Pour Serge Abiteboul, directeur de rechercheur de l'INRIA sa position est formelle : il faut que l'enseignement du code soit intégrer dans le socle des connaissances de l'école, au même titre que compter et lire. Pourquoi ? - car nous vivons dans une société numérique, pour être un citoyen éclairé. - pour ne plus être consommateur de la technique mais aussi acteur. Comment l'enseigner ? Distinction science de l'informatique / informatique. Position de la France en retard par rapport aux autre pays.

Intéressant pour notre scénario extrême "Ecole zéro "mauvais" ennui". Une école des parents est associée à l'école des enfants de la Living School. Ils y réfléchissent à leurs pratiques et à comment améliorer leur savoir-être, facteur d'influence de leurs enfants.

La livingschool est un concept d'école maternelle et primaire basée sur deux sites à Paris. Leur pédagogie est orientée à la formation de citoyens épanouis et responsables pour contribuer à une réelle évolution de l'humanité.

Réfléchis par l'Agence Nationale de la Recherche.

Intéressant, ex de scénario pour 2030 par @apolearn en 2030 : classe inversée et nouveau management bottom-up du ministère grâce à un réseau social professionnel des enseignants pour faire remonter les innovtions et le big data pour cibler les besoins.

Les études le montrent les besoins en sommeil des adolescents est important pour leur bien-être et leurs performances à l'école. Or le rythme actuel de l'école ne leur permettrait pas de combler ces besoins. Des études dans des collèges pilotes où l'on n'a fait démarrer l'école qu'à 10h00 voient le résultat de leurs élèves augmenter aux examens.

Aux Etats-Unis, la question de collection des données sur les étudiants par Google via les équipements scolaires préoccupent de plus en plus. On ne saurait pas dans quelle mesure Google utilise les informations des élèves. Aux Etats-Unis, il est presque impossible pour les parents de refuser cette surveillance de leur enfant par Google, en raison d'une loi ancienne.

Un professeur explique comment il a fait pour mettre en place un fablab dans son lycée (à Sarraguemines), l'intérêt de celui-ci et les écueils à éviter. Pour lui, le fablab doit être ouvert au public, c'est ce qui fait sa richesse. Bien s'équiper et faire attention à ne pas être fourni en machines 3D avec un paquet de logiciels payants. Le lycée de Sarreguemines a pour projet actuellement de développer une micro-entreprise pour créer un potager de fenêtre hydroponique, les fonds récoltés serviront à financer un voyage de présentation de leur projet à une journée mondiale des fablabs en Chine.

Un parcours "estime de soi" au collège. Pour lutter contre le décrochage scolaire lors de la période charnière de la 5ème, un professeur d'EPS a mis en place un parcours pour recueillir les élèves en mal d'estime d'eux-même, il leur propose d'organiser des projets, occasion pour eux de prendre conscience de leur savoirs-faire et/ou en apprendre de nouveaux.

Les doctorants doivent aujourd'hui s'adapter à l'économie du 21ème siècle. Mélanie Nelson, doctorante et forte d'une grande expérience dans le management, explique comment les règles du succès ont changé aujourd'hui. Si les doctorants veulent rester dans la vague, ils doivent se prendre en main aujourd'hui et commencer par décider ce qu'ils ont envie de faire. Dans un second temps, ils verront quelle stratégie ils adopteront pour y parvenir.

Google sheet

Le Forum de coélaboration de connaissances enseigne aux élèves comment écrire un texte peaufiné. En leur montrant le processus itératif de l'écriture pour arriver à un texte peaufiné, les TIC offre de nouvelles possibilités en milieu scolaire.

Le dispositif Entreprise & Progrès semble avant-gardiste : - ouverture de l'école à des intervenants professionnels (chefs d'entreprise) - réalisation par les jeunes de projets ancrés à la réalité - projet interdisciplinaire (maths, économie, français, savoir-être..) Le collège Louise Michel, partenaire de FuturEduc et Christiphe Noullez, vous nous aviez caché cela ?! ;-)

La génération Y se protégerait beaucoup moins sur internet en négligeant ses traces, que les générations plus anciennes et serait de fait beaucoup plus exposée aux risques de cybercriminalité.

Ninon Louise LePage, pédagogue qui a enseigné au Canada, développe un modèle d'école pour demain holistique. Elle pose l'élève au coeur du projet Bubules. Elle fait plusieurs constats : les élèves sont perdus dans une mer d'informations avec les nouvelles technologies, ils ont besoins e repères pour construire leurs savoirs.  Parallèlement, le rôle du professeur ne devrait pas se cantonner à être un spécialiste des dernières applications technologiques, qui ne sont pas forcément très pédagogiques. Selon elles, ou bien elles proposent à l'élève de mémoriser du savoir académique, soit elle fait appel à ses connaissances pour les tester. Mais selon Ninon Louise LePage, l'apprentissage pour l'élève devrait varier entre expérience et apprentissage intellectuel pour organiser son savoir (ce que ne permet pas la pédagogie par projets). Ainsi, elle propose un cahier numérique ou l'on aiderait l'élève à construire son savoir, y seraient postées des vidéos/images.. l'élève pourrait y faire ses comptes-rendus. Les parents et les professeurs pourraient suivre ses avancées. 

Le pédagogue Philippe Meirieu explique comment fonctionne l'étonnement chez l'être humain, processus qu'ont très bien réussi à intégrer les médias. Comment intégrer de nouveau l'étonnement à l'école pour favoriser l'apprentissage ?  Les conditions de l'étonnement pédagogique :  - l'écart avec ce qu'on connaissait avant - mais des conditions sont nécessaires pour qu'elles puissent être intelligibles pour les élèves : confiance dans le formateur (posture), possibilité de comprendre ce qui va être dit (technique), liberté dans l'apprentissage de l'élève (éthique). Mais une autre condition pour garantir l'étonnement pédagogique est l'étonnement qui crée la compréhension et le "bien sûr!" et assemble les pièces du puzzle plutôt que d'alourdir l'esprit. 

Le marché des EdTech  Réflexion de Watters: les technologies ne transforment pas l'éducation. Elles prétendent offrir une éducation personnalisée mais à l'instar des algorithmes de google, les technologies normaliseraient la conduite de l'élève, ne lui permettant pas d'essayer quelque chose de nouveau. Pour Seymour Papert, fondateur des TICE, l'enjeu est de permettre à l'enfant à programmer l'ordinateur, apprendre à construire ses propres connaissances avec l'ordinateur. 

Que faire de wikipédia en classe ? l'interdire comme sources ou non ? Wikipédia, encyclopédie collaborative, est un projet pourtant très positif.  La communauté scientifique de Ludovia propose de se tourner vers l'information literacy dont l'UNESCO donne quelques pistes de définition de ce qui pourrait être enseigné à l'école : "towards information literacy indicators" . Il y a aussi le PCIE (passeport de compétences informatique européen) développé par l'UE : bilan de compétences nécessaires pour une utilisation raisonnable de son ordinateur au quotidien. En Allemagne, le système éducatif a créé son propre Wiki, le grunschulwiki pour intégrer l'outil collaboratif dans son organisation. L'Education Nationale pourrait-elle faire pareil ? 

Un google doc en anglais avec des ressources abondantes autour de l'identité numérique. Cours proposés dans différents pays, exemples de programmes...

Plateforme collaborative permettant aux étudiants de s'échanger leurs cours. Economie collaborative puisque les cours sont vendus et achetés entre les étudiants, les dirigeant de la startup se prenant une commission.