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Fred L

Futuris Newsletter 11/2008 - 0 views

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    - La recherche et l'innovation en France (rap 2008)\n- 4 pays à la loupe : GB, Allemagne, Corée, Japon\n- La réforme du SFRI : fin ? début ? 4 recommandations pour les pouvoirs publics
Fred L

Diversité - En Allemagne, Siemens mène l'offensive en faveur de la diversité - 0 views

  • En Allemagne, Siemens mène l'offensive en faveur de la diversité Jugeant son entreprise « trop germano-allemande », Peter Löscher, Pdg de Siemens a fait de la diversité du management l’une de ses priorités.
  • Moteur de l’innovation Le Pdg avait justifié cette offensive en soulignant le caractère décisif de la diversité comme moteur de l’innovation et de la créativité. « Si on ne reflète pas l’ensemble de la clientèle maison, on ne peut exploiter pleinement son potentiel. Si on y parvient, on en retire un formidable avantage », avait insisté Peter Löscher.
  • Siemens a mis au point des programmes qui incitent les salariés à repérer eux-mêmes de jeunes talents. « C’est important. En 2008, nous avons, en définitive, créé pas moins de 17 000 nouveaux postes dans le monde », précise Siegfried Russwurm. Enfin, Siemens a mis en place un programme de mentoring, destiné à ses cadres supérieurs. Peter Löscher s’occupe personnellement de dix jeunes cadres, dont quatre Allemands, deux Chinois, un Africain du Sud, un Américain et un Brésilien.
Fred L

Le Rapport sur la compétitivité mondiale, 2006-2007 - 0 views

  • Le 26 septembre 2006, le Forum économique mondial (FEM) a diffusé le Rapport sur la compétitivité mondiale, 2006-2007.(
  • Pour ce faire, les auteurs se servent de plus de 100indicateurs pour faire une évaluation détaillée des conditions économiques de 125 pays et ils classent ces derniers selon leur compétitivité.
  • Le présent document examine brièvement la méthode utilisée dans le rapport du FEM. Il présente ensuite certains des principaux résultats obtenus par le Canada pour ce qui est de la compétitivité globale et dans le domaine de la technicité des entreprises, de l’innovation et de l’infrastructure. Le document se termine par une brève évaluation schématique du classement établi par le FEM.
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  • L’ICM donne un aperçu des facteurs que le FEM considère comme les moteurs essentiels de la productivité et de la compétitivité, et il les regroupe en neuf piliers indépendants : Institutions Infrastructure Macroéconomie Santé et enseignement primaire Enseignement supérieur et formation Efficacité du marché Préparation technologique Technicité des entreprises Innovation
  • Afin d’évaluer la compétitivité de certains pays, le FEM utilise un «indice de compétitivité mondiale» (ICM) comme outil principal. (5) On calcule l’ICM pour 125 pays et celui-ci va de 2,5, niveau le plus bas (Angola), à 5,81, niveau le plus élevé (Suisse).
  • Les piliers sont organisés en trois sous-indices, chacun étant indispensable à un stade de développement particulier [d’un pays] : a) le sous-indice des exigences de base regroupe les piliers indispensables aux pays au stade de développement fondé sur les facteurs (institutions, infrastructure, macroéconomie, santé et enseignement primaire); b) le sous-indice des optimiseurs d’efficacité englobe les piliers indispensables aux pays au stade de développement fondé sur l’efficacité (enseignement supérieur et formation, efficacité du marché, préparation technologique); c) le sous-indice des facteurs d’innovation et de technicité englobe tous les piliers indispensables aux pays au stade de développement fondé sur l’innovation (technicité des entreprises, innovation).(7)
  • Même si tous les pays sont classés en fonction de ces trois sous-indices, la méthode de l’ICM repose sur le principe selon lequel les «facteurs d’innovation et de technicité» ont une importance particulière pour l’évaluation des pays développés
  • Tableau 1 : Classement général selon l’ICM (10)
  • Pour ce qui est du sous-indice des facteurs d’innovation et de technicité, le Canada se classe aussi au 16e rang (voir le tableau 2) et aussi derrière certains de ses principaux partenaires commerciaux du G8 (É.-U., 4; Japon, 1; Allemagne, 3; R.-U., 10; France, 13).
  • le Canada est devancé par des partenaires plus petits, mais apparemment plus concurrentiels (Suisse, 2; Suède, 5; Finlande, 6; Danemark, 7; Israël, 8; Taïwan, 9; Pays-Bas, 11; Belgique, 14; Singapour, 15).
  • Selon le rapport du FEM, le Canada occupe le 16e rang au classement général de l’ICM (voir le tableau 1), derrière certains de ses principaux partenaires commerciaux du G8 (É.-U., 6; Japon, 7; Allemagne, 8; R.-U., 10). Le Canada est aussi devancé par la Suisse (1), la Finlande (2), la Suède (3), le Danemark (4), Singapour (5), les Pays-Bas (9), la Norvège (12), Taïwan (13), l’Islande (14) et Israël (15). Toutefois, le Canada se classe mieux que d’autres économies importantes (France, 18;Australie, 19; Inde, 43; Chine, 54; Mexique, 58; Russie, 62; Brésil, 66). 
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    Mesure de la compétitivité : méthode du Forum Economique Mondiale (FEM)
Fred L

Technology Transfer for the Max Planck Society - 0 views

  • Max Planck Innovation is responsible for technology transfer from the research institutes of the Max Planck Society, Germany's leading basic research organization
Fred L

"L'université serait folle de ne pas s'emparer de cette réforme" - Autres - T... - 0 views

  • “L'université serait folle de ne pas s'emparer de cette réforme”
  • ous seriez aussi favorable à une sélection dès l’entrée à l’université ? Je veux une meilleure fluidité de l’orientation, et ce dès le lycée. Il faut en finir avec cette sélection idiote basée sur le bac S, sésame obligatoire aujourd’hui pour devenir médecin ou ingénieur ! Il faudrait permettre plus de passerelles entre les cursus universitaires, plus de variété au sein de ces cursus, créer des alternatives à ces filières impasses où les étudiants se précipitent en masse ! Il faudrait aussi revoir le système des inscriptions en première année : aujourd’hui, plus une université fait d’inscriptions, plus elle reçoit d’argent de l’Etat. Elle a donc tout intérêt à inscrire le maximum d’étudiants, quitte à ce que ceux-ci n’aient pas le niveau, et qu’ils se plantent dès la première année.
  • Dans tous les pays du monde, les sciences « dures » engendrent des revenus, dont profitent les sciences humaines et sociales. Le problème, en France, c’est que ces universités ont été séparées. En 1968, l’Etat a fragmenté l’université : d’un côté les sciences et la médecine, de l’autre les sciences humaines – sans compter que ces dernières se sont divisées en facs de droite et facs de gauche ! Ces séparations n’ont aucun sens aujourd’hui.  
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  • Plus généralement, nous sommes un pays de schizophrènes : d’un côté, on refuse la sélection à l’entrée de l’université ; de l’autre, on garde les classes préparatoires aux grandes écoles, qui pratiquent la pire des sélections. Créées au XIXe siècle pour former des cadres pour la nation, ces écoles servent une caste qui s’auto-entretient. Car qui va en classe prépa ? Pas les élèves issus du prolétariat ! Les universités ne sont plus que la roue de secours d’une petite bourgeoisie française. Ce ne sont pas les élèves les mieux « disposés » pour les sciences qui débarquent chez nous, ici, à Jussieu. Et pourtant, nous avons deux fois plus de laboratoires que Polytechnique.
  • Il faut que l’université retrouve la fierté d’elle-même !   Mais comment ? En introduisant de la sélection ? Les politiques ont reculé sur le principe d’une sélection en master... Je le regrette. Il serait bon que les étudiants ayant obtenu une licence [diplôme de troisième année, NDLR] soient admis ou non à intégrer certains masters en fonction de leurs résultats. Ce serait officialiser une sélection qui existe de façon déguisée : dans beaucoup d’universités, les étudiants qui n’ont pas leur licence en juin doivent passer leur session en septembre, c’est-à-dire trop tard pour s’inscrire en master… de fait, ils sont écartés.
  • L’ancien président de Jussieu se réjouit de l’autonomie de gestion prévue par la nouvelle loi. Homme de gauche, il rêve d’une université démocratique, mais ouverte sur le privé et, pourquoi pas, sélective. Paradoxe ? Pas si sûr.
  • Il avait été question aussi d’augmenter les droits d’inscription. Le sujet semble trop sensible, la loi ne le prévoit finalement pas. Qu’en pensez-vous ? La question se pose surtout pour certaines universités de sciences humaines et sociales qui ont du mal à joindre les deux bouts. En fait, la gratuité n’est pas une question de droite ou de gauche, mais de culture : dans les pays scandinaves, désormais à droite, les études sont gratuites. En Italie, en Allemagne, c’est un peu plus cher que chez nous... En Pologne, pour les meilleurs, c’est gratuit, mais les autres paient très cher. Pour ma part, je pense que quand on enseigne pour des étudiants qui n’ont rien payé on peut avoir la tentation d’en faire moins. Et l’étudiant, en face, a moins de poids pour se plaindre. Par ailleurs, il faut s’interroger : à qui profite la gratuité de l’enseignement supérieur ? Essentiellement aux couches bourgeoises. Ici, à Jussieu, 15 à 16 % seulement de nos étudiants sont d’origine populaire. Pour l’instant, nous nous contentons, parce que nous ne pouvons pas faire mieux, de ne pas faire payer les droits d’inscription à ceux qui n’en ont pas les moyens… droits d’inscription que nous devons quand même reverser à l’Etat !
  • Au final, cette loi donne un énorme pouvoir aux présidents d’université. C’est quoi, être un bon président ? Un bon président d’université doit connaître intimement l’enseignement et la recherche, mais aussi être un bon manager, avoir de la poigne, ne pas avoir peur de son ombre, être animé par une volonté réformatrice, savoir gérer... Ici, à Jussieu, il y a 4 500 personnes, 30 000 étudiants, 100 millions d’euros de budget annuel. C’est énorme.
  • Justement, les présidents en place sont-ils compétents pour affronter ces nouvelles responsabilités ? On leur reproche de ne pas être assez ouverts à l’international, de trop favoriser le recrutement local, de choisir les enseignants plus en fonction de leurs affinités que de leurs compétences... Il y a un point que la nouvelle loi n’aborde pas : le mode de nomination des présidents d’université. Aujourd’hui, le type qui décide de se présenter à la tête d’une université est comme un politique : il constitue sa liste et part à l’assaut pour se faire élire. Je suis contre ce système. L’université, surtout si elle est plus autonome, devrait se doter de garde-fous. La loi aurait dû proposer ce que les pays anglo-saxons ont développé depuis des années : un « search committee » qui, un an avant la retraite du président en fonction, lance une procédure de recherche. Les candidats arrivent (en ayant réfléchi) et défendent leur projet devant ce comité. On aboutit alors à une « short list » de quatre ou cinq candidats parmi lesquels le conseil d’administration choisit le meilleur.
  • Cela dit, cette loi, en donnant plus de pouvoir aux présidents, en leur offrant enfin la possibilité de diriger leurs universités, les met aussi, plus que jamais, face à leurs responsabilités. Un président ne pourra plus se reposer sur l’Etat et sur ses liens avec tel ou tel politique pour débloquer un crédit. L’autonomie va bousculer bien des choses. Et c’est très bien .
François Bertrand

Le Figaro - Economie : Exportations : la France subit la concurrence allemande - 0 views

  • un rapport du Centre d'analyse économique (CAE) confirme que l'avantage compétitif à l'exportation ne tourne pas à la faveur de l'Hexagone.
  • Le rapport indique donc que l'export est le révélateur de la performance d'une économie et de son offre, et non l'inverse. Quant aux entreprises françaises qui exportent, elles sont beaucoup plus performantes que les autres : elles sont 11 % plus productives, emploient 4 fois plus de salariés, les paient 16 % de plus et ont des taux de marge plus élevés…
  • C'est pourquoi les économistes ne prônent pas davantage de soutiens spécifiques publics pour aider les entreprises à exporter, mais plutôt une politique économique dite «horizontale, rehaussant le niveau d'efficacité de l'ensemble des entreprises françaises» : la question de l'innovation est «au cœur» de ces politiques. Et s'il faut aider des entreprises, il faut se concentrer sur les moyennes et grandes pour conserver nos positions déjà difficilement acquises, concluent les auteurs.
François Bertrand

ADIT : Lancement du concours "Automotive.NRW" pour les clusters allemands de l'automobile - 0 views

  • Lancement du concours "Automotive.NRW" pour les clusters allemands de l'automobile
  • L'objectif est de soutenir le transfert d'innovation par des projets en collaboration et d'encourager ainsi les clusters à créer de la valeur.
François Bertrand

DB : Business in Germany: Innovative, but little experimentation - 0 views

  • Business in Germany: Innovative – but little experimentation
  • The participating multinational companies ranked Germany as the third most innovative location in the world – beaten only by the US and China
  • These positive developments cannot mask the fact, however, that there is still a lack of bold entrepreneurs in Germany.
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  • The percentage of people in Germany wanting to start up a company to capitalise on a business opportunity is less than half as high as it is in the US. Germany’s success is tied to its traditional strengths in R&D-intensive industry.
  • By contrast, radically new products and processes are rare. It’s not that Germans lack ideas; the problem seems to be in commercialising them.
  • Germany clearly lags the field on this score: venture capital investment totals merely 0.04% of GDP. The European average is around 0.12%, while that of the US is no less than 0.22%.
  • Nonetheless, Germany is in urgent need of entrepreneurial dynamic.
  • For more on this topic, see: Meyer, Thomas (2008). Venture Capital: Bridge between idea and innovation? Deutsche Bank Research, E-conomics No. 65.
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    Communiqué résumant une étude (à lire...) montrant que l'Allemagne semble avoir des porblèmes d'entrepreunariat assez semblables à la France.
François Bertrand

Threadless T-Shirts - Designer Clothing Submissions - Tees, Tshirts and T shirts! - 0 views

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    site analysée dans une des études sur l'open innovation réupérées en Allemagne
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