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Le Commissariat général à la stratégie et à la prospective (CGSP) a commandé en septembre 2012 une étude portant sur le thème du plan de formation dans les entreprises. Cette étude a été réalisée par le cabinet Sémaphores. En 2011, les dépenses totales pour la formation professionnelle et l'apprentissage s'élevaient à environ 31 milliards d'euros. Les dépenses des entreprises représentaient 42 % de ce total. Si le plan de formation est l'outil central de la politique de formation pour l'entreprise, il reste paradoxalement un concept polysémique de périmètre variable.

Les études le montrent les besoins en sommeil des adolescents est important pour leur bien-être et leurs performances à l'école. Or le rythme actuel de l'école ne leur permettrait pas de combler ces besoins. Des études dans des collèges pilotes où l'on n'a fait démarrer l'école qu'à 10h00 voient le résultat de leurs élèves augmenter aux examens.

"L'approche par compétences met l'accent sur le résultat de la formation (plus que sur le processus de formation lui-même), et réhabilite le temps du travail comme temps d'apprentissage. On peut acquérir des compétences  autant par l'activité professionnelle, que par les études. L'apprentissage consacre la valeur pédagogique du travail en entreprise ; comme le stage le faisait depuis longtemps. Dans ce contexte, que signifie le diplôme ? Il marque moins la fin des études, qu'une étape dans un processus permanent ; l'acquisition d'un socle initial, permettant de se lancer pleinement dans la carrière professionnelle."

les écoles publiques de Washington DC ferment les unes après les autres, les commuautés noires et hispaniques étant mises sur la touche. Pour ou contre les charters school? plusieurs liens vers des études se penchant sur ces écoles.

Une étude québécoise révèle le décrochage des jeunes professeurs ou leurs difficultés. Chiffres : 17% des jeunes profs décrochaient en 2003. Dû : à une formation initiale trop théorique qui ne les a pas assez préparés ; une affectation aux classes avec les élèves les plus difficiles ; une charge de travail trop importante. -> L'instabilité de l'équipe des professeurs a pour conséquence une ambiance moins solidaire entre professeurs et cela a de fortes chances d'impacter dans leur manière d'enseigner et donc dans l'apprentissage des élèves. 

"Les réseaux sociaux peuvent nous aider à être mieux informés, mais ils peuvent aussi nous rendre plus moutonniers. Telle est la conclusion d'une étude récemment publiée par quatre chercheurs, Iyad Rahwad, Dmytro Krasnoshtan, Azim Shariff et Jean-François Bonnefon, de l'université de Toulouse, dans le Journal of Royal Society Interface."

"Que savent faire les étudiants lorsqu'ils sortent de l'université ? Quelles compétences peuvent-ils mettre en avant sur le marché de l'emploi ? Cette question centrale, longtemps négligée, est aujourd'hui au cœur de la réflexion de quelques établissements pionniers, à Saint-Etienne ou à Lille, par exemple. C'est aussi le cas de l'université Joseph-Fourier (UJF), à Grenoble, qui tenait, jeudi 25 juin, un séminaire sur ce thème. Depuis le printemps 2013, l'équipe de Joëlle Aubert, vice-présidente de l'UJF, a engagé un vaste chantier, en invitant enseignants-chercheurs, entreprises, étudiants et parents à participer aux travaux."

Conceptualisé par Florent Berthier pour la France, la classe inversée consiste à donner la théorie aux élèves à faire chez eux et à remplacer le cours magistral en classe par des travaux de groupe et un suivi personnalisé par le/a professeur. Déjà appliqué dans des écoles primaires, collèges, lycées ou encore universités.  Une étude scientifique montre les résultats.

2035- un exercice de prospective imaginé par les étudiants de l'université de louvain. Des débuts de scénarios autour du métier de prof, ils pourraient être tirés au sort pour un an, l'université sera ouverte à tous, où toutes les générations pourront se retrouver sur les bancs de l'école, financer ses études grâce à sa petite entreprise développée sur le campus,...

D'après études et IRM, le numérique modifie notre cerveau. Notre attention, diminuée, nuirait à l'apprentissage. Nous serions en train de faire face à une mutation du cerveau avec le développement de nouvelles compétences, augmentation des parties cérébrales de la prise de décision ("chasseur d'information"(Nicholas Carr)).

Alors que le gouvernement français continue dans l'avancée de sa réforme pour l'intégration du numérique dans l'Education nationale, Bruno Devauchelle fait un point sur la pertinence du type de matériel introduit. On pourrait s'attendre à un délaissement des tablettes, bien que plus agiles qu'un ordinateur, les élèves et enseignants pourraient préférer à la longue les smartphones qui présentent l'avantage de comporter un forfait. Le BYOD tendrait à être de plus en plus courant, les élèves en étant équipés plus tôt selon une étude de Devauchelle. L'auteur rappelle l'importance de l'usage plutôt que du matériel.

Synthèse du rapport l'école en 2030 publié par Wise à partir d'un panel de 650 personnes issues de la communauté de Wise. Quelques points clés : les contenus en ligne seront la 1er source des savoirs pour 43% des personnes interrogées (29% pense qu'ils seront toujours amenés dans l'enceinte de l'école), les compétences personnelles pour 75% des personnes interrogées constitueront les fondamentaux, les compétences pratiques et savoir faire pour 59% des personnes, et les savoirs académiques viennent derrière avec 42% des personnes qui pensent qu'ils resteront le principal des acquisitions des connaissances, les diplômes seront aussi challengés par les certifications des entreprises (aussi important), le professeur quant à lui verra son rôle évolué vers plus d'accompagnement, mentor des élèves que de transmission des connaissances, plus d'individualisation des apprentissages, moins de financement public de l'école et plus de participation financière des familles,...