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"Le rapport de la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l'Église (Ciase) fait état de 115 000 victimes de violence sexuelles de la part de laïcs dans un cadre ecclésial entre 1950 et 2020. Les témoignages de victimes sont cependant peu nombreux."

Le diocèse du Mans et l'Enseignement catholique de la Sarthe accueilleront en septembre prochain l'Académie Musicale de Liesse.

"Avec la création d'un campus à Reims, l'Institut catholique de Paris (ICP) veut aller à la rencontre des étudiants. La théologie et les sciences religieuses mobilisent un dixième des 10 000 étudiants de l'université parisienne."

Le 16 octobre 2020, Samuel Paty était assassiné par un islamiste qui lui reprochait d'avoir montré des caricatures du prophète Mahomet en classe. Depuis, chez les professeurs, la parole s'est libérée. Dans un sondage publié par la fondation Jean-Jaurès, ils sont 49 % à affirmer s'être déjà autocensurés afin de ne pas provoquer de possibles incidents pendant leur cours. Mal-être, difficultés à aborder certains sujets devenus "sensibles", absence de soutien de la hiérarchie : si vous êtes enseignant, votre témoignage nous intéresse."

"[Interview] Le 16 octobre 2020, Samuel Paty, enseignant d'histoire-géographie dans un collège, était assassiné. Un an après, Abdennour Bidar, philosophe, spécialiste de l'islam et de la laïcité, nous parle de la liberté d'expression, du respect des croyances et du sens spirituel du vivre ensemble."

"Encore bouleversés par l'assassinat du professeur d'histoire-géographie, les enseignants d'une ville moyenne de la région Occitanie, Alès, confient leurs craintes, leurs relations complexes avec des élèves biberonnés aux « fake news » et leurs espoirs. Leur colère aussi, à l'encontre d'une institution inerte."

"Le CO.DI.EC. (Comité Diocésain de l'Enseign. Cath.) tenait son assemblée générale de rentrée vendredi 15 octobre après-midi à 15 h au CPSO. Il se réunit au minimum trois fois par an car ses compétences couvrent l'ensemble des forces vitales de l'enseignement catholique indispensables à son fonctionnement. Il en est ainsi dans tous les diocèses. Certes, chaque établissement est autonome avec son projet pédagogique et éducatif propre suivant le « trépied » qui s'articule à sa tête : la Tutelle (diocésaine ou congréganiste), l'OGEC pour la gestion, et le Chef d'établissement qui reçoit mission de l'évêque. Mais il est indispensable de travailler ensemble et de façon cohérente, c'est pourquoi le CO.DI.EC. est toujours dirigé par l'évêque du diocèse, qui peut se faire représenter par le Directeur Diocésain de l'Enseignement Catholique."

"Un mois après le lancement de l'opération par le ministère de l'éducation nationale, nombre d'établissements scolaires n'ont toujours pas accroché les fameuses affiches. Retour sur une déconfiture."

"Selon la commission Sauvé, 30 % des agressions sexuelles commises au sein de l'Église l'ont été dans l'enseignement catholique. Avec une période extrêmement sombre des années 1940 à 1960, avant la décrue du nombre de prêtres enseignants."

"« Stimuler une action éducative renouvelée » pour « faire grandir dans le monde la fraternité universelle », avec « la sagesse et l'humanité » des traditions religieuses », tel est l'objectif du « Pacte éducatif mondial », a rappelé le pape François aux représentants des religions qui participaient à la rencontre intitulée « Religions et éducation » au Vatican, ce mardi 5 octobre 2021."

"Le pape François a évoqué le travail du Saint-Siège pour un « Pacte éducatif mondial » en recevant un troisième groupe (en fait 4e en comptant le 1er groupe de mars 2020) d'évêques français en visite ad limina, ce vendredi 1er octobre 2021, au Vatican, pendant quelque deux heures. Le pape, ont expliqué les évêques lors de la rencontre avec la presse, au séminaire pontifical français de Rome, a senti que pour un grand nombre le pacte éducatif entre la famille, les éducateurs et l'Etat était rompu et qu'il y avait certainement grand travail à faire pour restaurer ce pacte ». Ce même 1er octobre, la Congrégation pour l'Education catholique annonce une rencontre au Vatican, mardi prochain, 5 octobre, entre les représentants des religions, sur le thème : « Religions et éducation: vers un Pacte mondial pour l'éducation », avec pour objectif de « raviver l'engagement pour et avec les jeunes générations, en renouvelant la passion pour une éducation plus ouverte et plus inclusive, capable d'une écoute patiente, d'un dialogue constructif et d'une compréhension mutuelle »."

"Les 28 et 29 octobre, le symposium mondial organisé en collaboration avec l'Université catholique portugaise aura lieu virtuellement. Plus de 500 000 étudiants et 70 000 éducateurs de plus de 26 pays seront impliqués : ils dialogueront sur la manière de réaliser une éducation intégrale, dans le sillage de l'invitation de François."

"Selon la commission Sauvé, 30 % des agressions sexuelles commises au sein de l'Église l'ont été dans l'enseignement catholique. Avec une période extrêmement sombre des années 1940 à 1960, avant la décrue du nombre de prêtres enseignants."

"Dans sa chronique, Denis Peiron, spécialiste de l'éducation et de l'enseignement supérieur à « La Croix », revient sur les effets sur la classe de la récente réforme du lycée."

"Très mobilisée contre la pédocriminalité lorsqu'elle était ministre de l'éducation nationale, de 2014 à 2017, Najat Vallaud-Belkacem réagit à l'un des enseignements du rapport Sauvé. L'enquête menée sur un échantillon de 28 000 Français montre qu'un adulte sur 300 dit avoir subi, enfant ou ado, des violences sexuelles au sein de l'école publique."

"Avec « un sentiment de honte et une demande de pardon à toutes les victimes », le secrétaire général de l'enseignement catholique décline ce que son institution a déjà mis en place et ce qui reste à faire pour combattre le fléau de la pédocriminalité. Selon la commission Sauvé, 30 % des abus sexuels commis dans l'Église l'ont été dans des écoles."

"Initiée en 2017, cette expérimentation mise en place par le conseil départemental vise à scolariser dans des collèges du centre-ville des élèves issus des quartiers populaires, principalement du Mirail."

"Brillant élève, Ambroise Tournyol du Clos rêvait de devenir diplomate. Finalement, cet agrégé d'Histoire, aujourd'hui père de cinq enfants, s'est dit qu'une salle de classe « était aussi un beau lieu d'exercice de la diplomatie ! »... Adieu l'ENA et le Quai d'Orsay. Ses élèves du lycée Claude-Lebois de Saint-Chamond (Loire) peuvent lui dire merci. Ce qui l'a fait changer d'avis ? Une expérience de professeur au lycée français de Bangui (de 2008 à 2012), le témoignage de « personnalités fortes » (François-Xavier Bellamy, Gaultier Bès, Jean-François Chemain), et un lent cheminement intérieur.Idem pour Xavier Dufour. Cet ingénieur de formation a découvert l'amour de l'enseignement lors de sa coopération au Cameroun. Cela fait maintenant trente-cinq ans que ce fidèle des Maristes de Lyon, où il a trouvé un cadre idéal alliant « réflexion éducative, vitalité culturelle et enracinement chrétien », a mis sa vie au service de l'école. À la fois docteur en philosophie, agrégé de mathématiques et passionné de culture religieuse, ce professeur hors pair a « toujours vécu ce métier comme quelque chose de beaucoup plus large que l'idée qu'on s'en fait ».Un peu plus de deux générations séparent ces hommes, mais chez chacun une même ferveur, une même exigence, une même force tranquille. Et cette conviction que l'école reste un terrain de mission prioritaire, avec des intelligences et des cœurs à réparer, ainsi qu'à faire grandir."

"Le ministère de l'éducation nationale veut rendre hommage le 15 octobre au professeur d'histoire et de géographie, tué il y a un an par un terroriste."