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DREES - Les valeurs des jeunes adultes, leur perception de l'avenir et de la protection... - 0 views

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    La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie trois études sur les valeurs, jugements et opinions des jeunes en France et en Europe, dans la collection « Les Dossiers de la DREES ». Elle mobilise pour cela dix années de son Baromètre d'opinion sur la protection sociale, et s'appuie sur les réponses de près de 8 000 jeunes de 18 à 29 ans, interrogés entre 2004 et 2014. À l'encontre des idées reçues, les jeunes Français sont globalement optimistes pour leur avenir, et dans des proportions bien plus fortes que leurs ainés : 65 % des moins de 25 ans contre 46 % des 50-54 ans. De même, si 44 % des jeunes Français de moins de 25 ans pensent avoir une moins bonne situation que leurs parents au même âge (tendance en hausse depuis la crise économique), ce sentiment de « déclassement intergénérationnel » est plus faible que chez les 25-50 ans. Les jeunes Français sont néanmoins toujours bons derniers au palmarès des optimistes en Europe, dépassés même par les jeunes des pays les plus touchés par la crise (Espagne, Portugal). Des clivages apparaissent en outre avec, d'un côté, les jeunes en cours d'études ou en emploi et diplômés du supérieur, les plus optimistes pour leur avenir, et de l'autre, les jeunes les moins diplômés et les précaires, qui le sont le moins. Famille, genre, immigration : les jeunes défendent des valeurs d'ouverture Les jeunes Français sont plus favorables que leurs aînés à l'égalité des rôles entre les femmes et les hommes, plus tolérants aux nouvelles formes de couples et de familles et rejettent globalement l'ensemble des stéréotypes de genre, à l'opposé des plus de 65 ans dont les opinions diffèrent très fortement. Neuf jeunes sur dix sont en désaccord avec le modèle traditionnel de la femme au foyer s'occupant des enfants, et tout autant avec l'idée de privilégier l'emploi des hommes à celui des femmes. De mêm
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BVA - Les Français et les liens entre les générations - 0 views

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    Des personnes âgées et des jeunes perçus comme solidaires avec les autres, et des jeunes également jugés individualistes Les Français jugent majoritairement que les personnes âgées et les jeunes sont plutôt solidaires avec les autres (72% concernant les personnes âgées et 57% en ce qui concerne les jeunes). 4 Français sur 10 (39%) estiment que les personnes âgées sont plutôt individualistes, alors que plus de 6 Français sur 10 (61%) ont le sentiment que les jeunes le sont. Si plus d'un Français sur deux estiment que les jeunes générations et les générations âgées s'entraident, la majorité pense qu'elles ne se comprennent pas bien Une courte majorité de Français ont le sentiment que les deux générations s'entraident (55%), ont des valeurs en commun (52%) et partagent leurs expériences (51%). En revanche, seuls 3 Français sur 10 (31%) pensent que les deux générations se comprennent bien. Aux yeux des Français, les jeunes devraient surtout apporter aux personnes âgées leur aide pour les tâches pénibles de la vie quotidienne Pour l'ensemble des Français, il faudrait que les jeunes apportent surtout aux générations âgées leur aide pour les tâches pénibles de la vie quotidienne (50%), puis leur connaissance du numérique (43%). En revanche, les personnes âgées de 65 ans et plus placent en 1ère position l'affection des jeunes (45%) L'organisation de visites au domicile des personnes âgées : la meilleure solution pour renforcer les liens intergénérationnels Pour permettre d'aller vers une société plus fraternelle à l'avenir, l'idée qui se positionne en tête du classement des Français est l'organisation de visites au domicile des personnes âgées par des jeunes, notamment au travers du bénévolat ou du service civique (52%).
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CESE - Prévenir les ruptures dans les parcours en protection de l'enfance - 0 views

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    Les jeunes protégés par l'Aide sociale à l'enfance (ASE) ne sont pas visibles dans l'agenda politique et médiatique alors qu'elles et ils connaissent pourtant de nombreuses difficultés tout au long de leurs parcours. Le CESE a été saisi par le Premier ministre en avril 2018 pour travailler sur deux situations particulières : celle des « jeunes en difficultés multiples » et celle des jeunes majeurs. Les « jeunes en difficultés multiples », malheureusement appelés « incasables », sont des jeunes ayant connu des négligences et violences graves qui ont perturbé leur développement, et qui rencontrent des difficultés dans plusieurs domaines (éducation, santé, relation aux autres, loisirs…). Elles et ils ne sont pas accueillis de façon durable et souvent baladés de structures en structures. Cette maltraitance institutionnelle accentue leur sentiment d'abandon, leur capacité à suivre une scolarité stable et la prise en charge de leurs troubles psychiques. La sortie de la protection de l'enfance, quant à elle, rime trop souvent avec précarité. Un grand nombre de jeunes majeurs ne bénéficient pas d'un contrat jeune majeur (aide financière et accompagnement) jusqu'à leurs 21 ans et quand elles et ils en bénéficient, les durées sont extrêmement réduites (3 à 6 mois). La situation de ces jeunes est paradoxale : il leur est demandé plus d'autonomie qu'aux autres jeunes de leur âge alors qu'elles et ils ont moins de ressources (familiales, relationnelles, psychologiques, financières, sociales, etc.). La prise en charge défaillante de ces deux publics constitue un véritable gâchis économique au regard de l'investissement de la collectivité publique pour la protection de l'enfance (environ 10 milliards d'euros) et un non-sens éducatif et social puisqu'il engendre souvent une perte d'estime de soi pour les jeunes mais aussi pour les professionnels qui les accompagnent. C'est sur la base de c
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CESE - Synthèse - Prévenir les ruptures dans les parcours en protection de l'... - 0 views

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    Les jeunes protégés par l'Aide sociale à l'enfance (ASE) ne sont pas visibles dans l'agenda politique et médiatique alors qu'elles et ils connaissent pourtant de nombreuses difficultés tout au long de leurs parcours. Le CESE a été saisi par le Premier ministre en avril 2018 pour travailler sur deux situations particulières : celle des « jeunes en difficultés multiples » et celle des jeunes majeurs. Les « jeunes en difficultés multiples », malheureusement appelés « incasables », sont des jeunes ayant connu des négligences et violences graves qui ont perturbé leur développement, et qui rencontrent des difficultés dans plusieurs domaines (éducation, santé, relation aux autres, loisirs…). Elles et ils ne sont pas accueillis de façon durable et souvent baladés de structures en structures. Cette maltraitance institutionnelle accentue leur sentiment d'abandon, leur capacité à suivre une scolarité stable et la prise en charge de leurs troubles psychiques. La sortie de la protection de l'enfance, quant à elle, rime trop souvent avec précarité. Un grand nombre de jeunes majeurs ne bénéficient pas d'un contrat jeune majeur (aide financière et accompagnement) jusqu'à leurs 21 ans et quand elles et ils en bénéficient, les durées sont extrêmement réduites (3 à 6 mois). La situation de ces jeunes est paradoxale : il leur est demandé plus d'autonomie qu'aux autres jeunes de leur âge alors qu'elles et ils ont moins de ressources (familiales, relationnelles, psychologiques, financières, sociales, etc.). La prise en charge défaillante de ces deux publics constitue un véritable gâchis économique au regard de l'investissement de la collectivité publique pour la protection de l'enfance (environ 10 milliards d'euros) et un non-sens éducatif et social puisqu'il engendre souvent une perte d'estime de soi pour les jeunes mais aussi pour les professionnels qui les accompagnent. C'est sur la base de c
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INSEE - Combien coûte un jeune adulte à ses parents ? - 0 views

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    "En 2014, les ménages de parents d'un jeune âgé de 18 à 24 ans déclarent l'aider dans huit cas sur dix, à hauteur de 3 670 euros en moyenne par an. Cela représente un effort global de 8 % du total de leurs revenus disponibles. L'effort des parents, tel qu'ils le déclarent, est le plus important (15 %) lorsque le jeune est un étudiant qui dispose d'un logement autonome mais revient régulièrement chez ses parents (semi-cohabitant). Il est à l'inverse le moins élevé (3 %) lorsque le jeune est cohabitant en emploi. L'aide parentale s'adapte dans une certaine mesure à la situation et aux ressources du jeune, mais les moyens dont disposent les parents pour soutenir leur jeune financièrement conditionnent aussi les choix de ces derniers en matière de logement ou de poursuite d'études. En valeur absolue, le montant de l'aide et des dépenses pour le jeune adulte augmente avec le niveau de vie des parents. Il est cinq fois plus élevé pour les 10 % des ménages de parents les plus aisés que pour les 10 % les plus modestes (7 050 euros, contre 1 310). Pour autant, le taux d'effort est relativement plus important pour les 10 % de parents les plus modestes (13 %) que pour les autres ménages (moins de 9 %, sans autre variation significative selon le niveau de vie). Même à revenu constant, il est plus élevé de moitié pour les ménages de parents cadres, signe de stratégies de reproduction sociale. Le fait que les parents du jeune adulte soient séparés ou aient d'autres enfants à charge a aussi un effet sur l'aide. D'une part, les ménages de parents séparés ont un taux d'effort similaire à ceux restés ensemble lorsqu'ils les aident, mais sont moins nombreux à les aider. Ils aident leur enfant pour des montants moins élevés (- 30 % pour les mères séparées), toutes choses égales par ailleurs. D'autre part, un nombre d'enfants plus élevé réduit la fréquence des aides comme l'effort des parents pou
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DREES - L'enquête Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants - Famille, e... - 0 views

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    "L'enquête « Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants » a pour objectif de dresser, tous les 6-7 ans environ, un panorama complet des solutions de garde adoptées par les parents pour leurs jeunes enfants, au regard de leurs contraintes professionnelles. Elle vise, notamment, à reconstituer de façon très précise, sur une semaine type, le calendrier d'accueil des enfants, incluant les périodes passées avec leurs parents, et à identifier l'ensemble des intervenants qui se succèdent pour assurer leur garde pendant la période considérée. Trois vagues d'enquête ont, à l'heure actuelle, été collectées : en 2002 (ménages avec au moins un enfant de moins de 7 ans, né en 1995 ou après), en 2007 (ménages avec au moins un enfant de moins de 7 ans et demi né le 1er mai 2000 ou après) et en 2013 (ménages ayant au moins un enfant âgé de moins de 6 ans né à partir du 1er septembre 2013). En 2002, la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) réalise l'enquête « Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants » en partenariat avec le Conseil de l'Emploi, des Revenus et de la Cohésion sociale (CERC), la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) et l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Il s'agissait d'appréhender les différents modes d'accueil auxquels les parents ont recours, de les caractériser (formels ou informels, réguliers ou occasionnels) ; de voir comment ils se combinent selon les différentes contraintes auxquelles sont soumis les parents (horaires de travail décalés, travail de nuit, etc.) et les caractéristiques des parents et des enfants (profession exercée, âge de l'enfant, place dans la fratrie, etc.) ; de comprendre comment ces modes de garde relaient la prise en charge parentale ; de mesurer leurs coûts de chaque solution d'accueil adoptée par les parents et, enfin, d'interroger le degré de sat
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Harris Interactive - Millenials, génération X, séniors... : quelle importance... - 0 views

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    Plus de 90% des Français déclarent entretenir de bonnes relations aussi bien avec les personnes de leur âge qu'avec les représentants des générations précédentes et ceux des générations suivantes à la leur. Cette bonne entente intergénérationnelle s'avère même être « très bonne » pour 29% des Français avec les personnes plus jeunes qu'eux, et pour 37% avec les personnes de leur âge ou plus âgées qu'eux. Les Français s'accordent à dire qu'il est important qu'existent un lien et des échanges réguliers entre les personnes des différentes générations. 54% d'entre eux trouvent même qu'il s'agit d'un enjeu « très important ». Cette perception est partagée par la quasi-totalité des parents, qui estiment qu'il est essentiel de transmettre aux enfants l'attachement à un lien entre les personnes des différentes générations. Dans le détail, les Français attribuent globalement des adjectifs à connotation positive aussi bien aux personnes des générations précédentes qu'à celles des générations suivantes. Il semble notamment que la transmission de savoirs soit essentielle à leurs yeux puisque 91% des Français déclarent que leurs aînés ont des choses à leur apprendre, et 87% d'entre eux estiment pouvoir apprendre des choses à leurs cadets. Les Français semblent également s'accorder sur la sympathie qu'inspirent ces deux générations : 88% d'entre eux trouvent que ce qualificatif correspond bien aux générations de personnes plus âgées, et 79% trouvent qu'il correspond bien aux générations suivantes. Dans le même esprit, 9 Français sur 10 trouvent leurs aînés intéressants, et plus de 7 sur 10 (71%) attribuent la même qualité aux plus jeunes. Les plus de 50 ans ont d'ailleurs tendance à trouver les jeunes plus intéressants encore que la moyenne (79%). Toutefois, si seulement 37% des Français déclarent trouver les représentants des générations précédentes égoïste
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IFOP - Saphisme et lesbianisme : du fantasme au passage à l'acte : Enquête su... - 0 views

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    Observant une progression soutenue et continue des recherches autour du sexe entre femmes (ex : « lesbian », « lesbiennes »,…), le site pour adultes Reference Sexe a commandé à l'Ifop une grande enquête visant à évaluer à la fois la proportion de Françaises ayant déjà été attirées sexuellement par une personne du même sexe et l'ampleur des fantasmes lesbiens chez les hommes. Réalisée auprès d'un échantillon de 2003 personnes âgées de 18 ans et plus, cette étude met en lumière les enseignements suivants : Une jeune fille sur quatre (24%) a déjà été attirée par une autre fille, soit une proportion qui a triplé en dix ans Une jeune fille sur dix (10%) a déjà couché avec une autre fille, soit un taux qui a doublé en dix ans Une jeune fille sur dix se dit soit bi (9%), soit lesbienne (1%), soit une proportion plus forte que chez l'ensemble des femmes (6%) Une femme sur quatre (24%) s'est déjà faite draguer par une autre femme, sachant que leur proportion est plus forte chez les jeunes de moins de 25 ans (27%) Une jeune fille sur deux (45%) a déjà embrassé une copine sur la bouche, contre un tiers des femmes de 25 à 34 ans (31%) et à peine 10% des femmes âgée 35 ans et plus Près d'une femme sur cinq (18%) aimerait bien avoir un rapport sexuel avec une autre femme au moins une fois dans sa vie Près d'une femme sur cinq (19%) aimerait bien se faire lécher le sexe par une autre femme, sachant que leur proportion est plus forte chez les jeunes de moins de 25 ans (22%) que chez celles âgées de 50 ans et plus (18%) Alors que les deux tiers des hommes (65%) rêvent de faire l'amour avec deux femmes en même temps, seule une femme sur dix (11%) s'imaginent aimeraient faire un plan à trois avec deux autres femmes De même, si deux hommes sur trois (66%) pourraient faire l'amour avec leur conjointe et une autre femme, seule 16% des femmes pourraient faire un plan à trois avec leur partenaire et une autre fe
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Meaux - Lettre pastorale - "Comme le Père m'a aimé, moi aussi je vous ai aimé... - 0 views

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    « Ce qui fait la gloire de mon Père, c'est que vous portiez beaucoup de fruit » Jn 15, 8. 1/ Transmettre la foi aux nouvelles générations est la première mission de chaque communauté paroissiale. C'est l'affaire de tous, mais bien sûr tous ne sont pas engagés de la même manière : parents, grands-parents, parrains et marraines, catéchistes, animateurs d'aumônerie, chefs scouts, consacrés, diacres, prêtres, etc. Sans oublier la place fondamentale de la prière discrète et du témoignage personnel de chacun auprès de ses voisins et amis. 2/ Vivre du Christ, annoncer le Christ à toutes les générations - et particulièrement aux jeunes et à leur famille - voilà le défi pastoral majeur pour notre Église diocésaine. Cette priorité pastorale est d'autant plus urgente en Seine-et-Marne que nous sommes un des départements les plus jeunes de France (et que la moyenne d'âge des nouveaux arrivants est toujours très jeune) ! 3/ Au cours de l'année, il est bon que les Équipes missionnaires de Pôle et les Equipes d'Animation Pastorale fassent une évaluation de ce qui est vécu dans le pôle missionnaire à destination des enfants, des jeunes, des jeunes adultes, en faisant l'inventaire des forces vives qui y sont affectées. Une attention toute particulière sera apportée à la formation à donner aux adultes qui interviennent : formation au mystère chrétien et éléments nécessaires de pédagogie selon les âges. Mais l'inventaire ne suffit pas. Il est nécessaire de ne pas avoir peur de mettre en œuvre des projets nouveaux adaptés à notre temps. 4/ J'ai souvent entendu que l'ambition de la pastorale des jeunes était de les préparer à être chrétiens demain. Je m'inscris en faux devant cette affirmation. On peut légitimement espérer que les jeunes d'aujourd'hui auront la foi demain si nous les aidons à être chrétiens maintenant, à prier et à louer le Seigneur maintenant, à vivre une charité inventiv
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Drees - Etudes, travail, logement : comment les enfants de parents séparés en... - 0 views

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    Fin 2014, 1,4 million d'adultes de 18 à 24 ans ont leurs parents séparés. Dans près de neuf cas sur dix, ces jeunes ont vécu principalement chez un seul de leurs parents à la suite de la séparation (majoritairement leur mère). Résider chez un seul de ses parents distend les relations avec l'autre parent. Un jeune sur quatre déclare ainsi ne plus avoir de relation avec son père. La séparation des parents, et notamment la conflictualité qu'elle peut impliquer, a des conséquences sur le devenir des jeunes. Ils sont moins souvent en études et leur niveau de diplôme est souvent moins élevé que celui des jeunes dont les parents forment un couple. Toutefois, lorsque les relations entre les parents sont bonnes les écarts de niveau de diplôme sont moindres. Les jeunes dont les parents se sont séparés ont plus fréquemment quitté le domicile parental que les autres, en particulier si le parent avec qui ils ont vécu après la séparation a eu un enfant ou bel-enfant d'une nouvelle union. Ils déclarent plus souvent avoir pris un logement autonome pour devenir indépendant et moins souvent pour leurs études ou leur emploi. Toutefois, quand ils ont quitté le domicile parental, ils habitent moins loin d'au moins un de leurs parents.
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La Veille des acteurs de santé - « 500 000 jeunes aidants en France, un chiff... - 0 views

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    "500 000 jeunes aidants en France. C'est le nombre avancé dès que la question est abordée mais en réalité, qu'en est-il ? Sans doute sous-évalué, il représenterait un enfant par classe, en situation d'aidance d'un proche. Mais les données officielles restent difficiles à trouver en ce qui concerne la place des jeunes aidants en France. Alors comment mettre en lumière ces jeunes aidants et bousculer un statu quo lorsque les statistiques restent floues ? Comment faire avancer la recherche, sensibiliser les différents acteurs de la santé, du social, du médico-social en lien avec ces jeunes, accompagner au mieux tous ces enfants et adolescents si la littérature scientifique ne s'interroge pas à leur sujet ?"
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Vers le Haut - Education : Comment éviter le "retour à l'anormal" ? : 5 leçon... - 1 views

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    La fermeture générale de tous les établissements scolaires, des établissements de petite enfance et de toutes les activités éducatives extrascolaires pendant plusieurs semaines est un fait historique sans précédent hors période de vacances. Il a et aura un impact majeur sur l'éducation de millions de jeunes. A travers ce rapport, découvrez les grandes tendances que ce confinement a amplifiées ou révélées ; les réponses apportées par les acteurs éducatifs et 23 propositions tirées de ces actions pour améliorer durablement notre système éducatif. 5 leçons du confinement pour inspirer un changement durable Le confinement a joué le rôle de révélateur ou d'accélérateur de grandes tendances qui existaient déjà : > Le décrochage d'une partie des jeunes et des enfants, touchés par des inégalités, des violences et une pauvreté encore plus aiguës ; > La nécessité de réinventer la relation éducative, notamment à l'école ; > Le rôle incontournable des familles au cœur de l'éducation ; > La transformation des conditions de l'éducation par le numérique, un outil à apprivoiser pour le mettre vraiment au service des jeunes générations. > A ces défis s'ajoutent ceux de l'aide sociale à l'enfance, qui a continué à prendre en charge les jeunes placés avec un engagement particulièrement fort des éducateurs, dans des circonstances extrêmement exigeantes. Pour limiter les dégâts éducatifs, dans l'urgence, les acteurs de terrain ont imaginé des réponses afin de s'adapter aux enjeux immédiats. Jeunes et familles, enseignants, professionnels de la petite enfance, acteurs de l'aide sociale à l'enfance… ont déployés des trésors d'imagination, de réactivité, d'engagement lors de ce confinement. On a aussi perçu en creux les graves carences de notre système éducatif et l'insuffisance de certains acteurs qui n'ont pas pris la mesure de la crise. Les réponses à cette crise, source d'i
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«Une jeunesse sexuellement libérée (ou presque)», une conférence sur la vie a... - 0 views

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    "La Maison diocésaine Saint Sixte, la Pastorale des Jeunes et la Pastorale des familles invitent les jeunes, les parents et les animateurs de jeunes à une nouvelle conférence sur la vie affective le : le mercredi 14 Décembre à 18 h 30 pour les étudiants le mercredi 14 Décembre à 20 h 30 pour les adultes à la Maison diocésaine Saint-Sixte - 6 rue du Lieutenant Herduin à Reims avec la philosophe et sexologue Thérèse Hargot autour de son livre « Une jeunesse sexuellement libérée (ou presque)« "
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IFOP - Les Français et la scolarisation des enfants de moins de 3 ans - 0 views

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    A l'occasion de la rentrée des classes, Femme actuelle a souhaité faire le point sur l'état de l'opinion à l'égard de la scolarisation des enfants dès deux ans en école maternelle, l'une des promesses de campagne de François Hollande lors de la campagne de l'élection présidentielle de 2012. Alors que le ministère de l'Education nationale s'est fixé comme objectif de parvenir à un taux de scolarisation de 30% des enfants de moins de trois ans dans les zones défavorisées d'ici 2017, certaines voix laissent entendre une insuffisance des moyens mis en œuvre, voire le caractère néfaste d'une scolarisation trop précoce. Mais qu'en pensent les Français ? Sont-ils pour ou contre l'entrée des enfants de deux ans en maternelle ? Estiment-ils qu'elle permet de mieux se familiariser avec la vie en société et le langage ? Est-elle un levier pour faire reculer l'échec scolaire ? Pour répondre à ces interrogations, l'Ifop a donc réalisé une enquête auprès d'un échantillon de 2 000 Français dont il ressort les enseignements suivants : - La majorité des Français (63%) se déclare favorable au principe de scolarisation des enfants de moins de 3 ans, dont 23% se disent même « tout à fait favorables ». - Les premiers concernés, c'est-à-dire les parents d'enfants de moins de 3 ans, sont encore plus favorables à cette mesure : 74% la soutiennent, dont 32% s'y déclarant « tout à faire favorables ». Dans le détail, on observe que les jeunes (78%), les plus diplômés (69%) et les catégories pauvres (67%) sont les segments de population les plus favorables à cette scolarisation. - Pour les deux tiers des Français (65%), mettre un enfant de deux ans à la maternelle est « une bonne chose pour améliorer la socialisation et l'acquisition du langage des plus petits ». Aussi, seule une minorité (46%) estime que cela revient à « le scolariser à une âge trop précoce », soit des résultats qui conf
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Le Vatican lance un site spécialisé sur l'éducation sexuelle des jeunes - Sex... - 0 views

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    "Le Vatican a lancé récemment un nouveau site spécialisé sur l'éducation sexuelle des jeunes, intitulé "le lieu de la rencontre". L'initiative est promue par le Conseil pontifical pour la famille, avec la contribution de Mgr Mario Iceta, évêque de Bilbao (Espagne) et président de la sous-commission pour la famille et la défense de la vie de la conférence épiscopale espagnole. Le site propose un véritable cours en cinq langues, sur l'amour et la sexualité des jeunes. Il se base sur une métaphore générale, celle de la tente de camping, et se divise ensuite en 6 unités (tente, tige et bâtons, piquets, etc.). Chaque unité propose des fiches pour l'enseignant et pour l'élève. Cette formation, qui s'appuie aussi sur une liste d'extraits de films, a pour but de proposer "un itinéraire d'éducation à l'amour qui aide les jeunes à découvrir la beauté du don de soi réciproque et la recherche du bonheur à travers le don du corps et de l'esprit", est-il expliqué en introduction."
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Pèlerinage des familles à Rome - Diocèse de Montauban - 0 views

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    "du 26 octobre 2013 au 27 octobre 2013 [Jeunes] Présente ta famille au pape François! pour les enfants et les jeunes « Famille , vis la joie de la Foi » En cette fin d' « Année de la foi », la Pastorale Familiale invite les enfants et les jeunes à partager leur vie avec le pape François : 1/ Pour les enfants de 3 à 11 ans… Présente ta famille au pape François : Tous les enfants de 3 à 11 ans sont invités à envoyé au pape François un dessin de leur propre famille à l'occasion du Pèlerinage des Familles sur la tombe de saint Pierre, à Rome, le 26 et 27 octobre 2013. Les dessins seront offerts au pape François et les plus beaux d'entre eux seront projetés à l'occasion du Pèlerinage et publiés dans "Il Giornalino" et "G-Baby". Les dessins devront être réalisés sur une feuille de papier A4 et envoyés avant le 30 septembre 2013 impérativement à l'adresse suivante : Pastorale Familiale, Maison diocésaine, 91 Bd Montauriol 82 000 Montauban 2/ Pour les jeunes de 12 à 18 ans … Deviens photographe pour le pape François ! Et participe au concours photo « Life … in HD »
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France Stratégie / HCFEA - Tome II : Orientations - L'accueil des enfants de ... - 0 views

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    Le développement des modes d'accueil de la petite enfance est une des priorités de la politique familiale. Permettant aux parents une meilleure articulation entre vie familiale et vie professionnelle, ils sont souvent mis en exergue pour expliquer la réussite du modèle français en termes de natalité et de taux d'emploi des femmes. La France se caractérise en effet, par rapport à la plupart de ses voisins européens, par une offre développée et diversifiée de solutions d'accueil, qu'il s'agisse de places en crèches (établissements d'accueil de jeunes enfants - EAJE), de possibilités de faire garder son enfant par une assistante maternelle[1] au domicile de celle-ci, ou au domicile des parents, par la préscolarisation dès l'âge de deux ans dans des écoles maternelles, ou par le recours des parents à un congé parental d'éducation (CPE) à temps plein ou partiel, accompagné ou non d'une indemnisation au travers de la prestation partagée d'éducation de l'enfant (PreParE). Le recours effectif des familles aux différents modes d'accueil résulte de choix sous contraintes multiples et complexes : l'offre de modes d'accueil disponible localement et les manques éventuels de celle-ci, l'accessibilité financière à ces modes d'accueil, la complexité des situations familiales et professionnelles (contraintes horaires, possibilité d'aide familiale…). Mais il vise avant tout à trouver une solution qui réponde au mieux aux besoins spécifiques des très jeunes enfants sur tous les plans : physique, affectif, cognitif, émotionnel et social, en offrant la meilleure qualité de service possible sur ces différents plans. Malgré une politique volontariste, et des attentes encore importantes exprimées par les familles, le développement de l'offre semble se tarir ces dernières années. Les résultats observés durant la période 2013-2017, couverte par la dernière convention d'objectifs et de gestion (COG)
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France Stratégie / HCFEA - Synthèse - L'accueil des enfants de moins de trois... - 0 views

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    Le développement des modes d'accueil de la petite enfance est une des priorités de la politique familiale. Permettant aux parents une meilleure articulation entre vie familiale et vie professionnelle, ils sont souvent mis en exergue pour expliquer la réussite du modèle français en termes de natalité et de taux d'emploi des femmes. La France se caractérise en effet, par rapport à la plupart de ses voisins européens, par une offre développée et diversifiée de solutions d'accueil, qu'il s'agisse de places en crèches (établissements d'accueil de jeunes enfants - EAJE), de possibilités de faire garder son enfant par une assistante maternelle[1] au domicile de celle-ci, ou au domicile des parents, par la préscolarisation dès l'âge de deux ans dans des écoles maternelles, ou par le recours des parents à un congé parental d'éducation (CPE) à temps plein ou partiel, accompagné ou non d'une indemnisation au travers de la prestation partagée d'éducation de l'enfant (PreParE). Le recours effectif des familles aux différents modes d'accueil résulte de choix sous contraintes multiples et complexes : l'offre de modes d'accueil disponible localement et les manques éventuels de celle-ci, l'accessibilité financière à ces modes d'accueil, la complexité des situations familiales et professionnelles (contraintes horaires, possibilité d'aide familiale…). Mais il vise avant tout à trouver une solution qui réponde au mieux aux besoins spécifiques des très jeunes enfants sur tous les plans : physique, affectif, cognitif, émotionnel et social, en offrant la meilleure qualité de service possible sur ces différents plans. Malgré une politique volontariste, et des attentes encore importantes exprimées par les familles, le développement de l'offre semble se tarir ces dernières années. Les résultats observés durant la période 2013-2017, couverte par la dernière convention d'objectifs et de gestion (COG)
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France Stratégie / HCFEA - Tome I : Etat des lieux - L'accueil des enfants de... - 0 views

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    Le développement des modes d'accueil de la petite enfance est une des priorités de la politique familiale. Permettant aux parents une meilleure articulation entre vie familiale et vie professionnelle, ils sont souvent mis en exergue pour expliquer la réussite du modèle français en termes de natalité et de taux d'emploi des femmes. La France se caractérise en effet, par rapport à la plupart de ses voisins européens, par une offre développée et diversifiée de solutions d'accueil, qu'il s'agisse de places en crèches (établissements d'accueil de jeunes enfants - EAJE), de possibilités de faire garder son enfant par une assistante maternelle[1] au domicile de celle-ci, ou au domicile des parents, par la préscolarisation dès l'âge de deux ans dans des écoles maternelles, ou par le recours des parents à un congé parental d'éducation (CPE) à temps plein ou partiel, accompagné ou non d'une indemnisation au travers de la prestation partagée d'éducation de l'enfant (PreParE). Le recours effectif des familles aux différents modes d'accueil résulte de choix sous contraintes multiples et complexes : l'offre de modes d'accueil disponible localement et les manques éventuels de celle-ci, l'accessibilité financière à ces modes d'accueil, la complexité des situations familiales et professionnelles (contraintes horaires, possibilité d'aide familiale…). Mais il vise avant tout à trouver une solution qui réponde au mieux aux besoins spécifiques des très jeunes enfants sur tous les plans : physique, affectif, cognitif, émotionnel et social, en offrant la meilleure qualité de service possible sur ces différents plans. Malgré une politique volontariste, et des attentes encore importantes exprimées par les familles, le développement de l'offre semble se tarir ces dernières années. Les résultats observés durant la période 2013-2017, couverte par la dernière convention d'objectifs et de gestion (COG)
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Institut d'aménagement et d'urbanisme d'IdF - Le logement des jeunes dans le... - 0 views

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    Dans un rapport publié le 29 novembre 2017 exploitant les chiffres de l'Enquête nationale logement de l'Insee, l'Institut d'aménagement et d'urbanisme de la région Île-de-France livre une analyse de la situation des jeunes ménages vis-à-vis du marché du logement ordinaire (soit hors locaux dédiés aux communautés, tels les foyers ou les résidences sociales). En ressortent trois grandes observations clairement soulignées par l'Institut lui-même : - Une baisse du niveau de vie des jeunes ménages - Des évolutions du parc de logements qui ne bénéficient pas aux jeunes - Hausse des loyers et pénurie de petits logements : la double peine
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