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Yan Thoinet

Bloc Note de Bertrand DUPERRIN » A venir : l'émergence du management 2.0. Mai... - 0 views

  • David Gurteen faisait justement dernièrement le rapprochement entre les usages du web 2.0 et le management 2.0 sur le fondement de ce que Gary Hamel écrivait à ce sujet dans The Future Of Management. Mais il posait également la question suivante : qui seront les managers 2.0 ? Seront ils les managers “1.0″ qui auront changé ? Faut il attendre que les premiers disparaissent du circuit pour voir une nouvelle génération prendre le pouvoir ?
  • j’ai peur que si on attend la passation de pouvoir entre deux générations il sera trop tard.
  • Alors, doit on attendre l’arrivée des digital natives ? Oui certainement. Mais avant eux il y a également une génération intermédiaire qu’il ne faut pas oublier, qui est prise entre deux feux aujourd’hui mais ne demande qu’à jouer le jeu.
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  • Peut on “upgrader” les seniors ? Oui, certains en tout cas. Mais pas en passant en force. Cette génération n’est pas foncièrement hermétique, mais l’expérience lui a également appris le recul et la circonspection. Et ils sont habitués à des cycles de changement beaucoup plus longs que ceux que nous connaissons et connaitrons à l’avenir. Le changement passera par l’exemple. Ils ne sont pas contre a priori, mais ils sont également les gardiens d’un système qui fonctionne (plus ou moins) tant que la preuve que quelque chose de plus efficace existe ne leur sera pas apportée de manière tangible. Bien sur qui ne tente rien n’a rien et, c’est peut être là le point d’achoppement principal, ils ont moins la culture de l’expérimentation que leurs successeurs.
  • Bref nous entrons dans une ère de transition où on devra s’appuyer sur des seniors moteurs, en convaincre quelque autres, faire en sorte que les digital natives ne s’acculturent pas et utiliser la génération intermédiaire comme véritable cheville ouvrière
  • construire des synergies entre ces deux tendances qui seront les piliers de l’entreprise dès demain.
  • A moins que la réalité économique ne nous impose une transition plus abrupte…
Christophe Deschamps

Les managers de proximité sont des acteurs clés de l'acceptation du 2.0 - 3 views

  • Comme pour toute transformation d’entreprise, ils sont les principaux relais de la direction. Ils sont donc le passage obligé de tout changement et ont un rôle crucial dans l’échec ou la réussite d’un projet de transformation.
  • Cela ne signifie pas forcément qu’il y a une évolution des compétences dont ils vont avoir besoin, mais leur posture va changer. Ils devront endosser un rôle d’animateur, permettre à l’équipe de collaborer et de s’organiser. Leur rôle est moins hiérarchique, c’est plus une question de leadership et de management transverse.
  • A l’inverse ils seront les premiers à faire frein si on ne leur donne pas de possibilités d’évoluer. Ce sont à la fois les plus impactés et ceux qui vont conduire le changement. Les middle managers sont des acteurs clés.
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  • Si on leur demande de travailler au delà de leur département sans que les règles d’évaluation n’aient été changées, il peut y avoir une certaine réticence de la part de leur manager. Donc il faut changer les règles de jeu au niveau du haut de la pyramide. Il ne faut plus noter seulement sur la performance individuelle mais sur le collaboratif.
  • Souvent ce sont des gens de la génération X, contrairement aux idées reçues qui veulent que la génération Y soit forcément championne du collaboratif. Ce sont eux qui vont rendre l’adoption plus facile dans le reste de l’entreprise. Il y a aussi un effet viral.
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    Anthony Poncier revient dans cette interview sur le rôle essentiel du middle-management dans le succès d'un projet 2.0
Christophe Deschamps

L'entreprise 2.0 et le mythe de la création de contenu - 0 views

  • L’employé ne produit pas des contenus mais de l’information, il en produit de plus en plus, et en vertu du principe selon lequel “si seulement l’entreprise savait ce que sait l’entreprise”, il serait bon qu’il en produise davantage.
  • l’entreprise a l’habitude de considérer que ce qui ne répond pas à ces critères ne sert à rien (ce qui n’est pas faut car ne répondant pas à un besoin) et donc que sa génération est du temps perdu. C’est là où les fameux contenus resemblent à ceux du web 2.0 : générés, mis à dispostion, sans pour autant savoir a priori comment ils seront utilisés par la suite. Et lorsqu’elle ne sait pas a priori a quoi quelque chose va servir, l’entreprise a tendance à decreter que ce quelque chose est inutile.
  • La “génération du contenu” étant un acte unique alors que le besoin pouvant se répeter un nombre indéfini de fois dans le temps temps, éviter ce qui était une perte de temps a priori donne lieu à de multiples pertes de temps a postériori.
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  • Une collection de best practices que personne ne consulte et ne met en œuvre n’a d’autre valeur que celle d’exister. Il faut donc peu a peu faire acquérir ce réflexe aux collaborateurs, faire en sorte que concentrer expression des besoins et des solutions en un même endroit.
  • Cette mise en relation sera logicielle et humaine. Logicielle car il existe aujourd’hui des outils de publication / classement / évaluation / recherche / redirection de l’information parfaitement adaptés.
  • Humaine ensuite car la logique de sollicitation de ses contacts afin qu’à leur tour ils sollicitent les leurs afin de trouver une solution, une réponse, qui est existe et a prouvé son efficacité depuis la nuit des temps de va pas disparaitre pour autant. Il s’agit simplement de la faciliter, connecter les bonnes personnes sur des critères de pertinence afin qu’elles intéragissent entre elles, partagent informations et contacts. Par contre le caractère chronophage de ce type de pratique est proportionnel à la taille de l’organisation. Il s’agit donc de fluidifer et rationaliser tout cela, et là intervient la composante réseau social qui va devenir bientôt nécessaire à tout système d’information nécessaire.
  • rien ne sera possible tant que la logique amenant du contenu à la valeur ne sera pas explicitée et que ce qui permet de passer de l’un à l’autre ne sera pas mis en place. Contenus, outils et bonnes pratiques ne se suffisent pas, il faut les trois. Et les managers verront alors l’intérêt de voir leurs équipes générer du contenu.
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    Très bon article de Bertrand Duperrin sur la création de contenu dans l'entreprise et comment y parvenir.
Christophe Deschamps

Qu'est ce qu'une entreprise 2.0 fin 2010 ? - 7 views

  • Et là… la problématique est plus lourde. C’est d’ailleurs sur ces éléments qu’on constate les plus grands écarts générationnels (Attention je ne parle pas de génération Y). Nous avons d’un coté les jeunes qui contestent la hiérarchie ou la propriété auxquels ils n’ont pas accès et les anciens qui en sont dotés et pas tout à fait prêts à s’en défaire.
  • Une façon pour les jeunes de renverser la question et de ne pas demander le pouvoir mais le répartir de facto… Un sujet à creuser assurément, qui en dit long aussi sur la dimension symbolique que prennent les luttes actuelles
  • Prenons une entreprise qui propose des services « 2.0 ». Si on prend l’hypothèse qu’elle double son chiffre tous les ans (ce qui est déjà un signe de croissance exceptionnelle), qui commence avec 100K€ de chiffre d’affaire…elle pèse actuellement au mieux 0,8M euros… Moins que le chiffre d’affaire d’une brasserie ! Normal donc, que pour un grand compte, ces budgets « 2.0 » soient vus comme « faibles »… Mais faible, ne veut pas dire non stratégique.
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  • Généralement les mêmes qui avaient tourné le dos au Web. Il faut bien comprendre que nombreuses sont les entreprises qui n’ont pas besoin de relais de croissance que ce soit par la situation économique ou un effet de « monopole ».
  • Ensuite, nombreuses sont les entreprises qui se sont lancées dans le 2.0 comme elles s ‘étaient ruées sur SecondLife. Pour faire bien. On retrouve ce type de projets dans les grands groupes qui s’essayent à des nouveaux concepts. Ce qui caractérise ces projets c’est le fait qu’ils ne sont pas en lien avec le business. L’exemple qui me vient à l’esprit est celui de rendre « 2.0 » une communauté visible… Cette Entreprise2.0 on l’aura compris n’a pas dépassé le stade d’intérêt poli des décideurs.
  • Il y a enfin ceux qui prennent ce concept en se posant la question simple « Qu’est ce que ce nouveau machin peut m’apporter à mon business ? ». Sans préjugés, ni arrières pensées et de sous un angle très pragmatique. Et là, le résultat est somme toute très différent. Car il est indéniable que les concepts du 2.0 (collaboration, temps réel, connexions des personnes, informations etc…)  sont de nature à faire progresser le business. Encore faut-il le démontrer ? Et c’est justement la bonne récolte 2010. Les premiers projets mis en place à dimension business donnent des résultats concrets : plus de ventes, plus de qualité dans la relation client etc…
  • L’entreprise 2.0 –en tout cas son concept papier –  vit sans doute ces derniers jours, au profit d’une nouvelle ère : l’irruption massive des réseaux sociaux dans le champ numérique de l’entreprise : depuis les entrepôts, jusqu’aux points de ventes en passant par les bureaux.
Christophe Deschamps

Employers taking chances when blocking Facebook too, says Deacons - 0 views

  • 14 per cent use it at some time to access social networking sites. Usage is significantly higher among younger workers with 32 per cent of 16-24 year olds and 23 per cent of 25-34 year olds reporting frequent or occasional use. 20 per cent said their employer blocked access to social networking sites while 57 per cent said their employer allowed it (23 per cent did not know). 76 per cent of workers who use the Internet at work could see a benefit to their organisation in allowing access to social networking sites believing it showed: - trust in employees (68 per cent);  - gave people a break from day to day work and kept them fresh (48 per cent); and  - allowed them to better network with other employees, customers and suppliers (40 per cent). Among those who use social networking sites, 91 per cent saw a benefit to their organisation from the activity. In general, younger workers were more likely to see these benefits than their older counterparts. 16 per cent overall said an employer’s policy re on-line social networking would influence their decision to join one employer over another. This view was particularly strong among 16 to 24 year olds, with one in four saying it would. 91 per cent say that they use the Internet appropriately at work, with only 1 per cent admitting to frequent inappropriate use.
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    Etude australienne, avril 2008
Elise Carbone

La génération Y et les RH - 0 views

  • MERCREDI 29 AVRIL 2009 de 18h30 à 20hAmphithéâtre Louis Liard à la Sorbonne
  • Isabelle AbaResponsable des Ressources Humaines, Etam LingerieCharlotte DudaPrésidente Nationale de l'Association des DRH (ANDRH)Laurence LaigoSecrétaire Nationale, CFDTDominique LaurentSenior Vice-Président Ressources Humaines, Schneider Electric
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    Colloque à la sorbonne le 29 avril de 18h30 à 20h
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