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François Bertrand

MESR : L'état de l'enseignement supérieur et de la recherche - 0 views

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    bible statistique sur l'enseignement supérieur et la recherche les données sont de 2005
Fred L

Les partenariats public-privé stimulent l'innovation - SCIENCES ET TECHNOLOGI... - 0 views

  • es partenariats public-privé stimulent l'innovation
  • n moyenne, une entreprise ne produit en interne que 20 % de ses besoins technologiques. Elle doit donc acquérir le reste à l'extérieur, sous forme d'achat ou de partenariat.
  • La coopération entre la recherche publique et les entreprises est la meilleure formule pour valoriser le savoir académique. Pourtant, elle évolue lentement en France.
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  • Nous sommes toujours en quête de compétences externes. Pour une PMI comme la nôtre, les partenariats avec la recherche publique sont fondamentaux. » Jean-Luc Schuppiser, le directeur scientifique du groupe Essilor International, ne tarit pas d'éloges sur les partenariats public-privé
  • Mais, pour le patron de la R&D du leader mondial des verres ophtalmiques, le concept « PPP » a un sens bien particulier. « Le projet doit être construit autour d'un produit ou d'une technologie. Il faut définir un objectif et fixer un calendrier. Cela ne peut pas être une rente éternelle. Il faut procéder à des évaluations régulières, car le monde industriel fonctionne en créant de la valeur. Pour nous, l'idéal c'est un laboratoire mixte où les chercheurs travaillent ensemble et échangent spontanément.
  • Le groupe français dispose depuis 2003 d'une unité de ce type installée à Toulouse dans un laboratoire du CNRS. Il vient de signer un accord avec l'université de Shanghai. Ce labo commun vise des applications originales : découvrir des nanoparticules de synthèse pour l'industrie optique. Une équipe d'une quinzaine de chercheurs dont les deux tiers sont issus de l'université chinoise sera mobilisée autour du projet.
  • Pour l'instant, on est loin du compte. « Les universités françaises ne disposent ni de la possibilité de choisir et de payer leurs professeurs, ni de la liberté de sélectionner leurs élèves. C'est pourtant ce qui fait la force des établissements anglo-saxons. Où sont les universités globales en France ? » estime Charles Kleiber, ancien secrétaire d'Etat à l'éducation et à la recherche en Suisse, qui dénonce la fausse loi sur l'autonomie des universités françaises. Selon lui, les campus sont des « entreprises publiques où l'on fabrique du savoir ». Elles doivent impérativement se concentrer sur l'excellence et intégrer dans leur stratégie la « guerre des cerveaux » qui s'amplifie. « Quand on embauche les meilleurs professeurs, on fait venir les meilleurs élèves et on décroche les gros budgets de recherche. Les universités françaises sont trop autocentrées », assène Charles Kleiber.
  • Elie Cohen, directeur de recherche au CNRS, estime lui aussi que l'Hexagone doit entrer dans une « économie de l'innovation » pour assurer sa croissance.
  • Cet économiste patenté plaide pour une organisation très sélective de la recherche universitaire qui va faire sursauter les syndicats étudiants. Tout en haut de ce système à trois vitesses trônent une dizaine de campus de haut de gamme baptisés « universités de recherche ». Ces champions accueillent les doctorants et les post-doctorants les plus doués (et les plus motivés). Ces prix Nobel en puissance disposent d'installations de haut de gamme et produisent une recherche de qualité internationale. Un cran en dessous règnent des universités régionales (niveau licence et master) qui n'ont pas vocation à produire de la recherche de haut niveau. Le troisième degré se compose de collèges universitaires délivrant une formation plus courte et professionnalisée.
  • Courageux mais pas téméraire, Elie Cohen estime toutefois que pour ne « pas se faire assassiner, il faut prévoir des passerelles » entre les différents statuts.
  • Selon lui, « l'avalanche de réformes et de nouvelles structures » annoncées par le gouvernement depuis 2005 a provoqué un chaos créatif d'où sortira (peut-être) une organisation modernisée du système français de recherche et d'innovation (SFRI).
  • Les partenariats public-privé stimulent l'innovation
  • En attendant la reforme, le prochain budget de la recherche se présente comme un nouveau bras de fer entre certains chercheurs publics et le gouvernement. Objet de la polémique : le crédit d'impôt recherche (CIR). Dans le budget 2009, le CIR va dépasser les 3 milliards d'euros (contre 1,4 milliard d'euros en 2006). Cet instrument fiscal incitatif est destiné à développer la recherche générique dans les entreprises hexagonales (2). De nouvelles mesures de déplafonnement visent également à améliorer l'attractivité du pays pour les entreprises étrangères qui souhaitent implanter des centres de recherche industriels en Europe.
  • Décidément très accommodant, le ministère (MESR) a décidé de mettre en place un dispositif « plus sécurisé pour les entreprises ». En langage clair, il s'agit de purger le CIR de sa réputation réelle ou supposée d'« antichambre du contrôle fiscal » qui lui colle à la peau depuis son introduction (3). Une autre mesure sera particulièrement appréciée par les entreprises : à compter de la déclaration de l'année 2008, le salaire d'un jeune docteur embauché est multiplié par quatre dans l'assiette du CIR. Des « cadeaux aux patrons »que nombre de chercheurs publics plus que jamais remontés contre le privé depuis la crise boursière ne vont sans doute pas apprécier.
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    Pour faire le lien entre le sujet de la MP2008, et le sujet de la MP2009
François Bertrand

TechCrunch en français » [fr] Vue d'un VC: Entretien avec Michel Dahan - Bane... - 0 views

  • Toi qui connais bien le secteur, l’histoire du capital risque en France en quelques mots c’est possible? Non, car elle est plus longue qu’on ne le croit avec des histoires qui remontent à 20 ou 30 ans pour des équipes comme nous ou Sofinnova , Siparex etc … Disons pour simplifier qu’il y a eu des équipes proches des grandes institutions, mais qui ont souvent peu à peu pris leur indépendance. La bulle internet a permis un grand foisonnement d’équipes nouvelles qui n’ont pas toutes pu résister mais les mécanismes fiscaux comme les FCPi ont permis d’avoir en France une des plus nombreuse profession d’Europe.
  • Penses tu que le capital risque en France est suffisamment développé? que lui manque t il? L’éco système est maintenant complet avec tous les conseils ( leveurs, avocats etc …). Ce qui manque toujours c’est bien sûr l’accès à un marché boursier, mais nos confrères aux US découvrent maintenant aussi cette situation.
  • Nous voyons depuis le début de l’année des projets particulièrement forts et nous avons doublé notre rythme d’investissement. Mais il faut des équipes prêtes à affronter la tempête.
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  • J’entends beaucoup les entrepreneurs se plaindre du manque de solution de financement d’amorçage? Quelle est ton analyse? L’amorçage est la partie la plus risquée de l’aventure de la création d’entreprise. Il n’est pas étonnant que partout dans le monde les entrepreneurs peinent à trouver des fonds pour des projets non encore bien établis. Dans la phase de démarrage le rôle des financement de proximité est essentiel. Il faut aussi que les porteurs de projets se disciplinent et acceptent de démarrer lentement, même si je reconnais que ce n’est pas toujours possible. Mais d’un point de vue statistique, reconnaissons que tous les projets ne sont pas viables, nous ne retenons qu’un projet sur cent. Ces projets trouvent parfois preneur chez d’autres confrères mais, soyons politiquement incorrect et disons qu’ il n’est pas sûr que plus de 10% des projets méritent d’être financés…
  • Dans le deal flow recent quel tendances vois tu emerger? Les VCs n’aiment évidement pas parler de leur stratégie ou de leur deal flow, pour des raisons évidentes, mais disons que nous avons beaucoup écarté de projets de réseaux sociaux et qu’on revoit arriver des projets solides d’Ecommerce, qui étaient partis bien trop tôt en 2000.
  • Google, je ne sais pas, car la barre est haute. Bien sûr il y a des copies de projets US et ce n’est pas une mauvaise chose, mais l’Europe a su générer des grands projets très innovants, comme Skype ou en France « Vente privée » dont le modèle est d’une puissance remarquable puisqu’ils semblent seulement limités par leur offre de marchandise !
Fred L

Les petites sociétés innovantes déplorent l'abandon des pouvoirs publics - L'... - 0 views

  • Fut un temps où le gouvernement regardait les start-up, ces jeunes sociétés technologiques innovantes, avec les yeux de Chimène. Cette époque serait révolue. Désormais, ce sont les "gazelles", c'est-à-dire les entreprises de taille moyenne en forte croissance, qu'elles soient ou non innovantes, qui sont choyées. Un nouveau sigle a d'ailleurs fait son apparition dans les statistiques : ETI, pour "entreprises de taille intermédiaire". Les aides publiques aux PME leur sont désormais prioritairement destinées.
  • En 2009, la part de ce budget consacré aux interventions classiques, c'est-à-dire aux avances remboursables pour les start-up, plonge de plus de 60 %, pour ne plus atteindre que 270 millions d'euros.
  • L'essentiel du budget global d'intervention d'Oseo Innovation (qui s'élève au total à 430 millions d'euros) est désormais destiné à financer des projets de recherche de grands groupes et d'ETI (dont certains avaient été sélectionnés par l'Agence de l'innovation industrielle, aujourd'hui disparue).
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  • Oseo Innovation devait également distribuer les subventions aux entreprises des pôles de compétitivité, à partir du 1er janvier 2009, mais cette décision a été repoussée.
  • Les équipes d'Oseo Innovation en sont convaincues. Leurs dirigeants n'ont plus la main sur le personnel distribuant les aides en région. Celui-ci est rattaché à Joël Darnaud, un professionnel de la banque qui applique les méthodes de ce secteur. La distribution d'aides rapporte une prime à celui qui l'octroie. Ce qui incite à faire du chiffre, sans forcément s'attacher à la qualité du dossier, au caractère réellement innovant des produits et services dont il est censé financer l'élaboration.
François Bertrand

eurostat : Indicateurs de l'innovation - 32e séminaire du CEIES - 0 views

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    Actes du séminaire 32e séminaire du CEIES Indicateurs de l'innovation - au-delà de la technologie? Århus, Danemark - 5 et 6 février 2007
François Bertrand

OCDE Science, Technology and Industry Scoreboard 2007 : Highlights - 0 views

  • Investment in knowledge has grown at the same pace as GDP
  • In both Japan and the EU, R&D intensity (R&D expenditure relative to GDP) picked up in 2005 to 3.3% and 1.7%, respectively, following a drop in 2004. In the United States, R&D intensity declined from a peak of 2.7% in 2001 to 2.6% in 2006, mainly owing to stronger growth in GDP than in the other main regions. In 2005, China became the third R&D spender world wide (in purchasing power parity terms) after the United States and Japan, with growth of more than 18% a year in 2000-05.
  • Venture capital is a major source of funding for new technology-based firms and a decisive determinant of entrepreneurship and innovation. It represented about 0.12% of OECD-wide GDP in 2005, up from 0.10% in 2003. It was much higher in Nordic countries (and growing rapidly), but it still remains concentrated in the United Kingdom and the United States. In 2005, these two countries attracted half of all OECD venture capital.
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  • Innovation policies: increased focus on tax incentives and industry-university linkages
  • In 2006, 20 OECD countries offered tax relief for R&D compared to 12 in 1995
  • many OECD governments have encouraged universities to patent their inventions
  • While decreasing slightly, to about 7%, in the countries that pioneered such policies (Australia, Canada and the United States), the share has increased markedly in Japan and the European Union, notably in France and in Germany, although levels remain modest (1.5% in Japan, 3% in the EU, but more than 5% in France).
  • Co-operation between industry and public research institutions
  • The Nordic countries (especially Finland) and Belgium are ahead of other countries
  • S&T and innovation performance: the rise of new players
  • In terms of specialisation, patent data show that emerging economies (India, China, Israel, Singapore) and the United States focus their innovative efforts on high-technology industries (computers, pharmaceuticals) while continental Europe concentrates on medium-high-technology industries (automobiles, chemicals).
  • Innovation surveys show that large firms have a greater tendency to innovate than small ones.
  • California and Tokyo are by far the most inventive regions in ICT and biotechnology
  • The United States has the most biotechnology firms (close to 2 200), followed by Japan and France (around 800 each). In most countries, biotechnology represents 2 to 6% of business R&D but the share is higher in the United States, Switzerland and Canada, and above all in some smaller countries where it exceeds 20% (Denmark, New Zealand, Iceland).
  • The United States and Japan have a comparative advantage in biotechnology and nanotechnology patenting and in the relevant scientific fields, while the EU is the world leader in environment-related technologies (solid waste, renewable energy and motor vehicle abatement), with Germany playing a very active role. Japan is second to the EU in all three environmental technology fields. However, while patenting in renewable energy and motor vehicle abatement has been increasing rapidly since the mid-1990s, patenting in solid waste technologies has declined.
  • High- and medium-high-technology manufacturing accounts for significant shares of exports from Ireland, Japan and Switzerland (shares of over 75%) as well as from Germany, Hungary, Korea and the United States. Among the BRIICS (Brazil, Russia, India, Indonesia, China and South Africa), these industries' exports are most important in China and Brazil, accounting for 55 and 32%, respectively, of total exports of manufactured and primary products. Because of the globalisation of value chains, a economy such as China imports more high-technology goods than it exports; much of these imports are components that are assembled in Chinese factories.
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    comparaison internationale pas mal de données sur des idées qui circulent
François Bertrand

KPMG : Les PME qui grandissent - 0 views

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    qui sont-elles ? pourquoi sont-elles si performantes ? voir notamment la partie sur l'innovation (fin de document)
François Bertrand

dti, the R&D scoreboard 2006 - 0 views

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    the top 800 UK & 1250 global companies by R&D investment --- document cité par Denis Randet pour expliquer le rôle important que joue les grands groupes dans la R&D
François Bertrand

APEC : La mobilité des cadres - 0 views

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    En cas de besoin, quelques ordres de grandeur sur la mobilité des cadres, la formation professionnelle, etc.
François Bertrand

CSOEC : Baromètre des PME et TPE - 0 views

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    Enquête d'opinion réalisée par TNS Sofres pour le compte du Conseil Supérieur de l'Ordre des Experts-Comptables --- A noter les opinions sur l'avenir
François Bertrand

CORDIS: EU R&D spending remains unchanged - 0 views

  • the best in the class were Sweden and Finland
  • R&D labour force, which stood at 4.8% of the total labour force in 2006
François Bertrand

UNdata - 0 views

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    à essayer !
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