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Fred L

[S&D-5] Libre-accès aux publications scientifiques | Mediapart - 0 views

  • [S&D-5] Libre-accès aux publications scientifiques 15 Janvier 2009 Par HerveLeCrosnier
  • Le mouvement pour le libre-accès aux publications scientifiques est né de ces contradictions. Comment valoriser la recherche en la diffusant le plus largement, et ce faisant augmenter le potentiel global de la «société de la connaissance» ?
  • La publication dans les revues, surtout dites «de haut niveau», est une nécessité pour le chercheur. C'est le syndrome «publish or perish». Les publications permettent de faire évoluer la carrière de chaque chercheur, de valoriser le laboratoire ou l'université, et donc lui permettre d'obtenir de meilleures conditions de recherche. Mais pour une large fraction des chercheurs, la dissémination des résultats apparaît aussi comme un débouché normal de la recherche.
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  • À l'inverse de cette démarche de partage, l'édition de revues scientifiques est devenu un business très bénéfique, appuyé sur des achats publics (bibliothèques) et la fourniture gratuite de la matière intellectuelle par la recherche... publique.
  • «Au cours des cinquante dernières années, les éditeurs sont parvenus à transformer les revues scientifiques - traditionnellement, une forme de publication considérée comme secondaire et peu profitable - en un commerce lucratif.» souligne Jean-Claude Guédon.
  • Ce système s'étend maintenant des publications imprimées vers la diffusion (payante) en ligne des articles. Pour accéder aux services électroniques des éditeurs les chercheurs doivent se décrire, ce qui induit un profilage des chercheurs. Officiellement, ceci est destiné à leur servir les articles les plus susceptibles de les intéresser. En réalité, l'éditeur obtient des informations sur les recherches en cours (les équations de recherche documentaire, les commandes d'articles) qui ont un double intérêt: anticiper sur les secteurs à venir (veille technologique) et produire les journaux qui pourraient devenir leader de ces nouveaux secteurs revendre les listings à des annonceurs ciblant les secteurs de la recherche en fonction de ces profils. C'est cyniquement le justificatif donné par Elsevier pour ouvrir en septembre 2007 OncologySTAT, le premier site d'articles médicaux en accès gratuit financé par la publicité.
  • L'Appel de Budapest a défini deux voies pour obtenir un libre-accès le plus large possible aux publications scientifiques : «L'accès libre à la littérature des revues à comités de lecture est le but. L'auto-archivage (BOAI - I) et une nouvelle génération de revues alternatives en libre accès (BOAI - II) sont les moyens d'atteindre cet objectif. Ils ne constituent pas seulement les moyens directs et efficaces à cette fin, ils sont à la portée des savants eux-mêmes, immédiatement, et ne nécessitent pas d'attendre des changements quelconques apportés par les marchés ou la législation.»   On retrouve la volonté des nouveaux mouvements sociaux du numérique d'agir dès maintenant et par eux-mêmes pour développer des solutions praticables, inventives et ouvertes.
  • Pour Stevan Harnad, principal promoteur de BOAI-1, l'archivage est une décision individuelle qui doit être poussée par les institutions. Celles-ci doivent rendre obligatoire le dépôt en archive ouverte pour les recherches qu'elles financent. Ce faisant, l'archivage ne change rien au circuit traditionnel, ce qui rend cette stratégie opérationnelle. Inlassable débatteur, Stevan Harnad a su donner une vision globale à cette stratégie et la voir adopter, même si au passage elle fut affaiblie par une trop longue durée avant la libre-publication. Les grands organismes nationaux de recherche (NIH aux États-Unis, RCUK en Grande-Bretagne, CNRS, INSERM et INRIA en France... ) et les trusts finançant les recherches (Wellcome Trust par exemple) exigent dorénavant la mise à disposition dans des archives ouvertes.
  • Dans le même temps, bénéficiant de financements importants et s'appuyant sur de nouveaux modèles économiques comme le paiement à la source, la deuxième voie, dite BOAI-2, a décollé avec la création de nouveaux journaux respectant d'emblée la définition du libre-accès. Alors qu'il dirigeait le NIH (National Institute of Health), le prix Nobel Harold Varmus a proposé en 1999 l'ouverture d'une vaste archive pour les publications bio-médicales. Or l'opposition des éditeurs des revues existantes est devenue manifeste, notamment en obtenant du Congrès un délai de 12 mois avant la mise en accès libre. C'est donc sur leur terrain que Harold Varmus est allé remettre en cause le système des revues. Avec Michael Eisen et Patrick Brown, il crée PloS (Public Library of Science) qui va rapidement lancer des revues en libre-accès (PloS Biology, PloS medecine, ...) qui sont devenues des revues de référence majeures.
  • C'est un moment important pour le mouvement pour le libre-accès à la recherche qui se joue actuellement. Car la cible de l'affrontement, et les éditeurs ne s'y trompent pas, est déplacée dans l'univers politique. Au fond, c'est la relation de la recherche à la société qui se discute. On trouve deux logiques contradictoires, mais qui aboutissent à cette même re-politisation de la question des publications scientifiques : le refus de l'intervention publique de la part des éditeurs le désir d'ouverture des recherches à la société civile pour mieux comprendre ce qui se joue dans les laboratoires et l'impact de la science sur la société.
  • Car avec les publications en libre-accès, les chercheurs ont non seulement modifié l'équilibre interne de leur profession, ouvert des débats politiques sur le financement de la recherche, mais aussi et peut être surtout pour ce qui nous intéresse ici, ouvert la porte à un nouvel usage par un public élargi.
  • Il se profile une autre relation du «public» à la science. Les groupes concernés veulent accéder à l'information de plus haut niveau pour évaluer les enjeux scientifiques avant même qu'ils ne deviennent «technoscience». Une des première manifestation de ce phénomène a été l'implication des groupes de malades dans la recherche médicale, pour faire pression, analyser les avancées, ou diffuser les résultats des recherches. Les malades du SIDA sont souvent devenu des co-experts de leur maladie, en égalité avec l'équipe médicale.
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    [S&D-5] Libre-accès aux publications scientifiques 15 Janvier 2009 Par HerveLeCrosnier
Fred L

Bâtir l'administration avec et pour le citoyen - Localtis.info - 0 views

  • Bâtir l'administration avec et pour le citoyen
  • Les acteurs européens du secteur public se réunissent tous les deux ans pour promouvoir l'innovation et les meilleures pratiques de qualité en Europe. Dans le cadre de la présidence française de l'Union européenne, la cinquième conférence sur la qualité des services publics en Europe (5QC) s'est tenue à Paris du 20 au 22 octobre et avait choisi pour thème "Le citoyen au coeur de la qualité publique".
  • Quelques 59 bonnes pratiques exemplaires et innovantes dans la prise en compte des attentes et des besoins de citoyens ont été présentées autour de sujets tels que l'évaluation et la performance des services publics, l'utilisation des méthodes formelles d'ingénierie de la qualité telle que la méthode CAF ("Commun Assesment Framework", ou cadre d'auto-évaluation des fonctions publiques, méthode d'évaluation du management), l'intégration des groupes défavorisés, la gestion de la diversité et l'intégration des minorités, l'implication du personnel et des citoyens dans l'action publique, etc. Alors que la première conférence de Lisbonne, en 2000, mettait l'accent sur la qualité du service à l'usager, placer le citoyen "au coeur" entraîne un changement de posture.
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  • De technique, la  question devient politique : la qualité vise non seulement l'amélioration d'un service, mais il s'agit in fine d'améliorer la vie des citoyens et de répondre à leurs attentes, d'intégrer des enjeux collectifs (tel que le développement durable), "de considérer le citoyen comme moteur de la qualité" et d'associer l'ensemble des acteurs à la démarche. La démarche suppose de repenser les modes de fonctionnement de l'administration.
  • La clé, c'est l'innovation
  • Comme l'a indiqué Geoff Mulgan, directeur de la Fondation des jeunes (Londres), dans l'une des tables-rondes de clôture : "La qualité dépend du public. Quand le public l'exige, les services sont très bons ; quand il n'est pas impliqué, les services restent médiocres. Pour réaliser des services de qualité, il faut connaître l'attente des usagers et mobiliser les citoyens pour qu'ils s'impliquent." Cela suppose aussi de nouveaux modes de gestion : "La clé, pour tout gouvernement, c'est l'innovation, internaliser la capacité d'innover", a-t-il poursuivi. Il faut  entrer dans un processus de co-création entre les professionnels et les citoyens. Et d'insister : "Il faut une méthode complètement différente qui démarre par le citoyen.
  • Il faut  observer comment nos concitoyens vivent, être des ethnographes au jour le jour (voir comment le patient vit le service à l'hôpital, par exemple) et s'appuyer sur les initiatives des citoyens."  Et de nombreuses bonnes pratiques vont déjà dans ce sens dans plusieurs pays. A titre d'exemples, on peut citer les "brigades Kafka" en Belgique et en Hollande qui permettent aux citoyens de proposer des solutions quand ils se retoruvent en butte  à des procédures administratives rigides ; l'utilisation de Google Map pour communiquer sur les dégradations sur la voie publique, avec possibilité de déposer des plaintes, de faire des suggestions, d'obtenir des réponses ; la mise en place de plateformes permettant de recueillir l'avis des patients et de les diffuser aux médecins ; la transformation des plaintes des citoyens en chansons diffusables dans le monde entier en Finlande ; la campagne pour une Inde propre s'appuyant sur les adolescents pour surveiller l'environnement et faire pression sur le gouvernement pour qu'il prenne les mesures nécessaires, etc.
  • Comment faire concrètement ? Il est significatif que l'une des sessions plénières s'intitulait "Bâtir l'administration de demain, avec, pour et autour des usagers". "Il faut faire confiance aux personnes. Le politique a aussi un rôle moteur dans l'innovation et doit définir les priorités, consacrer un budget à la Ret D. Les bonnes structures sont celles qui sont capables de bien mobiliser les réseaux [...] Il faut aussi aller très vite dans ce domaine, apprendre beaucoup plus rapidement et voir ce qu'il se passe ailleurs : à chaque fois qu'il y a un problème, il faut aller regarder qui a trouvé la solution dans un autre pays. La récession, loin d'être un frein, est un accélérateur de l'innovation, car elle permet de lâcher la bride à la créativité autour des problèmes d'exclusion", a conclu Geoff Mulgan.
Fred L

Innovation dans les services - 0 views

  • Innovation dans les services mardi 07 octobre 2008 Laurent Hermel , Gérard LouyatAFNORCollection : 100 questions pour comprendre et agir 172 pages 25,00 EUR     La maîtrise de l'innovation est aujourd'hui un des leviers majeurs de la compétitivité des entreprises ! L'innovation procure un avantage concurrentiel certain dans ce paysage économique changeant.   Mais par quel bout prendre ce concept d'innovation, comment le rendre clair dans tous les esprits ? Comment en faciliter l'implantation ? Comment réussir son innovation pour les services apportés à la clientèle, pour rendre les offres produits et systèmes plus compétitives ? Voilà 100 questions / 100 réponses pour remettre tout ça au clair ! Quel soutien les pouvoirs publics apportent-ils dans l'innovation en France ? Quel est l'intérêt d'innover sur le service de base et les services périphériques ? Comment développer la créativité dans l'entreprise de service ? Quelles stratégies marketing convient-il d'utiliser pour innover dans les services ? Comment assurer la pérennité de l'innovation au sein de l'entreprise de service ? Qu'est-ce qu'une communication efficace en activité de service ? Quels sont les indicateurs de performance à mesurer lors du lancement d'un nouveau service ? Comment le benchmarking peut-il développer l'innovation des services ?         Sommaire     - Innovation : généralités     - Innovation dans les services : enjeux et concepts-clés     - La démarche d'innovation     - La créativité au service de l'innovation     - Le marketing et l'innovation     - Le développement de l'innovation dans l'entreprise de service     - L'innovation et le management du changement dans l'entreprise de service     - La commercialisation de service innovant     - Le tableau de bord de l'innovation et de la mise en marché de l'offre innovante     - L'apport du benchmarking à l'innovation
Fred L

Stratégie nationale de recherche et d'innovation : une consultation par inter... - 0 views

  • Des universités autonomes
  • Le système français a cette particularité, qu'une partie de nos meilleurs étudiants ne va pas à l'université et qu'une partie de nos meilleurs chercheurs n'est pas à l'université. Tout l'objectif est de construire un système coopératif entre grandes écoles, universités et organismes de recherche, de renforcer un maillon qui était jusqu'à présent ni libre ni autonome, le maillon universitaire.
  • Faiblesse de l'innovation en France
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  • si nous sommes un grand pays de recherche, nous ne sommes pas dans le peloton de tête des pays d'innovation
  • C'est l'objet même du crédit impôt recherche. Cet outil très puissant, avec un taux d'aide triplé depuis début 2008 fait l'objet de nombreuses convoitises à l'international, depuis l'administration Obama jusqu'au gouvernement de Madame Merkel dont la commission d'experts pour la recherche et l'innovation conseille la création d'un tel outil fiscal outre-Rhin.
  • Du côté français, nous devons encore renforcer la recherche partenariale entre laboratoires publics et entreprises privées. De nombreuses incitations existent déjà comme les Instituts Carnot, les incubateurs d'entreprises, ou le doublement des dépenses de recherche partenariale dans le calcul du crédit impôt recherche
  • Nous devrons les évaluer et les faire évoluer si elles ne sont pas suffisamment incitatives.
  • Alors que l'Etat accompagne les entreprises avec des avantages fiscaux plus que conséquents, en particulier avec le remboursement anticipé du crédit impôt recherche annoncé dans le cadre du plan de relance qui va concerner neuf mille entreprises et 90% de PME, je souhaite vraiment que les entreprises s'engagent à maintenir leur effort de recherche et renforcent aussi leurs partenariats avec les établissements publics
  • les dépenses sous-traitées à un laboratoire public comptent double dans l'assiette du CIR
  • un dispositif spécifique pour les doctorants, « les doctorant-conseils», pour permettre à un doctorant d'effectuer des missions en entreprise et donc de familiariser l'entreprise avec les thématiques de sa thèse. C'est un bon dispositif pour permettre aux entreprises de tester la valeur d'un doctorant, et pour permettre au jeune chercheur de se familiariser avec d'autres horizons. 
  • La valorisation du doctorat est un enjeu majeur pour notre université, mais aussi pour notre pays, et pour le développement de la recherche privée.
  • Ils devront devenir davantage stratèges, et s'organiser autour d'une cohérence disciplinaire forte. Leur rôle sera conforté en tant qu'agence de moyens, apportant les concours  financiers et humains aux différents laboratoires, en particulier dans les universités.
  • Ils seront également opérateurs de recherche notamment dans le cadre de leurs unités propres ou pour la gestion des très grandes infrastructures de recherche qui leur incombe.
  • Coordinations inter-organismes et décloisonnement
  • 83 universités, 225 écoles, et 21 organismes de recherche
  • Ces consortiums et autres alliances permettront une meilleure coordination de notre effort national de recherche, et viendront alimenter la programmation thématique de l'ANR.
  • s'inscrire dans la « Vision 2020 » de l'espace européen de la recherche
  • programmation conjointe
  • Cet outil radicalement nouveau a justement vocation à coordonner les actions des différents Etats-membres sur des thématiques clés au regard des grands enjeux de demain
  • Rôle de l'Agence nationale de la recherche
  • confortée dans un rôle d'agence de financement pour des projets sélectionnés et évalués sur des critères d'excellence scientifique.
  • Il y a un an l'ANR consacrait 25% de ses budgets aux programmes blancs et 75% aux projets thématiques. Je crois que nous devons faire évoluer cet équilibre
  • Pour son volet thématique, l'ANR devra puiser dans les priorités de la stratégie nationale de recherche et d'innovation et s'appuyer sur les organismes de recherche qui doivent retrouver un rôle central dans cette programmation. 
  • C'est donc plus sur une démarche « bottom-up », que l'ANR devra maintenant fonder son activité avec environ 50% de projets thématiques et, 50 % de programmes blancs faisant émerger l'excellence et la créativité.
  • Ces programmes blancs devront sans doute être un minimum orientés par discipline de manière à en préserver certaines de la concurrence des autres. Je pense notamment aux sciences humaines et sociales qui devront à mon avis disposer de programmes blancs spécifiques. 
  • Simplification de la vie quotidienne des laboratoires
  • Les unités mixtes sont les briques élémentaires de notre système de recherche. C'est le lieu de la coopération entre les organismes et les universités, et dans certains cas avec les entreprises.
  • travailler au meilleur fonctionnement des unités mixtes de recherche.
  • simplification résolue de leur gestion. Vous savez qu'il y a 400 unités mixtes qui ont plus de quatre tutelles. C'est-à-dire quatre systèmes de contrôle de gestion, quatre systèmes de financement, quatre évaluations, quatre modes de gestion des ressources humaines.
  • simplifier la gestion de la propriété intellectuelle dans les unités mixtes de recherche.
  • A l'image de l'accord signé mardi dernier entre l'Institut Pasteur et l'Université Pierre et Marie Curie, je veux que l'on fixe un responsable unique pour la gestion des brevets dans les unités mixtes.
  • Pôles et campus
  • de véritables services uniques et communs de valorisation pourront être créés au sein des grands pôles universitaires
  • es pôles de recherche et d'enseignement supérieur se dotent de structures de valorisation conjointes
  • Ces services, véritables guichets uniques, proposeront au tissu industriel local des programmes de recherche partenariale, l'expertise des laboratoires qu'ils fédèrent, ou encore l'exploitation de brevets issus de la recherche publique
  • c'est avec une logique de site renforcée, comme à Toulouse, à Grenoble ou, bientôt, à Saclay, avec de véritables clusters d'excellence, associant enseignement, recherche fondamentale, innovation et entreprenariat, que nous pourrons attirer les meilleurs chercheurs internationaux et éviter que nos meilleurs chercheurs nationaux ne partent à l'étranger
  • Plan carrières
  • insi, les jeunes maîtres de conférences qui vont être recrutés l'année prochaine le seront avec des salaires entre 12 et 25% plus élevés qu'aujourd'hui. 
  • « plan carrières » inédit de 252 millions d'euros qui concerne tous les moments clefs des carrières
  • Le « plan carrières », c'est d'abord une harmonisation par le haut des carrières des enseignants-chercheurs et des chercheurs de façon à ce qu'il n'y ait plus de décalage injustifié.
  • des primes allant jusqu'à 15 000 € par an qui pourront être attribuées sur des critères d'excellence scientifique ou d'excellence pédagogique.
  • 20% des chercheurs  des organismes qui pourront prétendre à cette prime, si elle est attribuée à un taux moyen de 6 000 € par an
  • donner une visibilité sur l'emploi scientifique public pour les dix prochaines années, discipline par discipline
  • mener une analyse prospective de l'emploi scientifique à dix ans et permettre des recrutements qui ne soient pas des recrutements par à-coups
  • Il s'agit de pouvoir s'engager avec les organismes sur de vrais contrats d'objectifs et de moyens qui doivent être le cadre d'une relation de confiance entre l'Etat et les organismes.
  • supprimer le rapport semestriel qu'elle demandait aux laboratoires : ce sont 4 500 rapports supprimés !
  • continuer dans ce sens, et supprimer les nombreuses petites, mais à la longue tellement lourdes, surcharges administratives de vos laboratoires.
  • aucun document de référence disponible définissant les priorités à quatre ans, que sont les grands défis de la connaissance, les grands défis technologiques, et les grands défis sociétaux que la recherche doit nous permettre de relever
  • La cohérence d'ensemble était en réalité le fruit de la bonne volonté d'un certain nombre de professionnels plus que celle d'un cap clair, défini aussi bien pour nos chercheurs que pour nos partenaires internationaux.
  • C'est tout le contraire de l'action des gouvernements des autres grands pays de recherche et d'innovation comme le Japon, le Royaume-Uni, la Russie ou l'Allemagne, qui, chacun, ont rassemblé leurs grandes priorités de recherche dans un document stratégique. 
  • Vocation de la stratégie nationale
  • la référence pour fixer les priorités des organismes de recherche dans leurs contrats d'objectifs qui les lieront à l'Etat, et pour donner une légitimité nouvelle à la programmation de l'Agence nationale de la recherche.
  • construite sur le socle d'une vision académique solide, et préparée avec tous les acteurs de la recherche nationale et de l'innovation, publique et privée.
  • refuse les cloisonnements artificiels entre recherche fondamentale et recherche appliquée. La recherche est un continuum qui est une réponse globale aux enjeux de notre société pour demain.
  • Une démarche « bottom-up »
  • Sciences et société
  • Il est en effet essentiel d'associer ces porteurs d'enjeux à notre stratégie pour rapprocher la science et la société
  • ceux que l'on appelle maintenant les porteurs d'enjeux, c'est-à-dire les milieux associatifs qui représentent les diverses sensibilités de notre société. Ce sont aussi les représentants de l'Assemblée Nationale et du Sénat qui participent à ce projet
  • associations de protection de l'environnement
  • un certain nombre de nos concitoyens croient au progrès, d'autres s'en méfient. Il faut donc parvenir à bâtir des consensus sur le progrès scientifique.
  • es débats citoyens que nous avons lancés notamment dans le cadre du Grenelle de l'environnement doivent être toujours présents lorsque nous définissons des nouvelles priorités de recherche
  • Nous venons d'ailleurs de lancer un débat public sur les conditions de développement des nanotechnologies
  • Je souhaite qu'il ne puisse plus y avoir à l'avenir des malentendus et de l'irrationnel quand nous parlerons de nouvelles technologies ou de nouveaux champs de recherche. C'est pourquoi, il faut pouvoir intégrer en amont les inquiétudes sociétales fortes, et c'est aussi l'objet de la stratégie nationale de recherche et d'innovation.
  • es associations de promotion des sciences qui travaillent notamment pour que les vocations scientifiques se révèlent chez nos jeunes et que la relève soit assurée.
  • avec la stratégie nationale de recherche et d'innovation, nous allons pouvoir rendre publiques et donc visibles aux yeux de tous, y compris de nos grands partenaires mondiaux, les futures orientations de notre recherche.
Fred L

Construire un Espace Européen de la Recherche compétitif au service de la soc... - 0 views

  •  RAPPORT
  •  RAPPORT (pdf)
  • RAPPORT (pdf)
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  • Construire un Espace Européen de la Recherche compétitif au service de la société européenne décembre 2007
  • la suite de la publication du Livre Vert « l’Espace Européen de la recherche : nouvelles perspectives » du 4 avril 2007 qui « vise à lancer un vaste débat institutionnel et public en vue des initiatives pour 2008 », un travail de réflexion a été mené par le Centre d’analyse stratégique en liaison avec le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, afin de préparer la réponse nationale au Livre Vert. L’objet en est la construction de l’Espace Européen de la Recherche (EER) en tant que « pilier pour une société de la connaissance en Europe ».
  • « Un espace Européen de la Recherche compétitif au service de la société européenne », Jean-Louis Sangaré, Note d’analyse du Centre d’analyse stratégique, 8 octobre 2007
  •  En bref
  • Les trois principales recommandations de ce rapport : - Intégrer clairement dans le périmètre de l’EER à la fois la recherche publique et la recherche des entreprises ; - Construire une vision partagée de l’EER (orientations stratégiques, prospective et expertise, évaluation) pour définir avec l’ensemble des acteurs concernés, des objectifs et un pilotage communs ; - Favoriser en priorité l’excellence des chercheurs et leur mobilité ainsi que celle des autres acteurs essentiels de la RDI, dans et entre les secteurs public et privé.
  • Eléments bibliographiques
  • R&D et Innovation « Créer une Europe innovante », rapport du groupe d’experts indépendants sur la R&D et l’innovation, Esko Aho, janvier 2006 « Mettre le savoir en pratique : une stratégie d’innovation élargie pour l’UE », communication de la Commission européenne au Conseil, au Parlement européen, au Comité économique et social européen et au Comité des régions, COM(2006)502 final, 2006
  •  Investir dans la recherche pour doper la croissance européenne », Note d’analyse du Centre d’analyse stratégique, Jean-Louis Sangaré, 4 septembre 2006 « Quels instruments de financements communautaires pour la recherche et l’innovation ? », Note d’analyse du Centre d’analyse stratégique, Jean-Louis Sangaré, 26 mars 2007 « (Internationalisation de la R&D des entreprises et attractivité de la France », Mohamed Harfi, Claude Mathieu et Etienne Pfister, Centre d’analyse stratégique, 25 mai 2007
  • Chiffres clés « Chiffres clés 2007 pour la science, la technologie et l’innovation : vers un espace européen de la connaissance », Eurostat
  • Le partage des connaissances « Améliorer les transferts de connaissance entre les organismes de recherche et les entreprises à travers l’Europe : vers l’innovation ouverte », communication de la Commission européenne, COM(2007)182 et documents de travail des services SEC(2007)449, 4 avril 2007 : http://ec.europa.eu/invest-in-research/pdf/com2007182_fr.pdf
Fred L

2008/05/22 > BE Royaume-Uni 86 > Innovation Nation : le Livre blanc britanniq... - 0 views

  • DossierInnovation Nation : le Livre blanc britannique sur l'innovation http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/54733.htm Le Department for Innovation, Universities and Skills (le Ministère de l'innovation, des universités et des compétences britannique, le DIUS) a publié en mars 2008 sa stratégie pour l'innovation dans le Livre blanc intitulé "Innovation Nation".
  • "Innovation Nation" est un document d'orientation qui présente la stratégie que le gouvernement britannique souhaite adopter pour faire du Royaume-Uni une nation propice à, et active dans, le domaine de l'innovation. Les actions présentées touchent à l'éducation et à la formation, à la recherche académique, à l'exploitation des connaissances et au recours à la réglementation, aux marchés et aux services publics pour façonner un marché propice aux solutions innovantes. Le document insiste toutefois tout particulièrement, d'une part, sur l'innovation dans les services et dans les industries de la création et, d'autre part, sur le rôle que peuvent jouer la demande et les ministères gouvernementaux à travers leur politique de marchés publics.
  • Il annonce quelques mesures précises : création d'un indice de mesure d'innovation, d'une spécification nationale proof-of-concept (preuve de concept) et de deux nouveaux laboratoires consacrés à l'innovation. Le Livre blanc annonce également la publication d'un certain nombre de stratégies et de feuilles de route, notamment pour le DIUS et pour le Technology Strategy Board (le TSB).
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  • Auteurs : PROST AnneAmbassade de France au Royaume-Uni - 14 pages - 30/04/2008
Fred L

Saclay : Christian Blanc avance son cluster - 0 views

  • Saclay : Christian Blanc avance son cluster L’aménagement du plateau de Saclay ne sera pas un long fleuve tranquille. En conseil des ministres du 12 novembre 2008, le secrétaire d’Etat chargé du développement de la région capitale, Christian Blanc a présenté une communication sur l’aménagement du plateau de Saclay qu’il définit comme un « cluster scientifique, technologique et d’innovation économique » qui serait « de rang mondial ».   
  • Une Silicon Valley à la française   « Concernant le seul plateau de Saclay, il est envisagé le développement de plusieurs campus capables de rassembler plus de 100 000 chercheurs, élèves ingénieurs et étudiants dans les dix ans », indique le communiqué du secrétaire d’Etat. Un Etablissement public « d’un type nouveau » englobant 49 communes doit être créé par l’Etat début 2009. « Sa gouvernance sera partagée entre l’Etat, les collectivités territoriales, la communauté scientifique et les entreprises, avec un exécutif désigné par l’Etat », est-il précisé.  
  • Mais ce grand chantier suscite des rivalités entre les deux ministres concernés au premier chef, Christian Blanc et Valérie Pécresse.
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  • Paris 11 : une université au milieu des tractationsDu côté de la communauté universitaire, le collectif Sauvons la recherche dénonce le plan Campus de Saclay comme « un coup de force du Président de la république et du gouvernement qui tentent dans l’urgence d’imposer à l’Université son avenir, avec le déménagement de la Fac d’Orsay et peut être d’autres centres, le tout pour réaliser une vaste opération immobilière et de prestige... ».
  • Le Snesup dénonce lui dans un communiqué du 13 novembre 2008 le projet présenté en conseil des ministres qui s’inscrit dans « une rentabilité plus économique que scientifique sur le court terme. Le déplacement, non concerté avec la communauté universitaire, de près de 100 000 étudiants, de milliers d’universitaires et chercheurs, répond à des ambitions politiciennes et ouvre une course au gigantisme (inspiré du classement de Shanghai) qui n’a rien à voir avec les missions de service public d’enseignement supérieur et de recherche »
François Bertrand

L'indépendance des chercheurs, un grand enjeu citoyen au niveau planétaire : ... - 0 views

  • Le discours présidentiel français et la lettre ministérielle se sont croisés, si on peut dire, avec un article du 14 février publié sur le site Inter Press Service (IPS) et un rapport intitulé "Federal Science and the Public Good", rendu public récemment par l’association américaine Union of Concerned Scientists, à l’adresse  : http://www.ucsusa.org/scientific_integrity/restoring/scie...
    • François Bertrand
       
      à regarder
  • Le 4 mars, une réunion de "plus de 600 directeurs de laboratoires de recherche et membres d’instances scientifiques de tout le territoire" français, tenue à Paris, a émis un communiqué  mis en ligne à l'adresse : http://4mars.recherche-enseignement-superieur.fr/spip.php...
    • François Bertrand
       
      à regarder
  • Afin d’améliorer la lisibilité et la prévisibilité de l’action du CNRS, vous réfléchirez à l’opportunité de substituer aux départements scientifiques actuels une structuration en grands instituts nationaux de recherche, dans l’esprit de l’INSU ou de l’IN2P3, favorisant les coopérations entre les divers acteurs et constituant un ensemble réactif placé sous la responsabilité de la direction générale du CNRS…
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  • Valérie Précresse écrit en particulier :
  • Le 28 janvier, Nicolas Sarkozy avait notamment déclaré :
  • Ce n’est pas à un organisme, si grand, si respecté, et si puissant soit-il, de définir à lui seul la politique scientifique d’un pays. Ce n’est pas non plus à un collège électif de scientifiques de décider de cette politique…
Fred L

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  • Opération Campus : Aubervilliers sort gagnant du trio parisien
  • Opération Campus : Aubervilliers sort gagnant du trio parisien
  • Après les six lauréats du premier tour, trois projets sur quatre seulement ont été sélectionnés par l’opération campus 2 : le PRES d’Aix-Marseille, les campus de Saclay et de Condorcet-Paris Aubervilliers. Sans surprise. La surprise est venue des projets de Paris intra-muros, retoqués faute d’un rassemblement (toujours) insuffisant. Valérie Pécresse leur laisse une dernière chance pour présenter un ultime projet d’ici à l’automne 2008 s'ils parviennent à construire le « quartier latin du XXIème siècle ». Autre condition : « saisir les opportunités avec les départs des établissements vers Saclay et Aubervilliers ». Une mission d’audit sur le patrimoine urbain, financier et scientifique des établissements parisiens est lancé par les ministères de l’Enseignement supérieur, des Finances et de l’Equipement. Les établissements parisiens qui ont choisi des projets ultra-périphériques ont en revanche tiré leur épingle du jeu. Zoom sur le projet d'Aubervilliers qui pourrait inspirer des regrets ou donner des idées à certains.
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  • Seul site trans-périphérique et seul projet national centré sur les sciences humaines et sociales, le  projet de campus Condorcet Paris-Aubervilliers était en concurrence avec deux autres projets parisiens : celui du quartier latin et celui de Paris-centre. « C’est un signe fort envoyé aux sciences humaines et sociale. Le choix d’Aubervilliers est une marque très importante pour des disciplines qui se posent des questions », se réjouit Danièle Hervieu-Léger, la présidente de l’EHESS. Au-delà du choix du comité de sélection, ce campus avait depuis longtemps les faveurs de Valérie Pécresse.
  • Un campus sur deux sites L’un des sites, le plus grand avec 100 000 m2 sur 5 hectares, sera situé sur le territoire de la Plaine commune à Aubervilliers, près du Stade de France. A 900 mètres après le périphérique, l’autre site sera installé à la Porte de la Chapelle, côté Paris, autour de la Maison des sciences de l’Homme (MSH) de Paris Nord, fondés par Paris 8 et Paris 13.  
  • Jouer groupé Comme pour les autres dossiers franciliens, manquait dans le projet initial présenté au premier tour un regroupement de partenaires suffisamment nombreux. Autour d’institutions dédiées principalement à la recherche comme l’EHESS (Ecole des hautes études en sciences sociales) et l’EPHE (Ecole pratique des hautes études), le projet s’appuie désormais sur trois universités : Paris 1 à laquelle se sont rajoutées Paris 8 et Paris 13. Cette dernière université, pluridisciplinaire, a rejoint le projet entre les deux tours de l’Opération campus une fois son nouveau président, Jean-Loup Salzmann, élu. « Pour mon université pluridisciplinaire, il est très intéressant de voir comment nous allons réussir à faire le lien entre les SHS et les autres disciplines, notamment dans le domaine de la santé, avec les questions de nutrition, de dé-sociabilisation, de précarité, etc. », explique Jean-Loup Salzmann. Le Cnam, l’Ecole d’économie de Paris, l’école des Chartes ou l’INED (Institut national d’études démographiques) sont désormais aussi partenaires du projet. Cet organisme de recherche devrait même y déménager son siège. L’IRD et le CNRS – avec un millier de chercheurs - sont également associés.  
  • Délocalisation et restructuration   Outre l’EHESS qui déménagerait, dans un premier temps dans des locaux provisoires Porte de la Chapelle, Paris 1 a, entre les deux tours, rationaliser ses sites, sous la pression du ministère de l’Enseignement supérieur. Au final, sur 25 sites de Paris 1, une dizaine devrait être libérée et ses équipes rejoindre le campus Condorcet. La négociation en interne et avec le ministère risque d’être néanmoins serrée.
  • Les mutualisations inter-établissements « Ce qui a primé dans le choix, c’est la logique de site, pas la logique de réseau. Nous ne nous acheminons pas vers une fusion de nos établissements. Mais nous aurons des coopérations et des entreprises communes comme celle de faire une « université tout au long de la vie »", indique Danièle Hervieu-Léger. Un service de formation continu inter-établissement est en effet envisagé. Autres regroupement de services : une bibliothèque de 10 000 m2, l’édition universitaire et un campus numérique.
  • L’objectif est aussi de pouvoir faire montre d'une « masse critique » de chercheurs pour s’affirmer comme une référence internationale et comme le premier pôle scientifique français sur les SHS. Il rassemblera la quasi totalité des centres de recherche de l’EHESS et de l’EPHE. Au total, 2000 enseignants-chercheurs et chercheurs, 6200 étudiants de master et doctorants. Les 10 000 étudiants de Paris 1 (dont la moitié de ses licences) en sciences humaines et sociales, et en économie.  
  • Comment piloter l’ouvrage ?   Une fondation de coopération scientifique avec un conseil d’administration d’une vingtaine de membres a été retenue. De quoi ménager les statuts des différents établissements regroupés. Les porteurs du projet évalue à 429 millions d’euros le montant nécessaire à l'opération. Un quart viendrait de la région Ile-de-France, déjà acté dans les contrats de Plan Etat-Région (CPER). « Nous avons rêvé, maintenant il nous faudra rentrer dans le concret : lancer des appels d’offres, trouver un maître d’ouvrage. Nos préoccupations seront les suivantes : monter des partenariats publics-privés, acheter les terrains à des entreprises, des communautés de communes ou des municipalités, monter un plan financier », énumère Jean-Loup Salzmann.
  • L'opération campus : gagnants et perdantsL’Opération campus aura concerné sept régions et la moitié des universités françaises. Pour les lauréats, un projet affiné sur le financement et la gouvernance devra être présenté avant de savoir quelle part des cinq milliards d’euros sera réellement accordée à chacun d’eux. Le plus gros, celui de Saclay, est chiffré à 1,2 milliard d’euros.
  • Les universités parisiennes intra-muros auront leur part à une condition : mettre fin à une « situation immobilière inextricable », dixit Valérie Pécresse : « Parfois trois universités sont sur le même site et certains sites sont parfois mal valorisés ». Les projets devraient débuter en janvier 2009.
  • Pour les autres projets, les cinq milliards d’euros s’évanouissent. Les 7 « campus prometteurs » de Lille, Nancy-Metz, Paris Est, université européenne de Bretagne, Nantes, Nice et Clermond-Ferrand n'ont pour le moment droit qu'à un label de consolation. Valenciennes, Le Havre, Cergy et Dijon sont récompensés par le titre de « projets innovants »…  
François Bertrand

Korean economy to run on new growth engines - 0 views

  • The New Growth Engines Initiative reported their plan to the president of Korea, Lee Myung-bak on Sept. 22.
  • the initiative has selected 22 projects in six areas - energy and environment, transportation systems, new information technology, new integrated industries, bio-industry and knowledge-based services.
  • However, the growth of the Korean economy has been relatively slow during the last decade because it is facing strong international challenges. Industry leaders are struggling to develop the new "Blue Ocean" in the years to come. Unemployment among the younger generation is serious, and the proportion of retirees has become bigger. Another challenge is the global warming and energy shortage problem.
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  • If the market can autonomously create new business, there is no need for the government to lead the industrial plan. In this regard, most developed countries support only R&D and development of human resources. However, this strategy is not always the best for developing countries, where the market does not have the capability of innovation. Even the United States is now experiencing the need of appropriate government control to secure the nearly collapsed financial sector and deeply depressed industries. At this stage, the Korean government has decided to motivate new industries which have good potential for growth, but may not grow unless the government intentionally nurtures R&D, cultivates initial-stage market growth, deregulates constraints and provides well-prepared human resources.
  • By Nam-pyo SuhPresident, Korea Advanced Institute of Science and Technology
  • The NGE Initiative is composed of 360 non-governmental experts from various industries, research institutions and universities.
  • Even though the R&D portion of 5 percent in government spending is one of the highest in the world, it is still less than one-tenth of the United States. So Korea has to select and concentrate on promising industries, considering what industries it is best at developing.
  • The 22 projects selected in six areas are as follows. 1) Energy and environment
  • Emission-free clean coal
  • how to remove the emission of carbon dioxide
  • Ocean-originated bio-fuel
  • Solar cells
  • Carbon sequestration and reuse
  • Fuel cell power generation
  • Nuclear power plant
  • Transportation systems
  • Green cars: The main enabler of a green car is the plug-in hybrid electrical vehicle which uses both batteries and a combustion engine. The electricity can be recharged at home. However, in Korea, most cars cannot be parked in personal spaces. Establishing public charging infrastructure is an additional challenge. The electricity for urban electrical vehicles may be supplied from underground wires without physical contact.
  • Shipbuilding and ocean systems
  • 3) New IT
  • mobile harbor technology
  • System semiconductors
  • Displays
  • Next-generation mobile telecommunications
  • LED lighting
  • RFID/USN: RFID and the Ubiquitous Sensor Network is a revolutionary instrument for next-generation logistics management. However, the chip price is still too expensive to justify its application. So government should apply the RFID/USN in the public sector to create the new standard and the market for mass production and cost reduction.
  • 4) New integrated industries
  • Robots
  • New materials and nanotechnology
  • IT-enabled products and processes: Korea is the leader in IT infrastructure.
  • 5) Bio-industry
  • Convergence of telecommunication and broadcasting:
  • 6) Knowledge-based services
  • Software
  • Healthcare:
  • Design:
  • Cultural contents
  • New medicine and medical equipment
  •  
    Nam-pyo Suh
Fred L

La recherche partenariale au service de l'innovation dans les PME - 0 views

  • La recherche partenariale au service de l’innovation dans les PME
  • Seule l’innovation ouverte est de nature à assurer à notre tissu industriel un avantage concurrentiel et à garantir les emplois d’aujourd’hui et de demain.
  • Pour répondre au mieux à ces enjeux économiques et sociétaux, l’Assemblée des Chambres Françaises de Commerce et d’Industrie (ACFCI) et l’Association des instituts Carnot ont décidé d’unir leurs forces et leur action en faveur des PME/PMI.
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  • Grâce à la convention cadre, signée le 1er octobre entre les deux organismes, une série d’actions déclinables et adaptables au cas par cas au niveau local entre les partenaires de chaque réseau va s’engager au profit de la recherche partenariale entre laboratoires publics et PME/PMI.
  • Les partenaires se fixent comme objectifs de :promouvoir l’offre de recherche des instituts Carnot en assurant dans le réseau consulaire sa promotion auprès des PME et en relayant l’information sur leur offre de compétences au profit desentreprises (moyens de tests et d’essais, expertise, transfert de technologies...)valoriser les actions des C(R)CI : l’AiCarnot informera et sollicitera la participation des instituts Carnot aux actions et projets des C(R)CI dans les domaines de l’innovation, de la propriété industrielle, du montage de partenariats de recherche et du transfert de technologies,participer aux programmes européens de R&D. Pour ce qui concerne les C(R)CI, le Réseau « Enterprise Europe Network » d’appui à l’innovation permettra d’identifier les programmes les plus pertinents.
  • La recherche partenariale au service de l’innovation dans les PME
François Bertrand

Don't penalise innovation in mobile telecoms - 0 views

  • Don't penalise innovation in mobile telecoms
  • These innovations require modernising and extending current networks, however. Despite the government's wishes, more than half of French territory, for example, remains to be covered by a broadband mobile network. In June 2008, only 12% of subscribers had gone over to third-generation (3G) mobile phones, twice as few as in Sweden, Norway or Italy. Improving this situation will inevitably require substantial investments. These risk being delayed by the public authorities' regulatory appetite and by ill-advised French tax policy.
  • The list of new regulations that encumber the activities of mobile operators keeps getting longer and, unfortunately, will consume a growing share of their resources.
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  • Instituting costly new regulations and imposing the new tax will doubtless have the effect of destabilising the most fragile operators.
  • If the public authorities want the French to benefit fully from these innovations and from the advantages provided by broadband mobile service, they should moderate their regulatory and tax appetites!
Fred L

LaTribune.fr - "La réactivité ne suffit pas, il faut un plan de modernisation" - 0 views

  • En termes d’innovation, je veux faire deux propositions : d’abord, que les projets industriels labellisés par les pôles de compétitivité bénéficient d’un financement prioritaire des banques, sous le contrôle du médiateur du crédit. Ensuite, pourquoi ne pas créer un guichet unique de l’innovation, un véritable service public chargé d’aider les entreprises dans leur développement et leur dialogue avec les pouvoirs publics ?
François Bertrand

Laurent Fabius préconise la disparition de fait du CNRS dans le cadre de l'Un... - 0 views

  • Comme nous le craignions, une partie des activités des actuels Etablissements Publics à caractère Scientifique et Technologique (EPST) français deviendra patrimoine d'universités jumelées avec le secteur privé, et le reste (budget compris) sera transféré à l'Union Européenne.
    • François Bertrand
       
      coeur de leur argumentaire
  • Quels que soient les défauts du Comité National, l'AERES (Agence d'Evaluation de la Recherche et de l'Enseignement Supérieur créée en 2006), qui tend à s'emparer de ses missions, est loin d'offrir les mêmes garanties.
  • Que se passera-t-il si le CNRS est disloqué au bénéfice d'universités qui n'ont pas les moyens de se substituer à lui et d'un montage européen qui recherchera les emplacements et modes de gestion les « moins chers » pour ses programmes ?
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  • Dans le Journal du CNRS de mai 2008, Valérie Pécresse déclare : « Notre système reposera à terme sur quatre piliers : des organismes de recherche d’excellence, partenaires des universités et porteurs d’une vision nationale et internationale de la politique de recherche, ce qui leur confère une capacité unique pour analyser la conjoncture et faire la prospective scientifique ; des universités plus autonomes, avec une gouvernance plus efficace et des compétences nouvelles leur permettant de définir et de mener efficacement une stratégie de recherche ; une recherche sur projets dynamique, dont l’ANR porte la plus grande part et dont la programmation doit être étroitement articulée avec les organismes de recherche ; et enfin une recherche privée ambitieuse et rendue plus attractive par le crédit d’impôt recherche »
  • Même si son descriptif réduit, tout compte fait, le rôle du CNRS à « analyser la conjoncture et faire la prospective scientifique »
  • Le transfert à l'Union Européenne des moyens de nos EPST ouvrira nécessairement la voie à une délocalisation à grande échelle de la recherche française au sein de l'Union, voire même ailleurs. On peut difficilement imaginer que ces délocalisations soient sans conséquences dans le domaine industriel.
  • Les implications de cette évolution sur le plan des garanties d'indépendance des chercheurs et de transparence de la recherche sont également très préoccupantes.
  • D'autant plus que le « modèle américain » reste une référence constante. Or, notre article du 7 mars avait déjà évoqué les doléances de nos collègues d'outre-Atlantique à propos des ingérences politiques de l'administration US dans le travail des scientifiques et dans la diffusion de leurs résultats.
  • En somme, au nom du « patriotisme continental » et du « modèle américain », ce dont il s'agit c'est de démanteler des composantes stratégiques de l'Etat et du secteur public français, et d'en délocaliser des activités essentielles. Les conséquences économiques et sociales seront très graves, mais tout se prépare sans faire des vagues et avec un choeur de déclarations « positives ». Au service de quels intérêts ? Quant aux questions à caractère citoyen sur l'indépendance des agents ou la transparence, elles semblent avoir été tout simplement exclues du débat. S'agirait-il de préoccupations « d'une autre époque » ?
  • (Merci de bien vouloir publier ce texte, réponse de Laurent Fabius aux affirmations de cet article). La CERI et le CNRS: faux procès et vrai projet
  • Dans la mondialisation, recherche et innovation sont les clés de notre avenir. Tout le monde le dit, mais on ne propose rien de concret. M. Sarkozy et son gouvernement se contentent d’une approche comptable, destructrice et sans vision.
  • j'ai proposé qu'elle porte à cette occasion le projet ambitieux et concret d'une Coopération Européenne de la Recherche et de l'Innovation (CERI)
  • qui aurait vocation, à terme, à se substituer à ses équivalents nationaux - l'ANR en France
  • Renforcer la recherche, d'abord, en augmentant ses moyens.
  • La CERI
  • Simplifier,
  • Dans le labyrinthe actuel, les chercheurs passent trop de temps à remplir des dossiers de subvention – pour des sommes bien souvent modiques.
  • Valoriser, enfin, le statut des chercheurs et des étudiants.
  • Dans une analyse intitulée : « Quatre propositions pour retrouver une perspective », publiée par le journal Les Echos le 28 avril, Laurent Fabius impute à la France, sans autre explication, un « lourd problème de compétitivité » et une « insuffisance d'innovation et de recherche ».
  • Le CNRS, l'INSERM et les autres organismes de recherche français devraient, d'après Laurent Fabius, disparaître au bénéfice d'une politique globale pilotée par l'Union Européenne avec un seul « ministère européen de la Recherche et de l'Innovation ».
  • Après cette « analyse » péremptoire, qu'il ne prend pas la peine d'étayer par des arguments, Fabius écrit à propos de la recherche scientifique et technologique :  « ... C'est par elle que nous ferons la différence dans la mondialisation. Puisque la France va présider l'Union européenne, je propose que nous lancions le projet concret d'une Coopération européenne pour la recherche et l'innovation (Ceri), nouveau moteur du développement. Osons mettre en commun nos budgets nationaux de recherche, créer un espace européen de l'innovation dont bénéficieront nos PME, abattre les murs qui fragmentent les parcours et les carrières de nos étudiants et de nos chercheurs. Proposons un seul ministère européen de la Recherche et de l'Innovation, doté d'une politique coordonnée... »
  • rapport de François d'Aubert à Valérie Pécresse (notre article du 17 avril)
  •  
    Le texte contient pas mal de références, ainsi que la réponse de Fabius
Fred L

2008/04/30 > Royaume-Uni > Innovation Nation : le Livre blanc britannique sur... - 0 views

  • Au sommaire de ce document :1. L'innovation présente un visage changeant2. C'est au gouvernement de créer les conditions propices à l'innovation3. Il faut soutenir la "demande" d'innovation, tout particulièrement dans les marchés publics4. Les entreprises sont des moteurs de l'innovation qu'il faut soutenir5. Un socle scientifique fort et innovant sera maintenu6. La dimension internationale de l'innovation doit être prise en compte7. Les compétences de la main d'oeuvre britannique doivent encore être améliorées8. Le gouvernement veut davantage d'innovation dans les services publics9. Les politiques d'innovation régionales doivent prendre en compte les particularismes régionaux10. Les prochaines étapes de la politique d'innovation britannique 
François Bertrand

La commission sur la Poste, une "manoeuvre dilatoire" ? - Entreprises - Challenges.fr - 0 views

  • Interrogés par Challenges.fr, les syndicats, à l'exception de la CFDT et de l'Unsa, voient dans cette commission une "diversion" face à la mobilisation qui s'amplifie.
  • "Diversion", "réponse rapide"... D'après les syndicalistes interrogés par Challenges.fr, l'idée d'une commission n'a même pas été évoquée lors de la rencontre la semaine dernière avec Christine Lagarde et Luc Chatel. Si Nicolas Sarkozy a créé cette commission "pour nous expliquer que le projet de Jean-Paul Bailly est parfait, ou désamorcer le comité national qui regroupe beaucoup de monde, ça ne sert à rien", lance Daniel Rodriguez, secrétaire national Postes à la CFTC. "Mais cette commission veut dire que le président a pris peur de l'ampleur que prend notre protestation. C'est de bonne guerre" Michel Pesnel, secrétaire général adjoint du syndicat FO, ne pense pas "qu'un groupe de personnes peut se substituer à l'ensemble des composantes du pays". Selon lui, la commission nouvellement créée est plus une "diversion": "en gros, la commission aura deux mois pour rendre son rapport, ce qui n'est pas à la hauteur des travaux que ça implique".
  • Autre son de cloche du côté de la CFDT. Le syndicat n'a pas rejoint le comité national contre la privatisation et sa secrétaire nationale, Nadine Capdeboscq, estime que "le référendum est une solution de moins en moins pertinente". Selon elle, "la commission est une première réponse incomplète". Les syndicalistes de la CFDT réfléchiront au sein de la commission "à un service public adapté à la population et au personnel". L'Unsa-Postes, par la voie de son secrétaire général, Marc Duhem, estime elle que la création de cette commission est "une bonne initiative qui va dans le sens de ce que nous demandons depuis plusieurs années, à savoir un débat public et une réflexion sur ce qu'on peut et doit faire à la Poste".
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    quelques nouvelles de la commission sur la poste
François Bertrand

La question d'une 4e licence 3G réglée avant la fin de l'année - Politique Ec... - 0 views

  • Eric Besson a par ailleurs annoncé le lancement en 2009 d'une carte d'identité électronique, qui permettra notamment de prouver son identité sur l'internet.
Fred L

Les petites sociétés innovantes déplorent l'abandon des pouvoirs publics - L'... - 0 views

  • Fut un temps où le gouvernement regardait les start-up, ces jeunes sociétés technologiques innovantes, avec les yeux de Chimène. Cette époque serait révolue. Désormais, ce sont les "gazelles", c'est-à-dire les entreprises de taille moyenne en forte croissance, qu'elles soient ou non innovantes, qui sont choyées. Un nouveau sigle a d'ailleurs fait son apparition dans les statistiques : ETI, pour "entreprises de taille intermédiaire". Les aides publiques aux PME leur sont désormais prioritairement destinées.
  • En 2009, la part de ce budget consacré aux interventions classiques, c'est-à-dire aux avances remboursables pour les start-up, plonge de plus de 60 %, pour ne plus atteindre que 270 millions d'euros.
  • L'essentiel du budget global d'intervention d'Oseo Innovation (qui s'élève au total à 430 millions d'euros) est désormais destiné à financer des projets de recherche de grands groupes et d'ETI (dont certains avaient été sélectionnés par l'Agence de l'innovation industrielle, aujourd'hui disparue).
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  • Oseo Innovation devait également distribuer les subventions aux entreprises des pôles de compétitivité, à partir du 1er janvier 2009, mais cette décision a été repoussée.
  • Les équipes d'Oseo Innovation en sont convaincues. Leurs dirigeants n'ont plus la main sur le personnel distribuant les aides en région. Celui-ci est rattaché à Joël Darnaud, un professionnel de la banque qui applique les méthodes de ce secteur. La distribution d'aides rapporte une prime à celui qui l'octroie. Ce qui incite à faire du chiffre, sans forcément s'attacher à la qualité du dossier, au caractère réellement innovant des produits et services dont il est censé financer l'élaboration.
François Bertrand

IMF : France -- 2008 Staff Visit: Concluding Statement - 0 views

  • France is indeed "on the move." But global headwinds have strengthened. Now is the time to press on the accelerator in implementing the ambitious strategy to shift the country to a more rapid growth path, while also decisively preparing the public finances for the future.
  • Increasing competition, reducing rents and mark-ups, and raising employment are the best way to enhance pouvoir d'achat, ease inflation, and boost growth.
  • The Loi de modernisation économique (LME) stands to be a major step in better equipping the economy to face global challenges, clearing rigidities in product and services markets, to the benefit of the consumer.
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  • The RGPP should also provide the opportunity to advance further in rethinking the role of the state in the economy. This will need to include streamlining the different levels of local and regional government, where—as well-illustrated in the DOFP—expenditures have consistently grown faster than in the central government, and where overlapping responsibilities have been a source of significant inefficiency.
  • Looking beyond 2008 to the remainder of the legislature, efforts should focus on effective implementation of current reforms, further action in key areas, and a steadfast adherence to the announced fiscal consolidation path.
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