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Fred L

Opération campus : dernier oral avant financement pour les 6 premiers projets - 0 views

  • Opération campus : dernier oral avant financement pour les 6 premiers projets
  • Qui demande combien ? Quels sont les points clés des projets ? Voici une synthèse des réponses à ces questions, projet par projet.
  • Université de Bordeaux Coût du projet : 538 millions d’euros (hors collectivités). Porteur du projet : le PRES de Bordeaux et ses huit membres fondateurs (quatre universités, trois écoles d’ingénieurs, l’IEP de Bordeaux). Objectif : « Construire une université nouvelle, avec une forte lisibilité et attractivité nationale et internationale ». Points clés du projet : - Réorganisation de l’offre de formation (par exemple, mise en place d’une licence et d’un doctorat uniques de l’université de Bordeaux et création des collèges thématiques « graduate schools »). - Structuration de la recherche en trois départements (sciences et technologies, biologie santé et sciences humaines et sociales) divisés en 11 pôles thématiques d’excellence (par exemple, pôle neurosciences ou pôle technologies de l’information). - Développement d’un esprit de campus. Cela passe par exemple par la création de « maisons de campus » sur les domaines.  
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  • Grenoble Université de l’Innovation Coût du projet : 1,2 milliard d’euros au total dont 563 millions d’euros demandés au titre de l’opération Campus.  Porteurs du projet : le collège universitaire (universités, Grenoble INP, IEP de Grenoble) et le collège d’autres organismes (CEA, CNRS, CHU, Grenoble Ecole de Management, etc.). Objectif : le projet « vise un rayonnement international et un prolongement économique basé sur l’innovation dans toutes ses dimensions ». Points clés du projet : - Créer un campus unique (unité de lieu) à partir des deux sites (polygone scientifique et domaine universitaire de Saint-Martin-d’Hères), situés à moins de 25 minutes l’un de l’autre grâce au développement du tramway, des pistes cyclables et d’une rocade Nord. - Se concentrer sur quatre enjeux sociétaux : l’innovation, l’information, la planète et la santé. - Développer la vie de campus grâce à la création de pôles (restauration, logement, sportif, etc.) le long de la ligne de tramway qui relie les deux sites en traversant le centre-ville. 
  • Lyon Cité Campus Coût du projet : 1,2 milliard d’euros dont 700 millions d’euros demandés au titre de l’opération Campus.  Porteurs du projet : l’Université de Lyon au titre de l’ensemble des établissements membres du PRES impliqués dans l’opération (universités, ENS, INSA, IEP, etc.). Objectif : « Lancer la dynamique d’une nouvelle université » Points clés du projet : - Revisiter les campus pour avoir une logique thématique autour des pôles d’excellence (sciences et technologies, santé, sciences de la vie et sciences humaines et sociales). C’est-à-dire créer des quartiers « chimie », « physique », « sciences de l’information », etc. et tisser des liens entre les établissements pour favoriser leur complémentarité et leur lisibilité. - Créer une « Maison de l’innovation et de la compétitivité » et développer une zone privilégiée pour l’accueil d’entreprises sur le campus LyonTech. - Développer une vie de campus. Cela passe par exemple par la création de quatre restaurants universitaires et de 2000 logements. - Créer la Maison des langues et des cultures.  
  • Université Montpellier Sud de France Coût du projet : 440 millions d’euros dont deux tiers pour l’Etat et un tiers pour le conseil régional. Porteurs du projet : Montpellier 1, Montpellier 2, Montpellier 3, Montpellier SupAgro en partenariat avec l’ENSCM, le CROUS, les organismes de recherche et les principales entreprises de la région. Objectif : « Faire de l’Université de Montpellier une des cent premières mondiales » Points clés du projet : - Construction et renforcement de six pôles d’excellence : agronomie-environnement, biologie-santé, chimie, mathématique-informatique-physique-systèmes et structures, eau sciences de l’homme et de la société. Cela passe notamment par la rénovation et la réhabilitation de bâtiments dédiés à l’enseignement et la recherche ou la création de « Valeur-Sud » pour favoriser la valorisation de la recherche - Développement de la vie de campus avec, par exemple, la création de l’Atrium, un espace de vie étudiante, ou la restructuration du réseau des bibliothèques universitaires (amplitudes horaires plus larges, etc.).  
  • Université de Strasbourg Coût du projet : 288 millions d’euros auxquels s'ajoutent 240 millions d’euros des collectivités locales. Porteurs du projet : l’université de Strasbourg (résultat de la fusion des trois universités strasbourgeoises) et les établissements associés (CROUS, CNRS, INSA, ENGEES). Objectifs : « Faire de l’université de Strasbourg un campus de réputation mondiale, développer les interfaces et les synergies entre disciplines, favoriser les coopérations scientifiques nationales, internationales et transfrontalières ».  Points clés du projet : - Parachèvement des fondements de l’université de Strasbourg. - Développement de structures comme la maison des arts et sciences, la maison de l’étudiant ou la maison de l’accueil international. - Réaménagement de la tour de chimie, la rénovation du centre sportif, restructuration de l’INSA, etc.  
  • Toulouse Campus Coût du projet : 1,4 milliard d’euros dont 500 millions au titre de l'opération Campus. Porteurs du projet : le PRES « Université de Toulouse » en association avec des établissements publics à caractère scientifique et technologique et les établissements membres associés (CNRS, INRA, INSERM) ou rattachés au PRES (IEP, ENIT, ENAC, etc.). Objectifs : « Recherche, formation, vie étudiante ; Ouverture sur le monde économique et la société ; Refondation de l’Université de Toulouse sur une base fédérale ». Points clés du projet : - Renforcement et valorisation de trois pôles d’excellence (aéronautique et espace, économie et mathématiques) et développement de la transdisciplinarité autour de thématiques de recherche (nanotechnologies, vivant, etc.). Cela passe notamment par l’installation du PRES dans des locaux rénovés en centre-ville et la création d’une cité internationale des chercheurs dans le nouveau « quartier des sciences » - Réintégrer le campus dans la ville en créant une cité internationale étudiante, des installations sportives de haut niveau, une bibliothèque numérique mutualisée de 1500 places…  
Fred L

Repenser l'innovation et les bureaux d'études - RECHERCHE SCIENCES ET TECHNOL... - 0 views

shared by Fred L on 26 May 08 - Cached
  • Repenser l'innovation et les bureaux d'études 
  • Pour faire baisser cette pression préjudiciable, faisons un peu de prospective et essayons d'imaginer ce que seront l'ingénierie de demain et l'introduction de l'innovation dans les services, les produits et les processus et voyons comment elles pourront contribuer à la croissance de notre pays. Inspirons-nous de quelques modèles pertinents qui nous enseignent que l'on peut pratiquer l'ingénierie autrement. Voici quatre solutions pour réhumaniser cette activité et améliorer sa performance.
  • Premièrement, il faut distinguer les processus de développement industriel des phases amont de conception, dans lesquelles il faut de la liberté. On peut considérer que développer un produit, ça se gère comme une usine. Mais à condition que tous les degrés d'incertitude aient été levés auparavant et qu'on ait bien pris la précaution de vérifier que l'on arrivera à faire du premier coup tout ce que l'on veut développer. Les indicateurs qui servent à piloter le gros des troupes sont totalement inadaptés pour piloter les phases amont
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  • Dans ces dernières, il faut s'attacher à vérifier qu'on ne produit que des exigences réalisables et qu'on est parfaitement en ligne avec le marché, en termes d'introduction d'innovations.
  • Le modèle ici, c'est Michelin. Chez le numéro un mondial du pneu, on évite de « cherlopper ». Ce néologisme veut dire : mélanger la recherche et le développement. On s'est aperçu que le mixage des deux ne donne pas de bons résultats
  • Deuxièmement, il faut réhabiliter le savoir. Aujourd'hui, en France, on est très mauvais dans la gestion des connaissances parce que les bureaux d'études produisent les connaissances une fois le projet terminé : c'est le retour d'expérience.
  • Les connaissances produites sont au mieux considérées comme une aide, au pire comme un boulet. Il faut radicalement changer de point de vue.
  • Est-ce que je peux pousser à telle puissance tel module électronique, est-ce que je peux réduire autant la masse de cette pièce ? Voilà les questions que le chef de projet doit se poser avant d'engager le développement... Et toutes les réponses doivent être justifiées par les connaissances qui deviennent la matière première de la conception. On est là dans le modèle Toyota.
  • Troisièmement, virtualiser le bureau d'études. Car le modèle Toyota possède ses propres limites. C'est Toyota City. Quand on a des bureaux d'études un peu partout dans le monde, qu'on achète des sociétés et qu'on les intègre, il faut partager au moyen d'outils informatiques toutes les informations et les connaissances nécessaires aux projets. Les systèmes de PLM (« product lifecycle management ») qui gèrent les données produites par l'ingénierie devront devenir communicants et permettre le partage entre partenaires engagés dans un codéveloppement. Il convient d'établir des correspondances entre structures et formats de données mais également entre significations et utilisations de données. De nouvelles technologies comme le Web sémantique vont acquérir demain leurs lettres de noblesse. Des outils du savoir comme le wiki ou l'e-learning vont se développer en entreprise. Boeing est un modèle en la matière. L'avionneur américain a totalement refondu ses systèmes d'information pour développer son nouvel avion, le Dreamliner 787.
  • Enfin, quatrièmement, il est absolument nécessaire de reconsidérer la dimension humaine. Quand un service d'ingénierie ou de recherche et développement (R&D) est composé de plusieurs milliers de personnes, il est difficile de mettre tout ce monde à l'unisson, même quand son directeur est un bon chef d'orchestre.
  • Et puis, l'exigence de performance qui pèse sur les épaules des collaborateurs les a parfois déstabilisés au point de leur faire perdre confiance dans le management.
  • Il faut à tout prix introduire dans l'ingénierie de demain du changement durable. On peut rétablir cette confiance en supprimant les indicateurs inadaptés, en revalorisant le savoir, en redonnant du sens au management. Et cette confiance retrouvée engendrera des succès en matière de développements technologiques, qui eux-mêmes contribueront à la croissance du pays. Ne croyez pas que ce cercle vertueux soit une utopie. Les TGV, AGV et les Airbus de demain ne peuvent croître que sur ce nouveau terreau.
  • MICHEL MAURINO est PDG de Vinci Consulting, spécialiste du management de la technologie et de l'innovation.
Fred L

LaTribune.fr - "Chat" avec Laurent Blanchard, vice-président Europe, directeu... - 0 views

  • mariam : Quelle est la relation entre la compétitivité et l'innovation? Est ce qu'il y a une complémentarité entre l'innovation et la compétitivité? Et comment développer ces notions dans un sujet sans les définir au début? Et merci Je crois que l'innovation est un choix stratégique d'une société, dont l'objectif est d'apporter une vraie valeur à ses clients et, par ricochet, apporter un avantage compétitif. Chez Cisco, l'innovation fait partie de nos gènes et de notre vision qui est d'améliorer la façon dont les personnes travaillent, vivent, se divertissent et apprennent. Aujourd'hui, nous investissons plus de 5 milliards de dollars en recherche et développement pour améliorer l'usage des technologies de l'Internet et cela par l'innovation. Nous nous focalisons plus sur l'innovation en tant que créateur de valeur pour nos clients plutôt que comme avantage compétitif par rapport à nos concurrents...
  • FrançoisB : A côté de la R&D ou du service marketing, les grandes entreprises mette de plus en plus en place des "systèmes de management des idées" de leurs collaborateurs, également dénommés "Innovation Participative". Que pensez-vous d'une telle démarche ? En quoi est-ce innovant ? J'en pense beaucoup de bien et, chez Cisco, nous avons mis en place une démarche complètement innovante pour susciter, développer l'innovation. Cette démarche s'appelle I-zone, qui est une boîte à idées dans laquelle chaque collaborateur de Cisco dans le monde -nous sommes 65.000 personnes- peut poster une idée. Ces idées sont ensuite enrichies à travers une plate-forme collaborative par laquelle tout autre collaborateur peut venir les développer. Nous avons été précurseurs chez Cisco France par la création d'une initiative baptisée "I-nova", qui a pour objectif de faire émerger de nouvelles idées pour soutenir la croissance de la filiale française...
  • L'innovation est un moyen de repenser, de définir de nouveaux processus. Par exemple, la réduction des frais de voyage, par l'adoption d'une nouvelle technologie que nous appelons "téléprésence", permettant d'organiser des réunions virtuelles dans les conditions réelles, sans avoir à se déplacer. Chez Cisco, cela nous a permis d'économiser plus de 300 millions de dollars de frais de voyage en 2008, également d'éviter l'émission de CO2 équivalant à 15.000 voitures sur un an, tout en apportant des gains de productivité. Plus de 200.000 réunions ont été ainsi organisées.
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  • Le résultat est que nous sommes passés de taux d'utilisation de 2 à 5% des systèmes de visio classiques à plus de 50% en téléprésence...
  • Selon vous, les collectivités locales doivent-elles jouer un rôle pour favoriser l'innovation ? Lequel ? Les collectivités locales ainsi que les administrations en général ont un rôle majeur dans la promotion de l'innovation. Je prendrai comme exemple le développement du très haut débit, la brique de base pour les outils de collaboration.
François Bertrand

Retranscription de notre débat avec Robert Boyer (Autisme-Economie.org) - 0 views

  • Ce n’est donc pas dans le secteur marchand que les NTIC vont apporter un changement important. En revanche, d’importantes évolutions sont à attendre dans les administrations publiques qui, fondamentalement traitent de l’information et jusqu’à présent n’ont pas mis à profit le potentiel offert par les TIC.
    • François Bertrand
       
      Clair !
  • Au demeurant les modalités institutionnelles de réalisation de ce modèle ne sont pas claires ; l’alternative entre une marchandisation totale ou une mutualisation dépendra de la capacité des groupes sociaux à défendre un financement sur fonds publics et à ne pas céder à la croyance en l’efficacité absolue du marché, alors que pour la production des biens publics on connaît de longue date les limites de ce mécanisme. L’un des attraits de ce modèle est de pouvoir constituer un modèle universel de développement, avec comme principe fondateur l’accès aux biens premiers que sont l’école, la connaissance, la santé, comme le propose Amartya Sen. C’est un modèle de développement très différent du modèle dominant aujourd’hui, qui est fondé sur l’extension du libre-échange.
  • dans quelle mesure l’infrastructure technologique vous semble-t-elle déterminante, dans l’histoire économique ? en particulier, le développement aujourd’hui des nouvelles technologies vous semble-t-il porteur de gratuité et d’une subversion de la logique marchande traditionnelle ? (bref, quel regard portez-vous sur les théories du capitalisme cognitif ?)
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  • Le keynésianisme comme pratique, mais pas comme idéologie, n’est pas mort pour celles des économies qui ont les moyens de décider de façon autonome leur politique. Le problème de la France est que ses élites interprètent comme un dépérissement général de l’État sa perte d’efficacité et l’incapacité à le réformer. Alors que dans beaucoup d’autres pays, y compris en Europe bien sûr, comme au Danemark, en Suède, aux Pays-Bas, l’État joue un rôle déterminant dans la redistribution du revenu, la couverture sociale et le droit du travail, et plus généralement dans la renégociation des compromis institutionnalisés. Finalement, on peut dire que l’État est plus présent que jamais…à l’époque même d’un libéralisme encore triomphant.
  • Autrement dit, la technologie est fille des compromis institutionnalisés aboutissant, soit du rapport capital-travail (pour l’organisation du travail), soit des rapports de concurrence (pour les brevets). Bien sûr, une fois qu’une innovation est faite par une firme et dans un pays, elle se propage ensuite par le jeu de la concurrence à l’échelle nationale et internationale, mais elle ne conditionne jamais complètement les solutions adoptées.
  • On peut illustrer cette thèse par un exemple, en partant d’un titre issu de l’hebdomadaire The Economist : « l’Internet va faire advenir le marché parfait », par exemple parce qu’il permettra un mécanisme d’enchère en temps réel et surtout réduira les asymétries d’information. Or, si l’on étudie l’usage d’Internet aujourd’hui chez deux grandes firmes automobiles, Toyota et Ford, on constate qu’elles utilisent l’outil Internet dans des sens très différents, correspondant à des stratégies de profit contrastées (cf. Robert Boyer, Michel Freyssenet, 2000 « Les systèmes productifs », Repères, La découverte, Paris).
  • Toyota s’en sert pour faire le co-développement de ses nouveaux modèles en un temps deux fois plus faible que les constructeurs américains, grâce au développement simultané de la conception via l’Internet. Les gains correspondants sont partagés en fonction d’une règle négociée sur une période pluriannuelle.
  • Ford utilise, lui, l’Internet pour extraire tout le surplus de ses sous-traitants de premier rang, exacerbant la concurrence entre eux, puisque Internet lui permet de comparer en permanence les prix proposés par chacun. Autrement dit, Toyota l’utilise pour optimiser le temps de création de ses produits alors que Ford cherche à maximiser la rente qu’il extrait de ses sous-traitants, pour réduire au mieux les coûts de production.
  • partir de la même technologie, on aboutit ainsi à deux modèles productifs très différents, qui reposent chacun sur un principe d’efficacité différent. Contrairement à ce que l’on aurait pu attendre, ce n’est pas le modèle productif reposant sur l’optimisation du surplus (celui de Ford) qui s’avère le plus performant. Actuellement, Toyota réussit une meilleure combinaison du nouvel outil technologique que constitue l’Internet avec les rapports sociaux existants, c’est-à-dire un compromis salarial en vertu duquel on ne licencie pas les salariés, et le rapport de sous-traitance bâti sur le principe du donnant-donnant.
  • En conclusion, il apparaît clairement que la technologie est relativement neutre par rapport aux choix sociaux. Les travaux de Pascal Petit depuis trente ans sont très éclairants à ce sujet : l’hypothèse d’exogénéité de la technique, si commode pour la théorie néoclassique, n’est pas fondée et obscurcit les degrés de liberté ouverts aux choix organisationnels et de société.
  • Ainsi, les nouvelles technologies ne conduisent pas par elle-même à la gratuité et à la subversion de la logique marchande : encore faut-il que des acteurs s’en emparent pour faire prévaloir un tel modèle. Dès lors, c’est un discours en fait idéologique, qui présente comme inévitables les contraintes technologiques. Plusieurs solutions sont souvent envisageables face à la même pression concurrentielle.
    • François Bertrand
       
      Robert Boyer fait partie des économistes "hétérodoxes", tout comme Orléan et Amable dont je n'en finis pas de lire le bouquin. En général, ils ont des thèse qui concluent que les marchés ne sont pas efficaces sans une bonne dose d'institutions (je caricature un peu).
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    Réflexions de l'économiste Robert BOYER en 2004 sur le potentiel d'innovation que recèle la nouvelle économie, en marge d'une analyse retour sur la théorie de la régulation
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    Réflexions de l'économiste Robert BOYER en 2004 sur le potentiel d'innovation que recèle la nouvelle économie, en marge d'une analyse retour sur la théorie de la régulation
François Bertrand

L'art d'entreprendre - 1 - Avoir « une » idée excellente - Les Echos.fr - 0 views

  • RÉSUMÉL'auteur a suivi des dizaines de projets de création d'entreprise au cours de sa carrière. Il a remarqué que les entrepreneurs affrontent les mêmes problèmes lors de la période précédant le lancement du projet et pendant les premières années de son développement. Entre autres conseils, il rappelle qu'il vaut mieux commencer modestement, qu'il est vital de créer de la valeur rapridement ou encore qu'il est essentielde trouver un compromis intelligent entrele contrôle du capitalet l'ouverture aux actionnaires.
  • Avoir « une » idée excellente, « un » produit remarquable ou « un » marché porteur ne suffisent pas.
  • Comme rien ne se construit sans la volonté d'un entrepreneur, et rien de grand ne se construit seul, il est essentiel de trouver un compromis intelligent entre le contrôle du capital - au besoin, au travers d'un pacte - et la constitution d'une équipe d'actionnaires fondateurs responsables et soudés.
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  • Défendre son indépendance passe également par la protection intellectuelle de la créativité : brevet, marques, modèles, copyrights et sites Internet.
  • La création de « captives d'investissement », chargées de mettre en valeur l'intelligence d'une équipe entrepreneuriale, et une partie des ressources disponibles, dans des projets extérieurs - quelquefois à l'autre bout du monde - offre une réelle opportunité de diversification des sources de la performance et, sans conteste, une autonomie stratégique accrue.
  • Afin de susciter l'émergence et le développement d'une telle culture de la performance, il est souvent utile de lier les éléments variables de la rémunération des principaux collaborateurs à la croissance du résultat opérationnel, de la rentabilité nette ou, mieux encore, de la rentabilité nette par action (en tenant compte du fait que le nombre d'actions pourrait être amené à varier dans le temps). L'ouverture du capital aux collaborateurs qui le souhaitent, au travers d'un programme de stock-options - et non d'actions gratuites - attribuées en fonction de la croissance de la rentabilité nette par action, associée à un éventuel programme de rachat d'actions par la société si elle n'est pas cotée, constitue un puissant facteur de cohésion et de motivation. Enfin, la participation à des programmes de formation adaptés peut également contribuer à une évolution favorable des attitudes et des comportements.
  • La réalité est que le modèle économique sur lequel a reposé le développement de notre société européenne durant près d'un siècle semble avoir atteint sa pleine maturité. Nous sommes aujourd'hui à la croisée des chemins. Les nombreuses expériences faites en matière d'économie dirigée ne semblant pas avoir donné les résultats escomptés en termes de croissance, d'innovation et de prospérité, nous sommes condamnés à remettre en question un certain nombre d'hypothèses considérées comme étant établies. « Je me suis trompé, l'économie de marché fonctionne », me disait récemment un collègue universitaire qui a passé sa vie à enseigner les fondements de l'économie dirigée, et qui, manifestement, avait choisi d'ignorer « Capitalism and Freedom » et « Free to Choose » de Milton Friedman. Un constat que ne rejetteraient pas aujourd'hui de nombreux responsables politiques qualifiés comme étant de gauche.
  • Même si nous ne nous rapprochons que très lentement d'une telle société de responsabilité et d'entreprise, il n'est pas interdit d'en décrire, comme je le fis il y a dix ans déjà, quelques dimensions :- la réhabilitation du rêve, de la créativité, du goût du risque, du sens de l'effort et de l'éthique à tous les niveaux du système éducatif et chez ses principaux acteurs ;- l'absence de toute forme d'aide et d'assistance à la création d'activités et d'entreprises, les aides publiques les plus efficaces étant celles qui n'ont pas lieu d'être ;- un environnement fiscal favorable à la constitution et au développement des fonds propres des entreprises, notamment au cours des phases de création et de développement ;- une législation sociale empreinte de souplesse, ouverte aux objectifs et au mode de fonctionnement de l'entreprise en tant qu'instrument de création et de distribution de richesse ;- une incitation à la réussite individuelle et à la prise de risque se traduisant par une fiscalité du revenu et un système de protection sociale respectueux de l'effort consenti par chacun ;- la professionnalisation de la gestion des entreprises dans l'intérêt des divers partenaires impliqués - clients, collaborateurs, Etat, actionnaires - et l'équité des mécanismes de partage du surplus de valeur créé ;- le sens du concret, le pragmatisme, le refus des idéologies, le respect de la liberté et de l'intégrité des projets personnels, compatibles avec l'évolution démocratique du monde moderne ·
François Bertrand

Calenda - Les politiques territoriales de recherche et d'innovation et leur a... - 0 views

  • Les politiques territoriales de recherche et d’innovation et leur accompagnement par l’Union européenne
  • Le développement de la recherche et de l’innovation est la priorité essentielle de l’Union européenne et de ses États membres. Faire de l’Europe, à l’horizon 2010, l’économie la plus avancée au monde, fondée sur la connaissance, représente un défi majeur, qui nécessite à la fois une forte mobilisation de moyens, une mise en cohérence et une coordination des politiques nationales et régionales en faveur du développement de l’innovation et de la recherche. À cette fin, pour accroître sa compétitivité à l’échelle mondiale, l’Union européenne et ses États membres édifient trois espaces européens : l’espace européen de la recherche, l’espace européen de l’éducation et de l’enseignement supérieur, et enfin un marché intérieur propice à l’émergence et au développement de l’innovation.
  • Les territoires innovants s’appuient pour leur développement sur des organisations en clusters, en pôles de compétitivité. Les notions d’organisation systémique, d’écosystèmes  de la recherche et de l’innovation se sont généralisées en lien avec la montée en puissance des réseaux
    • Harscoet Fabrice
       
      peut servir pour les rencontres de l'innovation thème innovation et territoire
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    • François Bertrand
       
      L'IHEST, c'est la formation que suit mon chef. Ce colloque, c'est un peu comme nos ateliers de l'innovation en plus...gros.
  • Jean-Marc VENINEAUX
  • Philipe LAREDO
Marjolaine Grisard

Les Journées de l'Entrepreneur » Evénements - 0 views

  • La Fête des Entreprises, "J'aime ma boite". Dans le cadre des Journées de l'Entrepreneur : les salariés célèbrent, dès le premier jour la Fête des Entreprises, rappelant leur attachement à l'entreprise qui les emploie dans sa dimension professionnelle, sociale et humaine. (Dans 150 000 entreprises françaises, en système ouvert).
  • Lancement de la semaine du bénévolat économique (organisée dans le cadre de l'Année du bénévolat économique de France Initiative. (241 plateformes locales).www.france-initiative.fr
  • Lancement de la semaine Ecole Entreprise le lundi 17 novembre : initiative conjointe du MEDEF et du ministère de l'Éducation Nationale, cette opération a déjà sensibilisé près de 800.000 élèves au monde de l'entreprise depuis sa création en 2000. Cette année, en association avec l'association Entreprendre pour Apprendre, le Centre des Jeunes Dirigeants (CJD) et l'association Jeunesse et Entreprise (AJE), plus de 2000 rencontres entrepreneurs, professeurs, élèves, sont prévues.
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  • Lancement des Journées Plug & Start : Venez en créateur et repartez en entrepreneur, de la technopole de l'Aube, à l'initiative de l'ESC Troyes, réunissant pendant 3 jours 280 experts bénévoles mobilisés pour accompagner individuellement chaque porteur de projet innovant. Unique en Europe, les Journées Plug & Start, est un séminaire dédié aux entrepreneurs innovants. Ce séminaire s'apparente à une formation commando pour tous les projets innovants qui, certes, ne manquent pas de potentiel mais qui ont besoin d'un vrai coup de pouce pour commencer.13ème session en novembre 2008, 55 entreprises créées, 1996 candidatures, 188 participants, une moyenne de 15 projets retenus par session. www.plugandstart.com
  • Le Mentorat entrepreneurial pour la croissance des PME à fort potentiel, organisé par l'Institut du Mentorat Entrepreneurial de la CCI de Paris. Tables rondes et conférence à destination de 250 entrepreneurs de PME à fort potentiel de développement ainsi que tous les acteurs du développement économique local + la presse. Présidé par Pierre Simon, Président de la CCIP.
  • La journée du Capital Développement, organisée par l'AFIC. 19 novembre 2008,Pavillon Gabriel. Pour sa 4ème édition, la Journée du Capital Développement est co-organisée par l'AFIC et Les Echos Conférences. Cette manifestation s'articulera autour d'une succession de débats en conférence plénière, un déjeuner-débat et des temps réservés aux rencontres et networking dans un espace permettant des rendez-vous entre participants. La conférence Capital
  • La conférence annuelle des entrepreneurs à la Sorbonne « entrepreneurs: une révolution culturelle » ou le Décloisonnement des cinq mondes : Etudiants, Enseignants, Chercheurs, Financeurs, Entrepreneurs, autour de 6 temps forts. Evénement porté par l'AFIC, les Echos Conférences, 100 000 Entrepreneurs, Ernst & Young, et Croissance Plus.
  • Jeunes Entrepreneurs organise des rencontres de foot entre des jeunes issus des banlieues et des entrepreneurs, afin de sensibiliser les enfants dans un esprit convivial à l'esprit d'entreprendre
  • Speed-dating le 21 novembre en présence de 30 enseignants et chefs d'établissements, et 30 entrepreneurs
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    Les journées de l'entrepreuneur : une semaine (17 au 21 nov) pour faire référencer ses action (semaine des business angels mais aussi fête des entreprises, prix de l'entrepreuneur ou semaine école entreprise.
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    nous serons en Corée
Fred L

Innovation le journal : « Transformer l'innovation en croissance » - 0 views

  • Nathalie Kosciusko-Morizet : « Transformer l’innovation en croissance » La nouvelle Secrétaire d’État à la prospective et au développement de l’économie numérique veut rapprocher le grand public avec les nouvelles technologies de communication ©Tanguy Cadieu La toute nouvelle Secrétaire d’État à la prospective et au développement de l’économie numérique a profité hier de l’inauguration du nouveau laboratoire virtuel commun d’Alcatel-Lucent et de l’Institut Télécoms (INT) pour faire le point sur ses grands axes de travail. Parmi ses priorités à court et moyen terme : généraliser l’accès au haut débit (puis au très haut débit), assurer une transition en douceur vers la TNT et développer la télévision mobile personnelle (TMP). Autres points clés : « utiliser le numérique comme apport de compétitivité et de croissance » ou encore mieux rapprocher « le public et la technologie » avec, par exemple, le développement du télétravail.
Fred L

Le Rapport sur la compétitivité mondiale, 2006-2007 - 0 views

  • Le 26 septembre 2006, le Forum économique mondial (FEM) a diffusé le Rapport sur la compétitivité mondiale, 2006-2007.(
  • Pour ce faire, les auteurs se servent de plus de 100indicateurs pour faire une évaluation détaillée des conditions économiques de 125 pays et ils classent ces derniers selon leur compétitivité.
  • Le présent document examine brièvement la méthode utilisée dans le rapport du FEM. Il présente ensuite certains des principaux résultats obtenus par le Canada pour ce qui est de la compétitivité globale et dans le domaine de la technicité des entreprises, de l’innovation et de l’infrastructure. Le document se termine par une brève évaluation schématique du classement établi par le FEM.
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  • L’ICM donne un aperçu des facteurs que le FEM considère comme les moteurs essentiels de la productivité et de la compétitivité, et il les regroupe en neuf piliers indépendants : Institutions Infrastructure Macroéconomie Santé et enseignement primaire Enseignement supérieur et formation Efficacité du marché Préparation technologique Technicité des entreprises Innovation
  • Afin d’évaluer la compétitivité de certains pays, le FEM utilise un «indice de compétitivité mondiale» (ICM) comme outil principal. (5) On calcule l’ICM pour 125 pays et celui-ci va de 2,5, niveau le plus bas (Angola), à 5,81, niveau le plus élevé (Suisse).
  • Les piliers sont organisés en trois sous-indices, chacun étant indispensable à un stade de développement particulier [d’un pays] : a) le sous-indice des exigences de base regroupe les piliers indispensables aux pays au stade de développement fondé sur les facteurs (institutions, infrastructure, macroéconomie, santé et enseignement primaire); b) le sous-indice des optimiseurs d’efficacité englobe les piliers indispensables aux pays au stade de développement fondé sur l’efficacité (enseignement supérieur et formation, efficacité du marché, préparation technologique); c) le sous-indice des facteurs d’innovation et de technicité englobe tous les piliers indispensables aux pays au stade de développement fondé sur l’innovation (technicité des entreprises, innovation).(7)
  • Même si tous les pays sont classés en fonction de ces trois sous-indices, la méthode de l’ICM repose sur le principe selon lequel les «facteurs d’innovation et de technicité» ont une importance particulière pour l’évaluation des pays développés
  • Tableau 1 : Classement général selon l’ICM (10)
  • Pour ce qui est du sous-indice des facteurs d’innovation et de technicité, le Canada se classe aussi au 16e rang (voir le tableau 2) et aussi derrière certains de ses principaux partenaires commerciaux du G8 (É.-U., 4; Japon, 1; Allemagne, 3; R.-U., 10; France, 13).
  • le Canada est devancé par des partenaires plus petits, mais apparemment plus concurrentiels (Suisse, 2; Suède, 5; Finlande, 6; Danemark, 7; Israël, 8; Taïwan, 9; Pays-Bas, 11; Belgique, 14; Singapour, 15).
  • Selon le rapport du FEM, le Canada occupe le 16e rang au classement général de l’ICM (voir le tableau 1), derrière certains de ses principaux partenaires commerciaux du G8 (É.-U., 6; Japon, 7; Allemagne, 8; R.-U., 10). Le Canada est aussi devancé par la Suisse (1), la Finlande (2), la Suède (3), le Danemark (4), Singapour (5), les Pays-Bas (9), la Norvège (12), Taïwan (13), l’Islande (14) et Israël (15). Toutefois, le Canada se classe mieux que d’autres économies importantes (France, 18;Australie, 19; Inde, 43; Chine, 54; Mexique, 58; Russie, 62; Brésil, 66). 
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    Mesure de la compétitivité : méthode du Forum Economique Mondiale (FEM)
Fred L

Le Figaro - Economie : Les entreprises réinventent l'innovation à La Baule - 0 views

  • Les entreprises réinventent l'innovation à La Baule
  • La World Investment Conference a insisté sur le rôle central du partage de la connaissance dans le développement économique.
  • C'est le message adressé par le président de la République en clôture de la World Investment Conference, qui s'est tenue jeudi et vendredi à La Baule. Nicolas Sarkozy concluait ainsi le thème sur lequel plus de 1 000 participants ont planché, arrivant au diagnostic que non seulement l'innovation, mais aussi «l'énergie créative» feront de l'Europe un territoire plus attractif et plus compétitif.
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  • «Le capital humain créateur de valeur est la future priorité de l'Europe.»
  • Les entreprises l'ont anticipé. Mark Lloyd (département design chez Citroën) compare son métier à celui de jardinier : «L'idée n'est pas de créer de nouveaux produits, mais de les fertiliser. Aujourd'hui, on innove pour créer une image de marque : c'est beaucoup plus complexe que ce que nous faisions il y a dix ans !»«L'industrie de la connaissance est l'avenir de l'Europe», lâche aussi Jaques Guers, président de Xerox France, entreprise spécialisée dans la bureautique et l'imprimerie. Ainsi, son centre de recherche et développement de Grenoble travaille sur «le sens des mots, pas sur la forme. Nos clients ont besoin de ce nouveau savoir».
  • Une idée largement partagée par Ashok Narasimhan, fondateur de Wipro Technologies : «90 % de la valeur ajoutée se trouve dans la résolution des problèmes du client, pas dans la technologie.
  • t ce ne sont pas les investissements étrangers qui créent de l'emploi, ce sont les réseaux et l'intelligence.» Ce n'est pas Gigi Wang, en charge du MIT Stanford Venture Lab, qui le contredira. Selon elle, la clé du succès est aussi dans «la mise en réseau». Dans son laboratoire, où se croisent entrepreneurs en herbe, entreprises matures ou encore chercheurs, elle dit «éduquer la communauté à l'innovation et la productivité, en profitant de toutes les intelligences».
  • Un Facebook pour entreprises
  • Le réseau, c'est ce que compte bien exploiter François Barrault, PDG de BT Services. Selon lui, ce sont les évolutions de ces dernières années qui rendent une nouvelle forme d'innovation indispensable. «En un an, les connexions à Internet ont été multipliées par 14 en Asie. Désormais, la connaissance est distribuée.» Pour transformer cette connaissance en innovation, BT Services lance un produit qu'il qualifie de «révolutionnaire : un Facebook pour les entreprises». Sur ce réseau, «des idées et des expériences pourront être partagées, des solutions trouvées : on passe d'un modèle : je sais donc je suis à un modèle je sais donc je donne . Ce partage de la connaissance crée de l'innovation. Alors qu'il y a quelques années, on mettait des barbelés autour des centres de R & D».
  • «Attention quand même à la propriété intellectuelle», met en garde Francis Bailly (General Electric). Et de rappeler que le développement d'une molécule prend vingt ans et coûte 1 milliard de dollar. «Si la recette se trouve sur Internet, plus personne ne voudra investir en développement. Les entreprises doivent certes se réinventer, mais surtout dans leur façon de travailler. C'est une autre forme d'innovation.» .
Fred L

Innovation dans les services - 0 views

  • Innovation dans les services mardi 07 octobre 2008 Laurent Hermel , Gérard LouyatAFNORCollection : 100 questions pour comprendre et agir 172 pages 25,00 EUR     La maîtrise de l'innovation est aujourd'hui un des leviers majeurs de la compétitivité des entreprises ! L'innovation procure un avantage concurrentiel certain dans ce paysage économique changeant.   Mais par quel bout prendre ce concept d'innovation, comment le rendre clair dans tous les esprits ? Comment en faciliter l'implantation ? Comment réussir son innovation pour les services apportés à la clientèle, pour rendre les offres produits et systèmes plus compétitives ? Voilà 100 questions / 100 réponses pour remettre tout ça au clair ! Quel soutien les pouvoirs publics apportent-ils dans l'innovation en France ? Quel est l'intérêt d'innover sur le service de base et les services périphériques ? Comment développer la créativité dans l'entreprise de service ? Quelles stratégies marketing convient-il d'utiliser pour innover dans les services ? Comment assurer la pérennité de l'innovation au sein de l'entreprise de service ? Qu'est-ce qu'une communication efficace en activité de service ? Quels sont les indicateurs de performance à mesurer lors du lancement d'un nouveau service ? Comment le benchmarking peut-il développer l'innovation des services ?         Sommaire     - Innovation : généralités     - Innovation dans les services : enjeux et concepts-clés     - La démarche d'innovation     - La créativité au service de l'innovation     - Le marketing et l'innovation     - Le développement de l'innovation dans l'entreprise de service     - L'innovation et le management du changement dans l'entreprise de service     - La commercialisation de service innovant     - Le tableau de bord de l'innovation et de la mise en marché de l'offre innovante     - L'apport du benchmarking à l'innovation
François Bertrand

"Les innovations majeures se développent dans les grandes villes" - ETAT-COLL... - 0 views

  • Les innovations majeures se développent dans les grandes villes
  • Michel Destot
  • Il faut arrêter de stigmatiser ainsi les grandes villes et de les accuser de tous les maux.
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  • Bien sûr, étant donné leur poids démographique, c'est dans les villes que se concentrent les problématiques sociales. Mais c'est là aussi que se développent les innovations, de tous ordres, techniques, culturelles, sociales, et les institutions qui les portent, comme les universités et les pôles de compétitivité, et c'est là que s'expérimentent les politiques de solidarité.
  • Les pôles de compétitivité pourraient constituer une intéressante remise en ordre de la politique d'aménagement du territoire. Mais leur longue liste, qui comporte 72 pôles, alors qu'il aurait fallu favoriser l'émergence d'une petite dizaine, risque de perpétuer cette inefficacité propre à tout saupoudrage.
  • Si l'on concentre les moyens sur les agglomérations les plus prometteuses, sur des activités stratégiques données, alors on les met en mesure de faire ensuite retomber les bienfaits de leur croissance sur l'ensemble de la région et de ses entreprises. A cet égard, le maillon manquant dans notre tissu d'entreprises est celui des entreprises moyennes. Or précisément, c'est l'échelon régional qui peut le régénérer, sous l'effet d'entraînement des agglomérations. Je dis qu'il faut concentrer les moyens là où on a les meilleures chances de provoquer des effets bénéfiques sur le maillage économique.
  • Il ne s'agit pas de faire de la densité, terme qui d'ailleurs peut faire inutilement peur, mais de rechercher la compacité. On peut avoir une ville compacte, bien adossée à ses réseaux de transports, avec des espaces verts et des espaces publics de convivialité.
Fred L

TechCrunch en français » [fr] Entretien avec Ankama Games (Dofus), une startu... - 0 views

  • J’étais récemment en Corée et au Japon ou j’ai rencontré votre équipe, avez-vous avancé sur des partenariats ? Certaines choses se précisent et pas seulement pour l’Asie, par contre, il est trop tôt pour en parler.
  • On a Ubi Soft, Motion Twin et Ankama: a ton en France un savoir-faire particulier dans le domaine des jeux vidéos? Particulier, je ne saurais pas dire. Par contre, je pense que nous sommes capables de faire de bons jeux avec des moyens sans commune mesure avec les plus grosses productions développées aux USA, au Canada ou en Asie. Mais je crois aussi que c’est un problème qui dépasse la France et se situe au niveau européen, en tout cas pour ce qui concerne le développement des  MMORPG comme DOFUS.
  • Vous avez développé vos jeux sans apports de fonds de capitaux risqueurs: Y avez-vous pensé? Comment avez-vous fait pour financer votre croissance Ce n’était pas et ce n’est toujours pas à l’ordre du jour. Le développement de DOFUS a été progressif et nous nous sommes lancés dans le développement à partir du moment où nous avions mis en place un planning avec des étapes déterminantes pour la continuité du projet. Concrètement, DOFUS a principalement été financé par les revenus de notre activité de communication qui est notre activité historique.
  • ...1 more annotation...
  • Sur quoi est fondé votre modèle de revenus? Actuellement, nous travaillons exclusivement sur de l’abonnement. Par contre, tous nos jeux sont accessibles gratuitement sans limites de temps et nous ne pratiquons pas d’abonnements récurrents. Notre politique a toujours été la transparence et le plus large accès à nos jeux pour le plus grand nombre et le plus facilement possible. Nous pensons qu’il est fondamental que les joueurs puissent se faire une opinion personnelle sur nos jeux avant d’éventuellement s’abonner. De la sorte, nos joueurs s’abonnent en sachant exactement à quoi s’attendre et nous pouvons alors mieux travailler sur la fidélisation.
Marjolaine Grisard

Techinnov Orly - Rencontres innovation et développement Paris Sud - Orly - Je... - 0 views

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    ex d'action organisée par les CCI et CCIP
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    Techinnov 2009 3e édition des Rencontres Innovation & Développement Paris-Sud Le plus court chemin vers les affaires... Jeudi 12 février 2009 - Aéroport Paris-Orly
Fred L

Microsoft Innovation Center : au cœur de l'innovation tunisienne - Global Sec... - 0 views

  • Microsoft Innovation Center : au cœur de l’innovation tunisienne
  • Fruit du partenariat stratégique de Microsoft avec le gouvernement tunisien, le Microsoft Innovation Center (MIC) tunisien est un espace de collaboration dédié au soutien de la croissance du secteur logiciel, à la stimulation de l’innovation et au développement du capital intellectuel. Créé il y a un an et demi, le MIC est à la fois porteur d’initiatives pour les startups, les SSII, les universités et le gouvernement. Leila Charfi, Directrice du MIC, et Hafedh Yahmadi, Developer & Platform Advisor, Microsoft Tunisie, rencontrés à l’occasion des Med-IT Tunis, dressent un premier bilan de cette initiative.
Fred L

Saclay : Christian Blanc avance son cluster - 0 views

  • Saclay : Christian Blanc avance son cluster L’aménagement du plateau de Saclay ne sera pas un long fleuve tranquille. En conseil des ministres du 12 novembre 2008, le secrétaire d’Etat chargé du développement de la région capitale, Christian Blanc a présenté une communication sur l’aménagement du plateau de Saclay qu’il définit comme un « cluster scientifique, technologique et d’innovation économique » qui serait « de rang mondial ».   
  • Une Silicon Valley à la française   « Concernant le seul plateau de Saclay, il est envisagé le développement de plusieurs campus capables de rassembler plus de 100 000 chercheurs, élèves ingénieurs et étudiants dans les dix ans », indique le communiqué du secrétaire d’Etat. Un Etablissement public « d’un type nouveau » englobant 49 communes doit être créé par l’Etat début 2009. « Sa gouvernance sera partagée entre l’Etat, les collectivités territoriales, la communauté scientifique et les entreprises, avec un exécutif désigné par l’Etat », est-il précisé.  
  • Mais ce grand chantier suscite des rivalités entre les deux ministres concernés au premier chef, Christian Blanc et Valérie Pécresse.
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  • Paris 11 : une université au milieu des tractationsDu côté de la communauté universitaire, le collectif Sauvons la recherche dénonce le plan Campus de Saclay comme « un coup de force du Président de la république et du gouvernement qui tentent dans l’urgence d’imposer à l’Université son avenir, avec le déménagement de la Fac d’Orsay et peut être d’autres centres, le tout pour réaliser une vaste opération immobilière et de prestige... ».
  • Le Snesup dénonce lui dans un communiqué du 13 novembre 2008 le projet présenté en conseil des ministres qui s’inscrit dans « une rentabilité plus économique que scientifique sur le court terme. Le déplacement, non concerté avec la communauté universitaire, de près de 100 000 étudiants, de milliers d’universitaires et chercheurs, répond à des ambitions politiciennes et ouvre une course au gigantisme (inspiré du classement de Shanghai) qui n’a rien à voir avec les missions de service public d’enseignement supérieur et de recherche »
François Bertrand

Le Figaro - Economie : Bruxelles privilégie quatre pistes d'intervention - 0 views

  • • Aides à l'emploi.
  • • Aides aux entreprises.
  • • Infrastructures. Cinq milliards d'euros supplémentaires seraient redéployés au sein du budget communautaire afin de financer des projets transeuropéens d'interconnexion énergétique et des infrastructures d'Internet à haut débit.
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  • • Recherche et innovation. La Commission préconise aux États membres et au secteur privé d'augmenter les dépenses de recherche-développement dans l'innovation et l'éducation. Une «initiative européenne en faveur des voitures vertes» sera lancée, cofinancée par les secteurs public et privé à hauteur de 5 milliards d'euros minimum. Un milliard d'euros sera également consacré au développement d'immeubles économes en énergie
Fred L

L'INPI renforce son rôle au service de l'innovation - Industrie Technologies - 0 views

  • L’INPI renforce son rôle au service de l’innovation   Le contrat d’objectifs 2009-2012 confirme son rôle au service de l’innovation et du développement des entreprises françaises, en facilitant le recours à la propriété industrielle, élément clé d’une stratégie de développement économique reposant sur l’innovation.
Fred L

La socio performance : le lien social comme moteur.... - Obiwi - Nouveautés - 0 views

  • La socio performance : le lien social comme moteur....
  • La performance des entreprises dépend plus que jamais de leur capacité à mobiliser les personnes externes à l'entreprise autour du développement de leurs marques à chaque niveau d'interaction : corporate ou commercial, marketing ou communication, média ou RH....
  • On parle de socio-performance pour évaluer cette capacité à créer du lien social et culturel avec les parties prenantes et à faire fonctionner en mode participatif des communautés d'interets pourtant divergentes.
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  • Toute construction collective dépend de l'implication de chaque individu et n'est que la somme des actions engagées dans une même finalité. C'est pourquoi les entreprises "socio performantes" sont celles qui parviennent à donner un sens commun à leurs activités sans perdre de vue l' intéret personnel poursuivit par chacun, et qui réussissent à faire interagir l'ensemble de leurs parties prenantes autour d'un projet collectif, de valeurs communes, et de rêgles plus justes.
  • Les marques qui se développent sur des formats organisationnels 2.0 sur le web comme les nombreuses entreprises organisées de façon coopérative parviennent aujourd'hui à réaliser ce grand écart entre les besoins et les envies de chacun et l'intérêt de tous….
  • Jérémy dumont (directeur de Pourquoi tu cours) et Roger Nifle (président de l'institut Cohérence).
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    Concept de performance très intéressant => la nouvelle compétitivité
Fred L

Créer une culture de la communication - 0 views

  • Créer une culture de l’innovation
  • Quelles sont les principales caractéristiques d’une culture d’entreprise qui favorise l’innovation? Et celles qui inhibent l’innovation?
  • Selon un colloque qui a planché sur le sujet (aux Etats-Unis) les huit facteurs clés sont, dans l’ordre d’importance: La communication interne - Surmonter les réticences. Admettre le droit à l’échec et éliminer la culture du blâme. Permettre à quiconque de remettre en question quoi que ce soit. Le développement d’une attitude positive face au changement - surmonter la peur et la complaisance. Le développement d’une attitude positive pour la gestion des risques. Encourager les personnes à essayer de nouvelles voies même sans approbation explicite. Accueillir les idées venues de l’extérieur - refuser le prétexte du «pas inventé ici». Encourager les idées nouvelles.
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    8 facteurs clefs par ordre d'importance selon étude US
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