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Bertrand Duperrin

Management and Virtual Decentralised Networks: The Linux Project - 0 views

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    This paper examines the latest of paradigms - the Virtual Network(ed) Organisation - and whether geographically dispersed knowledge workers can virtually collaborate for a project under no central planning. Co-ordination, management and the role of knowledge arise as the central areas of focus. The Linux Project and its development model are selected as a case of analysis and the critical success factors of this organisational design are identified. The study proceeds to the formulation of a framework that can be applied to all kinds of virtual decentralised work and concludes that value creation is maximized when there is intense interaction and uninhibited sharing of information between the organisation and the surrounding community. Therefore, the potential success or failure of this organisational paradigm depends on the degree of dedication and involvement by the surrounding community.
Christophe Deschamps

Enterprise Web 2.0: Building the Next-Generation Workplace - the Driving Force behind J... - 0 views

  • Building on the somewhat vague and yet particular usage of the term 'Web 2.0', 'Enterprise Web 2.0' describes a fresh, and some would say new, approach to the design and provision of business applications that incorporates aspects such as social networking, collaboration, and real-time communication. In addition, Enterprise Web 2.0 focuses a great deal of attention on the user's 'experience' or 'joy of use' -- something of a novelty in enterprise IT these days. By comparison, when Butler Group talks about 'Enterprise 2.0', we are focusing on the composition and architecture of the IT ecosystem, and the associated business models that will support Enterprise Web 2.0 applications.
  • Enterprise Web 2.0 is very much concerned with the user experience of corporate systems and applications, and on extracting business value from the social contributions and interactions of the organisation's various stakeholders.
  • The management of customer relationships continues to remain pivotal for most organisations, and so the social aspects of Web 2.0 are mirrored in the corporate world of Enterprise Web 2.0
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  • Workforce mobility and changing communication patterns are two more trends that are driving change at the infrastructure layer, and so unified communication and collaboration requirements form an important part of Enterprise 2.0 strategy.
  • Enterprise Web 2.0 might be about putting the user (i.e. employee, customer, or stakeholder) first, but in order to do so it also requires supporting technology. And so at the IT infrastructure level, Enterprise 2.0 means Internet Protocol (IP) everywhere -- voice, video, and data. Enterprise 2.0 also means, 'open' standards rather than proprietary or 'closed' systems. Furthermore, Enterprise 2.0 technology means user-driven technology and not IT-driven technology.
  • Having accepted the fact that 'processes' means 'people', then we have to look for ways in which these people (i.e. processes) can self-organise and reference one another. Then, where possible, we need to somehow incapsulate the processes into a set of business services. One day (we might call it Web 3.0), Artificial Intelligence (AI) will enable organisations to do with computers that which they do via human beings today, but until that day arrives, organisations must do more to aid interdepartment and inter-company collaboration. Workflow has not yet figured largely in the consumer-oriented world of Web 2.0, but Butler Group sees this as pivotal when considering Enterprise Web 2.0.
  • Today applications that embody processes are built by IT professionals, but tomorrow they will be built by a new breed of power user, using mashup builders, software agents, and other Web 2.0 technologies.
  • Business and IT managers must therefore prepare themselves for the new generation of power user who will be creating mashups and situational applications that have a far broader impact than the typical spreadsheet macro of yesteryear, and that if organisations are to avoid a proliferation of unmanageable, siloed, micro-applications, then they must blend the power of personal productivity with an appropriate management layer and a degree of central oversight.
  • Web 2.0 is no longer PC-centric.
  • It is clearly a mistake to think that Web 2.0 is all about technology, and likewise Enterprise Web 2.0, but it is also a mistake to dismiss the technology altogether. Therefore, selecting and implementing enterprise social software solutions, next-generation collaboration solutions, and Rich Internet Applications requires careful thought, consideration, and planning.
  • The driving force behind just about every aspect of Enterprise Web 2.0, is of course, the user -- something that has not always ranked highly on the list of priorities for corporate IT mangers -- and so the challenge for all forward-looking organisations is to refocus on this aspect of their IT strategies.
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    Nouvelle étude de Research & Markets. Pas mal d'infos dans cette synthèse. User-centric
Miguel Membrado

La culture par objectif favorise le télétravail - 0 views

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    La crise du pétrole va peut-être enfin favoriser l'émergence du télétravail et donc des outils et organisations collaboratives à distance. Il serait temps... Là aussi l'entreprise 2.0, ses outils et son organisation, est taillée pour relever ce défi, bien mieux qu'une organisation traditionnelle
Christophe Gauthier

Sens du client - Le blog des professionnels du marketing client: Les 10 tendances du Se... - 3 views

  • Les 10 tendances du Sens du client 2010
  • LE CLIENT SERA PLUSIEURS Le client est devenu mutliple. Présent à plusieurs endroits sous une forme différente, c’est un individu fragmenté auquel les marketers doivent désormais faire face. Multiples identités (on compte en France 2,4 adresses mails par personne et 65% ont 2 adresses ou plus), contextes variables : le client est plusieurs et il devient parfois invisible. Pour les entreprises qui gèrent des données concernant leurs clients (une catégorie en très forte augmentation), l’organisation de ces données, la déduplication et la segmentation sont devenues des exercices complexes.
  • Au moment ou le marketing de masse laisse place au marketing comportemental ou ciblé, le marketing des données devient un marketing de masse. La preuve : le one-to-one est moins à la mode que la gestion des communautés qui est une espèce de one to many. On parle désormais de social CRM comme pour habiller délicatement l’ignorance dans laquelle se trouvent beaucoup d’entreprises. Les systèmes d’information qui ont couté des millions aux entreprises se révèlent insuffisants pour appréhender la réalité du client. Comment donner du sens à ces masses de données ? Comment appréhender les nouveaux segments de clients ?
  • ...26 more annotations...
  • les nouveaux segments sont devenus un fait acquis, alors demandez-vous : comment concevrais-je mon organisation si je savais que dans les cinq prochaines années, 5 ou 6 segments émergeront pour occuper plus de la moitié de mon chiffre d'affaire ?
  • la convergence des canaux de relation et la cohérence des sollicitations. Comment avoir une vision unique du client et comment gérer la pression de communication ? Comment comprendre un client multiple et anticiper son comportement ?
  • LE CLIENT SERA SEUL Le self-service est un progrès de notre société
  • LE CLIENT SERA ECO-SENSIBLE Passer la marque à la machine sur le programme « GreenWashing » : l'occupation de ces dernières années pour les entreprises au marketing qui lave plus vert. Sous la pression d’une actualité dramatisante et de clients anxieux, presque toutes les entreprises adoptent les valeurs « développement durable » ou « respect de l’environnement », espérant réchauffer le climat entre leurs clients et elles
  • Mais le client veut des marques ou des enseignes disponibles et réactives, il désire être autonome, échanger en temps réel n’importe quel jour et à n’importe quelle heure, dans une relation personnalisée
  • En 2009, 36% des entreprises, soit deux fois plus qu’en 2008, (selon cette étude) « ont opté pour les modes de communication économiques, comme le Web et le self-service ». Parfois mauvais calcul quand on constate que –selon la même étude- « Malgré la mise en place de ces services sur Internet, les centres de contacts constatent que le nombre d’appels entrants n’a pas été impacté
  • Dès qu’on ouvre un nouveau canal de relation avec le client type Serveur Vocal Interactif, celà aurait plutôt tendance à faire croitre le nombre de contact globalement. Au bénéfice de la marque qui maitrise l’information qui la concerne et héberge la conversation, et au bénéfice du client qui choisit son mode de communication
  • apporter un vrai bénéfice au client lorsqu’il est seul. Seul face à un site Internet, avec un SVI, une borne interactive, il se sent trop souvent abandonné
  • Bénéfices évidents du client seul : l’aspect pratique et la réduction des prix.
  • LSA nous rapporte qu’une enseigne espagnole a conçu et marketé son espace de vente en trois circuits d’achat : court (convenience store), moyen (achats quotidiens) et longs (courses de la semaine) pour répondre aux besoins du client.
  • LE CLIENT SERA ORGANISE On sait que le client est multiple, tout comme le sont les propositions commerciales qui s’adressent à lui. Lorsque celles–ci manquent de clarté ou sont défaillantes dans le bénéfice réel, le client revoit ses préférences et hiérarchise ses fournisseurs. Parfois perdu (8 français sur 10 ignorent encore ce que sont les soldes flottants ), souvent sur-sollicité (rappelons que nous sommes confrontés à 400 messages commerciaux par jour-source Francoscopie 2010), le client doit s’organiser
  • les marques ont l’occasion unique de redonner du sens à leur discours avec des valeurs et de créer du lien avec leurs clients. Seront gagnantes les marques qui apporteront des preuves concrètes, qui feront des gestes sans calcul cynique sur un sujet qui n’est pas prêt de quitter l’esprit du client
  • LE CLIENT SERA AMELIORE (Photo Avatar). Le client est un roi doté de super-pouvoirs. Entourés, enrichis, connectés, les français sont 67% à avoir accès à Internet chez eux (+6% en un an), et 82% des Français de plus de 12 ans ont un téléphone mobile. Le monde dans le creux de sa main est une réalité pour déjà 5 millions de personnes utilisant Internet mobile (doublement en un an) Source : ARCEP. Le client est assisté, aidé : il ne faut plus faire partie d'une minorité de privilégiés pour savoir qu'il faut tourner à droite dans 200 mètres avec son GPS embarqué dans sa voiture ou sur son téléphone mobile... Le client français a adopté les réseaux sociaux : près de 16 millions d’inscrits dont les trois quarts pour « rester en contact avec leurs amis ». Le réseau social virtuel qui entoure le client l’aide aussi à faire des choix dans sa consommation. Selon Harris interactive (pour Fleishman Hillard), "50% des français pensent qu’Internet les aide à prendre de meilleures décisions d’achat" et "85% des consommateurs consultent les avis des internautes avant d’acheter". Le téléphone est devenu « smart » pour 3,5 millions d’utilisateurs nouveaux en une année, et pas tous des professionnels ! Que vous partiez en voyage ou que vous vous rendiez au restaurant du coin, vous trouverez sur la route de votre choix des avis de consommateurs en qui vous avez confiance.
  • prendre sa place dans un monde digital et virtuel pour y accueillir son client. Proposer de nouvelles voies d'accès et de dialogue avec lui.
  • LE CLIENT SERA OCCUPE La moitié des adolescents regardent déjà la télé en surfant sur le net et 47% utilisent leur téléphone mobile en étant connectés (source Forrester). La multi-activité se développe
  • Le client est surbooké et ce que nous nommons une maladie pour nos enfants n’est que la caricature et le signe précurseur d’un futur proche de consommateur de média. Le client n’est pas absent ou distrait, il est très occupé. Les Français ont eu en moyenne 40,4 contacts par jour avec une activité média ou multimédia (hors ordinateur) en 2009, un chiffre toujours en augmentation. Un français sur deux se connecte chaque jour à Internet, et les médias sont de plus en plus consultés sur de nouveaux supports
  • LE CLIENT SERA FAN Les grandes marques vont sortir de la crise avec panache et le client n’attend que ça. Pourquoi ? Parce qu’il a désormais la possibilité de se manifester et de faire savoir qu’il aime une marque ou qu’il s’y intéresse sur les réseaux sociaux. 40% des inscrits à Facebook sont amis ou fans des marques et 25% « suivent » des marques sur Twitter selon Razorfish
  • LE CLIENT SERA BAVARD Si je me fie à ce compteur Twitter, au mois de mars prochain, nous passerons la barre des 10 milliards de tweets. Rien qu’en France, si on suit les 25 premiers utilisateurs de ce réseau social, on peut lire 360 000 posts de 140 caractères Pour 23% des Français de plus de 12 ans inscrits sur les réseaux sociaux , le quotidien est fait de conversations.
  • Un tweet sur 5 concernerait un échange d’expérience à propos d’une marque. C’est considérable. A la recherche de la relation authentique, de l’avis sincère, le client est prêt à contribuer et donner de son temps. Sur le très fiable site d’avis consommateurs Beauté Test par exemple, tous les jours, 400 nouveaux avis sont postés et 10 à 20 nouveaux produits sont référencés. On donne la parole au client, il en fait un usage à son profit !
  • les avis seront de plus en plus donnés en temps réel (18% des membres Facebook mettent à jour leur profil depuis un téléphone mobile)
  • favoriser l’expression du client en la rationnalisant. Et face à l’infopollution, investir dans le tri sélectif
  • LE CLIENT SERA AVENTUREUX Seuls 15 %, c’est-à dire un client sur sept se déclare «fidèle » aux marques et 21 % sont moins fidèle qu’avant, c’est ce qu’avait révélé l’étude faite en 2009 à l’occasion de la Saint Fidèle sur ce blog.
  • Laurent Habib de RSCG C&O déclarait à LSA le 29 octobre dernier : «les marques ne parviennent plus à justifier leur positionnement premium, ni a susciter la préférence et la fidélité». Sensible au prix, le client observe avec un scanner dans les yeux les propositions low cost et les propositions premium, délaissant un ventre mou sans odeur et sans saveur. Il privilégie la valeur d’usage et se montre critique envers les innovations sans bénéfice
  • proposer aux clients de vraies innovations, prendre des risques. C’est le moment de mettre en pratique le subtil précepte de Jacques Séguéla (qui a le sens de la formule) : « moins de tests, plus de testicules »
  • LE CLIENT SERA ENTENDU 20% des français ont déjà dénoncé en ligne des entreprises ayant mal agi à leurs yeux TNS Sofres LSA 11/09. Nous sommes entrés dans le nouvel âge de la relation client, l’époque où le client peut s’exprimer et être entendu par des milliers de personnes (cf mon billet à ce sujet). Le patron d’Amazon disait "Si vous rendez vos clients mécontents dans le monde réèl, ils sont susceptibles d'en parler chacun à 6 amis. Sur internet, vos clients mécontents peuvent en parler chacun à 6000 amis."
  • gérer sa réputation et repenser son organisation pour l’orienter vers un client omniprésent. Il ne s’agit plus de surveiller ou faire du buzz monitoring mais bien de pratiquer une écoute active et participer à un nouvel échange.
Christophe Deschamps

Beyond Enterprise 2.0 ROI, evaluation and management of knowledge in the workplace - 0 views

  • It is common knowledge that “what you can’t measure, you can’t manage”. And because knowledge is intangible by nature, it is not measurable and therefore not manageable.  This argument is seated in a fundamental law of Science. Consequently, the only way to move forward is to rematerialise knowledge, which we do by transforming knowledge into information or data.
  • Social computing helps transform tacit knowledge into formal transferable knowledge. This is why social software fundamentally complements existing organisational information architecture, as well as provides a constructive replacement for email, which is often considered a silo because of its overtly individualistic nature.
  • Today, ROI is the iconic, easy-to-catch and use wording for a much significant concern: evaluation. ROI is one tiny piece of a real big puzzle. ROI is an indicative ratio commonly used to anticipate the financial impact of decisions. It is a simplistic rendering of a very complex set of parameters.
  • ...3 more annotations...
  • * New metrics. Because we deal with different stuff, we need to invent metrics that are relevant to what we are trying to follow and drive. For social software, one can start with the usual web and online community metrics. Some new initiatives, such as Me-trics, open doors to more in-depth analytics that are worth considering (with a barrage of ethical considerations however).
  • In fact, calculating the ROI on social software is complicated to the point that economically it is unrealistic to do so. Instead of an estimation a posteriori a pilot phase, ROI as it is commonly referenced in the “Enterprise 2.0″ scene is pure guess and absolute non-sense in most cases.
  • Why Balanced Score Cards? For four reasons: 1. Kaplan & Norton have escaped the collusion of measurement and quantity. Measurement is not necessarily quantitative. That is a common source of confusion and of inefficiencies in numerous parts of human activity (to name a few: reporting (exhaustiveness), research (methodology), education (elite creation via selection on maths)). Measurement can be qualitative (see  Georgescu Roegen work if you’re curious). It is no surprise if numerous initiatives in intellectual capital used Balanced Score Cards 2. Balanced Score Cards are notably visual, which is not so with quantitative ratios.  That visual characteristic invites greater meaning and relevance. 3. Balanced Score Cards are heterogeneous and are therefore a more natural receptacle for a) qualitative and quantitative analytics and b) can encompass a variety of topics. In this regard, one can build official reporting encompassing both physical and knowledge activities. 4. Balanced Score Cards are aggregative so that one can build reports from various levels in the organisations. Coupled with its heterogeneous nature (previous point), one can build reports for HR, Marketing, Finance, … under the same format and surface analytics at one or many levels. The result is that some knowledge related metrics can climb the hierarchy up to the summit.
Christophe Deschamps

Employers taking chances when blocking Facebook too, says Deacons - 0 views

  • 14 per cent use it at some time to access social networking sites. Usage is significantly higher among younger workers with 32 per cent of 16-24 year olds and 23 per cent of 25-34 year olds reporting frequent or occasional use. 20 per cent said their employer blocked access to social networking sites while 57 per cent said their employer allowed it (23 per cent did not know). 76 per cent of workers who use the Internet at work could see a benefit to their organisation in allowing access to social networking sites believing it showed: - trust in employees (68 per cent);  - gave people a break from day to day work and kept them fresh (48 per cent); and  - allowed them to better network with other employees, customers and suppliers (40 per cent). Among those who use social networking sites, 91 per cent saw a benefit to their organisation from the activity. In general, younger workers were more likely to see these benefits than their older counterparts. 16 per cent overall said an employer’s policy re on-line social networking would influence their decision to join one employer over another. This view was particularly strong among 16 to 24 year olds, with one in four saying it would. 91 per cent say that they use the Internet appropriately at work, with only 1 per cent admitting to frequent inappropriate use.
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    Etude australienne, avril 2008
Yan Thoinet

untitled - 0 views

  • Driving successfully web 2.0 into the enterprise
  • A lot of companies are currently planning their web 2.0 strategies and are discovering the opportunities as well as facing the challenges of adopting these technologies in the workplace.
  • Making this type of initiative a success requires aligning the following critical aspects: senior management commitment and involvement, internal communication, company’s culture and organisational change, providing incentives and recognition, and finally selecting the appropriate infrastructure.
  • ...2 more annotations...
  • The business case, system adoption and issues around fragmentation are typical pain points that companies are dealing with as far as Enterprise 2.0 implementation is concerned.
  • business strategy, aligned with clearly defined outcomes & objectives, and supported by organisational structures, company's culture and adapted technologies.
Yan Thoinet

12 outils pour organiser vos réunions de travail : présentation - 0 views

  • 12 outils pour organiser vos réunions de travail
Christophe Deschamps

Management 2.0 : quel rôle pour le management de proximité dans les organisat... - 0 views

  • Dans l'entreprise 2.0, l'information devient accessible à tous et le manager perd ce pouvoir traditionnel. De même, le rôle du manager est d'évaluer son équipe. Dans un système en réseau on est beaucoup plus proche d'un "personal branding interne" qui va forcément jouer sur la réputation du collaborateur au sein de l'entreprise. De nouveau le rôle d'évaluateur traditionnel est amoindri.
  • Comme je l'avais expliqué dans ma petite liste de conseils pour passer à l'entreprise 2.0, ne laisser personne derrière soi, que ce soit d'un point de vue technologique ou organisationnel. Plus les managers de proximités seront impliqués tôt, moins ils auront l'impression d'être "la dernière roue du carrosse" et seront ouverts à ce changement.
  • L'évaluation de la performance non plus individuelle, mais collective doit les inclure. Les managers de proximités jouent un rôle dans ce changement culturel et eux aussi doivent être reconnus pour ce travail d'apports à l'entreprise collaborative. Cela doit faire partie de leur évaluation, même si eux aussi devront s'adapter à cette idée de "personnal branding interne".
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    Problématique cruciale pour l'entreprise 2.0
Christophe Deschamps

Toward a Pattern Language for Enterprise 2.0 - 0 views

  • I’ve had for some time now the vague sense that the iPhone, Twitter, Gmail, Googling, Facebook, Wikipedia, Delicious, and other runaway successes are trying to tell us something about how we want to use technology in our lives and in our work, and if we enterprise technologists listen carefully we’ll hear what that something is.
  • I started jotting down some comparisons based on what I’ve seen, read, and experienced for myself, then realized that I was identifying patterns
  • I’m dividing my 2.0 vs. 1.0 comparisons into two groups. First is a set of patterns where 2.0 is just better than 1.0
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  • Second is a set in which 2.0 is an alternative or addition to 1.0, not a replacement for it.
  • the primary goal of enterprise IT is not to delight users, but rather to increase the value of the company. But do these two outcomes have to be in conflict?
  • The biggest challenge will probably be to get corporate technologists (a group that includes IT departments, vendors, and consultants) to stop thinking like monopolists that can dictate tools to users with great confidence that, because of the lack of alternatives, they’ll get used.
  • I can think of four negative consequences of ignoring these patterns and continuing to act like a 1.0 enterprise technology monopolist.
  • enterprises will deploy technologies that are disliked and/or not used
  • employees will use ’stealth IT’ and any knowledge / information captured therein will not be retained by the enterprise
  • employees and customers will leave because of their frustration with poor enterprise technologies
  • the enterprise will be handicapped or crippled  –  less productive, innovative, collaborative, agile, ‘wise,’ foresightful, insightful, transparent, clear than it could be otherwise, or than its competitor is.
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    Excellent article d'Andrew McAfee sur ce que les technos 2.0 apportent de plus que les précédentes aux organisations.
Gregory Culpin

L'Entreprise 2.0 pour préparer la reprise (part II) - Whitepaper à télécharger - 0 views

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    Dans un monde des affaires en perpétuelle mutation, la connaissance devient un capital essentiel pour toute organisation. Leur survie et croissance passe par la mise en place de solutions optimisant la collaboration et la gestion des connaissances. Forts de ce constat, nous avons récemment travaillé à l'écriture de notre premier livre blanc (disponible en anglais uniquement). Il se veut être une analyse des avantages liés à l'introduction d'outils de l'Entreprise 2.0, et positionne la gestion collaborative des connaissances comme une solution stable et durable, plus particulièrement en ces périodes de tumulte économique.
Tyme 2.0

Online Meeting, Web Conferencing, Desktop Sharing and Remote Support with Mikogo - 0 views

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    Mikogo is an easy-to-use cross-platform desktop sharing tool, ideal for web conferencing, online meetings or remote support, with up to 10 others participants. Iit's FREE for both commercial and private use. There's also a "portable " version. The organiser/presenter must register, but presenter ( could be another participant) and the viewer participants don't need, they just have to know the session ID Mikogo is a BeamYourScreen company product
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    Une application trés facile à mettre en place avec un collaborateur ou un client, trés facile à utiliser et qui fera gagner beaucoup de temps : Un partage d'écran vaut mieux qu'un long discours au téléphone !
Ray Dacteur

Une organisation peut-elle devenir "email-free" ? | 362.0 - 4 views

  • Nous en avons pris conscience il y a déjà quelques mois, en particulier dans 2 projets distincts initiés à la mi-2009 et pour lesquels nous avons déployé l’ensemble des outils collaboratifs formant le socle de l’entreprise 2.0.  Après quelques mois d’utilisation, nous avons été frappé par le fait que certains membres de ces groupes de travail n’utilisaient plus du tout l’email pour communiquer entre eux. Plus aucun email ! Ces projets sont donc devenus email-free !
  • C’est pouvoir retravailler par contexte, en déterminant les plages horaires consacrées à telle et telle activité
Ray Dacteur

Deploying microblogging in organisations » Step Two Designs, Catherine Grenfell - 1 views

  • Microblogging is a quick informal channel people can subscribe to with a low time commitment
  • Create opportunities for staff to connect
Christophe Deschamps

Management 2.0 : Leadership et collaboratif - 5 views

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    Etre un manager, ne veut pas dire être un leader ou faire preuve de leadership. Et pourtant dans le cadre d'une organisation collaborative, les managers vont surtout devoir faire preuve de leadership. C'est à dire passer de compétences manageriales à une posture de leadership.
Michael Nezet

Logiciels de gestion de bibliothèques électroniques - 0 views

Yoolib, logiciel proposé par Amanager, SARL bordelaise détenue par le fabricant de scanner I2S et le fondateur de la société Foudyl Zaouia. Yoolib est le résultat...

outils bibliothèque numérique gestion bibliographique

started by Michael Nezet on 16 Jul 12 no follow-up yet
Christophe Deschamps

La collaboration… une fumisterie ? - 8 views

  • Le Web social montre la voie à de nouvelles manières de faciliter l’échange de savoir, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de nos organisations, mais les comportements collaboratifs, indispensables à l’éclosion de modes de travail en accord avec la nouvelle économie en réseau qui est en train de se dessiner, ne sont présents (voire même imaginables) que chez bien peu d’entre nous.
  • Des milliers de pages Facebook sont créées chaque jour au nom de la promesse presque toujours fallacieuse de construire des communautés.
  • Ce dont nous avons besoin n’est pas de forcer l’adoption de nouvelles pratiques dans des structures conservatrices, mais de faciliter leur diffusion, par l’utilisation et la modification de mécanismes existants, quoique latents, pour permettre l’émergence de nouvelles pratiques.
  • ...9 more annotations...
  • La véritable collaboration requiert non seulement le développement d’un environnement collectif favorable, mais aussi de la confiance. Le problème est que la confiance est une qualité en voie de disparition. Les marques ne peuvent prétendre ignorer que les clients leur font chaque année de moins en moins confiance, et que cette érosion de la confiance s’exprime partout, y compris sur les médias sociaux. Dans les entreprises, le niveau de confiance est encore plus bas. Le micro-management, l’évaluation continue basée sur la performance dans des environnements de travail prédéfinis, la pression hiérarchique et économique, ont gravement endommagée la confiance parmi les employés. Dans la plupart des cas, la collaboration est une fumisterie.
  • Les travailleurs du savoir doivent continuellement pouvoir disposer de nouvelles ressources, tandis que travail et apprentissage doivent se fondre en un flux continu. Mais, alors que si peu d’entreprises sont suffisamment mûres pour accepter et adopter cette complexité et ainsi redéfinir le travail en termes de flux fluide et collaboratif, comment pouvons-nous aider et accompagner les autres ?
  • Un tel modèle facilite l’adoption de pratiques collaboratives, mais ne tient compte ni des relations réelles entre les membres d’une entreprise et du manque sous-jacent de confiance, ni d’un des défauts majeurs des processus business : les «socialiser» permet plus facilement de prendre en compte les opérations floues ou incertaines, une approche voisine de celle des Barely Repeatable Processes de Thingamy, mais ne fonctionne pas correctement lorsque l’issue elle-même est incertaine. Les processus fonctionnent lorsque le résultat en est prévisible, ce qui est de moins en moins le cas.
  • Les communautés de pratiques, qui développent avec le temps de véritables comportements collaboratifs et adaptatifs, reposent bien plus sur la passion, la patience et l’implication que sur les technologies 2.0. Elles fonctionnent généralement bien en ligne lorsqu’elles fonctionnent bien hors ligne.
  • Ces relations ne sont pas basées sur une transaction, mais reposent sur la valeur que les entreprises peuvent créer en aidant les clients à résoudre les problèmes qu’ils rencontrent dans leur vie quotidienne, en leur proposant de meilleurs produits et services. Le Web social facilite cette logique à dominante service, permettant de recueillir davantage d’informations à partir des interactions entre les individus (c’est ce à quoi s’emploie le CRM Social). La mise en place de ce type de relation est un pré-requis de la collaboration, dont le but ultime est la co-création de valeur.
  • Plutôt que d’aider leurs clients à faire ce qu’ils ont à faire en entretenant une interaction constante, beaucoup de fonctions support les mettent au bout d’un entonnoir orienté processus. Par exemple, la DSI formalise en vain ses relations avec ses clients internes à travers la gestion des exigences, malgré leur inaptitude avérée à résoudre des problèmes réels en temps réel.
  • Redéfinir le client interne en suivant une logique orientée service permettrait de jeter les bases organisationnelles de la collaboration. La plupart des services en bénéficierait; les Ressources Humaines, par exemple, pourrait mettre en place un vrai développement de carrière, au-delà des référentiels métiers et fonctions.
  • Que se passerait-il si les managers considéraient leurs équipes comme des clients ? Faciliter la tâche de ses subordonnés et observer la manière dont ils les gèrent…
  • Je crois que l’application en interne de ce que nous apprenons à faire vis-à-vis de nos clients externes fournit une solution concrète à la préparation du changement vers une entreprise collaborative, pour la grande majorité des entreprises pour qui la collaboration est une fumisterie. Je ne propose pas de modèle, juste un appel au passage à l’acte. Pour faciliter la diffusion de pratiques collaboratives, redéfinissons le client interne, et tenons en compte de la même manière que nous devons à présent tenir compte des clients de nos marques.
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    Texte essentiel de @tdebaillon
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    Bravo, une grande part de ces constats est faire un pas dans une conscience de soi et de son impact sur la société. Les entreprises sont les ultimes clés, aussi je vous propose de penser en terme d'entreprise civile... voir ici: http://www.facebook.com/topic.php?uid=67036426665&topic=8274 le groupe ADN2 .. don t vous pourrez constater qu'il n'y a pratiquement jamais d'intervenants ou de critiques constructives (c'est à dire basée sur ce que l'autre pose comme support ou erreur à corriger.). souvent les forums sont au plus près de ce que les gens arrivent à faire: parler dans leur coin et corriger un par un.. mais il est vrai qu'il y a toujours un aspect "virtuel" sur ce qui est déposé en commun. Or c'est à partir du moment où nous pourrons affirmer travailler en efforts personnels pour des projets communs que nous pourrons parler de réelle collaboration. La différence entre "participer" à un débat en y déposant son avis (et donc d'en recevoir sa propre satisfaction egotiste) ET tenter de construire afin d'affiner et d'optimiser une réponse, en théorie comme en concret est vicieuse: la forme prime encore parce qu'apposer sa signature est devenu le gage d'un "pseudo-engagement, proche de ce que les gouvernances actuelles nous sommes de faire: voter" : cela se rejoint parfaitement dans un lien direct.
Christophe Deschamps

Enterprise 2.0 - an adoption model - 0 views

  • low readiness for change high risk-aversion preference for hierarchy and processes to create knowledge over personal freedom to collaborate and share individual preference for position power and legitimate power over referent powerand expert power
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