Skip to main content

Home/ Mission FNEP 2008/ Group items tagged économie de l'innovation

Rss Feed Group items tagged

Fred L

Les partenariats public-privé stimulent l'innovation - SCIENCES ET TECHNOLOGI... - 0 views

  • es partenariats public-privé stimulent l'innovation
  • n moyenne, une entreprise ne produit en interne que 20 % de ses besoins technologiques. Elle doit donc acquérir le reste à l'extérieur, sous forme d'achat ou de partenariat.
  • La coopération entre la recherche publique et les entreprises est la meilleure formule pour valoriser le savoir académique. Pourtant, elle évolue lentement en France.
  • ...11 more annotations...
  • Nous sommes toujours en quête de compétences externes. Pour une PMI comme la nôtre, les partenariats avec la recherche publique sont fondamentaux. » Jean-Luc Schuppiser, le directeur scientifique du groupe Essilor International, ne tarit pas d'éloges sur les partenariats public-privé
  • Mais, pour le patron de la R&D du leader mondial des verres ophtalmiques, le concept « PPP » a un sens bien particulier. « Le projet doit être construit autour d'un produit ou d'une technologie. Il faut définir un objectif et fixer un calendrier. Cela ne peut pas être une rente éternelle. Il faut procéder à des évaluations régulières, car le monde industriel fonctionne en créant de la valeur. Pour nous, l'idéal c'est un laboratoire mixte où les chercheurs travaillent ensemble et échangent spontanément.
  • Le groupe français dispose depuis 2003 d'une unité de ce type installée à Toulouse dans un laboratoire du CNRS. Il vient de signer un accord avec l'université de Shanghai. Ce labo commun vise des applications originales : découvrir des nanoparticules de synthèse pour l'industrie optique. Une équipe d'une quinzaine de chercheurs dont les deux tiers sont issus de l'université chinoise sera mobilisée autour du projet.
  • Pour l'instant, on est loin du compte. « Les universités françaises ne disposent ni de la possibilité de choisir et de payer leurs professeurs, ni de la liberté de sélectionner leurs élèves. C'est pourtant ce qui fait la force des établissements anglo-saxons. Où sont les universités globales en France ? » estime Charles Kleiber, ancien secrétaire d'Etat à l'éducation et à la recherche en Suisse, qui dénonce la fausse loi sur l'autonomie des universités françaises. Selon lui, les campus sont des « entreprises publiques où l'on fabrique du savoir ». Elles doivent impérativement se concentrer sur l'excellence et intégrer dans leur stratégie la « guerre des cerveaux » qui s'amplifie. « Quand on embauche les meilleurs professeurs, on fait venir les meilleurs élèves et on décroche les gros budgets de recherche. Les universités françaises sont trop autocentrées », assène Charles Kleiber.
  • Elie Cohen, directeur de recherche au CNRS, estime lui aussi que l'Hexagone doit entrer dans une « économie de l'innovation » pour assurer sa croissance.
  • Cet économiste patenté plaide pour une organisation très sélective de la recherche universitaire qui va faire sursauter les syndicats étudiants. Tout en haut de ce système à trois vitesses trônent une dizaine de campus de haut de gamme baptisés « universités de recherche ». Ces champions accueillent les doctorants et les post-doctorants les plus doués (et les plus motivés). Ces prix Nobel en puissance disposent d'installations de haut de gamme et produisent une recherche de qualité internationale. Un cran en dessous règnent des universités régionales (niveau licence et master) qui n'ont pas vocation à produire de la recherche de haut niveau. Le troisième degré se compose de collèges universitaires délivrant une formation plus courte et professionnalisée.
  • Courageux mais pas téméraire, Elie Cohen estime toutefois que pour ne « pas se faire assassiner, il faut prévoir des passerelles » entre les différents statuts.
  • Selon lui, « l'avalanche de réformes et de nouvelles structures » annoncées par le gouvernement depuis 2005 a provoqué un chaos créatif d'où sortira (peut-être) une organisation modernisée du système français de recherche et d'innovation (SFRI).
  • Les partenariats public-privé stimulent l'innovation
  • En attendant la reforme, le prochain budget de la recherche se présente comme un nouveau bras de fer entre certains chercheurs publics et le gouvernement. Objet de la polémique : le crédit d'impôt recherche (CIR). Dans le budget 2009, le CIR va dépasser les 3 milliards d'euros (contre 1,4 milliard d'euros en 2006). Cet instrument fiscal incitatif est destiné à développer la recherche générique dans les entreprises hexagonales (2). De nouvelles mesures de déplafonnement visent également à améliorer l'attractivité du pays pour les entreprises étrangères qui souhaitent implanter des centres de recherche industriels en Europe.
  • Décidément très accommodant, le ministère (MESR) a décidé de mettre en place un dispositif « plus sécurisé pour les entreprises ». En langage clair, il s'agit de purger le CIR de sa réputation réelle ou supposée d'« antichambre du contrôle fiscal » qui lui colle à la peau depuis son introduction (3). Une autre mesure sera particulièrement appréciée par les entreprises : à compter de la déclaration de l'année 2008, le salaire d'un jeune docteur embauché est multiplié par quatre dans l'assiette du CIR. Des « cadeaux aux patrons »que nombre de chercheurs publics plus que jamais remontés contre le privé depuis la crise boursière ne vont sans doute pas apprécier.
  •  
    Pour faire le lien entre le sujet de la MP2008, et le sujet de la MP2009
Micheline LIAGRE

Propositions Allègre sur l'innovation - 0 views

  •  
    10 propositions concrètes pour une stratégie européenne accélérée de l'innovation : année 2009 dédiée à l'innovation, stimuler l'innovation dans les nouveaux pays membres de l'UE, mise en réseaux des universités de technologie, mettre en place un système de mobilité pour les chercheurs et les universitaires, relancer Eureka, coordonner les programmes nationaux de recherche, créer un emprunt européen de la BEI pour l'innovation, consacrer chaque année un Conseil européen à l'innovation pour définir les grands programmes de recherche européens.
François Bertrand

Revue ESPRIT - 0 views

  • De la sélection à l'innovation
  • Adoptée au mois d’août, la loi portant sur la gouvernance et l’autonomie des universités fait aujourd’hui l’objet d’une contestation de la part d’une frange des étudiants et d’une partie (plus consistante) des enseignants chercheurs.
  • Aujourd’hui, le contexte a changé, le principal défi étant celui de la mise en concurrence des établissements au niveau international et de l’entrée dans une économie des savoirs qui, plus que jamais, requiert l’université, qui demeure de loin le principal lieu de recherche en France
  • ...1 more annotation...
  • En délaissant la recherche au profit de la sélection des étudiants et de l’excellence dans l’enseignement, les écoles d’ingénieurs auraient raté le tournant constitué par une économie mondialisée fondée sur les nouvelles connaissances. Volontiers généralistes, ces écoles sont encore orientées vers la formation des grands corps de l’État (X, les Mines), même si la plupart de leurs étudiants migrent vers le secteur privé.
Marjolaine Grisard

IE-Club - 0 views

  • L'IE-Club est le lieu privilégié de rencontre des PME INNOVANTES de la "ITech-économie*" avec les autres grands acteurs de l'écosystème de l'innovation : INVESTISSEURS, GRANDS GROUPES, ORGANISMES PUBLICS et CENTRES DE RECHERCHE.
  •  
    Pour la rencontre des PME innovantes, des grands groupes et des investisseurs. Ex : organisation le 18 novembre d'une "bourse aux technologies" où "le monde de la recherche présente ses technologies matures aux entreprises"
François Bertrand

Le Figaro - Economie : Exportations : la France subit la concurrence allemande - 0 views

  • un rapport du Centre d'analyse économique (CAE) confirme que l'avantage compétitif à l'exportation ne tourne pas à la faveur de l'Hexagone.
  • Le rapport indique donc que l'export est le révélateur de la performance d'une économie et de son offre, et non l'inverse. Quant aux entreprises françaises qui exportent, elles sont beaucoup plus performantes que les autres : elles sont 11 % plus productives, emploient 4 fois plus de salariés, les paient 16 % de plus et ont des taux de marge plus élevés…
  • C'est pourquoi les économistes ne prônent pas davantage de soutiens spécifiques publics pour aider les entreprises à exporter, mais plutôt une politique économique dite «horizontale, rehaussant le niveau d'efficacité de l'ensemble des entreprises françaises» : la question de l'innovation est «au cœur» de ces politiques. Et s'il faut aider des entreprises, il faut se concentrer sur les moyennes et grandes pour conserver nos positions déjà difficilement acquises, concluent les auteurs.
Fred L

Innovation Online - L´actualité de l'économie de la croissance - 0 views

  •  
    Site (payant) consacré à l'innovation qui a l'air intéressant
1 - 6 of 6
Showing 20 items per page