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david duplouy

L'euro, monnaie de réserve, par Patrick Artus - Opinions - Le Monde.fr - 0 views

  • Patrick Artus
  • l'euro s'est fortement apprécié vis-à-vis du dollar en 2006 et au premier semestre 2007 alors que les taux d'intérêt à court terme sur le dollar étaient beaucoup plus élevés que les taux d'intérêt sur l'euro (au début de 2006, 4,5 % aux Etats-Unis contre 2,25 % dans la zone euro), ce qui montre que les niveaux relatifs de taux d'intérêt ne sont pas les déterminants essentiels de la parité de l'euro.
    • david duplouy
       
      Analyse macro-économique
  • L'euro fort vient donc du rôle croissant de monnaie internationale de réserve de l'euro
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  • Lorsqu'un pays (une région) peut facilement financer un déficit extérieur en s'endettant (c'est-à-dire en vendant des actifs) auprès du reste du monde à un taux d'intérêt faible, puisque les actifs de ce pays sont recherchés, font l'objet d'une forte demande, on dit usuellement qu'il bénéficie "du privilège exorbitant de la monnaie de réserve",
  • L'Europe pourrait éviter ce piège en utilisant sa capacité nouvelle à se financer à des conditions favorables auprès du reste du monde pour réaliser des dépenses d'infrastructures publiques, de recherche et d'éducation supérieure, d'investissements dans le capital de PME innovantes
  • Concrètement, ce projet pourrait prendre la forme d'un programme spécial d'émissions d'obligations en euros de la Banque européenne d'investissements destinées aux non-résidents, calibré en fonction de l'excès de demande d'euros
  • 300 à 500 milliards d'euros par an en ce moment
  • projets stimulant la croissance à long terme et sélectionnés au niveau européen, afin d'éviter la dérive vers le financement de transferts publics, de dépenses courantes
François Bertrand

CSOEC : Baromètre des PME et TPE - 0 views

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    Enquête d'opinion réalisée par TNS Sofres pour le compte du Conseil Supérieur de l'Ordre des Experts-Comptables --- A noter les opinions sur l'avenir
François Bertrand

Classement 2008 du Times Higher Education : les universités anglo-saxonnes to... - 0 views

  • classement "THE-QS World University Rankings" publié par le Times Higher Education
  • Publié le 9 octobre, ce classement des 200 meilleures universités au monde consacre donc une fois de plus les grandes institutions américaines qui placent 37 des leurs parmi les 100 premiers noms, l'enseignement supérieur britannique comptant pour sa part 4 universités dans le top 10 et 17 dans le top 100. Premier établissement non anglophone, l'University of Tokyo est 19ème.
  • Dans l'ordre, Normale Sup’ figure en 28e position (-2), Polytechnique recule légèrement à la 34e place (-6), l'ENS Lyon pointe 140e (+17) et l'Université Pierre-et-Marie-Curie Paris VI 149e (-17).
  • ...1 more annotation...
  • Rappelons que l’étude qui se veut le pendant du classement de Shanghai s'appuie sur les opinions qu’ont le monde académique et les recruteurs de l’enseignement supérieur. Plus de 6350 universitaires ont cette année participé à l'enquête, de même que 2340 recruteurs.
François Bertrand

Le_budget_raconte_a_Sarkozy.pdf (Objet application/pdf) - 0 views

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    Je vous encourage à lire ce papier qui a le mérite de documenter son point de vue
Marjolaine Grisard

Newzy Executive | le guide des informations financières et des communiqués d... - 0 views

  • Entreprendre reste une perspective éloignée pour de nombreux Français. Interrogés dans un sondage OpinionWay publié le 17 novembre, 63% d’entre eux se déclarent “pas du tout” ou “plutôt pas” tentés par la création d’entreprise. A l’inverse ils sont 37% à se déclarer “plutôt tentés” par l’expérience.
  • Ces opinions, les Français les remettent eux-même en perspective : ils reconnaissent à 90% que l’école n’explique pas aux enfants ce qu’est un entrepreneur. Ils estiment même à 96% qu’il existe un décalage entre l’importance des entrepreneurs dans l’économie française et “l’environnement” qui leur est réservé en France : plutôt bienveillants, ils seraient même 76% à se déclarer favorables à voir leur épargne davantage investie dans les PME.
Fred L

Article du Monde: Après les "bobos", voici les "créatifs culturels" s'exclame... - 0 views

  • L'article s'intitule "Après les "bobos", voici les "créatifs culturels".
  • Son site Internet met en relation bénévoles et associations, il s'inquiète du réchauffement climatique, il a repris des études de psychologie et se retire deux fois par an dans un monastère: Tristan de Feuilhade, 52 ans, est le prototype du "créatif culturel". "Selon Les Créatifs culturels en France, étude sociologique publiée en mars aux éditions Yves Michel (131 p., 13,80 euros), 17% des Français relèveraient de cette tribu, composée pour l'essentiel de femmes (64%) et de cadres supérieurs (40%). Sa particularité est de conjuguer six positionnements, tous hérités des années 1960: l'écologie, l'égalité des sexes, la révolte contre les discriminations, le refus de la compétition et du règne de l'argent, l'engagement sociétal, le développement personnel".
Fred L

LaTribune.fr - Innovation, propriété industrielle, croissance, le trio gagnant - 0 views

  • La propriété industrielle est intimement associée à l'innovation : les brevets sont le coffre-fort des inventeurs. La France mérite bien sa réputation de pays des idées : nous sommes le deuxième pays déposant de brevets au niveau européen, et le cinquième au niveau mondial. Depuis 2004, les dépôts de brevets par les entreprises françaises ont augmenté de 11%. Si les grands groupes intègrent bien la propriété industrielle dans leur stratégie globale, les PME (petites et moyennes entreprises), les ETI (entreprises de taille intermédiaire) et les organismes de recherche ont parfois du mal à l'appréhender. Pourtant, une PME ou une ETI qui détient des brevets intéressera davantage les investisseurs, négociera plus facilement avec une grande entreprise l'exploitation d'une de ses inventions, et se défendra mieux en cas de contrefaçon.
  • Innovation, propriété industrielle, croissance, le trio gagnant
  • J'ai mené à bien la réforme du crédit impôt recherche, qui permet aujourd'hui le remboursement d'un tiers des dépenses de R&D. J'ai souhaité également alléger la fiscalité sur les brevets et accorder une réduction de 50% aux PME sur les principales redevances brevets. Enfin, la France a ratifié le protocole de Londres, permettant une baisse de l'ordre de 30% du coût des brevets européens
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  • Une mesure m'est particulièrement chère : le "prédiagnostic propriété industrielle", qui a pour objectif de mettre en évidence l'intérêt d'une politique de propriété industrielle et de dégager des pistes d'actions. Cette sensibilisation à la propriété industrielle, réalisée par l'INPI, est destinée aux PME innovantes et aux centres de recherche. Depuis 2004, plus de 2.600 PME ont bénéficié gratuitement de ce service. Deux tiers d'entre elles ont engagé, dans les six mois, des actions concrètes en matière de propriété industrielle.
  • nouveau contrat d'objectifs avec l'INPI
  • les actions de sensibilisation à la propriété industrielle seront renforcées
  • un effort particulier sera fourni sur l'accès en ligne, libre et gratuit, de toute l'information sur la propriété industrielle
  • enfin, l'INPI achèvera sa mutation vers une e-administration entièrement tournée vers les entreprises.
  • utte contre la contrefaçon
  • un brevet communautaire
François Bertrand

Laurent Fabius préconise la disparition de fait du CNRS dans le cadre de l'Un... - 0 views

  • Comme nous le craignions, une partie des activités des actuels Etablissements Publics à caractère Scientifique et Technologique (EPST) français deviendra patrimoine d'universités jumelées avec le secteur privé, et le reste (budget compris) sera transféré à l'Union Européenne.
    • François Bertrand
       
      coeur de leur argumentaire
  • Quels que soient les défauts du Comité National, l'AERES (Agence d'Evaluation de la Recherche et de l'Enseignement Supérieur créée en 2006), qui tend à s'emparer de ses missions, est loin d'offrir les mêmes garanties.
  • Que se passera-t-il si le CNRS est disloqué au bénéfice d'universités qui n'ont pas les moyens de se substituer à lui et d'un montage européen qui recherchera les emplacements et modes de gestion les « moins chers » pour ses programmes ?
  • ...19 more annotations...
  • Dans le Journal du CNRS de mai 2008, Valérie Pécresse déclare : « Notre système reposera à terme sur quatre piliers : des organismes de recherche d’excellence, partenaires des universités et porteurs d’une vision nationale et internationale de la politique de recherche, ce qui leur confère une capacité unique pour analyser la conjoncture et faire la prospective scientifique ; des universités plus autonomes, avec une gouvernance plus efficace et des compétences nouvelles leur permettant de définir et de mener efficacement une stratégie de recherche ; une recherche sur projets dynamique, dont l’ANR porte la plus grande part et dont la programmation doit être étroitement articulée avec les organismes de recherche ; et enfin une recherche privée ambitieuse et rendue plus attractive par le crédit d’impôt recherche »
  • Même si son descriptif réduit, tout compte fait, le rôle du CNRS à « analyser la conjoncture et faire la prospective scientifique »
  • Le transfert à l'Union Européenne des moyens de nos EPST ouvrira nécessairement la voie à une délocalisation à grande échelle de la recherche française au sein de l'Union, voire même ailleurs. On peut difficilement imaginer que ces délocalisations soient sans conséquences dans le domaine industriel.
  • Les implications de cette évolution sur le plan des garanties d'indépendance des chercheurs et de transparence de la recherche sont également très préoccupantes.
  • D'autant plus que le « modèle américain » reste une référence constante. Or, notre article du 7 mars avait déjà évoqué les doléances de nos collègues d'outre-Atlantique à propos des ingérences politiques de l'administration US dans le travail des scientifiques et dans la diffusion de leurs résultats.
  • En somme, au nom du « patriotisme continental » et du « modèle américain », ce dont il s'agit c'est de démanteler des composantes stratégiques de l'Etat et du secteur public français, et d'en délocaliser des activités essentielles. Les conséquences économiques et sociales seront très graves, mais tout se prépare sans faire des vagues et avec un choeur de déclarations « positives ». Au service de quels intérêts ? Quant aux questions à caractère citoyen sur l'indépendance des agents ou la transparence, elles semblent avoir été tout simplement exclues du débat. S'agirait-il de préoccupations « d'une autre époque » ?
  • (Merci de bien vouloir publier ce texte, réponse de Laurent Fabius aux affirmations de cet article). La CERI et le CNRS: faux procès et vrai projet
  • Dans la mondialisation, recherche et innovation sont les clés de notre avenir. Tout le monde le dit, mais on ne propose rien de concret. M. Sarkozy et son gouvernement se contentent d’une approche comptable, destructrice et sans vision.
  • j'ai proposé qu'elle porte à cette occasion le projet ambitieux et concret d'une Coopération Européenne de la Recherche et de l'Innovation (CERI)
  • qui aurait vocation, à terme, à se substituer à ses équivalents nationaux - l'ANR en France
  • Renforcer la recherche, d'abord, en augmentant ses moyens.
  • La CERI
  • Simplifier,
  • Dans le labyrinthe actuel, les chercheurs passent trop de temps à remplir des dossiers de subvention – pour des sommes bien souvent modiques.
  • Valoriser, enfin, le statut des chercheurs et des étudiants.
  • Dans une analyse intitulée : « Quatre propositions pour retrouver une perspective », publiée par le journal Les Echos le 28 avril, Laurent Fabius impute à la France, sans autre explication, un « lourd problème de compétitivité » et une « insuffisance d'innovation et de recherche ».
  • Le CNRS, l'INSERM et les autres organismes de recherche français devraient, d'après Laurent Fabius, disparaître au bénéfice d'une politique globale pilotée par l'Union Européenne avec un seul « ministère européen de la Recherche et de l'Innovation ».
  • Après cette « analyse » péremptoire, qu'il ne prend pas la peine d'étayer par des arguments, Fabius écrit à propos de la recherche scientifique et technologique :  « ... C'est par elle que nous ferons la différence dans la mondialisation. Puisque la France va présider l'Union européenne, je propose que nous lancions le projet concret d'une Coopération européenne pour la recherche et l'innovation (Ceri), nouveau moteur du développement. Osons mettre en commun nos budgets nationaux de recherche, créer un espace européen de l'innovation dont bénéficieront nos PME, abattre les murs qui fragmentent les parcours et les carrières de nos étudiants et de nos chercheurs. Proposons un seul ministère européen de la Recherche et de l'Innovation, doté d'une politique coordonnée... »
  • rapport de François d'Aubert à Valérie Pécresse (notre article du 17 avril)
  •  
    Le texte contient pas mal de références, ainsi que la réponse de Fabius
François Bertrand

Les Echos : Pour réussir la réforme de notre système de recherche scientifique - 0 views

  • ALBERT FERT, professeur à l'université Paris-XI, chercheur à l'UMR CNRS-Thales, prix Nobel de physique 2007. YVES LASZLO, professeur associé à l'Ecole polytechnique, professeur à l'université Paris-VI
  • La France doit donc faire évoluer son système de recherche, mais en utilisant ses atouts, autour du couple universités fortes opérateurs nationaux.
  • Cependant, la recherche, qu'elle soit finalisée ou non, nécessite une politique scientifique : il faut faire remonter les idées des laboratoires, penser la stratégie à court et long terme, coordonner la distribution de moyens sur le territoire national, organiser des réseaux nationaux et internationaux, valoriser les découvertes.
  • ...2 more annotations...
  • L'ANR a un rôle important mais différent de celui du CNRS. Ses financements de projets ponctuels sont utiles pour lancer de jeunes équipes et dynamiser le système. Mais n'oublions pas que la recherche doit fondamentalement faire reculer les limites de la connaissance pour permettre les ruptures scientifiques et technologiques de demain.
  • Il faudra en effet de longues années avant que des universités acquièrent la puissance de leurs homologues anglo-saxons (les seuls actifs d'Harvard représentent le budget annuel de l'enseignement supérieur et de la recherche français !) et puissent se passer des organismes, avant que les universités et grandes écoles se rapprochent, permettant notamment à la recherche de prendre la place qu'elle doit avoir dans ces dernières.
  •  
    papier d'Albert Fert et de Yves Laszlo
François Bertrand

L'indépendance des chercheurs, un grand enjeu citoyen au niveau planétaire : ... - 0 views

  • Le discours présidentiel français et la lettre ministérielle se sont croisés, si on peut dire, avec un article du 14 février publié sur le site Inter Press Service (IPS) et un rapport intitulé "Federal Science and the Public Good", rendu public récemment par l’association américaine Union of Concerned Scientists, à l’adresse  : http://www.ucsusa.org/scientific_integrity/restoring/scie...
    • François Bertrand
       
      à regarder
  • Le 4 mars, une réunion de "plus de 600 directeurs de laboratoires de recherche et membres d’instances scientifiques de tout le territoire" français, tenue à Paris, a émis un communiqué  mis en ligne à l'adresse : http://4mars.recherche-enseignement-superieur.fr/spip.php...
    • François Bertrand
       
      à regarder
  • Valérie Précresse écrit en particulier :
  • ...3 more annotations...
  • Afin d’améliorer la lisibilité et la prévisibilité de l’action du CNRS, vous réfléchirez à l’opportunité de substituer aux départements scientifiques actuels une structuration en grands instituts nationaux de recherche, dans l’esprit de l’INSU ou de l’IN2P3, favorisant les coopérations entre les divers acteurs et constituant un ensemble réactif placé sous la responsabilité de la direction générale du CNRS…
  • Le 28 janvier, Nicolas Sarkozy avait notamment déclaré :
  • Ce n’est pas à un organisme, si grand, si respecté, et si puissant soit-il, de définir à lui seul la politique scientifique d’un pays. Ce n’est pas non plus à un collège électif de scientifiques de décider de cette politique…
François Bertrand

Revue ESPRIT - 0 views

  • De la sélection à l'innovation
  • Adoptée au mois d’août, la loi portant sur la gouvernance et l’autonomie des universités fait aujourd’hui l’objet d’une contestation de la part d’une frange des étudiants et d’une partie (plus consistante) des enseignants chercheurs.
  • Aujourd’hui, le contexte a changé, le principal défi étant celui de la mise en concurrence des établissements au niveau international et de l’entrée dans une économie des savoirs qui, plus que jamais, requiert l’université, qui demeure de loin le principal lieu de recherche en France
  • ...1 more annotation...
  • En délaissant la recherche au profit de la sélection des étudiants et de l’excellence dans l’enseignement, les écoles d’ingénieurs auraient raté le tournant constitué par une économie mondialisée fondée sur les nouvelles connaissances. Volontiers généralistes, ces écoles sont encore orientées vers la formation des grands corps de l’État (X, les Mines), même si la plupart de leurs étudiants migrent vers le secteur privé.
François Bertrand

Les Echos : L'innovation, arme de compétitivité - POLE DE COMPETITIVITE POLIT... - 0 views

  • Pour sa part, le pôle grenoblois Minalogic, qui servait de modèle, s'est structuré, étendu et enrichi et plus de 50 PME l'ont rejoint. Son ambition industrielle, associant des filières « fournisseurs de technologies » (micro et nano électronique, micro et nano matériaux) à des filières « intégratrices de technologies » (gestion de l'énergie, appareils mobiles, imagerie, tissus intelligents,...) a créé un cycle vertueux d'innovation. Les pôles se sont structurés en développant en outre des coopérations entre eux.
  • Il convient cependant d'être sélectif. La France ne peut pas raisonnablement viser l'excellence dans de trop nombreux domaines : devenir et rester un champion mondial suppose des investissements lourds et donc un choix ciblé. En ce sens, la décision de porter de 6 à 16 le nombre de pôles dits « mondiaux » laisse perplexe. Il conviendra donc de continuer à différencier les mécanismes de gestion parmi ces pôles dits « mondiaux » et apporter un soutien significatif et cohérent au meilleurs d'entre eux grâce aux divers instruments disponibles.
  • Forts de cette logique, les pôles de compétitivité deviendront le fer de lance de notre performance industrielle
  • ...1 more annotation...
  • ERIC PILAUD est président du pôle de compétitivité Minalogic et directeur général stratégie, clients, technologie Schneider Electric
Fred L

TechCrunch en français » [fr] Entretien avec Ankama Games (Dofus), une startu... - 0 views

  • J’étais récemment en Corée et au Japon ou j’ai rencontré votre équipe, avez-vous avancé sur des partenariats ? Certaines choses se précisent et pas seulement pour l’Asie, par contre, il est trop tôt pour en parler.
  • On a Ubi Soft, Motion Twin et Ankama: a ton en France un savoir-faire particulier dans le domaine des jeux vidéos? Particulier, je ne saurais pas dire. Par contre, je pense que nous sommes capables de faire de bons jeux avec des moyens sans commune mesure avec les plus grosses productions développées aux USA, au Canada ou en Asie. Mais je crois aussi que c’est un problème qui dépasse la France et se situe au niveau européen, en tout cas pour ce qui concerne le développement des  MMORPG comme DOFUS.
  • Vous avez développé vos jeux sans apports de fonds de capitaux risqueurs: Y avez-vous pensé? Comment avez-vous fait pour financer votre croissance Ce n’était pas et ce n’est toujours pas à l’ordre du jour. Le développement de DOFUS a été progressif et nous nous sommes lancés dans le développement à partir du moment où nous avions mis en place un planning avec des étapes déterminantes pour la continuité du projet. Concrètement, DOFUS a principalement été financé par les revenus de notre activité de communication qui est notre activité historique.
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  • Sur quoi est fondé votre modèle de revenus? Actuellement, nous travaillons exclusivement sur de l’abonnement. Par contre, tous nos jeux sont accessibles gratuitement sans limites de temps et nous ne pratiquons pas d’abonnements récurrents. Notre politique a toujours été la transparence et le plus large accès à nos jeux pour le plus grand nombre et le plus facilement possible. Nous pensons qu’il est fondamental que les joueurs puissent se faire une opinion personnelle sur nos jeux avant d’éventuellement s’abonner. De la sorte, nos joueurs s’abonnent en sachant exactement à quoi s’attendre et nous pouvons alors mieux travailler sur la fidélisation.
François Bertrand

SLR - Le pilotage politique de la recherche passe à la vitesse supérieure - 0 views

  •  La ministre de la Recherche, Valérie Pécresse, a présenté mercredi dernier au conseil des ministres une communication sur la « stratégie nationale de recherche et d’innovation » visant à définir les priorités de la recherche pour la période 2009-2012. Nous ne pouvons que nous inquiéter, une fois encore, de ses propos qui témoignent à nouveau de la menace que constituent pour l’indépendance de la recherche les réformes prises par le gouvernement actuel.
  • En effet, s’il est parfaitement légitime que le pouvoir politique fixe de grandes orientations scientifiques, il n’est pas dans sa compétence de définir précisément les stratégies que les chercheurs déterminent pour tenter de répondre à ces orientations.
  • En outre, s’il nous paraît légitime que des représentants politiques interviennent dans la définition des grands axes stratégiques de la recherche, que des membres d’organisations de citoyens et des représentants du monde économique y soient associés, la manière dont ceux-ci, comme les chercheurs d’ailleurs, seront désignés, reste pour le moins obscure et laisse la porte ouverte à tous les abus et à toutes les manipulations.
  • ...1 more annotation...
  • Qu’espère-t-il par cette stratégie de gribouille ? Serait-ce une nouvelle version d’un célèbre slogan de campagne : Financer moins et désorganiser plus pour chercher plus ?
François Bertrand

Science21 : CNRS, Pécresse, précarité... et vingt-cinq ans de « véritables st... - 0 views

  • Valérie Pécresse présentait en Conseil des Ministres  une communication sur la « stratégie nationale de recherche et d'innovation », avec pour but proclamé « d'identifier des priorités de recherche au niveau national en fonction des besoins de la société, des défis scientifiques à relever et des marchés porteurs pour les entreprises »
  • La recherche publique est ainsi mise en demeure de voler au secours des besoins d'une industrie privée en difficulté. Mais quelle est la source réelle des problèmes de l'industrie française ? Il semble bien que les privatisations, les délocalisations et la généralisation de la précarité d'emploi y soient pour beaucoup. Résultat de vingt-cinq ans de la même politique, invariablement accompagnée de discours sur une prétendue « modernisation ». Rien de vraiment nouveau dans les écrits et déclarations de Valérie Pécresse.
  • Ces derniers temps, de plus en plus de réunions européennes et internationales de «décideurs » au sommet sont consacrées à l'organisation de la recherche fondamentale à l'échelle planétaire ayant manifestement en vue des « optimisations budgétaires ». Quel est donc l'objectif de la « réforme » en cours des institutions scientifiques françaises, si ce n'est la privatisation et la délocalisation de la recherche ?
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  • Le texte ministériel « Stratégie nationale de recherche et d’innovation »
  • La cible est donc clairement l'indépendance et la liberté d'initiative de la recherche publique.
  • Au vu de ce tableau, il ne semble pas que les concessions faites par les organisations majoritaires des personnels de la recherche et de l'enseignement supérieur à l'occasion de la séance du Conseil d'Administration du CNRS du 1er juillet aient permis de stabiliser la situation. La réalité semble bien être que l'opération de démantèlement du CNRS et de précarisation de l'emploi de chercheur se poursuit malgré les marchandages de la fin du mois de juin.
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