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Harris Interactive - Millenials, génération X, séniors... : quelle importance... - 0 views

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    Plus de 90% des Français déclarent entretenir de bonnes relations aussi bien avec les personnes de leur âge qu'avec les représentants des générations précédentes et ceux des générations suivantes à la leur. Cette bonne entente intergénérationnelle s'avère même être « très bonne » pour 29% des Français avec les personnes plus jeunes qu'eux, et pour 37% avec les personnes de leur âge ou plus âgées qu'eux. Les Français s'accordent à dire qu'il est important qu'existent un lien et des échanges réguliers entre les personnes des différentes générations. 54% d'entre eux trouvent même qu'il s'agit d'un enjeu « très important ». Cette perception est partagée par la quasi-totalité des parents, qui estiment qu'il est essentiel de transmettre aux enfants l'attachement à un lien entre les personnes des différentes générations. Dans le détail, les Français attribuent globalement des adjectifs à connotation positive aussi bien aux personnes des générations précédentes qu'à celles des générations suivantes. Il semble notamment que la transmission de savoirs soit essentielle à leurs yeux puisque 91% des Français déclarent que leurs aînés ont des choses à leur apprendre, et 87% d'entre eux estiment pouvoir apprendre des choses à leurs cadets. Les Français semblent également s'accorder sur la sympathie qu'inspirent ces deux générations : 88% d'entre eux trouvent que ce qualificatif correspond bien aux générations de personnes plus âgées, et 79% trouvent qu'il correspond bien aux générations suivantes. Dans le même esprit, 9 Français sur 10 trouvent leurs aînés intéressants, et plus de 7 sur 10 (71%) attribuent la même qualité aux plus jeunes. Les plus de 50 ans ont d'ailleurs tendance à trouver les jeunes plus intéressants encore que la moyenne (79%). Toutefois, si seulement 37% des Français déclarent trouver les représentants des générations précédentes égoïste
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Drees - Aider un proche âgé à domicile : Résultat des post-enquêtes qualitati... - 0 views

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    Ce dossier présente les résultats des post-enquêtes qualitatives de l'enquête CARE-Ménages, qui a interrogé en 2015 des seniors et leurs aidants sur des thématiques diverses comme leur état de santé, les aides dont ils bénéficient au quotidien, le financement d'une dépendance éventuelle ou la répartition des efforts entre proches et professionnels. Les post-enquêtes avaient pour but de détailler des configurations d'aide en réinterrogeant des personnes ayant répondu à l'enquête quantitative et, selon les cas, de comprendre les formes d'investissement dans l'aide ou d'articulation entre l'aide et les autres activités des aidants. Nous présentons ici une synthèse des résultats des quatre projets retenus : « Poids et effet de genre dans l'aide aux seniors » (Maks Banens, CMW, CNRS) ; « Articulation travail-famille et gestion des temps sociaux » (Vincent Caradec, CeRIES, Université de Lille) ; « Analyse compréhensive de l'intensité de l'aide » (Isabelle Mallon, CMW, CNRS et ARENES, EHESP) ; « Vieillir à deux. Aides et entraide dans le couple » (Sylvie Renaut, URV, CNAV). Après l'exposé de réflexions communes aux quatre projets, nous présentons une synthèse de chacun d'entre eux, illustrée par quelques cas tirés des investigations détaillées des différents chercheurs y ayant participé. Les résultats transversaux qui émergent de ces quatre recherches, pourtant diverses, sont nombreux. Toutes soulignent l'ambivalence que l'aide peut recouvrir, pour les aidants comme pour les aidés. Entre fardeau et plaisir, sentiment d'utilité et de perte de temps, l'aide est souvent vécue comme un investissement intense qui peut être source tantôt de reconnaissance et de passion, tantôt de souffrance et de déception. Pour bien saisir cette aide multiforme, les post-enquêtes montrent qu'il est nécessaire de l'inscrire dans une écologie familiale, rendant difficile d'étudier les rapports à
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DREES - Les valeurs des jeunes adultes, leur perception de l'avenir et de la protection... - 0 views

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    La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie trois études sur les valeurs, jugements et opinions des jeunes en France et en Europe, dans la collection « Les Dossiers de la DREES ». Elle mobilise pour cela dix années de son Baromètre d'opinion sur la protection sociale, et s'appuie sur les réponses de près de 8 000 jeunes de 18 à 29 ans, interrogés entre 2004 et 2014. À l'encontre des idées reçues, les jeunes Français sont globalement optimistes pour leur avenir, et dans des proportions bien plus fortes que leurs ainés : 65 % des moins de 25 ans contre 46 % des 50-54 ans. De même, si 44 % des jeunes Français de moins de 25 ans pensent avoir une moins bonne situation que leurs parents au même âge (tendance en hausse depuis la crise économique), ce sentiment de « déclassement intergénérationnel » est plus faible que chez les 25-50 ans. Les jeunes Français sont néanmoins toujours bons derniers au palmarès des optimistes en Europe, dépassés même par les jeunes des pays les plus touchés par la crise (Espagne, Portugal). Des clivages apparaissent en outre avec, d'un côté, les jeunes en cours d'études ou en emploi et diplômés du supérieur, les plus optimistes pour leur avenir, et de l'autre, les jeunes les moins diplômés et les précaires, qui le sont le moins. Famille, genre, immigration : les jeunes défendent des valeurs d'ouverture Les jeunes Français sont plus favorables que leurs aînés à l'égalité des rôles entre les femmes et les hommes, plus tolérants aux nouvelles formes de couples et de familles et rejettent globalement l'ensemble des stéréotypes de genre, à l'opposé des plus de 65 ans dont les opinions diffèrent très fortement. Neuf jeunes sur dix sont en désaccord avec le modèle traditionnel de la femme au foyer s'occupant des enfants, et tout autant avec l'idée de privilégier l'emploi des hommes à celui des femmes. De mêm
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Regarder la situation des divorcés « avec les yeux des petits enfants » | ZEN... - 1 views

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    "Le pape François invite les chrétiens à « développer » « un accueil réel » des personnes divorcées et remariées. Il les appelle à « imiter » le Christ et à « encourager » les familles « blessées » à vivre « leur appartenance » à l'Église. Rome, 5 août 2015 (ZENIT.org) Marina Droujinina | 569 clics Le pape François a appelé les chrétiens à regarder la situation des personnes divorcées et remariées « avec les yeux des petits enfants » « qui souffrent le plus » dans ces circonstances. Il est intervenu sur ce thème délicat ce mercredi 5 août dans la Salle Paul VI, lors de la première audience générale après la pause de cinq semaines de la période estivale. Le pape a invité à regarder la situation « de ceux qui, à la suite d'un échec irréversible de leur lien matrimonial, ont commencé une nouvelle union » « avec les yeux des tout-petits ». Ce regard permettra de voir « l'urgence de développer dans nos communautés un accueil réel » envers ces personnes, estime le pape. « C'est pourquoi il est important que le style de la communauté, son langage, ses comportements soient toujours attentifs aux personnes, à partir des petits ». Le pape François est convaincu que « ce sont eux qui souffrent le plus, dans ces situations ». Il a appelé à être miséricordieux et à « ne pas ajouter d'autres poids en plus de ceux que les enfants, dans ces situations, ont déjà à porter ! » « Il est important qu'ils sentent que l'Église est une mère attentive à tous, toujours disposée à écouter et à les rencontrer », a-t-il ajouté. Le pape a expliqué que l'Église savait « bien » que la situation des personnes divorcées et remariées « contredit le sacrement chrétien ». « Toutefois, son regard de maîtresse vient toujours d'un cœur de mère, a-t-il affirmé, un cœur qui, animé par l'Esprit Saint, cherche toujours le bien et le salut des personnes ». Le pape a dit fermement que
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OFCE - Réduire les inégalités professionnelles en réformant le congé paternité - 0 views

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    Les femmes réalisent 71 % du travail domestique (ménage, cuisine, linge) et 65 %du travail familial. Contrairement aux hommes, elles ajustent leur carrière aux contraintes de la vie familiale, surtout en présence de jeunes enfants. Les interruptions d'activité sont plus fréquentes pour elles que pour les hommes et 80 % du temps partiel est pourvu par des femmes. En conséquence, durant leur vie d'âge actif, le temps que les femmes consacrent à leur activité professionnelle représente en moyenne 67 % de celui des hommes. Enfin, elles gagnent en moyenne 25 % de moins que les hommes. Dans ce contexte, une piste pour réduire les inégalités professionnelles consiste à modifier la répartition du temps consacré aux enfants entre femmes et hommes. Depuis 15 ans, l'effort budgétaire a porté sur le développement des modes d'accueil de la petite enfance, ce qui a permis de soutenir le travail des mères de jeunes enfants, mais cela n'a pas encouragé les pères à consacrer plus de temps aux tâches familiales. Parallèlement, la politique de congés parentaux est restée ambiguë et les dernières orientations conduisent à les réduire progressivement. Or elles constituent un levier pour encourager le partage des tâches dans la famille, à condition qu'elles soient construites dans cette optique. Certains pays proposent des systèmes qui incitent, voire contraignent les pères à consacrer plus de temps aux enfants : en Islande, les pères prennent un tiers de l'ensemble des congés réservé aux deux parents. Un congé paternité obligatoire et plus long rééquilibrerait entre les deux parents l'impact d'une naissance sur la carrière. Associé à l'expansion des structures d'accueil de la petite enfance, il orienterait les politiques familiales vers l'objectif d'égalité
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Dares - L'articulation des temps parental et professionnel au sein des couple... - 0 views

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    Parmi les parents « biactifs » de jeunes enfants, six sur dix travaillent tous les deux en journée, du lundi au vendredi. Une faible durée d'activité et des horaires asynchrones, qu'ils soient choisis ou subis, permettent aux parents de disposer de davantage de temps auprès de leur(s) enfant(s). Aussi, bien que les horaires décalés soient plus souvent alternants et moins flexibles que des horaires ordinaires, ils favorisent la garde parentale. Du lundi au vendredi, entre 8h et 19h, les parents d'un enfant de moins de 3 ans qui travaillent accordent en moyenne 70 % de leur temps disponible à sa garde et jusqu'à 80 % si la mère travaille tôt en matinée ou de nuit. Les mères passent en moyenne plus de temps avec l'enfant, y consacrant les trois quarts de leur temps disponible contre moins de 60 % pour les pères. Cependant, les pères assurent la majorité du temps de garde parentale dans trois couples « biactifs » sur dix. C'est le cas quand ils ont une faible durée de travail hebdomadaire, travaillent à domicile ou ont des horaires décalés ou alternants. Ils consacrent alors en moyenne 2h40 par jour aux enfants, ce qui reste inférieur d'une heure dix au temps accordé par les mères lorsqu'elles assurent majoritairement la garde.
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Eurostat - La vie des femmes et des hommes en Europe - 0 views

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    À la maison, au travail, à l'école … … il existe de grandes différences entre les vies des femmes et des hommes en Europe, mais il y a également des similitudes. Cette publication numérique « La vie des femmes et des hommes en Europe - un portrait statistique » se propose de comparer les femmes et les hommes dans leurs vies de tous les jours. Elle montre également comment la vie quotidienne des femmes et des hommes peut être semblable ou différente dans les pays européens. Cette publication comporte trois chapitres : Vivre, grandir, vieillir... : ce chapitre est consacré à la démographie et à la santé, avec par exemple des données sur l'espérance de vie, les mères et les pères célibataires, la perception que nous avons de notre santé, etc. Il montre également qu'en Europe, malgré nos différences, les femmes et les hommes sont satisfaits de leur vie au même niveau. Apprendre, travailler, gagner sa vie... : ce chapitre présente des données sur le niveau d'éducation, la conciliation entre les vies professionnelle et familiale, le travail à temps plein et à temps partiel, les écarts de rémunération entre les sexes, les cadres supérieurs féminins et masculins, etc. Il souligne non seulement les différences structurelles, mais aussi les inégalités entre les femmes et les hommes. Manger, acheter, surfer, avoir une vie sociale... : ce chapitre se concentre sur les habitudes alimentaires et les comportements sociaux, les activités de loisirs et les pratiques sur Internet, avec par exemple des données sur la consommation de tabac et d'alcool, l'indice de masse corporelle, la fréquentation du cinéma, l'utilisation des réseaux sociaux, et les achats en ligne. Une dernière partie est consacrée à la garde et à l'éducation des enfants et aux tâches ménagères. Cette publication numérique contenant des textes courts, des graphiques interactifs, des photos, a été développée par Eurostat en collaboration
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IFOP - Saphisme et lesbianisme : du fantasme au passage à l'acte : Enquête su... - 0 views

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    Observant une progression soutenue et continue des recherches autour du sexe entre femmes (ex : « lesbian », « lesbiennes »,…), le site pour adultes Reference Sexe a commandé à l'Ifop une grande enquête visant à évaluer à la fois la proportion de Françaises ayant déjà été attirées sexuellement par une personne du même sexe et l'ampleur des fantasmes lesbiens chez les hommes. Réalisée auprès d'un échantillon de 2003 personnes âgées de 18 ans et plus, cette étude met en lumière les enseignements suivants : Une jeune fille sur quatre (24%) a déjà été attirée par une autre fille, soit une proportion qui a triplé en dix ans Une jeune fille sur dix (10%) a déjà couché avec une autre fille, soit un taux qui a doublé en dix ans Une jeune fille sur dix se dit soit bi (9%), soit lesbienne (1%), soit une proportion plus forte que chez l'ensemble des femmes (6%) Une femme sur quatre (24%) s'est déjà faite draguer par une autre femme, sachant que leur proportion est plus forte chez les jeunes de moins de 25 ans (27%) Une jeune fille sur deux (45%) a déjà embrassé une copine sur la bouche, contre un tiers des femmes de 25 à 34 ans (31%) et à peine 10% des femmes âgée 35 ans et plus Près d'une femme sur cinq (18%) aimerait bien avoir un rapport sexuel avec une autre femme au moins une fois dans sa vie Près d'une femme sur cinq (19%) aimerait bien se faire lécher le sexe par une autre femme, sachant que leur proportion est plus forte chez les jeunes de moins de 25 ans (22%) que chez celles âgées de 50 ans et plus (18%) Alors que les deux tiers des hommes (65%) rêvent de faire l'amour avec deux femmes en même temps, seule une femme sur dix (11%) s'imaginent aimeraient faire un plan à trois avec deux autres femmes De même, si deux hommes sur trois (66%) pourraient faire l'amour avec leur conjointe et une autre femme, seule 16% des femmes pourraient faire un plan à trois avec leur partenaire et une autre fe
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DREES - L'enquête Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants - Famille, e... - 0 views

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    "L'enquête « Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants » a pour objectif de dresser, tous les 6-7 ans environ, un panorama complet des solutions de garde adoptées par les parents pour leurs jeunes enfants, au regard de leurs contraintes professionnelles. Elle vise, notamment, à reconstituer de façon très précise, sur une semaine type, le calendrier d'accueil des enfants, incluant les périodes passées avec leurs parents, et à identifier l'ensemble des intervenants qui se succèdent pour assurer leur garde pendant la période considérée. Trois vagues d'enquête ont, à l'heure actuelle, été collectées : en 2002 (ménages avec au moins un enfant de moins de 7 ans, né en 1995 ou après), en 2007 (ménages avec au moins un enfant de moins de 7 ans et demi né le 1er mai 2000 ou après) et en 2013 (ménages ayant au moins un enfant âgé de moins de 6 ans né à partir du 1er septembre 2013). En 2002, la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) réalise l'enquête « Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants » en partenariat avec le Conseil de l'Emploi, des Revenus et de la Cohésion sociale (CERC), la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) et l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Il s'agissait d'appréhender les différents modes d'accueil auxquels les parents ont recours, de les caractériser (formels ou informels, réguliers ou occasionnels) ; de voir comment ils se combinent selon les différentes contraintes auxquelles sont soumis les parents (horaires de travail décalés, travail de nuit, etc.) et les caractéristiques des parents et des enfants (profession exercée, âge de l'enfant, place dans la fratrie, etc.) ; de comprendre comment ces modes de garde relaient la prise en charge parentale ; de mesurer leurs coûts de chaque solution d'accueil adoptée par les parents et, enfin, d'interroger le degré de sat
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Institut des Politiques Publiques - La réforme des rythmes scolaires : un rév... - 0 views

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    "La réforme des rythmes scolaires de 2013, qui a réalloué une demi-journée de classe au mercredi matin pour les élèves scolarisés en maternelle et à l'école élémentaire, est une petite révolution dans l'organisation des temps sociaux. Cette note montre que les horaires à l'école n'ont pas seulement un impact sur le rythme d'apprentissage des enfants, mais influencent également les décisions d'offre de travail des femmes. L'organisation des temps scolaires est un révélateur de deux types d'inégalités présentes sur le marché du travail : inégalités entre femmes et hommes, et inégalités entre femmes diplômées et non diplômées. Avant l'introduction de la réforme des rythmes scolaires, les femmes dont le plus jeune enfant était en âge d'aller à l'école élémentaire étaient deux fois plus nombreuses que les hommes à ne pas travailler le mercredi, et donc à adapter leur activité professionnelle à la présence des enfants. Par ailleurs, la décision de travailler ou non le mercredi était corrélée au niveau de diplôme, les femmes diplômées du supérieur étant moins nombreuses à travailler le mercredi que les femmes non diplômées, alors même qu'elles travaillent plus d'heures en moyenne par semaine. La réorganisation des temps scolaires prévue par la réforme de 2013 a entraîné une réorganisation du temps de travail des femmes : si la réforme n'a pas eu pour effet à court terme d'accroître le nombre d'heures travaillées par semaine, elle a permis à un plus grand nombre de femmes de travailler le mercredi, entraînant, en moins de deux ans, une réduction de 15 % de leur différentiel de participation ce jour de la semaine par rapport aux hommes."
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Drees - Travail le week-end : comment s'organisent les parents de jeunes enfants ? - 0 views

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    En France métropolitaine, plus de 3,5 millions de parents d'enfants mineurs - autant de pères que de mères - travaillent au moins un week-end sur deux. À caractéristiques équivalentes, les mères travaillent moins souvent le week-end que les femmes sans enfant. En revanche, les pères et les hommes sans enfant ont la même probabilité d'être dans ce cas. Les parents actifs le week-end bénéficient généralement d'un emploi du temps allégé en semaine. Cependant, ils sont confrontés à d'autres types de contraintes horaires, notamment lorsqu'ils travaillent le dimanche. 1,6 million d'enfants de moins de 6 ans (soit 39 % d'entre eux) ont un de leurs parents qui travaille le samedi ou le dimanche. Le week-end, ils sont alors, plus souvent que les enfants dont les parents travaillent uniquement du lundi au vendredi, gardés par l'autre parent ou confiés à leurs grands-parents. En contrepartie, en semaine, ils passent plus de temps avec leurs parents et moins de temps dans un mode d'accueil formel, surtout s'ils ne sont pas scolarisés. Enfin, les pères, au sein des couples qui travaillent le week-end, s'impliquent davantage que les autres pères actifs dans le partage des tâches de parentalité.
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France Stratégie - Le couple contribue-t-il encore à réduire les inégalités ? - 0 views

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    Entre 1996 et 2015, la hausse de l'activité des femmes a fait chuter les inégalités de revenus entre femmes et hommes. Pour autant, les inégalités de niveaux de vie - celles qui tiennent compte de la structure des ménages et de la redistribution socio-fiscale - sont restées relativement stables. Pour comprendre pourquoi, France Stratégie met en lumière que la France a été marquée non par une mais par trois transformations sociales qui ont modifié la répartition des revenus en France. La Note d'analyse souligne en particulier l'utilité qu'il y a à s'intéresser à un mécanisme trop souvent négligé lorsque l'on cherche à comprendre les évolutions des inégalités en France, celui de la mise en commun des ressources au sein d'un ménage, la « redistribution privée ». France Stratégie montre ainsi que la progression de l'activité féminine a bien réduit les inégalités. Mais, dans le même temps, deux autres évolutions sociales ont joué en sens contraire : La modification des structures familiales induite par les nouveaux modes de vie, avec une mise en couple plus tardive et une hausse des désunions. En 2015, 69 % des 25-60 ans étaient en couple alors qu'ils étaient 78 % en 1996. En particulier, les familles monoparentales sont devenues 1,6 fois plus nombreuses sur la période. Le renforcement de l' « homogamie de revenu » : les hommes et les femmes sont de plus en plus souvent en couple avec une personne qui perçoit un revenu proche du leur. Cela se traduit par une diminution des inégalités au sein des couples mais par une augmentation des inégalités entre couples. L'impact de ces deux dernières évolutions sociales s'observe lors de la mise en commun des ressources au sein des ménages - une étape qui permet de réduire les inégalités entre individus tant que les écarts de rémunérations entre conjoints persistent. De fait, des couples moins nombreux, c'est moins d'individus susceptibles de
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The Conversation - Pour les femmes, la flexibilité des horaires de travail se... - 0 views

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    "L'inégale répartition entre les hommes et les femmes dans la prise en charge des tâches domestiques et familiales constitue la caractéristique toujours actuelle de l'environnement extra-professionnel des femmes. Les femmes actives font face à une « double journée » de travail, c'est-à-dire qu'elles cumulent dans une même journée obligations professionnelles et familiales/domestiques. Or de nombreux travaux francophones ont montré la difficulté à articuler travail professionnel et travail domestique pour les femmes. En cela, les horaires flexibles peuvent être considérés a priori comme un moyen de mieux organiser le « temps de travail » des femmes (c'est-à-dire la somme des temps de travail professionnel et domestique) et ainsi leur difficulté à concilier vie professionnelle et vie privée. En effet, selon un travail de recherche publié en 2004 « dans les pays à faible taux de natalité et à population active vieillissante, les gouvernements ont souvent recours aux politiques publiques pour augmenter les congés personnels et parentaux, ainsi que pour adapter les horaires de travail afin d'encourager les femmes à intégrer et développer le marché du travail et de les aider à concilier vie professionnelle et futures responsabilités familiales afin de ne pas décourager les naissances ». Nous avons réalisé une étude à l'aide d'un panel constitué à partir de la fusion des enquêtes nationales Conditions de travail 2013 et Conditions de travail-Risques psycho-sociaux 2016 visant à examiner de plus près la portée et les limites de cette solution. Nos travaux nous ont permis de mettre en avant les effets pervers des horaires flexibles à savoir le renforcement des inégalités femmes-hommes se traduisant notamment par des modes d'évaluation de la performance au travail différenciés et une intensification du travail pour les femmes. À noter que par horaires flexibles, nous entendons la possibilité
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Le cardinal Vingt-Trois déjà au travail ! - 0 views

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    "Le cardinal Vingt-Trois déjà au travail ! A la fin du synode, les évêques ont été appelés par le pape François à continuer le travail de réflexion et de discussion. C'est avec grand empressement que le cardinal Vingt-Trois, archevêque de Paris, s'est mis à la tâche. Dans une lettre du 24 octobre adressée aux prêtres de son diocèse, le ton est donné : « Le travail pastoral auquel le synode est appelé par le pape ne consiste pas à répéter matériellement une nouvelle fois les contenus de la doctrine chrétienne, fort bien exprimés et présentés dans les conciles et résumés dans le catéchisme de l'Eglise catholique. » L'archevêque invite ces prêtres à cheminer avec « des personnes concrètes pour les faire progresser vers le Christ » et « frayer des nouveaux chemins ». Autrement dit, depuis 2000 ans, l'Eglise est une pure abstraction, qui ne fait que répéter la doctrine sans aucune considération du réel. Pourtant les épîtres de saint Paul écrites à Corinthe ne s'adressaient pas à des personnes imaginaires, car la nature humaine ne change pas. De tout temps, les homosexuels et les adultères ont existé, il ne s'est pas adapté à eux, mais il leur a donné la doctrine et les moyens pour se sortir de leur situation concrète. Le Christ a bien dit à la femme adultère :« Va et ne pèche plus ». Les discussions et les réflexions de ces prêtres diocésains ne vont rien apporter, si ce n'est affadir encore et encore la doctrine catholique en matière de morale. Mais cette manière de voir les choses repose encore une fois sur une considération bien particulière du dogme, qui ne doit pas être « fermé » et se développer selon une tradition vivante. Véronique Lafargue"
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INSEE - Vivre dans plusieurs configurations familiales - 0 views

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    "En 2011, parmi les 13,7 millions d'enfants mineurs résidant en France métropolitaine, 900 000 vivent principalement avec un seul de leurs parents et une partie du temps chez leur autre parent. Ils peuvent vivre dans des configurations familiales différentes chez l'un et l'autre de leurs parents. En changeant de résidence, ils peuvent modifier à certains moments la situation familiale d'autres enfants mineurs. Ainsi, 140 000 enfants en famille « traditionnelle » vivent une partie du temps en famille recomposée, quand des demi-frères ou demi-sœurs résidant ailleurs la plupart du temps viennent résider avec eux. Inversement, entre 90 000 et 120 000 enfants de familles recomposées vivant avec leurs deux parents se retrouvent, une partie du temps, en famille « traditionnelle », lorsque leurs demi-frères ou demi-sœurs vont chez leur autre parent. La multirésidence d'adultes peut également modifier, une partie du temps, la configuration familiale d'enfants mineurs. Par exemple, 80 000 enfants vivent avec un seul parent même si leurs deux parents sont en couple, car leurs deux parents ne cohabitent pas. La famille monoparentale prend, une partie du temps, la forme d'une famille « traditionnelle », lorsque ce deuxième parent vit dans le logement. Du point de vue des adultes, 330 000 parents, essentiellement des pères, vivent une partie du temps en famille monoparentale quand leurs enfants les rejoignent alors qu'ils vivent principalement sans conjoint ni enfant. Cela concerne 490 000 enfants mineurs. "
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Défenseur des droits - Dossier de presse - De la naissance à 6 ans : au comm... - 0 views

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    De la naissance à 6 ans : au commencement des droits. Le Défenseur des droits vous présente son rapport enfant 2018. En voici les principaux enseignements : Nous avons voulu cette année nous intéresser aux tous jeunes enfants, de leur venue au monde à leurs six ans, afin d'explorer si et comment leurs droits étaient appréhendés et effectivement mis en œuvre. Quelle est la place réellement faite aux bébés et aux très jeunes enfants au sein de la société, des politiques publiques et des institutions ? Deux constats principaux : - Le petit enfant a des droits, dont il jouit dès la naissance sans attendre d'accéder au langage ou à la connaissance. - L'effectivité de ces droits est déterminante pour le développement de l'enfant. Il est déterminant que l'État et les acteurs institutionnels et professionnels se mobilisent pour la petite enfance, car elle est le temps des fondations du développement du petit humain. Bien que des évolutions positives sont à constater, les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants sont encore trop insuffisamment garantis dans notre société aujourd'hui. Les politiques publiques actuelles doivent s'adapter aux besoins individuels de chaque petit enfant. Le Défenseur des droits recommande de : - Réaliser des études impact avant l'élaboration de tout PJL - Protéger le petit enfant de toute forme de violence - Mettre fin à l'enfermement des enfants en centre de rétention administrative - Garantir les liens familiaux de l'enfant placé. L'évolution de la société et son impact sur les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants nécessite aujourd'hui de construire de nouvelles politiques dédiées et adaptées Le Défenseur des droits recommande de : - - Promouvoir l'égalité des sexes. - - Investir la question de l'exposition aux écrans. -Faire de l'accès à la culture un droit fondamental
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Défenseur des droits - Rapport complet - De la naissance à 6 ans : au commen... - 0 views

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    De la naissance à 6 ans : au commencement des droits. Le Défenseur des droits vous présente son rapport enfant 2018. En voici les principaux enseignements : Nous avons voulu cette année nous intéresser aux tous jeunes enfants, de leur venue au monde à leurs six ans, afin d'explorer si et comment leurs droits étaient appréhendés et effectivement mis en œuvre. Quelle est la place réellement faite aux bébés et aux très jeunes enfants au sein de la société, des politiques publiques et des institutions ? Deux constats principaux : - Le petit enfant a des droits, dont il jouit dès la naissance sans attendre d'accéder au langage ou à la connaissance. - L'effectivité de ces droits est déterminante pour le développement de l'enfant. Il est déterminant que l'État et les acteurs institutionnels et professionnels se mobilisent pour la petite enfance, car elle est le temps des fondations du développement du petit humain. Bien que des évolutions positives sont à constater, les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants sont encore trop insuffisamment garantis dans notre société aujourd'hui. Les politiques publiques actuelles doivent s'adapter aux besoins individuels de chaque petit enfant. Le Défenseur des droits recommande de : - Réaliser des études impact avant l'élaboration de tout PJL - Protéger le petit enfant de toute forme de violence - Mettre fin à l'enfermement des enfants en centre de rétention administrative - Garantir les liens familiaux de l'enfant placé. L'évolution de la société et son impact sur les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants nécessite aujourd'hui de construire de nouvelles politiques dédiées et adaptées Le Défenseur des droits recommande de : - - Promouvoir l'égalité des sexes. - - Investir la question de l'exposition aux écrans. -Faire de l'accès à la culture un droit fondamental
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Défenseur des droits - Synthèse - De la naissance à 6 ans : au commencement ... - 0 views

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    De la naissance à 6 ans : au commencement des droits. Le Défenseur des droits vous présente son rapport enfant 2018. En voici les principaux enseignements : Nous avons voulu cette année nous intéresser aux tous jeunes enfants, de leur venue au monde à leurs six ans, afin d'explorer si et comment leurs droits étaient appréhendés et effectivement mis en œuvre. Quelle est la place réellement faite aux bébés et aux très jeunes enfants au sein de la société, des politiques publiques et des institutions ? Deux constats principaux : - Le petit enfant a des droits, dont il jouit dès la naissance sans attendre d'accéder au langage ou à la connaissance. - L'effectivité de ces droits est déterminante pour le développement de l'enfant. Il est déterminant que l'État et les acteurs institutionnels et professionnels se mobilisent pour la petite enfance, car elle est le temps des fondations du développement du petit humain. Bien que des évolutions positives sont à constater, les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants sont encore trop insuffisamment garantis dans notre société aujourd'hui. Les politiques publiques actuelles doivent s'adapter aux besoins individuels de chaque petit enfant. Le Défenseur des droits recommande de : - Réaliser des études impact avant l'élaboration de tout PJL - Protéger le petit enfant de toute forme de violence - Mettre fin à l'enfermement des enfants en centre de rétention administrative - Garantir les liens familiaux de l'enfant placé. L'évolution de la société et son impact sur les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants nécessite aujourd'hui de construire de nouvelles politiques dédiées et adaptées Le Défenseur des droits recommande de : - - Promouvoir l'égalité des sexes. - - Investir la question de l'exposition aux écrans. -Faire de l'accès à la culture un droit fondamental
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Le temps partiel reprend, lentement, sa progression - Centre d'observation de... - 0 views

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    "Le phénomène est peu visible sur longue période, mais sensible : entre 2008 et 2015, la part de temps partiel dans l'ensemble des emplois a progressé de 17 % à 19 %. Alors que le nombre de salariés à temps complet a diminué de 540 000 au cours de cette période, celui des salariés en temps partiel a augmenté de 460 000. Ce phénomène est porté par le développement du temps partiel masculin, dont le taux est passé de 5,7 à 7,9 %. On manque de recul et le mouvement est trop faible pour parler de retournement de tendance, mais le phénomène mérite d'être signalé."
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Activité du Conseil ordinaire du Synode des évêques - 0 views

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    "Cité du Vatican, 20 novembre 2014 (VIS). Le Conseil ordinaire du Synode des évêques s'est réuni les 18 et 19 novembre pour évaluer les résultats de la récente assemblée extraordinaire et préparer l'assemblée ordinaire d'octobre prochain. Afin de souligner que le Synode exprime la collégialité de l'Eglise, mais aussi l'importance du thème de la famille, le Pape a présidé la réunion d'ouverture. Outre le Cardinal Lorenzo Baldisseri et Mgr.Fabio Fabene, Secrétaire général et Sous Secrétaire du dicastère, y ont pris part les Cardinaux Schönborn, Napier, Turkson, Pell, Wuerl et Tagle, ainsi que Mgr.Bruno Forte et Mgr.Salvatore Fisichella, et à titre d'invité Mgr.Vincenzo Paglia, Président du Conseil pontifical pour la famille. Le Cardinal Baldisseri a d'emblée souligné le climat de liberté, de sincérité et de communion fraternelle ayant caractérisé les travaux de la récente assemblée, ce qui a favorisé la réflexion générale. Puis il a dit que les nuances qui caractérisent le document final reflètent bien les résultats du débat synodal. Le présent conseil a ensuite envisagé le travail à effectuer d'une assemblée à l'autre. C'est d'autant plus important que ce cas de figure ne s'est jamais présenté. Les conférences épiscopales, qui en quelque sorte prennent le relais, vont approfondir les questions posées et solliciter les diverses instances ecclésiales locales à réfléchir. Seront aussi suggérées des améliorations de la communication afin de faciliter la perception de la thématique. Les Lineamenta vont être aussi mis au point et adressés début décembre aux conférences épiscopales, de manière a avoir le temps nécessaire à l'élaboration de l'Instrumentum Laboris avant l'été 2015. "
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