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Fred L

Technology Transfer for the Max Planck Society - 0 views

  • Max Planck Innovation is responsible for technology transfer from the research institutes of the Max Planck Society, Germany's leading basic research organization
Fred L

"L'université serait folle de ne pas s'emparer de cette réforme" - Autres - T... - 0 views

  • “L'université serait folle de ne pas s'emparer de cette réforme”
  • ous seriez aussi favorable à une sélection dès l’entrée à l’université ? Je veux une meilleure fluidité de l’orientation, et ce dès le lycée. Il faut en finir avec cette sélection idiote basée sur le bac S, sésame obligatoire aujourd’hui pour devenir médecin ou ingénieur ! Il faudrait permettre plus de passerelles entre les cursus universitaires, plus de variété au sein de ces cursus, créer des alternatives à ces filières impasses où les étudiants se précipitent en masse ! Il faudrait aussi revoir le système des inscriptions en première année : aujourd’hui, plus une université fait d’inscriptions, plus elle reçoit d’argent de l’Etat. Elle a donc tout intérêt à inscrire le maximum d’étudiants, quitte à ce que ceux-ci n’aient pas le niveau, et qu’ils se plantent dès la première année.
  • Dans tous les pays du monde, les sciences « dures » engendrent des revenus, dont profitent les sciences humaines et sociales. Le problème, en France, c’est que ces universités ont été séparées. En 1968, l’Etat a fragmenté l’université : d’un côté les sciences et la médecine, de l’autre les sciences humaines – sans compter que ces dernières se sont divisées en facs de droite et facs de gauche ! Ces séparations n’ont aucun sens aujourd’hui.  
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  • Plus généralement, nous sommes un pays de schizophrènes : d’un côté, on refuse la sélection à l’entrée de l’université ; de l’autre, on garde les classes préparatoires aux grandes écoles, qui pratiquent la pire des sélections. Créées au XIXe siècle pour former des cadres pour la nation, ces écoles servent une caste qui s’auto-entretient. Car qui va en classe prépa ? Pas les élèves issus du prolétariat ! Les universités ne sont plus que la roue de secours d’une petite bourgeoisie française. Ce ne sont pas les élèves les mieux « disposés » pour les sciences qui débarquent chez nous, ici, à Jussieu. Et pourtant, nous avons deux fois plus de laboratoires que Polytechnique.
  • Il faut que l’université retrouve la fierté d’elle-même !   Mais comment ? En introduisant de la sélection ? Les politiques ont reculé sur le principe d’une sélection en master... Je le regrette. Il serait bon que les étudiants ayant obtenu une licence [diplôme de troisième année, NDLR] soient admis ou non à intégrer certains masters en fonction de leurs résultats. Ce serait officialiser une sélection qui existe de façon déguisée : dans beaucoup d’universités, les étudiants qui n’ont pas leur licence en juin doivent passer leur session en septembre, c’est-à-dire trop tard pour s’inscrire en master… de fait, ils sont écartés.
  • L’ancien président de Jussieu se réjouit de l’autonomie de gestion prévue par la nouvelle loi. Homme de gauche, il rêve d’une université démocratique, mais ouverte sur le privé et, pourquoi pas, sélective. Paradoxe ? Pas si sûr.
  • Il avait été question aussi d’augmenter les droits d’inscription. Le sujet semble trop sensible, la loi ne le prévoit finalement pas. Qu’en pensez-vous ? La question se pose surtout pour certaines universités de sciences humaines et sociales qui ont du mal à joindre les deux bouts. En fait, la gratuité n’est pas une question de droite ou de gauche, mais de culture : dans les pays scandinaves, désormais à droite, les études sont gratuites. En Italie, en Allemagne, c’est un peu plus cher que chez nous... En Pologne, pour les meilleurs, c’est gratuit, mais les autres paient très cher. Pour ma part, je pense que quand on enseigne pour des étudiants qui n’ont rien payé on peut avoir la tentation d’en faire moins. Et l’étudiant, en face, a moins de poids pour se plaindre. Par ailleurs, il faut s’interroger : à qui profite la gratuité de l’enseignement supérieur ? Essentiellement aux couches bourgeoises. Ici, à Jussieu, 15 à 16 % seulement de nos étudiants sont d’origine populaire. Pour l’instant, nous nous contentons, parce que nous ne pouvons pas faire mieux, de ne pas faire payer les droits d’inscription à ceux qui n’en ont pas les moyens… droits d’inscription que nous devons quand même reverser à l’Etat !
  • Au final, cette loi donne un énorme pouvoir aux présidents d’université. C’est quoi, être un bon président ? Un bon président d’université doit connaître intimement l’enseignement et la recherche, mais aussi être un bon manager, avoir de la poigne, ne pas avoir peur de son ombre, être animé par une volonté réformatrice, savoir gérer... Ici, à Jussieu, il y a 4 500 personnes, 30 000 étudiants, 100 millions d’euros de budget annuel. C’est énorme.
  • Justement, les présidents en place sont-ils compétents pour affronter ces nouvelles responsabilités ? On leur reproche de ne pas être assez ouverts à l’international, de trop favoriser le recrutement local, de choisir les enseignants plus en fonction de leurs affinités que de leurs compétences... Il y a un point que la nouvelle loi n’aborde pas : le mode de nomination des présidents d’université. Aujourd’hui, le type qui décide de se présenter à la tête d’une université est comme un politique : il constitue sa liste et part à l’assaut pour se faire élire. Je suis contre ce système. L’université, surtout si elle est plus autonome, devrait se doter de garde-fous. La loi aurait dû proposer ce que les pays anglo-saxons ont développé depuis des années : un « search committee » qui, un an avant la retraite du président en fonction, lance une procédure de recherche. Les candidats arrivent (en ayant réfléchi) et défendent leur projet devant ce comité. On aboutit alors à une « short list » de quatre ou cinq candidats parmi lesquels le conseil d’administration choisit le meilleur.
  • Cela dit, cette loi, en donnant plus de pouvoir aux présidents, en leur offrant enfin la possibilité de diriger leurs universités, les met aussi, plus que jamais, face à leurs responsabilités. Un président ne pourra plus se reposer sur l’Etat et sur ses liens avec tel ou tel politique pour débloquer un crédit. L’autonomie va bousculer bien des choses. Et c’est très bien .
Fred L

L'Université de technologie de Troyes : un temps d'avance sur la réforme - EN... - 0 views

  • L'Université de technologie de Troyes : un temps d'avance sur la réforme [ 25/07/08  ] Recrutement de contractuels, gestion des ressources humaines et financières, pédagogie innovante... l'Université de technologie de Troyes n'a pas attendu la loi LRU pour se lancer, avec succès, dans la voie de l'autonomie.
  • ne double identité également portée par le parcours de son président, un enseignant-chercheur qui a fait ses armes dans l'industrie américaine. « Pour moi, l'université doit fonctionner comme une entreprise », affirme Christian Lerminiaux.
  • Aux commandes depuis 2004, cette personnalité iconoclaste a su miser sur la spécificité de l'UTT. Résultat : 45 % des personnels universitaires sont des contractuels, issus d'entreprises industrielles et tertiaires : « Ils apportent une approche pédagogique différente », estime Christian Lerminiaux.
Fred L

Le pourfendeur de Bush Nobel d'économie - POLITIQUE ECONOMIQUE - 0 views

  • Le pourfendeur de Bush Nobel d'économie
  • l'Américain Paul Krugman vient de recevoir le prix Nobel d'économie
  • Agé de cinquante-cinq ans, ce professeur de Princeton est l'un des éditorialistes les plus lus aux Etats-Unis. Ses chroniques dans le « New York Times » sont ardemment commentées et inspirent la réflexion de tous ceux qui sont impliqués dans le règlement de la crise financière aujourd'hui.
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  • « Il m'est arrivé quelque chose d'amusant ce matin. » Voilà le commentaire volontairement modeste que Paul Krugman a posté hier sur son blog
  • L'Académie royale des sciences de Suède a voulu récompenser ses travaux sur les échanges et la localisation de l'activité économique, car « il a ainsi réconcilié des champs de recherche auparavant disparates sur le commerce international et la géographie économique »
  • Paul Krugman a notamment expliqué pourquoi le commerce mondial est dominé par des pays qui se ressemblent et les raisons pour lesquelles un pays peut aussi bien importer qu'exporter un même produit.
  • La réponse des pouvoirs publics à la globalisation est au coeur de sa recherche.
  • Sa nouvelle théorie sur les échanges lui a déjà valu d'obtenir la médaille John Bates Clark de l'Association économique américaine en 1991
  • Cette nouvelle distinction devrait donner encore plus de poids à ses commentaires et renforcer encore l'une de ses vocations : celle d'un économiste qui cherche à écrire de façon claire, efficace et amusante pour les profanes de sa science.
Fred L

Les partenariats public-privé stimulent l'innovation - SCIENCES ET TECHNOLOGI... - 0 views

  • es partenariats public-privé stimulent l'innovation
  • n moyenne, une entreprise ne produit en interne que 20 % de ses besoins technologiques. Elle doit donc acquérir le reste à l'extérieur, sous forme d'achat ou de partenariat.
  • La coopération entre la recherche publique et les entreprises est la meilleure formule pour valoriser le savoir académique. Pourtant, elle évolue lentement en France.
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  • Nous sommes toujours en quête de compétences externes. Pour une PMI comme la nôtre, les partenariats avec la recherche publique sont fondamentaux. » Jean-Luc Schuppiser, le directeur scientifique du groupe Essilor International, ne tarit pas d'éloges sur les partenariats public-privé
  • Mais, pour le patron de la R&D du leader mondial des verres ophtalmiques, le concept « PPP » a un sens bien particulier. « Le projet doit être construit autour d'un produit ou d'une technologie. Il faut définir un objectif et fixer un calendrier. Cela ne peut pas être une rente éternelle. Il faut procéder à des évaluations régulières, car le monde industriel fonctionne en créant de la valeur. Pour nous, l'idéal c'est un laboratoire mixte où les chercheurs travaillent ensemble et échangent spontanément.
  • Le groupe français dispose depuis 2003 d'une unité de ce type installée à Toulouse dans un laboratoire du CNRS. Il vient de signer un accord avec l'université de Shanghai. Ce labo commun vise des applications originales : découvrir des nanoparticules de synthèse pour l'industrie optique. Une équipe d'une quinzaine de chercheurs dont les deux tiers sont issus de l'université chinoise sera mobilisée autour du projet.
  • Pour l'instant, on est loin du compte. « Les universités françaises ne disposent ni de la possibilité de choisir et de payer leurs professeurs, ni de la liberté de sélectionner leurs élèves. C'est pourtant ce qui fait la force des établissements anglo-saxons. Où sont les universités globales en France ? » estime Charles Kleiber, ancien secrétaire d'Etat à l'éducation et à la recherche en Suisse, qui dénonce la fausse loi sur l'autonomie des universités françaises. Selon lui, les campus sont des « entreprises publiques où l'on fabrique du savoir ». Elles doivent impérativement se concentrer sur l'excellence et intégrer dans leur stratégie la « guerre des cerveaux » qui s'amplifie. « Quand on embauche les meilleurs professeurs, on fait venir les meilleurs élèves et on décroche les gros budgets de recherche. Les universités françaises sont trop autocentrées », assène Charles Kleiber.
  • Elie Cohen, directeur de recherche au CNRS, estime lui aussi que l'Hexagone doit entrer dans une « économie de l'innovation » pour assurer sa croissance.
  • Cet économiste patenté plaide pour une organisation très sélective de la recherche universitaire qui va faire sursauter les syndicats étudiants. Tout en haut de ce système à trois vitesses trônent une dizaine de campus de haut de gamme baptisés « universités de recherche ». Ces champions accueillent les doctorants et les post-doctorants les plus doués (et les plus motivés). Ces prix Nobel en puissance disposent d'installations de haut de gamme et produisent une recherche de qualité internationale. Un cran en dessous règnent des universités régionales (niveau licence et master) qui n'ont pas vocation à produire de la recherche de haut niveau. Le troisième degré se compose de collèges universitaires délivrant une formation plus courte et professionnalisée.
  • Courageux mais pas téméraire, Elie Cohen estime toutefois que pour ne « pas se faire assassiner, il faut prévoir des passerelles » entre les différents statuts.
  • Selon lui, « l'avalanche de réformes et de nouvelles structures » annoncées par le gouvernement depuis 2005 a provoqué un chaos créatif d'où sortira (peut-être) une organisation modernisée du système français de recherche et d'innovation (SFRI).
  • Les partenariats public-privé stimulent l'innovation
  • En attendant la reforme, le prochain budget de la recherche se présente comme un nouveau bras de fer entre certains chercheurs publics et le gouvernement. Objet de la polémique : le crédit d'impôt recherche (CIR). Dans le budget 2009, le CIR va dépasser les 3 milliards d'euros (contre 1,4 milliard d'euros en 2006). Cet instrument fiscal incitatif est destiné à développer la recherche générique dans les entreprises hexagonales (2). De nouvelles mesures de déplafonnement visent également à améliorer l'attractivité du pays pour les entreprises étrangères qui souhaitent implanter des centres de recherche industriels en Europe.
  • Décidément très accommodant, le ministère (MESR) a décidé de mettre en place un dispositif « plus sécurisé pour les entreprises ». En langage clair, il s'agit de purger le CIR de sa réputation réelle ou supposée d'« antichambre du contrôle fiscal » qui lui colle à la peau depuis son introduction (3). Une autre mesure sera particulièrement appréciée par les entreprises : à compter de la déclaration de l'année 2008, le salaire d'un jeune docteur embauché est multiplié par quatre dans l'assiette du CIR. Des « cadeaux aux patrons »que nombre de chercheurs publics plus que jamais remontés contre le privé depuis la crise boursière ne vont sans doute pas apprécier.
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    Pour faire le lien entre le sujet de la MP2008, et le sujet de la MP2009
Fred L

Groupe de travail "Enseignement supérieur" - 0 views

shared by Fred L on 15 Oct 08 - Cached
  • Groupe de travail "Enseignement supérieur" Alors que le monde bascule vers l'économie de la connaissance, l'enseignement supérieur est un enjeu majeur pour l'avenir de notre pays. La France a accumulé un retard critique; quantitativement et qualitativement. Le groupe de réflexion proposera une politique de redressement de notre système éducatif pour lui permettre d'assurer pleinement son rôle d'ascenseur social et de vecteur de développement économique.  
  • Président Elie COHEN Directeur de recherche au CNRS
  • Philippe AGHION Economiste, professeur à Harvard et à l'école d'économie de Paris.   Yolande COHEN Professeur titulaire à l'Université de Québec à Montréal Julie COUDRY Présidente de la Confédération étudiante de mars 2003 à mai 2008
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  • Richard DESCOINGS Directeur de l'Institut d'études politiques de Paris
  • Daniel LAURENT Conseiller scientifique auprès du président du groupe Axa, directeur des études de l'Institut Montaigne
  • Yves LICHTENBERGER Président de l'Université Paris-Est
François Bertrand

TechCrunch en français » [fr] Vue d'un VC: Entretien avec Michel Dahan - Bane... - 0 views

  • Toi qui connais bien le secteur, l’histoire du capital risque en France en quelques mots c’est possible? Non, car elle est plus longue qu’on ne le croit avec des histoires qui remontent à 20 ou 30 ans pour des équipes comme nous ou Sofinnova , Siparex etc … Disons pour simplifier qu’il y a eu des équipes proches des grandes institutions, mais qui ont souvent peu à peu pris leur indépendance. La bulle internet a permis un grand foisonnement d’équipes nouvelles qui n’ont pas toutes pu résister mais les mécanismes fiscaux comme les FCPi ont permis d’avoir en France une des plus nombreuse profession d’Europe.
  • Penses tu que le capital risque en France est suffisamment développé? que lui manque t il? L’éco système est maintenant complet avec tous les conseils ( leveurs, avocats etc …). Ce qui manque toujours c’est bien sûr l’accès à un marché boursier, mais nos confrères aux US découvrent maintenant aussi cette situation.
  • Nous voyons depuis le début de l’année des projets particulièrement forts et nous avons doublé notre rythme d’investissement. Mais il faut des équipes prêtes à affronter la tempête.
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  • J’entends beaucoup les entrepreneurs se plaindre du manque de solution de financement d’amorçage? Quelle est ton analyse? L’amorçage est la partie la plus risquée de l’aventure de la création d’entreprise. Il n’est pas étonnant que partout dans le monde les entrepreneurs peinent à trouver des fonds pour des projets non encore bien établis. Dans la phase de démarrage le rôle des financement de proximité est essentiel. Il faut aussi que les porteurs de projets se disciplinent et acceptent de démarrer lentement, même si je reconnais que ce n’est pas toujours possible. Mais d’un point de vue statistique, reconnaissons que tous les projets ne sont pas viables, nous ne retenons qu’un projet sur cent. Ces projets trouvent parfois preneur chez d’autres confrères mais, soyons politiquement incorrect et disons qu’ il n’est pas sûr que plus de 10% des projets méritent d’être financés…
  • Dans le deal flow recent quel tendances vois tu emerger? Les VCs n’aiment évidement pas parler de leur stratégie ou de leur deal flow, pour des raisons évidentes, mais disons que nous avons beaucoup écarté de projets de réseaux sociaux et qu’on revoit arriver des projets solides d’Ecommerce, qui étaient partis bien trop tôt en 2000.
  • Google, je ne sais pas, car la barre est haute. Bien sûr il y a des copies de projets US et ce n’est pas une mauvaise chose, mais l’Europe a su générer des grands projets très innovants, comme Skype ou en France « Vente privée » dont le modèle est d’une puissance remarquable puisqu’ils semblent seulement limités par leur offre de marchandise !
François Bertrand

Le Figaro - Formation : Stages d'étudiants : les facs copient les grandes écoles - 0 views

  • Quelque 55 millions d'euros vont être mobilisés sur cinq ans pour permettre la mise en place de bureaux d'aide à l'insertion professionnelle dans les universités.
  • L'Officiel de la recherche et du supérieur (Ors) a pu exploiter les réponses de 64 universités à un questionnaire sur le sujet. L'enquête révèle que 7 établissements sur 10 sont dotés d'un chargé de mission dédié aux relations avec l'entreprise et que 70 % disposent d'une structure pour cette mission. Le magazine indique aussi que les trois quarts des universités ont mis en place un espace entreprise sur leurs sites Web. Mais ceux-ci sont jugés «incomplets» dans 60 % des cas. Par ailleurs, seuls quatre établissements disposent d'un annuaire global des anciens, et 60 % des universités n'ont pas d'annuaire de leurs anciens docteurs.
François Bertrand

Le Figaro - Débats : Nobel : un hommageà la recherche française - 0 views

  • Président de l'Académie de médecine et ancien président de la Croix-Rouge, l'auteur réagit à la nouvelle du prix Nobel de médecine, qui vient d'être décerné aux chercheurs français Luc Montagnier et Françoise Barré-Sinoussi, pour la découverte du virus du sida.
  • C'est dans ce contexte que l'annonce du prix Nobel de médecine à Luc Montagnier et à Françoise Barré-Sinoussi est une excellente nouvelle pour la France, pour les instituts de recherche (Pasteur en priorité), pour le combat de tous contre le sida, chercheurs, soignants, responsables associatifs et politiques.
  • C'est un honneur aussi pour l'Académie de médecine, qui détient avec Jean Dausset (élu en 1977)et Luc Montagnier (élu en 1989)… 10 % des prix Nobel de médecine français !
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  • Mais en ces temps troubles où notre civilisation mondiale paraît dominée par l'argent et les trafics de toutes sortes, cette bonne nouvelle, en affichant la victoire de la science et celle de l'esprit, est réconfortante. Elle permettra aussi à ses bénéficiaires, avec tous les hommes de bonne volonté, de relancer le combat international contre le sida, qui continue en dépit des effets d'annonces et de tous les fonds mondiaux, de tuer hommes, femmes et enfants en particulier en Afrique où l'accès aux soins est notoirement insuffisant.
François Bertrand

OECD : Open Innovation in Global Networks - 0 views

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    Encore un bon rapport... Il rejoint sur pas mal de point nos observations
François Bertrand

EVCA : 2008 Benchmarking study - 0 views

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    La France est remière pour une fois !
François Bertrand

bei.pdf (Objet application/pdf) - 0 views

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    ils ont fini par trouver des relais.
François Bertrand

Tanguy Verraes' Blog » Apres la 3G … la 4G, eeeeeevidemment ! - 0 views

  • A peine la 3G (3ème génération) de GSM en phase de commercialisation et d’exploitation, voilà que la Corée du Sud se penche déjà sur la technologie de 4ème génération. Celle-ci se préoccupe de permettre d’établir des connections sans fil à bord de véhicules rapides tels que les TGV (soit jusqu’à 350 km/h). Cette 4G permettrait un débit de 20 Mbps et serait disponible commercialement pour 2011.
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    à comparer aux expérimentations dans nos TGV...
François Bertrand

Classement 2008 du Times Higher Education : les universités anglo-saxonnes to... - 0 views

  • classement "THE-QS World University Rankings" publié par le Times Higher Education
  • Publié le 9 octobre, ce classement des 200 meilleures universités au monde consacre donc une fois de plus les grandes institutions américaines qui placent 37 des leurs parmi les 100 premiers noms, l'enseignement supérieur britannique comptant pour sa part 4 universités dans le top 10 et 17 dans le top 100. Premier établissement non anglophone, l'University of Tokyo est 19ème.
  • Dans l'ordre, Normale Sup’ figure en 28e position (-2), Polytechnique recule légèrement à la 34e place (-6), l'ENS Lyon pointe 140e (+17) et l'Université Pierre-et-Marie-Curie Paris VI 149e (-17).
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  • Rappelons que l’étude qui se veut le pendant du classement de Shanghai s'appuie sur les opinions qu’ont le monde académique et les recruteurs de l’enseignement supérieur. Plus de 6350 universitaires ont cette année participé à l'enquête, de même que 2340 recruteurs.
François Bertrand

BVA : Observatoire des nouvelles technologies et des multimédias - 0 views

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    intéressant pour étayer le concept de "innovations users are innovations consumers"
François Bertrand

CESE : ACCOMPLIR LA STRATÉGIE DE LISBONNE : CONTRIBUTION DU CONSEIL ÉCONOMIQU... - 0 views

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    pas encore lu, mais encore un rapport sur la recherche et l'innovation selon le titre...
Fred L

Innovation dans les services - 0 views

  • Innovation dans les services mardi 07 octobre 2008 Laurent Hermel , Gérard LouyatAFNORCollection : 100 questions pour comprendre et agir 172 pages 25,00 EUR     La maîtrise de l'innovation est aujourd'hui un des leviers majeurs de la compétitivité des entreprises ! L'innovation procure un avantage concurrentiel certain dans ce paysage économique changeant.   Mais par quel bout prendre ce concept d'innovation, comment le rendre clair dans tous les esprits ? Comment en faciliter l'implantation ? Comment réussir son innovation pour les services apportés à la clientèle, pour rendre les offres produits et systèmes plus compétitives ? Voilà 100 questions / 100 réponses pour remettre tout ça au clair ! Quel soutien les pouvoirs publics apportent-ils dans l'innovation en France ? Quel est l'intérêt d'innover sur le service de base et les services périphériques ? Comment développer la créativité dans l'entreprise de service ? Quelles stratégies marketing convient-il d'utiliser pour innover dans les services ? Comment assurer la pérennité de l'innovation au sein de l'entreprise de service ? Qu'est-ce qu'une communication efficace en activité de service ? Quels sont les indicateurs de performance à mesurer lors du lancement d'un nouveau service ? Comment le benchmarking peut-il développer l'innovation des services ?         Sommaire     - Innovation : généralités     - Innovation dans les services : enjeux et concepts-clés     - La démarche d'innovation     - La créativité au service de l'innovation     - Le marketing et l'innovation     - Le développement de l'innovation dans l'entreprise de service     - L'innovation et le management du changement dans l'entreprise de service     - La commercialisation de service innovant     - Le tableau de bord de l'innovation et de la mise en marché de l'offre innovante     - L'apport du benchmarking à l'innovation
Fred L

Innovation le journal : Des ingénieurs formés à l'innovation - 0 views

  • Formation : Des ingénieurs formés à l’innovation
  • Le pôle méditerranéen de l’Innovation (PMI) des Arts et Métiers ParisTech (Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers) a mis en place, il y a 7 ans, un Mastère Spécialisé (MS) de management stratégique du changement par l’innovation. Peu connue, cette formation se situe au cœur de l’évolution de la société et de l’entreprise.
  • Le PMI, implanté par l’ENSAM à Bouc-Bel-Air, entre Aix et Marseille, a pour vocation de positionner l’école d’ingénieurs sur les thèmes de l’innovation et du développement durable.
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  • Dirigé par Vincent Fabreguettes, du CEA de Cadarache, le Mastère Spécialisé de management stratégique du changement par l’innovation a trois axes de formation. Il apporte, en premier lieu, les moyens d’observer l’immensité des champs de l’innovation, à travers une synergie entre les bases de données des brevets et les outils de recueil de l’information. Afin de créer une dynamique de l’innovation, il apprend à sortir des situations organisationnelles classiques de l’entreprise en organisant la conduite du changement. Enfin, l’innovation étant l’objectif de l’entreprise durable, il inscrit le chef de projet dans une vision d’entreprise afin d’élaborer une stratégie de management.
  • L’innovation comme valeur d’entreprise durableLe recrutement des jeunes diplômés d’Arts et Métiers ParisTech se fait au niveau international. Cette année, parmi la douzaine d’inscrits au MS innovation, deux chinois et un roumain suivront la formation. Le Pôle Méditerranéen de l’Innovation, qui exerce un partenariat très fort avec des écoles comme l’IAE, accompagne aussi les chefs de projet des entreprises. Rémy Gautier, son directeur, étudie depuis une vingtaine d’années la problématique des projets d’innovation de rupture, inscrivant dans le management le rôle des risques liés à l’innovation.
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