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DEPP - Enseigner, un métier de proximité - 0 views

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    En France métropolitaine, près d'un tiers des enseignants du premier degré public résident et travaillent dans la même commune. Globalement, la moitié travaille à moins de 13 minutes de leur domicile. Dans le second degré, le temps de trajet des enseignants est un peu plus long puisque la moitié met au moins 21 minutes à rejoindre son établissement. Dans l'ensemble, les enseignants ont un temps de trajet médian de 17 minutes, comme l'ensemble des salariés français. Compte tenu de la répartition des établissements sur le territoire, les enseignants résident dans tous types de territoire. Ils effectuent des trajets plus courts en kilomètres, mais plus longs en temps lorsqu'ils habitent dans des zones densément peuplées. Ainsi, les jeunes enseignants ont des temps de trajet plus longs que leurs aînés, notamment car ils résident plus souvent dans des zones urbaines. À Paris, les enseignants résident majoritairement dans les arrondissements périphériques lorsqu'ils travaillent dans Paris. Parmi les enseignants qui vivent à Paris et travaillent dans un département francilien, un tiers se dirige vers un établissement de la Seine-Saint-Denis.
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IFRAP - Libérer Nos écoles, nos collèges et nos lycées - 0 views

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    Tout un chacun a son idée sur l'éducation car c'est une des politiques publiques avec laquelle nous sommes le plus en contact tout au long de notre vie en tant qu'élève, parent, grands-parents… Mais force est de constater que notre système d'éducation tourne en rond. En juillet dernier, une hausse du budget éducation de 2 milliards d'euros a été annoncée pour 2017. Une annonce qui résume bien la politique éducative des derniers gouvernements successifs : le saupoudrage de chèques, c'est la seule solution quand on ne veut pas lancer les réformes nécessaires et qu'on craint des grèves d'enseignants particulièrement médiatisées. Et pourtant, plus personne n'est satisfait : ni élèves, ni enseignants, ni parents d'élèves. Tous se plaignent des classes surchargées. Et pourtant, 855.028 enseignants, cela revient à compter 15,3 élèves par enseignant. Tous se plaignent du manque de moyens. Et pourtant, en comparant la dépense d'éducation des enseignements public et privé, on constate que ce dernier produit le même résultat pour 34,5 milliards d'euros de moins. La vérité, c'est que la France a fait le choix d'une fausse décentralisation. On a multiplié les strates, les niveaux de décision avec l'État qui emploie les enseignants au travers de ses 30 académies (et 17 nouvelles régions académiques !) et 97 directions académiques. Les communes ont en charge uniquement les bâtiments des écoles et leurs effectifs techniques, les départements pour leur part, les bâtiments des collèges et les transports d'élèves handicapés, les régions supervisent les bâtiments des lycées et les effectifs techniques, une partie de la formation en alternance, des lycées professionnels et des transports scolaires… Une organisation unique en son genre et que personne ne nous envie. La réforme de notre système éducatif est une question capitale à laquelle les gouvernements n'ont pas voulu s'atteler. Pl
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IFOP - Résultats - Baromètre auprès des parnets d'élèves du primaire et du se... - 0 views

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    QUAND LES PARENTS NOTENT L'ECOLE… BAROMÈTRE AUPRÈS DES PARENTS D'ÉLÈVES DU PRIMAIRE ET DU SECONDAIRE Réalisé auprès d'un échantillon national représentatif de 1 000 parents d'élèves du primaire et du secondaire, ce dispositif d'envergure, qui a vocation à prendre chaque année le pouls de l'opinion des parents sur le système éducatif, s'avère riche en enseignements : Une défiance personnelle à l'égard du ministre de l'Éducation nationale, dont la popularité en berne est probablement lestée par une gestion de la grève du Bac sur laquelle les avis sont mitigés. Les Français portent un jugement sévère sur le ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse : à peine 43 % des parents d'élèves ont actuellement une bonne opinion de Jean-Michel Blanquer, soit un niveau nettement inférieur à la cote de popularité mesurée l'an dernier chez l'ensemble des Français (62 % février 2018[1]). Il est probable que sa gestion de la grève du Baccalauréat ait impacté l'opinion que les parents d'élèves ont à son égard, ces derniers ayant un avis très mitigé sur la pertinence de sa décision de prendre en compte les notes du contrôle continu (52 % approuvent sa décision, 48 % la désapprouvent). Une défiance à l'égard de la capacité du ministère à s'atteler aux grands enjeux de l'École tels que la lutte contre le mal-être des enseignants, la violence scolaire ou l'amélioration du niveau des élèves. Alors que les récents suicides d'une directrice d'école et d'un enseignant de lycée professionnel ont encore montré l'ampleur du malaise du personnel de l'Education nationale, une large majorité des parents exprime leur défiance à l'égard du ministère pour résoudre le mal-être des enseignants (68 %). De même, alors que la détérioration de l'autorité des enseignants (86 % le constatant) et des conditions de sécurité (68 %, soit une hausse de 7 point
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IFOP - Analyse - Baromètre auprès des parnets d'élèves du primaire et du seco... - 1 views

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    QUAND LES PARENTS NOTENT L'ECOLE… BAROMÈTRE AUPRÈS DES PARENTS D'ÉLÈVES DU PRIMAIRE ET DU SECONDAIRE Réalisé auprès d'un échantillon national représentatif de 1 000 parents d'élèves du primaire et du secondaire, ce dispositif d'envergure, qui a vocation à prendre chaque année le pouls de l'opinion des parents sur le système éducatif, s'avère riche en enseignements : Une défiance personnelle à l'égard du ministre de l'Éducation nationale, dont la popularité en berne est probablement lestée par une gestion de la grève du Bac sur laquelle les avis sont mitigés. Les Français portent un jugement sévère sur le ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse : à peine 43 % des parents d'élèves ont actuellement une bonne opinion de Jean-Michel Blanquer, soit un niveau nettement inférieur à la cote de popularité mesurée l'an dernier chez l'ensemble des Français (62 % février 2018[1]). Il est probable que sa gestion de la grève du Baccalauréat ait impacté l'opinion que les parents d'élèves ont à son égard, ces derniers ayant un avis très mitigé sur la pertinence de sa décision de prendre en compte les notes du contrôle continu (52 % approuvent sa décision, 48 % la désapprouvent). Une défiance à l'égard de la capacité du ministère à s'atteler aux grands enjeux de l'École tels que la lutte contre le mal-être des enseignants, la violence scolaire ou l'amélioration du niveau des élèves. Alors que les récents suicides d'une directrice d'école et d'un enseignant de lycée professionnel ont encore montré l'ampleur du malaise du personnel de l'Education nationale, une large majorité des parents exprime leur défiance à l'égard du ministère pour résoudre le mal-être des enseignants (68 %). De même, alors que la détérioration de l'autorité des enseignants (86 % le constatant) et des conditions de sécurité (68 %, soit une hausse de 7 point
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IFOP / Fondation Jean Jaurès - Synthèse -Observatoire des enseignants : les c... - 0 views

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    "Quelques mois après l'assassinat du professeur d'histoire-géographie à Conflans-Sainte-Honorine et six ans après les tragiques attentats de janvier 2015, l'Ifop pour la fondation Jean Jaurès et Charlie Hebdo a mesuré le niveau de contestation de la laïcité et des formes de séparatisme à l'école. En matière de restauration scolaire, 40 % des professeurs interrogés affirment avoir eu affaire à des incidents liés à la contestation du principe de laïcité dans l'assiette, soit 5 points de plus que l'étiage observé en janvier 2018. Cette situation de remise en question du caractère laïc des institutions étatiques semble également se traduire dans les enseignements dispensés à l'école : 27 % des professeurs d'éducation physique et sportive disent avoir déjà observé au cours de leur carrière d'enseignant des formes de contestations au nom de la religion dans leur matière et 26 % des enseignants affirment la même chose lors d'enseignements abordant la laïcité. Au total, 53 % des enseignants interrogés ont observé de la part d'élèves au moins une fois des formes de contestation au nom d'une religion. En outre, 53 % des professeurs affirment que certains enseignements font l'objet de contestations et que certains élèves ont même tenté de s'y soustraire, soit une augmentation de 7 points depuis 2018."
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Revue Éducation et sociétés 2022/2 - Les Enseignants et la reconnaissance pro... - 0 views

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    - Les Enseignants et la reconnaissance professionnelle : Enjeux, construction, expériences - La reconnaissance des enseignants. Cadres d'intelligibilité, débats et controvers dans la recherche anglo-américaine - Sentiment de reconnaissance et rapport au métier des enseignants du secondaire : approche typologique - Lutte pour la reconnaissance et relations d'interdépendance chez les enseignants du second degré - Les enseignants face à la gestion axée sur les résultats au Québec: ambivalences morales et denis de reconnaissance - La question de la Reconnaissance comme support de revendications syndicales
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France Stratégie - Quelle finalité pour l'école ? - Dossier de présentation - 0 views

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    La crise de sens qui traverse l'École interroge le nombre et la nature des missions qui lui sont confiées. Quelle école voulons-nous ? Question éminemment politique qui exige de disposer en amont d'une vision globale de l'École et de ses finalités possibles. Rapport - Quelle finalité pour quelle École ? (PDF - 1.09 Mo ) Dossier de presse - Quelle finalité pour quelle École ? (PDF - 2.91 Mo ) Auteur(s) Son Thierry Ly De la logique « méritocratique » Notre école va mal. On en attend trop, or elle ne peut pas tout faire. C'est en somme le constat dont est parti le groupe de travail à l'origine de ce rapport. L'École est aujourd'hui prise en tenaille entre plusieurs objectifs, parfois contradictoires. Elle se doit avant tout d'être garante de l'égalité des chances en offrant à tous les élèves le même enseignement. C'est la logique méritocratique à la base de notre contrat social. Assurer une compétition scolaire (formellement) équitable légitime une distribution des places dans la société, déterminée ensuite, plus qu'ailleurs en France, par le diplôme. Mais il lui est aussi demandé de faire de tous les élèves des citoyens éclairés et des adultes employables, d'assurer la mixité sociale, de sensibiliser à l'écologie… La force et le nombre de ces attentes, légitimes, questionnent la primauté accordée à la mission de sélection méritocratique des élites par l'École. Cette priorité implicite rend en effet toute autre finalité, au mieux secondaire, au pire impraticable, notamment parce qu'elle suppose un enseignement uniforme. La contradiction justifie de poser clairement la question des finalités que nous souhaitons assigner au système scolaire. Quelle école voulons-nous ? Que serait-elle surtout si l'objectif de sélection était retardé et que le système pouvait être organisé autrement que par et pour la compétition ? Bref, si « tout ne s'y jouait plus » ? Des alternatives p
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France Stratégie - Quelle finalité pour l'école ? - Rapport complet - 0 views

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    La crise de sens qui traverse l'École interroge le nombre et la nature des missions qui lui sont confiées. Quelle école voulons-nous ? Question éminemment politique qui exige de disposer en amont d'une vision globale de l'École et de ses finalités possibles. De la logique « méritocratique » Notre école va mal. On en attend trop, or elle ne peut pas tout faire. C'est en somme le constat dont est parti le groupe de travail à l'origine de ce rapport. L'École est aujourd'hui prise en tenaille entre plusieurs objectifs, parfois contradictoires. Elle se doit avant tout d'être garante de l'égalité des chances en offrant à tous les élèves le même enseignement. C'est la logique méritocratique à la base de notre contrat social. Assurer une compétition scolaire (formellement) équitable légitime une distribution des places dans la société, déterminée ensuite, plus qu'ailleurs en France, par le diplôme. Mais il lui est aussi demandé de faire de tous les élèves des citoyens éclairés et des adultes employables, d'assurer la mixité sociale, de sensibiliser à l'écologie… La force et le nombre de ces attentes, légitimes, questionnent la primauté accordée à la mission de sélection méritocratique des élites par l'École. Cette priorité implicite rend en effet toute autre finalité, au mieux secondaire, au pire impraticable, notamment parce qu'elle suppose un enseignement uniforme. La contradiction justifie de poser clairement la question des finalités que nous souhaitons assigner au système scolaire. Quelle école voulons-nous ? Que serait-elle surtout si l'objectif de sélection était retardé et que le système pouvait être organisé autrement que par et pour la compétition ? Bref, si « tout ne s'y jouait plus » ? Des alternatives possibles C'est à cette question que répond le rapport en examinant trois modèles idéaux d'école répondant, chacun, à une finalité alternative : prépare
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IFOP - Ecole et orphelin : Mieux comprendre pour mieux accompagner - 1 views

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    L'enquête Ifop pour la Fondation d'entreprise Ocirp est la première enquête nationale d'une telle ampleur à interroger des élèves orphelins et des professionnels de l'éducation dans le but de : - Mieux comprendre le vécu des élèves orphelins, l'impact du décès sur leur scolarité, mais aussi sur leur vie à l'école et les conséquences plus générales. - Mieux cerner les difficultés des enseignants et des personnels de l'éducation confrontés à ces situations de deuil. - Favoriser le début d'une réflexion autour de propositions concrètes pour un meilleur accompagnement des élèves orphelins. Cette étude inédite repose sur des enquêtes quantitatives menées auprès des deux cibles et des entretiens individuels auprès des orphelins et des enseignants. Aussi, cette enquête a été menée auprès de 1 083 individus devenus orphelins au cours de leur scolarité et auprès de 940 professionnels de l'éducation, dont un échantillon de 802 enseignants représentatif de la population enseignante des premier et second degrés. L'enquête s'est appuyée sur des questionnaires autoadministrés en ligne(Cawi - Computer assisted web interviewing). L'élaboration des deux questionnaires(orphelins et professionnels de l'éducation) a bénéficié de l'expertise d'un groupe de travail composé de représentants de partenaires de la Fondation : Afpssu, Apel, Cndr-SP, Cneap, Fnepe, associations de la Fédération Jalmalv, Empreintes, associations du réseau Vivre son deuil, enseignants, médecins et infirmières scolaires, responsables de niveau, psychologues, sociologues, présidents d'associations d'accompagnement au deuil chez l'enfant, adultes orphelins et parents d'orphelins sollicités. Les entretiens qualitatifs ont été réalisés par des psychosociologues de l'Ifop, formés par Guy Cordier, pédopsychiatre spécialiste du deuil chez l'enfant et l'adolescent, auprès de 15 enseignants exerçant du primaire au coll
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OCDE - Rapport complet - Regards sur l'éducation 2018 - 0 views

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    L'OCDE a publié ce jour l'édition 2018 de ses "Regards sur l'éducation", principal recueil de statistiques nationales permettant de mesurer la situation de l'éducation à l'échelle internationale, mais aussi de se comparer d'un pays à l'autre. Le rapport couvre en effet les systèmes éducatifs des 36 pays membres de l'OCDE, ainsi que ceux de l'Afrique du Sud, de l'Arabie saoudite, de l'Argentine, du Brésil, de la Chine, de la Colombie, de la Fédération de Russie, de l'Inde et de l'Indonésie. Les statisticiens ont repéré cinq grands points spécifiques à la France. 76% des enfants de 3 ans sont inscrits en maternelle dans les pays de l'OCDE : D'abord, "presque tous les enfants de 3 ans sont inscrits à l'école maternelle", ce qui positionne la France "en tête de classement" (la moyenne OCDE était de 76% en 2016). De plus, toujours en maternelle, le nombre d'élèves par enseignant semble à première vue élevé avec 23 élèves par enseignants, soit 8 élèves de plus que la moyenne des pays de l'OCDE. "Mais la France fait davantage appel à des assistants que les autres pays, ce qui fait baisser le taux d'encadrement à 15 élèves par personnel de contact (contre 13 pour l'OCDE)", note le rapport (voir notre article Education - La "lente et irrésistible conquête pédagogique" des Atsem du 13 novembre 2017). Pour l'accueil des enfants de moins de 3 ans en revanche, la France ne fait pas vraiment figure d'exception : le taux d'inscription en maternelle "ou dans d'autres structures de la petite enfance (crèches collectives, maisons d'assistantes maternelles, jardin d'éveil)" est de 36%, quand la moyenne de l'OCDE est à 34%. Les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours : Deuxième spécificité : les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours que nombre de leurs voisins. En élémentaire et au collège, le temps d'instruction obligatoire est de 8.100 heures,
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OCDE - Résumé - Regards sur l'éducation 2018 - 0 views

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    L'OCDE a publié ce jour l'édition 2018 de ses "Regards sur l'éducation", principal recueil de statistiques nationales permettant de mesurer la situation de l'éducation à l'échelle internationale, mais aussi de se comparer d'un pays à l'autre. Le rapport couvre en effet les systèmes éducatifs des 36 pays membres de l'OCDE, ainsi que ceux de l'Afrique du Sud, de l'Arabie saoudite, de l'Argentine, du Brésil, de la Chine, de la Colombie, de la Fédération de Russie, de l'Inde et de l'Indonésie. Les statisticiens ont repéré cinq grands points spécifiques à la France. 76% des enfants de 3 ans sont inscrits en maternelle dans les pays de l'OCDE : D'abord, "presque tous les enfants de 3 ans sont inscrits à l'école maternelle", ce qui positionne la France "en tête de classement" (la moyenne OCDE était de 76% en 2016). De plus, toujours en maternelle, le nombre d'élèves par enseignant semble à première vue élevé avec 23 élèves par enseignants, soit 8 élèves de plus que la moyenne des pays de l'OCDE. "Mais la France fait davantage appel à des assistants que les autres pays, ce qui fait baisser le taux d'encadrement à 15 élèves par personnel de contact (contre 13 pour l'OCDE)", note le rapport (voir notre article Education - La "lente et irrésistible conquête pédagogique" des Atsem du 13 novembre 2017). Pour l'accueil des enfants de moins de 3 ans en revanche, la France ne fait pas vraiment figure d'exception : le taux d'inscription en maternelle "ou dans d'autres structures de la petite enfance (crèches collectives, maisons d'assistantes maternelles, jardin d'éveil)" est de 36%, quand la moyenne de l'OCDE est à 34%. Les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours : Deuxième spécificité : les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours que nombre de leurs voisins. En élémentaire et au collège, le temps d'instruction obligatoire est de 8.100 heures,
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OCDE - Fiche France - Regards sur l'éducation 2018 - 0 views

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    L'OCDE a publié ce jour l'édition 2018 de ses "Regards sur l'éducation", principal recueil de statistiques nationales permettant de mesurer la situation de l'éducation à l'échelle internationale, mais aussi de se comparer d'un pays à l'autre. Le rapport couvre en effet les systèmes éducatifs des 36 pays membres de l'OCDE, ainsi que ceux de l'Afrique du Sud, de l'Arabie saoudite, de l'Argentine, du Brésil, de la Chine, de la Colombie, de la Fédération de Russie, de l'Inde et de l'Indonésie. Les statisticiens ont repéré cinq grands points spécifiques à la France. 76% des enfants de 3 ans sont inscrits en maternelle dans les pays de l'OCDE : D'abord, "presque tous les enfants de 3 ans sont inscrits à l'école maternelle", ce qui positionne la France "en tête de classement" (la moyenne OCDE était de 76% en 2016). De plus, toujours en maternelle, le nombre d'élèves par enseignant semble à première vue élevé avec 23 élèves par enseignants, soit 8 élèves de plus que la moyenne des pays de l'OCDE. "Mais la France fait davantage appel à des assistants que les autres pays, ce qui fait baisser le taux d'encadrement à 15 élèves par personnel de contact (contre 13 pour l'OCDE)", note le rapport (voir notre article Education - La "lente et irrésistible conquête pédagogique" des Atsem du 13 novembre 2017). Pour l'accueil des enfants de moins de 3 ans en revanche, la France ne fait pas vraiment figure d'exception : le taux d'inscription en maternelle "ou dans d'autres structures de la petite enfance (crèches collectives, maisons d'assistantes maternelles, jardin d'éveil)" est de 36%, quand la moyenne de l'OCDE est à 34%. Les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours : Deuxième spécificité : les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours que nombre de leurs voisins. En élémentaire et au collège, le temps d'instruction obligatoire est de 8.100 heures,
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ANNECY _ Réenchanter l'École - 0 views

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    "En cette rentrée, l'Enseignement catholique invite à inventer de nouvelles façons de vivre ensemble et de porter de façon solidaire la responsabilité en articulant l'esprit d'initiative et la volonté de renouveler nos modes de réflexion et de décision. « Vivre la Responsabilité en partage », c'est à cet enjeu qu'invite l'Enseignement catholique depuis 2016. En effet, tenter de vivre de façon effective en communauté éducative, c'est penser qu'élèves, enseignants, éducateurs, parents, personnel éducatifs et administratifs, bénévoles et animateurs de la vie pastorale, chefs d'établissement occupent chacun au quotidien un espace d'engagement et de confiance dans lequel ils peuvent vivre leur fonction de façon autonome et responsable. Nous sommes convaincus que nous avons beaucoup à gagner à relire notre quotidien en permettant à chacun d'avoir une parole écoutée et entendue. Dans le cadre d'une mobilisation nationale de l'Enseignement catholique, tous les établissements sont invités à 5 jours de réflexion et d'échange au sein des communautés éducatives du 4 au 9 février 2019. Les établissements sont invités à la réflexion, au débat, à l'exploration : il s'agit d'oser penser autrement une culture de la Responsabilité. En Haute Savoie cette semaine sera articulée autour d'un rassemblement des communautés éducatives qui aura lieu le mercredi 6 février. Vidéo : interview de Pascal Balmand, secrétaire général de l'Enseignement catholique, sur le réenchantement de l'école. Le réenchantement pour l'Enseignement catholique en Haute-Savoie Depuis septembre 2016, des membres des communautés éducatives se réunissant avec l'équipe de la Direction diocésaine ont formé le Conseil du réenchantement de l'Enseignement catholique de Haute-Savoie. Ce travail a permis la réalisation d'un important dossier d'animation qui a été remis à chaque chef d'établissement le
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Sondage IFOP-Ecran de Ceille - Observatoire des enseignants face à l'expressi... - 0 views

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    "Alors que le meurtre d'une professeure à Saint-Jean-de-Luz (22 février) vient de bouleverser une communauté éducative encore traumatisée par l'assassinat de Samuel Paty, ce drame a mis en évidence un problème de fond souvent sous-estimé : les différentes violences auxquelles sont confrontées les enseignants dans l'exercice de leur fonction.   Dans le cadre de l'« Observatoire des enseignants face à l'expression du fait religieux », l'Ifop et la revue Ecran de veille publient aujourd'hui des données permettant d'avoir une idée de l'ampleur d'un type précis d'agressions - celles liées à des tensions religieuses ou identitaires - mais aussi des différentes atteintes à la laïcité auxquelles les enseignants sont exposées dans l'enceinte de leur établissement. Réalisée avant le drame de Saint-Jean-de-Luz auprès d'un échantillon national représentatif de 1000 enseignants du primaire et du secondaire, cette enquête montre que les professeurs victimes d'agressions à la suite de tensions religieuses ou identitaires avec les élèves / parents sont loin d'être des cas isolés et que ces tensions s'inscrivent dans un contexte de poussée du fait religieux en milieux scolaire qui se manifeste par une hausse significative des atteintes à la laïcité dont nombre ne semblent pas recensées par le Ministère…"
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Où fait-il bon enseigner ? - 0 views

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    "Que sait-on de la souffrance des enseignants au travail ? Dans quelles situations professionnelles se sentent-ils plus à l'aide ? Quelles sont celles qui sont vécues comme un cauchemar ? Si peu d'études existent sur le bien être au travail des enseignants, la revue Education & formations, publiée par l'Education nationale (n°88-89) le 10 décembre, publie un numéro dédié aux questions du climat scolaire et du bien-être à l'école, et en partie celui des enseignants. Le numéro bouleverse quelques idées reçues et pointe quelques pistes pour améliorer le ressenti des enseignants."
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IFOP / Fondation Jean Jaurès - Rapport -Observatoire des enseignants : les co... - 0 views

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    "Quelques mois après l'assassinat du professeur d'histoire-géographie à Conflans-Sainte-Honorine et six ans après les tragiques attentats de janvier 2015, l'Ifop pour la fondation Jean Jaurès et Charlie Hebdo a mesuré le niveau de contestation de la laïcité et des formes de séparatisme à l'école. En matière de restauration scolaire, 40 % des professeurs interrogés affirment avoir eu affaire à des incidents liés à la contestation du principe de laïcité dans l'assiette, soit 5 points de plus que l'étiage observé en janvier 2018. Cette situation de remise en question du caractère laïc des institutions étatiques semble également se traduire dans les enseignements dispensés à l'école : 27 % des professeurs d'éducation physique et sportive disent avoir déjà observé au cours de leur carrière d'enseignant des formes de contestations au nom de la religion dans leur matière et 26 % des enseignants affirment la même chose lors d'enseignements abordant la laïcité. Au total, 53 % des enseignants interrogés ont observé de la part d'élèves au moins une fois des formes de contestation au nom d'une religion. En outre, 53 % des professeurs affirment que certains enseignements font l'objet de contestations et que certains élèves ont même tenté de s'y soustraire, soit une augmentation de 7 points depuis 2018."
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Le gouvernement s'attaque aux retraites des enseignants du privé au risque de... - 0 views

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    "Le gouvernement a annoncé aux organisations syndicales des mesures drastiques de réduction du montant des pensions servies aux enseignants du privé, en revenant sur les engagements de 2004 qui visaient à égaliser les traitements entre les enseignants du privé et ceux du public. Les syndicats enseignants, notamment CFTC et CFDT, se mobilisent contre cette nouvelle fronde contre l'enseignement privé. Les premiers foyers d'une nouvelle guerre scolaire commencent à s'allumer… "
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BVA - Réformer l'éducation : les attentes des parents pour 2017 ? - 0 views

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    Etude réalisée pour La Croix et l'Apel, Association de parents d'élèves de l'enseignement libre Une volonté de réforme pour mieux s'adapter aux élèves et réduire les inégalités sociales Seuls 33% des parents pensent que l'école sait s'adapter à chaque enfant, 42% qu'elle permet de réduire les inégalités sociales et 56% qu'elle permet de satisfaire à la mission qu'ils lui assignent le plus : la maitrise des fondamentaux. L'idée de réforme trouve dans ce contexte un écho très favorable, mais aussi une intensité élevée. Ainsi, 96% des répondants pensent qu'elle doit se réformer dont 44% se prononcent en faveur d'une réforme en profondeur, et 52% dans certains domaines uniquement. Les parents sont aussi attentifs à la situation des enseignants, avec deux dimensions clés : * Le nombre d'enseignants : pour 57% il est prioritaire de recruter davantage d'enseignants, * La Formation : pour 56% il convient d'améliorer la formation initiale et la formation continue de ces derniers. L'autonomie des chefs d'établissement en matière de recrutement des enseignants est très largement valorisée par les parents L'idée que les chefs d'établissement puissent choisir leurs enseignants apparait aux parents comme porteuse de conséquences positives à la fois sur le travail en équipe au niveau de chaque classe (88%), la réussite des élèves (85%), l'autorité du chef d'établissement (84%), l'implication des enseignants (84%), la qualité de l'accompagnement de tous les élèves (84%) ou encore la cohésion des équipes enseignantes (83%). La quasi-unanimité des parents sont favorables à ce que les devoirs puissent être effectués, au moins jusqu'à la fin du collège, à l'école avec l'aide d'un adulte compétent 86% des parents, avec notamment 40% qui y sont tout à fait favorables, voient d'un bon œil le fait que les devoirs de leurs enfants soient accompagnés et effectués da
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Ministère de l'Education nationale - Eductation & Formations : Les enseignant... - 0 views

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    - Le métier d'enseignant en Angleterre, aux Pays-Bas et en Suède - Les enseignants du public sont-ils mieux payés que ceux du privé ? - Améliorer la mobilité des enseignants - Les enseignants face aux risques psycho-sociaux - Violence à l'école, violence au travail - La Scolarisation des élèves autistes
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Ecoles : une "charte de la laïcité" : Patrice de Plunkett : le blog - 0 views

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    "Le ministre de l'Education nationale Vincent Peillon a annoncé hier qu'une "charte de la laïcité" sera promulguée dans toutes les écoles de France en septembre. Il a ajouté deux choses : - "la charte rappellera les principes, mais la question de la laïcité ne doit pas tourner à l'obsession de l'islam" ; - "chacun est libre de ses opinions, mais pas de contester un enseignement ou de manquer un cours." Ce qui appelle deux mises au point : > En France et en 2013, les seuls incidents entre enseignants et élèves sur le terrain religieux sont autour de l'islam ; prétendre autre chose pour la symétrie relève du politically correct, c'est-à-dire de la fiction. > Mais manquer un cours, ou contester un enseignement, sera le réflexe de beaucoup si l'Education nationale impose comme enseignement l'idéologie LGBT greffée sur les gender studies. On sait (depuis le colloque à l'EHESS) que cette intrusion est programmée ; elle serait contraire à la laïcité, comme l'expliquait l'anthropologue (athée) Pascal Picq dans un remarquable article du Monde, le 4 septembre 2011, dont voici des extraits :"
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