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Home/ Groups/ Mission FNEP 2008
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Euromonde 2015 : une stratégie européenne pour la mondialisation - Rapport fi... - 0 views

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    Extrait des principales conclusions : "La France a beaucoup à faire pour améliorer ses performances nationales et accroître du même coup sa crédibilité au regard de l'agenda de Lisbonne : c'est particulièrement le cas en ce qui concerne la réforme du marché du travail (flexicurité), les politiques de la connaissance, la politique énergétique et environnementale et l'appropriation nationale de la stratégie européenne. Les réformes engagées depuis le printemps 2007 doivent être poursuivies et approfondies." "Sa présidence prochaine de l'Union européenne offre à la France l'occasion de promouvoir certains objectifs prioritaires tels que la dynamisation du « triangle de la connaissance » (enseignement supérieur, recherche et innovation)" "Lisbonne Plus doit s'appuyer sur des mesures économiques, sociales et environnementales centrées sur la promotion de l'innovation : ces mesures porteront à la fois sur le renforcement de l'économie de la connaissance, la valorisation du capital humain européen et la promotion d'une « nouvelle économie verte »."
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Construire un Espace Européen de la Recherche compétitif au service de la soc... - 0 views

  •  RAPPORT
  •  RAPPORT (pdf)
  • RAPPORT (pdf)
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  • Construire un Espace Européen de la Recherche compétitif au service de la société européenne décembre 2007
  • la suite de la publication du Livre Vert « l’Espace Européen de la recherche : nouvelles perspectives » du 4 avril 2007 qui « vise à lancer un vaste débat institutionnel et public en vue des initiatives pour 2008 », un travail de réflexion a été mené par le Centre d’analyse stratégique en liaison avec le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, afin de préparer la réponse nationale au Livre Vert. L’objet en est la construction de l’Espace Européen de la Recherche (EER) en tant que « pilier pour une société de la connaissance en Europe ».
  • « Un espace Européen de la Recherche compétitif au service de la société européenne », Jean-Louis Sangaré, Note d’analyse du Centre d’analyse stratégique, 8 octobre 2007
  •  Investir dans la recherche pour doper la croissance européenne », Note d’analyse du Centre d’analyse stratégique, Jean-Louis Sangaré, 4 septembre 2006 « Quels instruments de financements communautaires pour la recherche et l’innovation ? », Note d’analyse du Centre d’analyse stratégique, Jean-Louis Sangaré, 26 mars 2007 « (Internationalisation de la R&D des entreprises et attractivité de la France », Mohamed Harfi, Claude Mathieu et Etienne Pfister, Centre d’analyse stratégique, 25 mai 2007
  • Les trois principales recommandations de ce rapport : - Intégrer clairement dans le périmètre de l’EER à la fois la recherche publique et la recherche des entreprises ; - Construire une vision partagée de l’EER (orientations stratégiques, prospective et expertise, évaluation) pour définir avec l’ensemble des acteurs concernés, des objectifs et un pilotage communs ; - Favoriser en priorité l’excellence des chercheurs et leur mobilité ainsi que celle des autres acteurs essentiels de la RDI, dans et entre les secteurs public et privé.
  • Eléments bibliographiques
  • R&D et Innovation « Créer une Europe innovante », rapport du groupe d’experts indépendants sur la R&D et l’innovation, Esko Aho, janvier 2006 « Mettre le savoir en pratique : une stratégie d’innovation élargie pour l’UE », communication de la Commission européenne au Conseil, au Parlement européen, au Comité économique et social européen et au Comité des régions, COM(2006)502 final, 2006
  •  En bref
  • Chiffres clés « Chiffres clés 2007 pour la science, la technologie et l’innovation : vers un espace européen de la connaissance », Eurostat
  • Le partage des connaissances « Améliorer les transferts de connaissance entre les organismes de recherche et les entreprises à travers l’Europe : vers l’innovation ouverte », communication de la Commission européenne, COM(2007)182 et documents de travail des services SEC(2007)449, 4 avril 2007 : http://ec.europa.eu/invest-in-research/pdf/com2007182_fr.pdf
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L'Etat dévoile (en partie) son projet de "Silicon Valley" - 0 views

  • L'Etat dévoile (en partie) son projet de "Silicon Valley"
  • Le secrétaire d'Etat chargé du développement de la Région capitale, Christian Blanc, a dévoilé jeudi son projet d'aménagement du plateau de Saclay, à une vingtaine de kilomètres au sud de Paris. LEXPRESS.FR vous propose d'en découvrir les principales lignes.
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  • Ce territoire, grand comme deux fois la ville de Paris, est destiné à devenir un pôle de recherche scientifique de rang mondial.
  • Une sorte de "Silicon Valley à la française".
  • Pour concrétiser cette vieille ambition nationale, qui n'a jamais véritablement aboutie, l'Etat compte prendre le leadership sur la région Ile-de-France au travers d'un arsenal juridique.
  • Un établissement public spécifique, qui associera tous les protagonistes (Etat, collectivités locales, représentants du monde scientifique et économique), doit être créé par une loi au cours du premier trimestre de l'année prochaine.
  • Le préfet de région disposera en outre de la haute main sur la délivrance des permis de construire, grâce à la création d'une opération d'intérêt national (OIN) annoncée pour janvier 2009. 
  • les zones d'ombre demeurent importantes -notamment sur la façon de financer un investissement global de 2,5 à 3 milliards d'euros-
  • 1. Triangle Sud
  • Cette première zone scientifique et technologique sera le coeur du dispositif. Elle aura pour vocation les sciences dures (physique, chimie, mathématiques...).
  • y implanter l'université Paris XI
  • De prestigieuses écoles d'ingénieurs (Centrale, Mines...) mais aussi l'Ecole Normale Supérieure de Cachan ou Agro Paris Tech sont également pressentis pour rejoindre ce site. Avec les organismes déjà présents (CEA, CNRS, SupElec, Polytechnique...), l'ensemble pourrait atteindre la taille critique indispensable afin d'être crédible à l'échelle internationale.
  • 2. Satory La Minière La vocation de cette deuxième zone scientifique et technologique doit encore être confirmée. L'idée serait de la spécialiser sur le véhicule du futur
  • 3. Espaces verts
  • "sanctuariser" 1800 hectares de surfaces agricoles utiles.
  • 4. Transport Le secrétaire d'Etat souhaite de longue date relier le plateau de Saclay d'est en ouest par un métro automatique rapide (comparable au Orlyval) partiellement souterrain.
  • pas du tout au goût de la région Ile-de-France
  • élargir la vocation de l'aérodrome de Toussu-le-Noble au tourisme d'affaires (à l'image de l'aéroport du Bourget au nord de Paris).
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EVCA :: Home :: - 0 views

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    European private equity and venture capital association
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Les présidents d'université très offensifs - ENSEIGNEMENT - 0 views

  • Il y a des avancées significatives : on retrouve le 1,8 milliard supplémentaire promis
  • La commission Philip qui les réunit rendra son rapport d'ici peu. Osera-t-elle lever des tabous ? Dans une version provisoire du rapport, dévoilée par le site Internet EducPros.fr (« L'Etudiant »), elle envisageait l'intégration des classes préparatoires au sein des universités estimant que « cette expérimentation pourrait se révéler intéressante ». La proposition n'est pas neuve : émise par la CPU en 2005, elle avait suscité une vaste levée de boucliers chez les grandes écoles. Reste donc à voir jusqu'où la commission Philip sera prête à aller.
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L'Université de technologie de Troyes : un temps d'avance sur la réforme - EN... - 0 views

  • L'Université de technologie de Troyes : un temps d'avance sur la réforme [ 25/07/08  ] Recrutement de contractuels, gestion des ressources humaines et financières, pédagogie innovante... l'Université de technologie de Troyes n'a pas attendu la loi LRU pour se lancer, avec succès, dans la voie de l'autonomie.
  • ne double identité également portée par le parcours de son président, un enseignant-chercheur qui a fait ses armes dans l'industrie américaine. « Pour moi, l'université doit fonctionner comme une entreprise », affirme Christian Lerminiaux.
  • Aux commandes depuis 2004, cette personnalité iconoclaste a su miser sur la spécificité de l'UTT. Résultat : 45 % des personnels universitaires sont des contractuels, issus d'entreprises industrielles et tertiaires : « Ils apportent une approche pédagogique différente », estime Christian Lerminiaux.
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"L'université serait folle de ne pas s'emparer de cette réforme" - Autres - T... - 0 views

  • “L'université serait folle de ne pas s'emparer de cette réforme”
  • L’ancien président de Jussieu se réjouit de l’autonomie de gestion prévue par la nouvelle loi. Homme de gauche, il rêve d’une université démocratique, mais ouverte sur le privé et, pourquoi pas, sélective. Paradoxe ? Pas si sûr.
  • Dans tous les pays du monde, les sciences « dures » engendrent des revenus, dont profitent les sciences humaines et sociales. Le problème, en France, c’est que ces universités ont été séparées. En 1968, l’Etat a fragmenté l’université : d’un côté les sciences et la médecine, de l’autre les sciences humaines – sans compter que ces dernières se sont divisées en facs de droite et facs de gauche ! Ces séparations n’ont aucun sens aujourd’hui.  
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  • Plus généralement, nous sommes un pays de schizophrènes : d’un côté, on refuse la sélection à l’entrée de l’université ; de l’autre, on garde les classes préparatoires aux grandes écoles, qui pratiquent la pire des sélections. Créées au XIXe siècle pour former des cadres pour la nation, ces écoles servent une caste qui s’auto-entretient. Car qui va en classe prépa ? Pas les élèves issus du prolétariat ! Les universités ne sont plus que la roue de secours d’une petite bourgeoisie française. Ce ne sont pas les élèves les mieux « disposés » pour les sciences qui débarquent chez nous, ici, à Jussieu. Et pourtant, nous avons deux fois plus de laboratoires que Polytechnique.
  • Il faut que l’université retrouve la fierté d’elle-même !   Mais comment ? En introduisant de la sélection ? Les politiques ont reculé sur le principe d’une sélection en master... Je le regrette. Il serait bon que les étudiants ayant obtenu une licence [diplôme de troisième année, NDLR] soient admis ou non à intégrer certains masters en fonction de leurs résultats. Ce serait officialiser une sélection qui existe de façon déguisée : dans beaucoup d’universités, les étudiants qui n’ont pas leur licence en juin doivent passer leur session en septembre, c’est-à-dire trop tard pour s’inscrire en master… de fait, ils sont écartés.
  • ous seriez aussi favorable à une sélection dès l’entrée à l’université ? Je veux une meilleure fluidité de l’orientation, et ce dès le lycée. Il faut en finir avec cette sélection idiote basée sur le bac S, sésame obligatoire aujourd’hui pour devenir médecin ou ingénieur ! Il faudrait permettre plus de passerelles entre les cursus universitaires, plus de variété au sein de ces cursus, créer des alternatives à ces filières impasses où les étudiants se précipitent en masse ! Il faudrait aussi revoir le système des inscriptions en première année : aujourd’hui, plus une université fait d’inscriptions, plus elle reçoit d’argent de l’Etat. Elle a donc tout intérêt à inscrire le maximum d’étudiants, quitte à ce que ceux-ci n’aient pas le niveau, et qu’ils se plantent dès la première année.
  • Il avait été question aussi d’augmenter les droits d’inscription. Le sujet semble trop sensible, la loi ne le prévoit finalement pas. Qu’en pensez-vous ? La question se pose surtout pour certaines universités de sciences humaines et sociales qui ont du mal à joindre les deux bouts. En fait, la gratuité n’est pas une question de droite ou de gauche, mais de culture : dans les pays scandinaves, désormais à droite, les études sont gratuites. En Italie, en Allemagne, c’est un peu plus cher que chez nous... En Pologne, pour les meilleurs, c’est gratuit, mais les autres paient très cher. Pour ma part, je pense que quand on enseigne pour des étudiants qui n’ont rien payé on peut avoir la tentation d’en faire moins. Et l’étudiant, en face, a moins de poids pour se plaindre. Par ailleurs, il faut s’interroger : à qui profite la gratuité de l’enseignement supérieur ? Essentiellement aux couches bourgeoises. Ici, à Jussieu, 15 à 16 % seulement de nos étudiants sont d’origine populaire. Pour l’instant, nous nous contentons, parce que nous ne pouvons pas faire mieux, de ne pas faire payer les droits d’inscription à ceux qui n’en ont pas les moyens… droits d’inscription que nous devons quand même reverser à l’Etat !
  • Au final, cette loi donne un énorme pouvoir aux présidents d’université. C’est quoi, être un bon président ? Un bon président d’université doit connaître intimement l’enseignement et la recherche, mais aussi être un bon manager, avoir de la poigne, ne pas avoir peur de son ombre, être animé par une volonté réformatrice, savoir gérer... Ici, à Jussieu, il y a 4 500 personnes, 30 000 étudiants, 100 millions d’euros de budget annuel. C’est énorme.
  • Justement, les présidents en place sont-ils compétents pour affronter ces nouvelles responsabilités ? On leur reproche de ne pas être assez ouverts à l’international, de trop favoriser le recrutement local, de choisir les enseignants plus en fonction de leurs affinités que de leurs compétences... Il y a un point que la nouvelle loi n’aborde pas : le mode de nomination des présidents d’université. Aujourd’hui, le type qui décide de se présenter à la tête d’une université est comme un politique : il constitue sa liste et part à l’assaut pour se faire élire. Je suis contre ce système. L’université, surtout si elle est plus autonome, devrait se doter de garde-fous. La loi aurait dû proposer ce que les pays anglo-saxons ont développé depuis des années : un « search committee » qui, un an avant la retraite du président en fonction, lance une procédure de recherche. Les candidats arrivent (en ayant réfléchi) et défendent leur projet devant ce comité. On aboutit alors à une « short list » de quatre ou cinq candidats parmi lesquels le conseil d’administration choisit le meilleur.
  • Cela dit, cette loi, en donnant plus de pouvoir aux présidents, en leur offrant enfin la possibilité de diriger leurs universités, les met aussi, plus que jamais, face à leurs responsabilités. Un président ne pourra plus se reposer sur l’Etat et sur ses liens avec tel ou tel politique pour débloquer un crédit. L’autonomie va bousculer bien des choses. Et c’est très bien .
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Technology Transfer for the Max Planck Society - 0 views

  • Max Planck Innovation is responsible for technology transfer from the research institutes of the Max Planck Society, Germany's leading basic research organization
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La question d'une 4e licence 3G réglée avant la fin de l'année - Politique Ec... - 0 views

  • Eric Besson a par ailleurs annoncé le lancement en 2009 d'une carte d'identité électronique, qui permettra notamment de prouver son identité sur l'internet.
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Bâtir l'administration avec et pour le citoyen - Localtis.info - 0 views

  • Bâtir l'administration avec et pour le citoyen
  • Les acteurs européens du secteur public se réunissent tous les deux ans pour promouvoir l'innovation et les meilleures pratiques de qualité en Europe. Dans le cadre de la présidence française de l'Union européenne, la cinquième conférence sur la qualité des services publics en Europe (5QC) s'est tenue à Paris du 20 au 22 octobre et avait choisi pour thème "Le citoyen au coeur de la qualité publique".
  • Quelques 59 bonnes pratiques exemplaires et innovantes dans la prise en compte des attentes et des besoins de citoyens ont été présentées autour de sujets tels que l'évaluation et la performance des services publics, l'utilisation des méthodes formelles d'ingénierie de la qualité telle que la méthode CAF ("Commun Assesment Framework", ou cadre d'auto-évaluation des fonctions publiques, méthode d'évaluation du management), l'intégration des groupes défavorisés, la gestion de la diversité et l'intégration des minorités, l'implication du personnel et des citoyens dans l'action publique, etc. Alors que la première conférence de Lisbonne, en 2000, mettait l'accent sur la qualité du service à l'usager, placer le citoyen "au coeur" entraîne un changement de posture.
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  • De technique, la  question devient politique : la qualité vise non seulement l'amélioration d'un service, mais il s'agit in fine d'améliorer la vie des citoyens et de répondre à leurs attentes, d'intégrer des enjeux collectifs (tel que le développement durable), "de considérer le citoyen comme moteur de la qualité" et d'associer l'ensemble des acteurs à la démarche. La démarche suppose de repenser les modes de fonctionnement de l'administration.
  • La clé, c'est l'innovation
  • Comme l'a indiqué Geoff Mulgan, directeur de la Fondation des jeunes (Londres), dans l'une des tables-rondes de clôture : "La qualité dépend du public. Quand le public l'exige, les services sont très bons ; quand il n'est pas impliqué, les services restent médiocres. Pour réaliser des services de qualité, il faut connaître l'attente des usagers et mobiliser les citoyens pour qu'ils s'impliquent." Cela suppose aussi de nouveaux modes de gestion : "La clé, pour tout gouvernement, c'est l'innovation, internaliser la capacité d'innover", a-t-il poursuivi. Il faut  entrer dans un processus de co-création entre les professionnels et les citoyens. Et d'insister : "Il faut une méthode complètement différente qui démarre par le citoyen.
  • Il faut  observer comment nos concitoyens vivent, être des ethnographes au jour le jour (voir comment le patient vit le service à l'hôpital, par exemple) et s'appuyer sur les initiatives des citoyens."  Et de nombreuses bonnes pratiques vont déjà dans ce sens dans plusieurs pays. A titre d'exemples, on peut citer les "brigades Kafka" en Belgique et en Hollande qui permettent aux citoyens de proposer des solutions quand ils se retoruvent en butte  à des procédures administratives rigides ; l'utilisation de Google Map pour communiquer sur les dégradations sur la voie publique, avec possibilité de déposer des plaintes, de faire des suggestions, d'obtenir des réponses ; la mise en place de plateformes permettant de recueillir l'avis des patients et de les diffuser aux médecins ; la transformation des plaintes des citoyens en chansons diffusables dans le monde entier en Finlande ; la campagne pour une Inde propre s'appuyant sur les adolescents pour surveiller l'environnement et faire pression sur le gouvernement pour qu'il prenne les mesures nécessaires, etc.
  • Comment faire concrètement ? Il est significatif que l'une des sessions plénières s'intitulait "Bâtir l'administration de demain, avec, pour et autour des usagers". "Il faut faire confiance aux personnes. Le politique a aussi un rôle moteur dans l'innovation et doit définir les priorités, consacrer un budget à la Ret D. Les bonnes structures sont celles qui sont capables de bien mobiliser les réseaux [...] Il faut aussi aller très vite dans ce domaine, apprendre beaucoup plus rapidement et voir ce qu'il se passe ailleurs : à chaque fois qu'il y a un problème, il faut aller regarder qui a trouvé la solution dans un autre pays. La récession, loin d'être un frein, est un accélérateur de l'innovation, car elle permet de lâcher la bride à la créativité autour des problèmes d'exclusion", a conclu Geoff Mulgan.
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L'ENA, le mal français? - 0 views

  • La France en ne créant qu'une seule voie de recrutement aux postes de pouvoir ne donne pas la chance à des profils atypiques, à des expériences différentes. Ce manque d'ouvertue se reflètent dans les décisions politiques et industrielles: manque d'ambition et d'anticipation, esprit de corps, conservatisme ...
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SLR - L'Association finlandaise TUTKAS - 0 views

  • L’Association finlandaise TUTKAS a été fondée dans les années 70, constituée dès le départ de membres du Parlement et de scientifiques, avec l’objectif avéré de renforcer et de développer les contacts entre scientifiques et représentation nationale (députés). Les relations avec le Parlement, et les initiatives à entreprendre de concert ont donné lieu à différentes réunions, enquêtes et rapports dans les années 80. C’est en 1992 que le Parlement a adopté une proposition, à l’initiative de TUTKAS, d’inviter le gouvernement à publier, à chaque échéance électorale, càd. tous les 4 ans, un Rapport blanc sur l’avenir de la recherche en Finlande à chaque échéance électorale.
  • Suite à la présentation de ce 1er Rapport blanc en 1994, le Parlement finlandais crée son Comité pour le Futur.
  • TUTKAS a soutenu pas à pas les enquêtes destinées à ce rapport, de même qu’elle a inspiré, en tant que regroupement informel de scientifiques plus encore que comme association officielle, différentes initiatives concernant les relations entre Sciences, éducation et société.
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Les innovations de Firefox et de Mozilla - Transnets - Blog LeMonde.fr - 0 views

  • Avec 30% d’utilisateurs en Europe, on peut considérer qu’on touche déjà les non-geeks. Le succès tient à quelques éléments dont les plus importants sont que : Le “produit Firefox” est meilleur et plus simple à utiliser que son concurrent monopolistique. Les utilisateurs avancés disposent d’un navigateur “sur mesure” grâce à l’ajout d’extensions. Ces “power users” sont de grands prescripteurs, et ils savent qu’ils peuvent mettre Firefox (souvent sans extension) dans toutes les mains. Par ailleurs, les extensions sont une formidable boite à outil pour innover. Elles rendent Firefox d’autant plus excitant, et nos utilisateurs d’autant plus passionnés.
  • Si vous voulez une version dans votre langue, alors il suffit de participer et c’est la communauté qui gère !
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Contribution à l'innovation - LIVRE - 0 views

  • « Futuris 2008, La Recherche et l'Innovation en France »,sous la direction de Jacques Lesourne et Denis Randet.Ed. Odile Jacob, 470 pages, 27 euros.  
  • Ce gros ouvrage collectif est le troisième opus d'une oeuvre annuelle qui dresse un bilan sans concession de l'état de la politique de recherche et d'innovation en France : point forts, points faibles, flux financiers, réformes engagées, comparaisons internationales, état de la demande sociale, politique européenne...
  • La France est un pays moyen qui entend être partout et disperse ses forces
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  • C'est pourquoi les auteurs, réunis dans le collectif Futuris, préconisent une vraie définition des priorités, notamment dans le domaine des sciences du vivant, une meilleure articulation recherche-universités et la mise en place d'indicateurs fiables dans le cadre de la réforme de l'Etat.
  • Le collectif. Futuris est un programme de travail développé au sein de l'Association nationale de la recherche et de la technologie (ANRT) qui regroupe à la fois chercheurs du privé (des entreprises) et du public. Elle est présidée par Jean-François Dehecq, président de Sanofi Aventis.
  • Les auteurs. L'ouvrage est piloté par le prospectiviste Jacques Lesourne, et rassemble une vingtaine d'économistes et chercheurs, provenant entre autres de l'université, de l'institut Pasteur, de l'Inserm, du CEA, de l'école des Mines et d'entreprises privées.
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Microsoft Innovation Center : au cœur de l'innovation tunisienne - Global Sec... - 0 views

  • Microsoft Innovation Center : au cœur de l’innovation tunisienne
  • Fruit du partenariat stratégique de Microsoft avec le gouvernement tunisien, le Microsoft Innovation Center (MIC) tunisien est un espace de collaboration dédié au soutien de la croissance du secteur logiciel, à la stimulation de l’innovation et au développement du capital intellectuel. Créé il y a un an et demi, le MIC est à la fois porteur d’initiatives pour les startups, les SSII, les universités et le gouvernement. Leila Charfi, Directrice du MIC, et Hafedh Yahmadi, Developer & Platform Advisor, Microsoft Tunisie, rencontrés à l’occasion des Med-IT Tunis, dressent un premier bilan de cette initiative.
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Le pourfendeur de Bush Nobel d'économie - POLITIQUE ECONOMIQUE - 0 views

  • Le pourfendeur de Bush Nobel d'économie
  • l'Américain Paul Krugman vient de recevoir le prix Nobel d'économie
  • Agé de cinquante-cinq ans, ce professeur de Princeton est l'un des éditorialistes les plus lus aux Etats-Unis. Ses chroniques dans le « New York Times » sont ardemment commentées et inspirent la réflexion de tous ceux qui sont impliqués dans le règlement de la crise financière aujourd'hui.
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  • « Il m'est arrivé quelque chose d'amusant ce matin. » Voilà le commentaire volontairement modeste que Paul Krugman a posté hier sur son blog
  • L'Académie royale des sciences de Suède a voulu récompenser ses travaux sur les échanges et la localisation de l'activité économique, car « il a ainsi réconcilié des champs de recherche auparavant disparates sur le commerce international et la géographie économique »
  • Paul Krugman a notamment expliqué pourquoi le commerce mondial est dominé par des pays qui se ressemblent et les raisons pour lesquelles un pays peut aussi bien importer qu'exporter un même produit.
  • La réponse des pouvoirs publics à la globalisation est au coeur de sa recherche.
  • Sa nouvelle théorie sur les échanges lui a déjà valu d'obtenir la médaille John Bates Clark de l'Association économique américaine en 1991
  • Cette nouvelle distinction devrait donner encore plus de poids à ses commentaires et renforcer encore l'une de ses vocations : celle d'un économiste qui cherche à écrire de façon claire, efficace et amusante pour les profanes de sa science.
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Les partenariats public-privé stimulent l'innovation - SCIENCES ET TECHNOLOGI... - 0 views

  • es partenariats public-privé stimulent l'innovation
  • n moyenne, une entreprise ne produit en interne que 20 % de ses besoins technologiques. Elle doit donc acquérir le reste à l'extérieur, sous forme d'achat ou de partenariat.
  • La coopération entre la recherche publique et les entreprises est la meilleure formule pour valoriser le savoir académique. Pourtant, elle évolue lentement en France.
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  • Nous sommes toujours en quête de compétences externes. Pour une PMI comme la nôtre, les partenariats avec la recherche publique sont fondamentaux. » Jean-Luc Schuppiser, le directeur scientifique du groupe Essilor International, ne tarit pas d'éloges sur les partenariats public-privé
  • Mais, pour le patron de la R&D du leader mondial des verres ophtalmiques, le concept « PPP » a un sens bien particulier. « Le projet doit être construit autour d'un produit ou d'une technologie. Il faut définir un objectif et fixer un calendrier. Cela ne peut pas être une rente éternelle. Il faut procéder à des évaluations régulières, car le monde industriel fonctionne en créant de la valeur. Pour nous, l'idéal c'est un laboratoire mixte où les chercheurs travaillent ensemble et échangent spontanément.
  • Le groupe français dispose depuis 2003 d'une unité de ce type installée à Toulouse dans un laboratoire du CNRS. Il vient de signer un accord avec l'université de Shanghai. Ce labo commun vise des applications originales : découvrir des nanoparticules de synthèse pour l'industrie optique. Une équipe d'une quinzaine de chercheurs dont les deux tiers sont issus de l'université chinoise sera mobilisée autour du projet.
  • Pour l'instant, on est loin du compte. « Les universités françaises ne disposent ni de la possibilité de choisir et de payer leurs professeurs, ni de la liberté de sélectionner leurs élèves. C'est pourtant ce qui fait la force des établissements anglo-saxons. Où sont les universités globales en France ? » estime Charles Kleiber, ancien secrétaire d'Etat à l'éducation et à la recherche en Suisse, qui dénonce la fausse loi sur l'autonomie des universités françaises. Selon lui, les campus sont des « entreprises publiques où l'on fabrique du savoir ». Elles doivent impérativement se concentrer sur l'excellence et intégrer dans leur stratégie la « guerre des cerveaux » qui s'amplifie. « Quand on embauche les meilleurs professeurs, on fait venir les meilleurs élèves et on décroche les gros budgets de recherche. Les universités françaises sont trop autocentrées », assène Charles Kleiber.
  • Elie Cohen, directeur de recherche au CNRS, estime lui aussi que l'Hexagone doit entrer dans une « économie de l'innovation » pour assurer sa croissance.
  • Cet économiste patenté plaide pour une organisation très sélective de la recherche universitaire qui va faire sursauter les syndicats étudiants. Tout en haut de ce système à trois vitesses trônent une dizaine de campus de haut de gamme baptisés « universités de recherche ». Ces champions accueillent les doctorants et les post-doctorants les plus doués (et les plus motivés). Ces prix Nobel en puissance disposent d'installations de haut de gamme et produisent une recherche de qualité internationale. Un cran en dessous règnent des universités régionales (niveau licence et master) qui n'ont pas vocation à produire de la recherche de haut niveau. Le troisième degré se compose de collèges universitaires délivrant une formation plus courte et professionnalisée.
  • Courageux mais pas téméraire, Elie Cohen estime toutefois que pour ne « pas se faire assassiner, il faut prévoir des passerelles » entre les différents statuts.
  • Selon lui, « l'avalanche de réformes et de nouvelles structures » annoncées par le gouvernement depuis 2005 a provoqué un chaos créatif d'où sortira (peut-être) une organisation modernisée du système français de recherche et d'innovation (SFRI).
  • Les partenariats public-privé stimulent l'innovation
  • En attendant la reforme, le prochain budget de la recherche se présente comme un nouveau bras de fer entre certains chercheurs publics et le gouvernement. Objet de la polémique : le crédit d'impôt recherche (CIR). Dans le budget 2009, le CIR va dépasser les 3 milliards d'euros (contre 1,4 milliard d'euros en 2006). Cet instrument fiscal incitatif est destiné à développer la recherche générique dans les entreprises hexagonales (2). De nouvelles mesures de déplafonnement visent également à améliorer l'attractivité du pays pour les entreprises étrangères qui souhaitent implanter des centres de recherche industriels en Europe.
  • Décidément très accommodant, le ministère (MESR) a décidé de mettre en place un dispositif « plus sécurisé pour les entreprises ». En langage clair, il s'agit de purger le CIR de sa réputation réelle ou supposée d'« antichambre du contrôle fiscal » qui lui colle à la peau depuis son introduction (3). Une autre mesure sera particulièrement appréciée par les entreprises : à compter de la déclaration de l'année 2008, le salaire d'un jeune docteur embauché est multiplié par quatre dans l'assiette du CIR. Des « cadeaux aux patrons »que nombre de chercheurs publics plus que jamais remontés contre le privé depuis la crise boursière ne vont sans doute pas apprécier.
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    Pour faire le lien entre le sujet de la MP2008, et le sujet de la MP2009
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Le blog Marcel Gauchet: Nicolas Sarkozy, un symptôme de son temps - 0 views

  • Quelle responsabilité, quel périmètre d’autorité et de légitimité l’Etat doit-il assurer pour être « dans » son rôle démocratique? L’Etat est dans un moment de complète redéfinition de sa fonction. Le rôle, « pilote » et «régulateur » de l’économie, qui était le sien dans les années soixante est obsolète. Aujourd’hui, l’Etat ne doit pas être une « super structure », mais une « infrastructure » qui charpente l’espace collectif, qui veille au haut degré d’homogénéité matérielle sur un territoire, qui assure l’éducation, les soins, de multiples protections, l’ouverture au monde et les déplacements sécurisés au-delà des frontières, sans lesquels le marché serait inopérant. Pour toutes ces raisons, la vocation de l’Etat n’est pas de nous conduire, mais de nous permettre d’exister. Comment peut-on encore s’acharner à nier cette évidence?
  • Le discrédit dont il affuble l’Etat et la collectivité, et le culte de la réussite individuelle qu’il promeut, rendent-ils le libéralisme ennemi de la démocratie? Le libéralisme est une des valeurs de la démocratie, mais il ne suffit pas par lui-même à faire fonctionner la démocratie. Une certaine forme de libéralisme est un symptôme de la crise de la démocratie, puisqu’elle cultive la fiction d’un individu irresponsable par rapport à la collectivité. Pour cette raison, rien ne me semble plus important que de redonner un sens juste au libéralisme, capable de contrecarrer les embardées idéologiques récemment traversées. Il faut riposter à « l’unilatéralisme » du libéralisme qui érige ce dernier en dogme et trouve un relais, un amplificateur formidables dans l’individualisme dominant. Le mouvement a d’ailleurs débuté.
  • A partir de quels compromis peut-on concilier les droits de l’homme, formidable progrès, et les droits de la collectivité, ferments de la démocratie ? Etablissez-vous une hiérarchie des démocraties, existe-t-il des démocraties « pilotes » ? Nulle part il n’existe de formule satisfaisante. En revanche, certaines démocraties adoptent des institutions admirables et des formes d’exemplarité intéressantes. Outre l’Angleterre, il y a la social-démocratie scandinave, riche de conditions culturelles et de civisme difficilement transposables mais justement instructives pour identifier nos carences. Les Etats-Unis ont développé un sens aigu de l’intégration démocratique, dont la France gagnerait à s’inspirer. Toutes les démocraties sont plongées dans la perplexité, à des niveaux et sur des aspects différents et inégaux. La France tout particulièrement, elle qui, forte de son histoire, croyait sa démocratie encore à l’avant-garde et la découvre balbutiante.
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  • Vous considérez qu’à court terme la crise de la démocratie ne peut que s’aggraver, mais qu’en revanche, à l’aune par exemple de l’enjeu écologique, elle peut déboucher vers une démocratie « supérieure ». Quel contenu donnez-vous à cette classification? Mon optimisme à long terme repose sur un constat: l’individu a besoin de la collectivité et ne cesse d’ailleurs d’exprimer ce besoin. Pour preuve, la forme paroxystique de l’individualisme contemporain n’est pas le rejet ou le mépris de la société, caractéristiques de l’anarchisme de 1880,ou même l’autarcie. On peut la résumer à une formule: « Je ne dois rien à la société, mais elle me doit tout ». Il faut se méfier de certaines images d’Epinal. Par exemple, il est fréquemment évoqué la dissolution du lien social, mais pourtant jamais ce lien n’a été aussi fort si on le mesure au degré de dépendance des individus à leur téléphone portable… A leur échelle, les individus expriment un désir d’équilibre entre leur affirmation individuelle, parfaitement légitime, et celle de s’inscrire dans une communauté où leur existence prend un sens. L’un des aspects majeurs de la privatisation des existences, si emblématique de notre société, c’est le repli sur la famille, donc sur les enfants. Or existe-t-il lien plus puissant avec l’humanité que considérer que la vie ne se réduit pas à soi et se poursuit avec une descendance qu’il faut préparer le mieux possible ? Qui donc peut rêver pour ses enfants d’un monde infernal, pire que celui qu’il connaît ? Personne. D’ailleurs, le pessimisme des Français est corrélé à leur peur d’un avenir moins enviable pour leurs enfants. Finalement, la société, ce n’est rien d’autre qu’assurer la pérennité de l’humanité. Et effectivement, la préoccupation écologique doit constituer la forme la plus explicite de ce souci de poursuivre l’aventure humaine.
  • L’entreprise, dont les manifestations collectives et les contre-pouvoirs syndicaux sont anémiques, est-elle définitivement dans le déni démocratique ou bien certaines formes - coopératives - constituent-elles un modèle ? Il n’y a rien de définitif dans l’histoire. D’un côté, le travail est central dans la vie des individus aujourd’hui. C’est bien ce qui fait le drame du chômage. Ils attendent donc quelque chose de l’entreprise. De l’autre côté, l’efficacité ne peut pas suffire à définir une communauté de travail. Nous en sommes là. La recherche sur des modèles d’organisation véritablement efficaces, c'est-à-dire dans lesquels les individus pourraient se reconnaître, me semble un des grands sujets d’avenir. Le secteur coopératif pourrait en effet avoir un rôle pionnier à jouer dans ce domaine.
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Un contrat unique pour les jeunes doctorants - ENSEIGNEMENT - 0 views

  • Un contrat unique pour les jeunes doctorants
  • La ministre de l'Enseignement supérieur a choisi de s'attaquer à la délicate question des carrières d'enseignant et de chercheur en s'occupant, en premier lieu, de celle des débutants. Elle a annoncé, mardi, la création d'un nouveau « contrat doctoral » de trois ans destiné à clarifier le statut des thésards (bac + 5 à bac + 8).
  • Ce nouveau contrat, qui les assimile davantage à des salariés, changera-t-il la donne ?
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  • Attirer les ingénieurs Autre nouveauté, Valérie Pécresse met les établissements (universités, organismes) directement en concurrence en instituant un contrat doctoral « unique », promettant, pour appâter les thésards, que leur salaire « pourra être négocié, au-dessus d'un minimum, mais sans plafond ». Un moyen d'attirer les ingénieurs (qui ont plus à gagner à être directement embauchés par les entreprises) qui n'a toutefois guère plu au Snesup-FSU, principal syndicat d'enseignants. En revanche, la Confédération des jeunes chercheurs s'est montrée « relativement satisfaite de ce premier pas », à un bémol près : elle souhaiterait que le contrat puisse « bénéficier à tous les doctorants », ce qui n'est pour l'instant pas la priorité du ministère.
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Innovation le journal : Des ingénieurs formés à l'innovation - 0 views

  • Formation : Des ingénieurs formés à l’innovation
  • Le pôle méditerranéen de l’Innovation (PMI) des Arts et Métiers ParisTech (Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers) a mis en place, il y a 7 ans, un Mastère Spécialisé (MS) de management stratégique du changement par l’innovation. Peu connue, cette formation se situe au cœur de l’évolution de la société et de l’entreprise.
  • Le PMI, implanté par l’ENSAM à Bouc-Bel-Air, entre Aix et Marseille, a pour vocation de positionner l’école d’ingénieurs sur les thèmes de l’innovation et du développement durable.
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  • Dirigé par Vincent Fabreguettes, du CEA de Cadarache, le Mastère Spécialisé de management stratégique du changement par l’innovation a trois axes de formation. Il apporte, en premier lieu, les moyens d’observer l’immensité des champs de l’innovation, à travers une synergie entre les bases de données des brevets et les outils de recueil de l’information. Afin de créer une dynamique de l’innovation, il apprend à sortir des situations organisationnelles classiques de l’entreprise en organisant la conduite du changement. Enfin, l’innovation étant l’objectif de l’entreprise durable, il inscrit le chef de projet dans une vision d’entreprise afin d’élaborer une stratégie de management.
  • L’innovation comme valeur d’entreprise durableLe recrutement des jeunes diplômés d’Arts et Métiers ParisTech se fait au niveau international. Cette année, parmi la douzaine d’inscrits au MS innovation, deux chinois et un roumain suivront la formation. Le Pôle Méditerranéen de l’Innovation, qui exerce un partenariat très fort avec des écoles comme l’IAE, accompagne aussi les chefs de projet des entreprises. Rémy Gautier, son directeur, étudie depuis une vingtaine d’années la problématique des projets d’innovation de rupture, inscrivant dans le management le rôle des risques liés à l’innovation.
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