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"La société moderne souhaite une mort inaperçue", l'entretien de Mgr Couture ... - 0 views

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    "Le 11 mai 2016, Mgr Maurice Couture, sv, archevêque émérite de Québec (Canada), prenait la parole pour un entretien qui était aussi vidéo-diffusé sur la webTV du diocèse de Québec. Il s'interroge sur le sens chrétien de la souffrance, alors que le Canada, un mois plus tard, le 6 juin 2016, a rendu légale l'euthanasie. Il s'est attaché, dans un premier temps, à rappeler les nuances qui distinguent les mots « douleur » et « souffrance ». Dans un long développement, il a ensuite abordé le thème de son entretien, le sens chrétien de la souffrance. Faisant la différence entre la mortification et le masochisme, Mgr Couture note que « l'Église catholique s'est longtemps appesantie sur la douleur, soit pour inviter à la résignation, soit pour la glorifier ou lui donner une valeur rédemptrice mal perçue ». Il en est résulté, ajoute-t-il, « une spiritualité de justification et du culte de la douleur ». Il pose ensuite son regard sur la personne de Jésus qui « n'a rien d'un doloriste, au sens où il ne se réjouit pas de la souffrance, qu'il ne la considère pas comme un châtiment divin, qu'il ne se résigne pas ni n'exhorte à se résigner. Il fait preuve d'une compassion universelle, mais d'une compassion active ». Mgr Couture aborde enfin la question de l'oubli de la mort dans nos sociétés occidentales et constate que : « C'est le fait d'une humanité qui n'accepte pas sa mort et qui, paradoxalement, l'anticipe pour ne pas avoir à la subir. Or, contrairement à la souffrance, la mort n'est pas un problème médical, c'est un problème intime existentiel de société. Et ce n'est pas le rôle de la loi de régler le problème de la mort. »"
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Sondage IFOP - Les Français, les soins palliatifs et les peurs liées à la fin... - 0 views

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    Les Français sont unanimes sur la question des soins palliatifs : 94% se déclarent en effet pour ce type d'approche de soins de fin de vie, qui consiste à apaiser la douleur et de répondre aux souffrances psychologiques du patient et de ses proches. En pensant à leur fin de vie, les deux priorités des Français se portent, quasiment à égalité, sur le fait de ne pas être l'objet d'un acharnement thérapeutique (55%) et ne pas subir de douleur (50%). Par ailleurs, 43% des Français citent des éléments relatifs à l'accompagnement : le fait d'être accompagné (27%) et, plus marginalement, d'être soulagé psychologiquement (11%), d'être soutenu spirituellement (6%) et aidé socialement (5%). La possibilité d'obtenir l'euthanasie constitue une priorité en fin de vie pour environ un tiers des Français (34%). Confirmant les craintes évoquées plus haut, l'acharnement thérapeutique se révèle être la plus grande peur dans Français quand ils pensent à leur fin de vie (37%), devant la douleur (33%), le fait de mourir dans l'isolement (22%) ou à l'hôpital (8%).
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La Croix - La douleur en fin de vie, un défi médical - 0 views

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    "lors que le débat sur l'euthanasie resurgit, l'enjeu de la prise en charge de la douleur, physique et psychique, reste grand pour la médecine, malgré les progrès déjà réalisés"
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Sondage IFOP pour Ouest France - Les français et la fin de vie - 0 views

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    Les deux députés Alain Clays et Jean Leonetti ont remis le vendredi 12 décembre leur rapport sur la fin de vie au Président de la République, proposant des mesures pour assurer une « fin de vie apaisée » aux patients. Le sondage Ifop pour Ouest France interroge les Français sur cette problématique et montre que 53% d'entre eux se prononcent en faveur des soins palliatifs. Les connaissances des Français sur les questions de fin de vie demeurent imparfaites. Interrogées sur les conséquences de la loi Leonetti de 2005, une courte majorité de personnes interrogées est au courant de l'obligation des médecins à soulager toutes les douleurs même si le traitement a comme effet d'accélérer la survenue du décès (55%) ou de l'obligation des médecins à respecter la libertés des personnes souffrant de maladies incurables et douloureuses de ne pas être maintenues artificiellement en vie (52%). Les connaissances sur les soins palliatifs s'avèrent plus précises. Une large majorité de personnes s'accorde sur le fait que les soins palliatifs consistent à supprimer la douleur des patients (87%) et à accompagner et soulager psychologiquement les patients (86%). Entre un bénéfice de soins palliatifs (53%) et une injection mortelle (47%), une courte majorité de Français se prononce en faveur de la première option. Au-delà de cet arbitrage, le développement des soins palliatifs est parallèlement souhaité vivement, 95% des personnes interrogées jugeant utile de développer les soins palliatifs pour que toute personne puisse y accéder, en particulier à domicile et en maison de retraite, pour améliorer la prise en charge et l'accompagnement des personnes en fin de vie.
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Le blog d'Albert Barrois - 0 views

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    "Même quand il s'agit de cellules souches adultes, il faut rester prudent. Cette histoire commence il y a huit ans au Portugal dans le cadre d'un essai thérapeutique officiel. Une femme américaine paralysée en raison d'une section de la moelle épinière reçoit une injection de cellules souches olfactives prélevées dans son nez, cellules souches adultes donc. Pendant plusieurs années, il ne se passe rien de positif. Plus grave, l'année dernière des médecins interviennent en raison d'une douleur ressentie à l'endroit de l'injection. Et là, surprise, le chirurgien découvre une tumeur de trois centimètres principalement composée de tissu... nasal. La douleur provenait d'un épais mucus sécrété par la tumeur. Même si la tumeur n'était pas cancéreuse, cela illustre les dangers de la thérapie cellulaire."
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Traitement de la douleur : audition de Xavier Mirabel à l'OPECST | Alliance Vita - 0 views

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    "Xavier Mirabel, médecin cancérologue et Conseiller médical d'Alliance VITA, a été auditionné le mardi 20 janvier 2015 par l'Office Parlementaire d'Evaluation des Choix Scientifiques et Technologiques (OPECST) sur le thème "Etat des lieux de la gestion actuelle de l'apaisement de la douleur". L'OPECST est le seul organisme commun entre les députés et les sénateurs (18 de chaque assemblée). Il est chargé d'éclairer les décisions des parlementaires et à cette fin, "il recueille des informations, met en œuvre des programmes d'études et procède à des évaluations"."
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Fin de vie : la Boîte à idées appelle à la vigilanceLa boîte à idées | La boî... - 0 views

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    "Si la Boîte à idées salue la volonté de renforcer le droit des patients, et en particulier la rédaction et l'accessibilité des directives anticipées, elle met en garde contre certaines ambigüités juridiques du texte de loi qui risquent de mener à une « euthanasie masquée ». La Boîte à idées appelle particulièrement à la vigilance sur les dispositions relatives à la sédation « profonde » et continue » en phase terminale. Celle-ci ne doit avoir pour objectif que de soulager la douleur. Dans le deuxième cas identifié par les rapporteurs, l'intention de l'acte de sédation n'est pas claire. En effet, s'il s'agit simplement de soulager la douleur d'une personne ayant décidé d'interrompre ses traitements, les soins palliatifs seraient adaptés à ce type de situation. En réalité, il semble que l'intention de cet acte, conjugué à la décision d'arrêt des traitements, soit d'accélérer la venue de la mort plutôt que de la laisser faire son Å“uvre. Ainsi, une personne, qui initialement ne serait pas en phase terminale d'une affection grave et incurable, verrait son pronostic vital engagé à court terme du fait de sa décision d'arrêter son traitement. Au-delà des dispositions de cette proposition de loi, la Boîte à idées invite surtout le Gouvernement à se recentrer sur les vrais sujets, l'accessibilité des soins palliatifs et la formation de l'accompagnement des personnes en fin de vie. Car pour la Boîte à idées, le vrai enjeu de la fin de vie n'est pas législatif. La Boîte à idées, premier think-tank ayant chiffré l'investissement nécessaire pour y parvenir, l'a évalué à plus de 500 millions d'euros dans son dernier rapport. Les économies liées à la lutte contre les situations d'acharnement thérapeutique et les hospitalisations d'urgence des personnes en fin de vie permettront en partie de le financer. C'est la conviction de la Boite à idées : on ne peut pas aujourdâ
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Valeurs actuelles - Deuil, maladie, épreuve… Face à la douleur, « nous pouvon... - 0 views

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    "ENTRETIEN. Dans un monde marqué par la douleur, l'abbé Pierre Amar, prêtre dans les Yvelines, s'appuie sur son témoignage personnel et ses réflexions pour rappeler que la véritable compassion réside dans la présence et le soutien aux personnes en souffrance. Dans son livre Si tu veux je suis là, il souligne la force de cette simple phrase, accessible à chacun, pour réconforter ceux qui en ont besoin"
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Haute Autorité de santé - Argumentaire scientifique - Antalgie des douleurs r... - 0 views

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    Tous les médecins sont confrontés à l'accompagnement de patients en fin de vie, dont certains demandent à pouvoir rester chez eux. Dans le contexte de mise en œuvre de la loi Clayes-Leonetti du 2 février 2016 créant un droit à la sédation profonde et continue, maintenue jusqu'au décès, la HAS s'est mobilisée au travers de différents travaux pour aider les professionnels de santé à prendre en charge ces patients dans les conditions les plus humaines et les moins douloureuses possibles. Elle a publié en 2018 le guide parcours de soins « Comment mettre en œuvre une sédation profonde et continue maintenue jusqu'au décès ? », proposant des outils pour aider à la décision et à la mise en œuvre de cette sédation. Pour le compléter, la HAS publie ce jour une recommandation de bonne pratique explicitant les modalités d'utilisation des médicaments de la sédation, hors autorisation de mise sur le marché (AMM), et le cas échéant à domicile, pour accompagner les patients en fin de vie par une sédation, qu'elle soit proportionnée, profonde, transitoire ou maintenue jusqu'au décès. La HAS demande aux pouvoirs publics, sur la base de cette recommandation, de permettre la dispensation de ces médicaments hors AMM et leur prise en charge par l'Assurance maladie. En parallèle de ses travaux sur les traitements médicamenteux de la sédation, la HAS a décidé d'élaborer des recommandations sur la prise en charge médicamenteuse dans une autre situation, des douleurs rebelles.
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Haute Autorité de santé - Recommandation - Antalgie des douleurs rebelles et ... - 0 views

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    Tous les médecins sont confrontés à l'accompagnement de patients en fin de vie, dont certains demandent à pouvoir rester chez eux. Dans le contexte de mise en œuvre de la loi Clayes-Leonetti du 2 février 2016 créant un droit à la sédation profonde et continue, maintenue jusqu'au décès, la HAS s'est mobilisée au travers de différents travaux pour aider les professionnels de santé à prendre en charge ces patients dans les conditions les plus humaines et les moins douloureuses possibles. Elle a publié en 2018 le guide parcours de soins « Comment mettre en œuvre une sédation profonde et continue maintenue jusqu'au décès ? », proposant des outils pour aider à la décision et à la mise en œuvre de cette sédation. Pour le compléter, la HAS publie ce jour une recommandation de bonne pratique explicitant les modalités d'utilisation des médicaments de la sédation, hors autorisation de mise sur le marché (AMM), et le cas échéant à domicile, pour accompagner les patients en fin de vie par une sédation, qu'elle soit proportionnée, profonde, transitoire ou maintenue jusqu'au décès. La HAS demande aux pouvoirs publics, sur la base de cette recommandation, de permettre la dispensation de ces médicaments hors AMM et leur prise en charge par l'Assurance maladie. En parallèle de ses travaux sur les traitements médicamenteux de la sédation, la HAS a décidé d'élaborer des recommandations sur la prise en charge médicamenteuse dans une autre situation, des douleurs rebelles.
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La Croix - Sigolène Gautier : « Douleur physique et souffrance psychique se n... - 0 views

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    "Sigolène Gautier, responsable du collège des psychologues de la Société française d'accompagnement et de soins palliatifs."
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Ordre des médecins : « sédater » pour tuer ? - Décryptage - Analyses - Libert... - 0 views

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    Pierre Olivier Arduin "Rompant avec ses prises de positions antérieures, l'ordre des médecins a adopté à l'unanimité moins une voix un avis dans lequel il recommande d'accéder aux « requêtes persistantes, lucides et réitérées d'une personne atteinte d'une affection pour laquelle les soins curatifs sont devenus inopérants et les soins palliatifs instaurés » sous la forme de l'administration d' « une sédation adaptée, profonde et terminale [1] ». Sont visées « des situations cliniques exceptionnelles » comme « certaines agonies prolongées » ou des « douleurs psychologiques » qui « restent incontrôlables »."
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FAIT-RELIGIEUX | Les médecins s'ouvrent à l'euthanasie | Ordre des Médecins |... - 0 views

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    Le Conseil national de l'Ordre des Médecins français a envisagé jeudi 14 février pour la première fois, qu'un collège médical permette en France une « sédation terminale » (autrement dit, euthanasie) pour des patients en fin de vie ayant émis des « requêtes persistantes, lucides et réitérées ». Invoquant « un devoir d'humanité », l'Ordre souhaite dans un avis que ces cas d' « assistance à mourir » médicalisée soient réservés à des « situations exceptionnelles », comme certaines « agonies prolongées »ou des douleurs « incontrôlables », auxquelles la loi actuelle ne donne pas de réponse.
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Quête d'immortalité, humain amélioré : jusqu'où ira-t-on ? - Société - Aletei... - 0 views

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    "L'être humain, tel qu'il a été conçu par Dieu, se construit sur la base de certitudes qui le définissent : connaissance de ses limites intellectuelles, constatation de sa faiblesse physique (douleur, fatigue, faim) et surtout inéluctabilité de la mort. L'immortalité, ce rêve presque aussi vieux que le premier péché des hommes qui se veulent tels des dieux, est le prétexte qui permet aux chercheurs de repousser toujours plus les limites éthiques."
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Le Figaro Premium - 80% des Français favorables à l'euthanasie - 0 views

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    "Huit Français sur dix sont favorables à l'euthanasie dans certaines circonstances, et presque autant se prononcent en faveur du suicide assisté, selon une enquête publiée aujourd'hui, qui montre aussi que la législation actuelle reste mal connue. Pour des patients "en fin de vie" affectés par "des douleurs physiques ou psychologiques intolérables", 80% des personnes interrogées se disent "plutôt favorables" ou "tout à fait favorables" à l'euthanasie, c'est-à-dire le fait pour un médecin de provoquer la mort par l'administration d'une substance létale, selon l'enquête de l'institut Ifop pour la Fondation Adréa. 76% se disent favorables à "la possibilité pour un patient de disposer d'une substance létale qu'il s'administrerait lui-même en bénéficiant d'un encadrement médical", et 88% se prononcent pour "l'arrêt des soins avec un soulagement des souffrances du patient par un traitement anesthésiant provoquant une diminution de sa conscience"."
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Académie nationale de médecine - Thérapeutique foetale - 0 views

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    Résumé La thérapeutique fœtale s'est développée depuis 50 ans à partir des possibilités de diagnostic prénatal de maladies ou de malformations congénitales dont l'aggravation pendant la vie intra-utérine leur confère un caractère létal ou entraine un handicap grave et irréversible par un traitement postnatal. Son développement continue de s'opérer par la mise au point de traitements médicaux et chirurgicaux innovants. Les intérêts de la femme enceinte et du fœtus doivent être garantis par une approche scientifique et éthique rigoureuse et multidisciplinaire, au sein de centres d'excellence. La douleur fœtale doit être prise en charge. Le suivi des enfants nés après une thérapeutique fœtale doit être assuré. Les droits de la femme enceinte à l'interruption médicale de grossesse ainsi que ceux à l'accompagnement d'un nouveau-né au-delà de toute ressource thérapeutique doivent être assurés.
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« Mort cérébrale » : La vie sauvée de Jahi McMath | Riposte-catholique - 0 views

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    "Cela vaut la peine de se battre. Et cela vaut la peine de saluer cette bataille alors que ce samedi 11 janvier, un arrêt de mort - une décision d'euthanasie par arrêt de l'alimentation - risque d'être signé en France par un médecin de Reims contre Vincent Lambert qui, lui, est en état de conscience minimale, capable de ressentir bien-être ou douleur."
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Affaire Lambert, la douleur d'une famille déchirée | La-Croix.com - 0 views

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    "eudi 6 février, le Conseil d'État a examiné les recours de la femme de Vincent Lambert, patient en état « pauci-relationnel », de son neveu et du CHU où il est suivi, qui demandent de pouvoir arrêter les traitements."
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Lettre ouverte de pédiatres belges - 0 views

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    "Extension de la loi relative à l'euthanasie Une lettre ouverte de pédiatres Est-il souhaitable d'étendre la loi sur l'euthanasie aux mineurs d'âge si un grand nombre de soignants expérimentés, qui, jour après jour, prennent soin d'enfants gravement malades et sont capables de soulager leur douleur, n'y voient aucune plus-value? Cette lettre est un appel lancé par des pédiatres jouissant d'une pratique quotidienne, et non un pur exercice de réflexion en chambre ! Elle n'est pas une tentative de mise au frigo de l'euthanasie des mineurs, mais une demande de sursis pour une proposition de loi qui risque d'être adoptée dans la précipitation. Loin d'être un pamphlet politique ou idéologique, cette lettre ouverte propose une réflexion sereine émanant de soignants de terrain."
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Euthanasie ouverte aux enfants en Belgique : l'échec d'une certaine conceptio... - 0 views

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    "Tristement innovante dans le domaine de la fin de vie, la Belgique a voté le 12 février dernier la loi qui étend l'euthanasie aux mineurs atteints de maladies incurables et affrontant des « douleurs insupportables ». Pire, cette loi a été votée dans un climat d'indifférence généralisé sans que la voix des opposants soit entendue, en particulier celle de l'Église belge."
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