurs payants de Google Apps Premier Edition (Soit un chiffre d'affaires en base annuel de 25 M$ en abonnement).
  •  D'autres fournisseurs comme IBM, Oracle, Novell et Sun reconnaissent que le support natif d'Outlook est le meilleur moyen de lutter contre Exchange (l'utilisateur final ne se soucie pas de savoir quel est le serveur de messagerie mis en œuvre par l'entreprise) »
  • Google positionne son plug-in comme un outil permettant aux entreprises d'effectuer une migration d'Exchange vers Gmail plutôt que comme une combinaison permanente
  • Google Wave n'est pas encore un Tsunami Parallèlement à cette offre tactique qu'est Google Apps Sync for Microsoft Outlook, Google a montré avec Google Wave ce que pourrait être un outil de messagerie et collaboration dans les années à venir.
  • Google Wave intègre plusieurs fonctionnalités en général distribuées dans différentes solutions, à savoir les messageries électronique et instantanée, collaboration en temps réel et traitement de document à plusieurs (une sorte de Wiki en plus perfectionné).
  • « Avec Wave, Google veut changer fondamentalement la manière avec laquelle les utilisateurs/internautes (internausateurs ou utilisanautes) communiquent en transformant le Web en un système de collaboration temps réel intégré »
  • Google Wave ne concurrencera pas Lotus Notes, Microsoft Exchange ou Office SharePoint Server avant 5 à 10 ans
  • Une nouvelle version de Google Search Appliance
  • Conçues selon une architecture dynamique, plusieurs GSA, même distantes, peuvent fonctionner en parallèle
  • La GSA 6.0 offre des options de personnalisation pour l'administration, la sécurité, les paramètres de classements des documents... Elle inclut ce que l'on appelle des fonctions de recherche dites sociales, c'est-à-dire issues des suggestions des utilisateurs.
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    Google ne renonce pas à promouvoir ses applications en entreprise en adoptant une stratégie de conquête en douceur en s'appuyant à la fois sur l'existant et les utilisateurs.
Christophe Deschamps

Panorama des outils 2.0 au service de la veille - 0 views

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    La veille collaborative est aujourd'hui une réalité dans de nombreuses entreprises. Cette collaboration s'insère à toutes les étapes du processus de veille : ciblage, collecte, analyse et diffusion. Dans ce contexte, les outils issus du web 2.0 peuvent largement contribués à l'amélioration des activités de veille.
Christophe Deschamps

KnowledgeMag - Numéro 1 - Octobre 2008 - 0 views

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    Loin d'être figées, les activités de veille dans les entreprises évoluent. La tendance actuelle est de favoriser la collaboration au sein d'une même entreprise entre les personnes impliquées dans le processus de veille mais aussi, et c'est plus récent, entre plusieurs entreprises notamment au travers des réseaux d'entreprises. Cette tendance à la collaboration intra et inter entreprises s'est nettement accélérée avec l'arrivée du web 2.0, de ses nouveaux modes de travail et de ses nouveaux outils.
Christophe Deschamps

De la collaboration formelle à la collaboration informelle : les contraintes ... - 4 views

  • Je dis souvent que l’outil ne fait pas le moine. Mais la manière dont les outils s’intègrent, communiquent et structurent l’information d’une manière non seulement transparente pour l’utilisateur mais qui permet aussi de passer de manière intuitive d’un contexte de travail à un autre est également clé dans l’adoption de nouveaux modes de travail par les collaborateurs.
    • Christophe Deschamps
       
      100% d'accord!
Ray Dacteur

Entreprise Collaborative - Le département de la formation survivra-t-il à l'e... - 5 views

  • l’investissement Formation n’est pas optimisé
  • Trop d’énergie et d’argent sur des tâches sans ou à faible valeur d’apprentissage ajoutée.
  • le département formation et les talents qui le composent doivent prendre conscience des usages 2.0, reprendre l’initiative, innover à nouveau :
Christophe Deschamps

My Reviews of the Collaboration Platforms on the Recent Forrester Wave™ - 6 views

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    10 plateformes collaboratives pour l'entreprise 2.0, par Bill Ives
Miguel Membrado

Six ways to make Web 2.0 work - The McKinsey Quarterly - Six ways Web 2.0 work - Busine... - 0 views

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    Excellent article from McKinsey about how web 2.0 tools can improve productivity and efficiency in the company. They are also very well explaining difference between participation and collaboration, which we are ourselves explaining it for many years. It's good to see this difference recognized. The different categories are very well explained also. But one of the key point of this article in the introduction of workflow tecnologies in this area. McKinsey is saying that workflow + participatory technologies is a key enhancer for the company. We agree of course with this, first because companies need both world, and second because providing automation and participation capabilities to the information system is the best way to improve it drastically.
Christophe Deschamps

IndustryWeek : Seven Strategies for Implementing a Successful Corporate Wiki - 0 views

  • Integrate the wiki as one of several important tools in an organization's IT collaboration architecture.Understand the wiki "rules of conduct" and ensure they are monitored and enforced.Optimize the use of wikis for collaborative knowledge creation across geographically dispersed employees, and for crossing divisional or functional boundaries, in order to gain insights from people not previously connected.Assign a champion to each wiki and have that champion observe contributions that people make to the wiki; the champion will help foster employees who adopt the important "shaper" role within the wiki.Recognize that the most difficult barrier to cross in sustaining a wiki is convincing people to edit others' work; organizations should ask their champion and managers to help with this.Recognize that a significant value of wikis comes from embedding small software programs into the wiki that structure repetitive behavior. Some include organizing meeting minutes, rolling up project status or scheduling meetings. Ask wiki participants to keep watching for repetitive activity to evolve and enhance wiki technology.Understand wikis are best used in work cultures that encourage collaboration. Without an appropriate fit with the workplace culture, wiki technology will be of limited value in sharing knowledge, ideas and practices.
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    Tout est dans le titre
Bertrand Duperrin

Management and Virtual Decentralised Networks: The Linux Project - 0 views

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    This paper examines the latest of paradigms - the Virtual Network(ed) Organisation - and whether geographically dispersed knowledge workers can virtually collaborate for a project under no central planning. Co-ordination, management and the role of knowledge arise as the central areas of focus. The Linux Project and its development model are selected as a case of analysis and the critical success factors of this organisational design are identified. The study proceeds to the formulation of a framework that can be applied to all kinds of virtual decentralised work and concludes that value creation is maximized when there is intense interaction and uninhibited sharing of information between the organisation and the surrounding community. Therefore, the potential success or failure of this organisational paradigm depends on the degree of dedication and involvement by the surrounding community.
Miguel Membrado

La culture par objectif favorise le télétravail - 0 views

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    La crise du pétrole va peut-être enfin favoriser l'émergence du télétravail et donc des outils et organisations collaboratives à distance. Il serait temps... Là aussi l'entreprise 2.0, ses outils et son organisation, est taillée pour relever ce défi, bien mieux qu'une organisation traditionnelle
Christophe Deschamps

Management 2.0 : quel rôle pour le management de proximité dans les organisat... - 0 views

  • Dans l'entreprise 2.0, l'information devient accessible à tous et le manager perd ce pouvoir traditionnel. De même, le rôle du manager est d'évaluer son équipe. Dans un système en réseau on est beaucoup plus proche d'un "personal branding interne" qui va forcément jouer sur la réputation du collaborateur au sein de l'entreprise. De nouveau le rôle d'évaluateur traditionnel est amoindri.
  • Comme je l'avais expliqué dans ma petite liste de conseils pour passer à l'entreprise 2.0, ne laisser personne derrière soi, que ce soit d'un point de vue technologique ou organisationnel. Plus les managers de proximités seront impliqués tôt, moins ils auront l'impression d'être "la dernière roue du carrosse" et seront ouverts à ce changement.
  • L'évaluation de la performance non plus individuelle, mais collective doit les inclure. Les managers de proximités jouent un rôle dans ce changement culturel et eux aussi doivent être reconnus pour ce travail d'apports à l'entreprise collaborative. Cela doit faire partie de leur évaluation, même si eux aussi devront s'adapter à cette idée de "personnal branding interne".
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    Problématique cruciale pour l'entreprise 2.0
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