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Le temps partiel reprend, lentement, sa progression - Centre d'observation de... - 0 views

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    "Le phénomène est peu visible sur longue période, mais sensible : entre 2008 et 2015, la part de temps partiel dans l'ensemble des emplois a progressé de 17 % à 19 %. Alors que le nombre de salariés à temps complet a diminué de 540 000 au cours de cette période, celui des salariés en temps partiel a augmenté de 460 000. Ce phénomène est porté par le développement du temps partiel masculin, dont le taux est passé de 5,7 à 7,9 %. On manque de recul et le mouvement est trop faible pour parler de retournement de tendance, mais le phénomène mérite d'être signalé."
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Cenre d'observation de la société - Tel père, tel fils ? Du nouveau en matièr... - 0 views

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    "Les enfants sont-ils destinés à occuper les mêmes positions sociales que leurs parents ? « L'ascenseur social » fait l'objet de nombreux commentaires, souvent très vagues (voir notre encadré ci-dessous). Un travail récent du sociologue Cédric Hugrée 1, permettent d'y voir plus clair : il réactualise les données de mobilité sociale et s'intéresse aux mouvements entre catégories détaillées."
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Centre d'observation de la société - Mobilité sociale : l'ascenseur au ralent... - 0 views

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    "Le processus de mobilité sociale n'est pas bloqué, même s'il fonctionne moins bien que durant les années 1960, période de très forte croissance économique. Selon l'Insee, en 2003, 65 % des hommes de 40 à 59 ans n'appartenaient pas à la même catégorie sociale que celle de leur père. En 1977, le chiffre était de 57 %."
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Haut Conseil e de la Famille, de l'enfance et de l'âge - Programme de travail... - 0 views

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    Cette note décrit le programme pour 2017 du HCFEA qui a pour mission d'animer le débat public et d'apporter aux pouvoirs publics une expertise prospective et transversale sur les questions liées à la famille et à l'enfance, à l'avancée en âge, à l'adaptation de la société au vieillissement et à la bientraitance, dans une approche intergénérationnelle. Ce programme est composé d'un thème transversal et commun aux trois Conseils qui est : disposer de temps et de droit pour s'occuper de ses enfants, de sa famille et de ces proches en perte d'autonomie. Le Conseil de la famille travaillera plus particulièrement sur la lutte contre la pauvreté des familles et des enfants, la réduction des inégalités, le soutien à la parentalité, le développement de l'accueil du jeune enfant et les ruptures familiales. Le Conseil de l'enfance et de l'adolescence s'attellera quant à lui au suivi régulier de la mise en oeuvre des recommandations de Comité des droits de l'enfant de l'ONU et travaillera plus spécifiquement sur le sujet suivant : les tiers temps/tiers lieu de vie des enfants et des adolescents : états des lieux et perspectives. Le Conseil de l'âge quant à lui se penchera sur les questions liées à la perte d'autonomie, à la santé et à la prise en charge des dépenses de soins des personnes âgées, au logement et au cadre de vie de ces dernières.
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Observatoire National de la protection de l'enfance - Les besoins fondamentau... - 0 views

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    La notion de « besoins fondamentaux de l'enfant » renvoie à la question essentielle de la détermination de ce qui est nécessaire pour l'enfant. Le terme de « fondamental » semble a priori le plus polysémique de cette expression, pouvant s'entendre à la fois comme renvoyant aux besoins les plus vitaux, qui seraient fondamentaux au sens où l'on ne pourrait s'en dispenser (sens de besoins primordiaux) ; et/ou comme les éléments dont a besoin l'enfant pour se construire (sens de besoins développementaux) ; et/ou les éléments dont a besoin l'enfant pour être considéré comme un sujet de droit et non comme un objet d'intervention. Cette note de synthèse aborde la question des besoins fondamentaux de l'enfant en s'appuyant sur plusieurs champs de connaissances. Elle interroge leur déclinaison en protection de l'enfance en termes d'identification via l'évaluation, de réponses apportées et de difficultés de prise en compte (I). L'entrée par les besoins fondamentaux ne va pas sans induire un certain nombre de questionnements et d'approches complémentaires, quece soit au niveau méso des institutions en protection de l'enfance ou au niveau macro des politiques publiques (II).
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Institut européen de bioéthique - Le droit de connaître ses origines ou dis-m... - 0 views

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    Si le questionnement sur les origines n'est pas neuf, jamais il n'a été posé avec autant de force. Sous l'impulsion d'études menées en sciences sociales et psychologiques, la question de la recherche des origines suscite désormais de nombreux débats également dans le monde juridique et on assiste à une véritable revendication d'un droit d'accéder à ses origines. Pourquoi ce débat a-t-il quitté la sphère de l'intime et du privé pour se poser dans l'espace public ? Ce sont les adoptés, devenus adolescents ou adultes, qui sont, d'une certaine manière, à « l'origine des questions sur les origines ». Ces questions sont en effet apparues dans l'espace public au travers de paroles d'adoptés qui ont ressenti le besoin de raconter leurs vécus intimes, leurs constructions, leurs difficultés, au regard de leur situation d'enfants adoptés.
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Opinion way - Devenir le parent de ses parents - 0 views

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    Sondage réalisé pour groupama 1. Avez-vous au oins un parent âgé de 70 ans ou plus vivant à son domicile ? 2. Apportez-vous régulièrement de l'aide à l'un de vos parents âgés ? 3. Aimeriez-vous pouvoir vous occuper davantage de votre (vos) parent(s) âgé(s) ? 4. Quels sont les principaux obstacles qui vous empêchent ou pourraient vous empêcher de vous occuper davantage de votre (vos) parent(s) âgé(s) ? 5. Personnellement, quels moyens privilégiez-vous pour prendre des nouvelles de votre (vos) parent(s) âgé(s) ? 6. A quelle fréquence prenez-vous des nouvelles de votre (vos) parent(s) âgé(s) ? 7. Et selon vous, la fréquence à laquelle vous prenez des nouvelles de votre (vos) parent(s) âgé(s) est-elle suffisante ou pas suffisante ? 8. Sur qui comptez-vous ou souhaiteriez-vous pouvoir compter affin de mainternir votre (vos) parent(s) âgé(s) à domicile ? 9. Afin de maintenir votre (vos) parent(s) âgé(s) à domicile le plus longtemps possible à son domicile, quelles solutions avez-vous envisagées ou pourriez-vous envisager ? 10. Selon vous, le développement des nouvelles technologies permettra-t-il aux personnes âgées de... ? 11. Quel budget mensuel consacrez-vous ou estimez-vous pouvoir consacrer au maintien à domicile de votre (vos) parent(s) âgé(s) ?
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OVLEJ CNAF - Communiqué de presse - Centre de loisirs, mini-camp, colos : qua... - 0 views

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    Inscrire son enfant au centre de loisirs, en mini-camp ou en colo, choisir un séjour et un organisateur, tous ces choix découlent de décisions prises par les parents et les jeunes. L'enquête de l'Ovlej, réalisée en 2014, interroge les processus et les motivations qui conduisent les parents et les adolescents à choisir un mode d'accueil collectif pour les loisirs ou les vacances de ces derniers. Les résultats permettent ainsi de comprendre les différents facteurs qui entrent en jeu, la construction de parcours d'un accueil collectif à l'autre, les attentes éducatives des parents et le rôle des jeunes dans les processus de décisions.
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OVLEJ CNAF - Communiqué de presse - Centre de loisirs, mini-camp, colos : qua... - 0 views

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    Inscrire son enfant au centre de loisirs, en mini-camp ou en colo, choisir un séjour et un organisateur, tous ces choix découlent de décisions prises par les parents et les jeunes. L'enquête de l'Ovlej, réalisée en 2014, interroge les processus et les motivations qui conduisent les parents et les adolescents à choisir un mode d'accueil collectif pour les loisirs ou les vacances de ces derniers. Les résultats permettent ainsi de comprendre les différents facteurs qui entrent en jeu, la construction de parcours d'un accueil collectif à l'autre, les attentes éducatives des parents et le rôle des jeunes dans les processus de décisions.
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SOS Homophobie - Rapport annuel 2016 - 0 views

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    Les trois quarts des 200 témoignages concernant les discriminations au sein de la famille ou de l'entourage proche reçus par SOS Homophobie (données 2015) signalent des formes de rejet de la part des proches et plus de 40 % des insultes au sein de la famille [1]. 15 % des homosexuels qui témoignent se disent victimes d'agressions physiques de la part de leurs proches. Sept témoignages sur dix impliquent les parents eux-mêmes. Avant l'annonce à la famille de leur orientation sexuelle, les jeunes ayant entendu leurs parents désigner les homosexuels comme anormaux ou malades, renoncent à se dévoiler et « vivent dans la crainte de la réaction de leurs parents et la honte de devoir se cacher », notent les auteurs du rapport. Au moment du « coming-out » [2], les réactions familiales sont parfois très violentes. La remise en cause de leur éducation, de leur religion et du modèle familial traditionnel conduit une partie des parents à des menaces ou à du chantage envers leurs enfants (18 % des témoignages). Des formes de privation de libertés (interdiction de sortie, d'avoir un copain ou une copine, rétention de courrier, changement d'établissement scolaire, etc.) font peser un climat de défiance là où, en principe, la confiance est de mise. L'altération des relations familiales peut être vécue très difficilement par ces jeunes.
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AEDE - Pour une République garante des droits de l'enfant - 0 views

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    Depuis 6 mois, AEDE travaille sur un livre blanc qui permettra aux candidat-e-s aux élections présidentielles et législatives, et par extension aux futur-e-s élu-e-s, d'agir dans la bonne direction en ce qui concerne les droits de l'enfant. Ce travail de longue haleine a mobilisé toutes les organisations membres d'AEDE sur leurs domaines d'expertises afin de produire un document précis et de qualité. Mais surtout il a mis les enfants et les jeunes à l'honneur puisqu'ils ont eux-mêmes participé à son élaboration en répondant à une consultation nationale (730 retours) et en participant à des journées de rencontres du réseau d'enfants et de jeunes. Ils ont aussi fait des préconisations concrètes pour améliorer leur situation. Les thèmes abordés sont nombreux et transversaux : l'application effective de la CIDE, la transition du statut d'enfant à celui d'adulte, la lutte contre les discriminations et les inégalités, la participation des enfants, la vie familiale et la protection contre les violences, l'accès aux soins et à des conditions de vie décentes, l'éducation et les droits fondamentaux des enfants vulnérables. Après avoir fait un état des lieux, AEDE fait ses préconisations concrètes concernant chaque sujet. Ce Livre blanc a pour objectif dans un premier temps d'interpeller les politiques avant les échéances électorales présidentielles et législatives afin que ceux-ci mettent les droits des enfants au cœur de débat. C'est dans cet esprit qu'AEDE a relancé sa campagne 1 mois 1 droit qui promouvra les préconisations phares du Livre blanc, sur des thèmes clés des élections. Dans un deuxième temps le livre blanc se veut être un véritable guide sur le long terme qui accompagnera les futur-e-s élu-e-s dans la conduite de politiques publiques respectueuses des Droits des enfants. Pour cela AEDE poursuivre ses actions de plaidoyer auprès du nouveau gouvernement et du nouveau parlement.
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Institut des Politiques Publiques - La réforme des rythmes scolaires : un rév... - 0 views

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    "La réforme des rythmes scolaires de 2013, qui a réalloué une demi-journée de classe au mercredi matin pour les élèves scolarisés en maternelle et à l'école élémentaire, est une petite révolution dans l'organisation des temps sociaux. Cette note montre que les horaires à l'école n'ont pas seulement un impact sur le rythme d'apprentissage des enfants, mais influencent également les décisions d'offre de travail des femmes. L'organisation des temps scolaires est un révélateur de deux types d'inégalités présentes sur le marché du travail : inégalités entre femmes et hommes, et inégalités entre femmes diplômées et non diplômées. Avant l'introduction de la réforme des rythmes scolaires, les femmes dont le plus jeune enfant était en âge d'aller à l'école élémentaire étaient deux fois plus nombreuses que les hommes à ne pas travailler le mercredi, et donc à adapter leur activité professionnelle à la présence des enfants. Par ailleurs, la décision de travailler ou non le mercredi était corrélée au niveau de diplôme, les femmes diplômées du supérieur étant moins nombreuses à travailler le mercredi que les femmes non diplômées, alors même qu'elles travaillent plus d'heures en moyenne par semaine. La réorganisation des temps scolaires prévue par la réforme de 2013 a entraîné une réorganisation du temps de travail des femmes : si la réforme n'a pas eu pour effet à court terme d'accroître le nombre d'heures travaillées par semaine, elle a permis à un plus grand nombre de femmes de travailler le mercredi, entraînant, en moins de deux ans, une réduction de 15 % de leur différentiel de participation ce jour de la semaine par rapport aux hommes."
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INED - France 2016 : la natalité est en baisse - 0 views

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    En France, ces dernières années ont été marquées par une baisse des naissances et de la fécondité mesurée par l'indicateur conjoncturel, tandis que la progression de l'espérance de vie s'est ralentie. Gilles Pison nous en explique les raisons et dégage les nouvelles tendances de long terme derrière ces variations annuelles.
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La fin de la logique binaire du genre ? - GenerationLibre - 0 views

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    "Pour la première fois, un tribunal français a accepté de changer l'état civil d'une personne intersexuée pour indiquer dans son acte de naissance « sexe neutre ». Au niveau international, la question n'est pas nouvelle. La cour d'appel de Nouvelle-Galles du Sud, par une décision du 31 mai 2013, a officiellement reconnu que les formulaires australiens de naissance, décès et mariage mentionnent outre « homme » ou « femme » sous la case « genre » le terme « neutre », tout comme l'Allemagne qui a adopté une loi en 2013 selon laquelle les enfants nés avec les deux sexes pourront être déclarés à l'état civil de « sexe indéterminé », et pourront par la suite soit garder cette identité neutre, soit choisir à n'importe quel moment de changer leur identité en homme ou femme."
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Défenseur des droits - État civil des personnes transgenres : la CEDH confort... - 0 views

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    "La CEDH (Cour européenne des droits de l'homme) a estimé que l'exigence imposée par la loi de prouver être en processus de transformation chirurgicale ou de traitements médicaux stérilisants pour obtenir un changement de sexe, enfreignait le droit à la vie privée et était abusive."
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We Demain - "La raison pour laquelle je ne veux pas d'enfant ? Nous sommes trop nombreux" - 0 views

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    "Elle a décidé de ne pas avoir d'enfant pour lutter contre le réchauffement climatique. Marie, 27 ans, nous raconte les motivations et les conséquences d'un choix encore tabou. "
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INED - L'avortement dans le monde : Etat des lieux des législations, mesures,... - 0 views

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    Suite au référendum irlandais de mai 2018 largement en faveur de l'avortement, seuls deux pays européens, Malte et Andorre, ne donnent toujours pas aux femmes le droit de décider de mettre un terme à une grossesse dans ses premières semaines. Hors des frontières de l'Europe, les situations sont très diverses, mais l'avortement reste illégal ou restreint à certaines conditions dans un grand nombre de pays, notamment ceux du Sud. Cette situation est non seulement contraire au droit de chacune à disposer librement de son corps, mais entre en contradiction avec d'autres droits reconnus internationalement comme le droit à l'égalité de traitement entre les hommes et les femmes, le droit à la santé pour tous ou le droit de décider du nombre et de l'espacement de ses naissances. Cette chronique « Question de Population » propose un vaste panorama international des enjeux autour de l'avortement, des difficultés de mesure et des solutions pour y faire face. Elle fait le point sur les législations en vigueur, les données les plus récentes sur la fréquence de l'avortement et les méthodes en usage, ainsi que les conséquences de l'avortement sur la santé et la vie des femmes. L'avortement est une pratique de régulation de la fécondité utilisée par les femmes en cas d'absence ou d'échec de la contraception. Les législations régulant sa pratique vont, selon les pays, de l'autorisation à la demande de la femme à un accès restrictif voire une interdiction totale. Lorsqu'il est acquis, ce droit est fréquemment remis en question. Les débats entourant la légalisation se centrent sur le droit des femmes, celui de l'embryon et les conséquences sanitaires des avortements non sécurisés. Mais légal ou interdit, les femmes du monde entier recourent à l'avortement, avec de grandes disparités dans l'intensité de sa pratique et de ses conséquences sanitaires et sociales. Les niveaux de sécurité de l'avorteme
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Sénat - Délégation à la prospective - Rapport sur l'avenir du pacte entre les... - 0 views

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    Ce rapport étudie la transformation des relations entre les générations et formule une vingtaine de recommandations en vue d'adapter les politiques publiques à la nouvelle donne générationnelle. Sa première partie, faisant le point sur un débat qui court depuis plus de deux décennies, revient sur l'opposition entre une génération parfois qualifiée de « dorée », celle des baby-boomers, et des générations postérieures qui seraient « maltraitées ». Le rapport souligne que, si le Pacte intergénérationnel issu de la Libération est bien traversé de tensions qui menacent sa soutenabilité économique et son acceptabilité politique, la cohésion sociale est cependant moins menacée par le scénario catastrophe de la « guerre des âges » que par un risque de fragmentation interne aux générations, lié à la hausse des inégalités et à la divergence des intérêts au sein de chaque classe d'âge. L'enjeu des réformes du Pacte intergénérationnel n'est donc pas seulement de lier entre elles les différentes générations, mais faire en sorte que les membres des nouvelles générations continuent à se sentir liés par un destin commun. Le rapport aborde également la dimension symbolique des relations intergénérationnelles. Il montre que, dans ses rapports à la famille, à la politique, à l'école et au travail, la jeunesse est mue par un même projet de quête de sens. Or, de plus en plus de jeunes ont le sentiment de devoir prendre leur place dans un monde qui ne correspond pas à leurs attentes en termes d'épanouissement personnel ou de désir de participation directe au fonctionnement des institutions. Face à des univers scolaire et professionnel hyper compétitifs, qui ne permettent ni l'erreur ni le tâtonnement, face à des mondes du travail et de la politique encore faiblement participatifs, ils semblent hésiter entre une résignation désabusée, de nouvelles formes de radicalité ou une forme silencieuse de révolution con
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France Stratégie - Le couple contribue-t-il encore à réduire les inégalités ? - 0 views

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    Entre 1996 et 2015, la hausse de l'activité des femmes a fait chuter les inégalités de revenus entre femmes et hommes. Pour autant, les inégalités de niveaux de vie - celles qui tiennent compte de la structure des ménages et de la redistribution socio-fiscale - sont restées relativement stables. Pour comprendre pourquoi, France Stratégie met en lumière que la France a été marquée non par une mais par trois transformations sociales qui ont modifié la répartition des revenus en France. La Note d'analyse souligne en particulier l'utilité qu'il y a à s'intéresser à un mécanisme trop souvent négligé lorsque l'on cherche à comprendre les évolutions des inégalités en France, celui de la mise en commun des ressources au sein d'un ménage, la « redistribution privée ». France Stratégie montre ainsi que la progression de l'activité féminine a bien réduit les inégalités. Mais, dans le même temps, deux autres évolutions sociales ont joué en sens contraire : La modification des structures familiales induite par les nouveaux modes de vie, avec une mise en couple plus tardive et une hausse des désunions. En 2015, 69 % des 25-60 ans étaient en couple alors qu'ils étaient 78 % en 1996. En particulier, les familles monoparentales sont devenues 1,6 fois plus nombreuses sur la période. Le renforcement de l' « homogamie de revenu » : les hommes et les femmes sont de plus en plus souvent en couple avec une personne qui perçoit un revenu proche du leur. Cela se traduit par une diminution des inégalités au sein des couples mais par une augmentation des inégalités entre couples. L'impact de ces deux dernières évolutions sociales s'observe lors de la mise en commun des ressources au sein des ménages - une étape qui permet de réduire les inégalités entre individus tant que les écarts de rémunérations entre conjoints persistent. De fait, des couples moins nombreux, c'est moins d'individus susceptibles de
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Terra Nova - Les femmes et le partage des espaces publics : pour la mixité - 0 views

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    Remarques déplacées, mains baladeuses, agressions verbales ou sexuelles... La dénonciation de telles pratiques, courantes dans l'espace public, rend compte d'une prise de conscience, encore récente et partielle, et contribue à définir le partage sexué des espaces publics comme un problème politique à part entière. Les femmes n'ont pas un accès égalitaire à la ville ni la pleine liberté de leurs mouvements dans les circulations urbaines. Longtemps sous-estimés ou déniés, les multiples éléments qui limitent leur participation à l'espace public sont désormais mieux pris en compte, et la gravité de certaines atteintes est désormais publiquement dénoncée. Des initiatives comme le vote cet été en France d'un nouveau délit visant le « harcèlement de rue » témoignent d'une mobilisation inédite et d'une réponse politique nouvelle. Cette prise de conscience recouvre, cependant, des approches parfois contradictoires qui engagent des représentations concurrentes des formes d'occupation de l'espace souhaitables et légitimes. En effet, une forme politisée de dénonciation du sexisme peut conduire à des solutions renforçant une logique sécuritaire étendue à l'occupation de la rue, au risque de renforcer une gestion policière des espaces publics. Une autre perspective, au contraire, cherche à renforcer la mixité des usages urbains. Elle suppose une démarche plus large, intégrant une autre conception de l'aménagement urbain, plus participative et plus soucieuse de la diversité des usages. Pour changer de regard sur l'accès aux espaces communs, il faut identifier des usages spécifiques de la ville, liés à la division sexuée des tâches et des métiers, reconnaître des mobilités différentes, identifier l'impact sur la vie quotidienne des aménagements urbains, trop souvent encore conçus pour un actif adulte et implicitement masculin. En s'inspirant d'expériences menées dans une série de villes européennes et fr
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