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François Bertrand

OCDE Science, Technology and Industry Scoreboard 2007 : Highlights - 0 views

  • Investment in knowledge has grown at the same pace as GDP
  • In both Japan and the EU, R&D intensity (R&D expenditure relative to GDP) picked up in 2005 to 3.3% and 1.7%, respectively, following a drop in 2004. In the United States, R&D intensity declined from a peak of 2.7% in 2001 to 2.6% in 2006, mainly owing to stronger growth in GDP than in the other main regions. In 2005, China became the third R&D spender world wide (in purchasing power parity terms) after the United States and Japan, with growth of more than 18% a year in 2000-05.
  • Venture capital is a major source of funding for new technology-based firms and a decisive determinant of entrepreneurship and innovation. It represented about 0.12% of OECD-wide GDP in 2005, up from 0.10% in 2003. It was much higher in Nordic countries (and growing rapidly), but it still remains concentrated in the United Kingdom and the United States. In 2005, these two countries attracted half of all OECD venture capital.
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  • Innovation policies: increased focus on tax incentives and industry-university linkages
  • In 2006, 20 OECD countries offered tax relief for R&D compared to 12 in 1995
  • many OECD governments have encouraged universities to patent their inventions
  • While decreasing slightly, to about 7%, in the countries that pioneered such policies (Australia, Canada and the United States), the share has increased markedly in Japan and the European Union, notably in France and in Germany, although levels remain modest (1.5% in Japan, 3% in the EU, but more than 5% in France).
  • Co-operation between industry and public research institutions
  • The United States and Japan have a comparative advantage in biotechnology and nanotechnology patenting and in the relevant scientific fields, while the EU is the world leader in environment-related technologies (solid waste, renewable energy and motor vehicle abatement), with Germany playing a very active role. Japan is second to the EU in all three environmental technology fields. However, while patenting in renewable energy and motor vehicle abatement has been increasing rapidly since the mid-1990s, patenting in solid waste technologies has declined.
  • S&T and innovation performance: the rise of new players
  • In terms of specialisation, patent data show that emerging economies (India, China, Israel, Singapore) and the United States focus their innovative efforts on high-technology industries (computers, pharmaceuticals) while continental Europe concentrates on medium-high-technology industries (automobiles, chemicals).
  • Innovation surveys show that large firms have a greater tendency to innovate than small ones.
  • California and Tokyo are by far the most inventive regions in ICT and biotechnology
  • The United States has the most biotechnology firms (close to 2 200), followed by Japan and France (around 800 each). In most countries, biotechnology represents 2 to 6% of business R&D but the share is higher in the United States, Switzerland and Canada, and above all in some smaller countries where it exceeds 20% (Denmark, New Zealand, Iceland).
  • The Nordic countries (especially Finland) and Belgium are ahead of other countries
  • High- and medium-high-technology manufacturing accounts for significant shares of exports from Ireland, Japan and Switzerland (shares of over 75%) as well as from Germany, Hungary, Korea and the United States. Among the BRIICS (Brazil, Russia, India, Indonesia, China and South Africa), these industries' exports are most important in China and Brazil, accounting for 55 and 32%, respectively, of total exports of manufactured and primary products. Because of the globalisation of value chains, a economy such as China imports more high-technology goods than it exports; much of these imports are components that are assembled in Chinese factories.
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    comparaison internationale pas mal de données sur des idées qui circulent
Marjolaine Grisard

IE-Club - 0 views

  • L'IE-Club est le lieu privilégié de rencontre des PME INNOVANTES de la "ITech-économie*" avec les autres grands acteurs de l'écosystème de l'innovation : INVESTISSEURS, GRANDS GROUPES, ORGANISMES PUBLICS et CENTRES DE RECHERCHE.
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    Pour la rencontre des PME innovantes, des grands groupes et des investisseurs. Ex : organisation le 18 novembre d'une "bourse aux technologies" où "le monde de la recherche présente ses technologies matures aux entreprises"
Fred L

Opération campus : dernier oral avant financement pour les 6 premiers projets - 0 views

  • Opération campus : dernier oral avant financement pour les 6 premiers projets
  • Qui demande combien ? Quels sont les points clés des projets ? Voici une synthèse des réponses à ces questions, projet par projet.
  • Université de Bordeaux Coût du projet : 538 millions d’euros (hors collectivités). Porteur du projet : le PRES de Bordeaux et ses huit membres fondateurs (quatre universités, trois écoles d’ingénieurs, l’IEP de Bordeaux). Objectif : « Construire une université nouvelle, avec une forte lisibilité et attractivité nationale et internationale ». Points clés du projet : - Réorganisation de l’offre de formation (par exemple, mise en place d’une licence et d’un doctorat uniques de l’université de Bordeaux et création des collèges thématiques « graduate schools »). - Structuration de la recherche en trois départements (sciences et technologies, biologie santé et sciences humaines et sociales) divisés en 11 pôles thématiques d’excellence (par exemple, pôle neurosciences ou pôle technologies de l’information). - Développement d’un esprit de campus. Cela passe par exemple par la création de « maisons de campus » sur les domaines.  
  • ...5 more annotations...
  • Grenoble Université de l’Innovation Coût du projet : 1,2 milliard d’euros au total dont 563 millions d’euros demandés au titre de l’opération Campus.  Porteurs du projet : le collège universitaire (universités, Grenoble INP, IEP de Grenoble) et le collège d’autres organismes (CEA, CNRS, CHU, Grenoble Ecole de Management, etc.). Objectif : le projet « vise un rayonnement international et un prolongement économique basé sur l’innovation dans toutes ses dimensions ». Points clés du projet : - Créer un campus unique (unité de lieu) à partir des deux sites (polygone scientifique et domaine universitaire de Saint-Martin-d’Hères), situés à moins de 25 minutes l’un de l’autre grâce au développement du tramway, des pistes cyclables et d’une rocade Nord. - Se concentrer sur quatre enjeux sociétaux : l’innovation, l’information, la planète et la santé. - Développer la vie de campus grâce à la création de pôles (restauration, logement, sportif, etc.) le long de la ligne de tramway qui relie les deux sites en traversant le centre-ville. 
  • Lyon Cité Campus Coût du projet : 1,2 milliard d’euros dont 700 millions d’euros demandés au titre de l’opération Campus.  Porteurs du projet : l’Université de Lyon au titre de l’ensemble des établissements membres du PRES impliqués dans l’opération (universités, ENS, INSA, IEP, etc.). Objectif : « Lancer la dynamique d’une nouvelle université » Points clés du projet : - Revisiter les campus pour avoir une logique thématique autour des pôles d’excellence (sciences et technologies, santé, sciences de la vie et sciences humaines et sociales). C’est-à-dire créer des quartiers « chimie », « physique », « sciences de l’information », etc. et tisser des liens entre les établissements pour favoriser leur complémentarité et leur lisibilité. - Créer une « Maison de l’innovation et de la compétitivité » et développer une zone privilégiée pour l’accueil d’entreprises sur le campus LyonTech. - Développer une vie de campus. Cela passe par exemple par la création de quatre restaurants universitaires et de 2000 logements. - Créer la Maison des langues et des cultures.  
  • Université Montpellier Sud de France Coût du projet : 440 millions d’euros dont deux tiers pour l’Etat et un tiers pour le conseil régional. Porteurs du projet : Montpellier 1, Montpellier 2, Montpellier 3, Montpellier SupAgro en partenariat avec l’ENSCM, le CROUS, les organismes de recherche et les principales entreprises de la région. Objectif : « Faire de l’Université de Montpellier une des cent premières mondiales » Points clés du projet : - Construction et renforcement de six pôles d’excellence : agronomie-environnement, biologie-santé, chimie, mathématique-informatique-physique-systèmes et structures, eau sciences de l’homme et de la société. Cela passe notamment par la rénovation et la réhabilitation de bâtiments dédiés à l’enseignement et la recherche ou la création de « Valeur-Sud » pour favoriser la valorisation de la recherche - Développement de la vie de campus avec, par exemple, la création de l’Atrium, un espace de vie étudiante, ou la restructuration du réseau des bibliothèques universitaires (amplitudes horaires plus larges, etc.).  
  • Université de Strasbourg Coût du projet : 288 millions d’euros auxquels s'ajoutent 240 millions d’euros des collectivités locales. Porteurs du projet : l’université de Strasbourg (résultat de la fusion des trois universités strasbourgeoises) et les établissements associés (CROUS, CNRS, INSA, ENGEES). Objectifs : « Faire de l’université de Strasbourg un campus de réputation mondiale, développer les interfaces et les synergies entre disciplines, favoriser les coopérations scientifiques nationales, internationales et transfrontalières ».  Points clés du projet : - Parachèvement des fondements de l’université de Strasbourg. - Développement de structures comme la maison des arts et sciences, la maison de l’étudiant ou la maison de l’accueil international. - Réaménagement de la tour de chimie, la rénovation du centre sportif, restructuration de l’INSA, etc.  
  • Toulouse Campus Coût du projet : 1,4 milliard d’euros dont 500 millions au titre de l'opération Campus. Porteurs du projet : le PRES « Université de Toulouse » en association avec des établissements publics à caractère scientifique et technologique et les établissements membres associés (CNRS, INRA, INSERM) ou rattachés au PRES (IEP, ENIT, ENAC, etc.). Objectifs : « Recherche, formation, vie étudiante ; Ouverture sur le monde économique et la société ; Refondation de l’Université de Toulouse sur une base fédérale ». Points clés du projet : - Renforcement et valorisation de trois pôles d’excellence (aéronautique et espace, économie et mathématiques) et développement de la transdisciplinarité autour de thématiques de recherche (nanotechnologies, vivant, etc.). Cela passe notamment par l’installation du PRES dans des locaux rénovés en centre-ville et la création d’une cité internationale des chercheurs dans le nouveau « quartier des sciences » - Réintégrer le campus dans la ville en créant une cité internationale étudiante, des installations sportives de haut niveau, une bibliothèque numérique mutualisée de 1500 places…  
François Bertrand

Korean economy to run on new growth engines - 0 views

  • The New Growth Engines Initiative reported their plan to the president of Korea, Lee Myung-bak on Sept. 22.
  • the initiative has selected 22 projects in six areas - energy and environment, transportation systems, new information technology, new integrated industries, bio-industry and knowledge-based services.
  • However, the growth of the Korean economy has been relatively slow during the last decade because it is facing strong international challenges. Industry leaders are struggling to develop the new "Blue Ocean" in the years to come. Unemployment among the younger generation is serious, and the proportion of retirees has become bigger. Another challenge is the global warming and energy shortage problem.
  • ...34 more annotations...
  • If the market can autonomously create new business, there is no need for the government to lead the industrial plan. In this regard, most developed countries support only R&D and development of human resources. However, this strategy is not always the best for developing countries, where the market does not have the capability of innovation. Even the United States is now experiencing the need of appropriate government control to secure the nearly collapsed financial sector and deeply depressed industries. At this stage, the Korean government has decided to motivate new industries which have good potential for growth, but may not grow unless the government intentionally nurtures R&D, cultivates initial-stage market growth, deregulates constraints and provides well-prepared human resources.
  • By Nam-pyo SuhPresident, Korea Advanced Institute of Science and Technology
  • The NGE Initiative is composed of 360 non-governmental experts from various industries, research institutions and universities.
  • Even though the R&D portion of 5 percent in government spending is one of the highest in the world, it is still less than one-tenth of the United States. So Korea has to select and concentrate on promising industries, considering what industries it is best at developing.
  • The 22 projects selected in six areas are as follows. 1) Energy and environment
  • Emission-free clean coal
  • how to remove the emission of carbon dioxide
  • Ocean-originated bio-fuel
  • Solar cells
  • Carbon sequestration and reuse
  • Fuel cell power generation
  • Nuclear power plant
  • Transportation systems
  • Green cars: The main enabler of a green car is the plug-in hybrid electrical vehicle which uses both batteries and a combustion engine. The electricity can be recharged at home. However, in Korea, most cars cannot be parked in personal spaces. Establishing public charging infrastructure is an additional challenge. The electricity for urban electrical vehicles may be supplied from underground wires without physical contact.
  • Shipbuilding and ocean systems
  • 3) New IT
  • mobile harbor technology
  • System semiconductors
  • Displays
  • Next-generation mobile telecommunications
  • LED lighting
  • RFID/USN: RFID and the Ubiquitous Sensor Network is a revolutionary instrument for next-generation logistics management. However, the chip price is still too expensive to justify its application. So government should apply the RFID/USN in the public sector to create the new standard and the market for mass production and cost reduction.
  • 4) New integrated industries
  • Robots
  • New materials and nanotechnology
  • IT-enabled products and processes: Korea is the leader in IT infrastructure.
  • 5) Bio-industry
  • Convergence of telecommunication and broadcasting:
  • 6) Knowledge-based services
  • Software
  • Healthcare:
  • Design:
  • Cultural contents
  • New medicine and medical equipment
  •  
    Nam-pyo Suh
Fred L

L'Inpi part en campagne pour réconcilier PME et brevets - SCIENCES ET TECHNOL... - 0 views

shared by Fred L on 25 May 08 - Cached
  • Info & Secteurs > Innovation > Actualité SCIENCES ET TECHNOLOGIES -  L'Inpi part en campagne pour réconcilier PME et brevets[ 21/05/08  ] L'institut mise sur la communication et sur une réduction de ses tarifs.
  • Quelque 11 % des dirigeants auraient déjà été confrontés à un problème de propriété intellectuelle ou industrielle. Et, au-delà des traditionnels articles de luxe, un éventail de produits disparates sont aujourd'hui victimes de contrefaçons. A l'instar des médicaments ou des... pièces détachées pour l'automobile ! Pourtant, dans l'industrie, seul un patron français sur quatre a déjàdéposé un brevet. Telles sont les conclusions d'une étude, réalisée auprès de 506 chefs d'entreprise, publiée hier par l'Ifop à la demande de l'Institut national de la propriété industrielle (Inpi).
  • « Il y a un double clivage, commente Frédéric Dabi, directeur du département d'opinion publique de l'Ifop. L'industrie détient le plus fort taux de dépôts. Et plus l'entreprise est grande, plus elle dépose de brevets. » En 2006, 40 % des PME françaises renonçaient à déposer un brevet. Pour les inciter à franchir le pas, l'Inpi redouble d'efforts. « Les demandes de brevets en France ont continué à progresser de 3,3 % en 2007. Mais encore trop peu d'entreprises passent à l'acte », regrette Benoît Battistelli, directeur général de l'Inpi.
  • ...4 more annotations...
  • Tarif réduit Sur le sol français, le coût d'un dépôt de brevet est estimé à 5.000 euros. Cependant, depuis le 1er mai, l'Inpi applique des réductions tarifaires, en diminuant de moitié les 600 euros de redevance liée aux dépôts qui lui sont versées par les PME. En prime, la mesure s'étend désormais aux sociétés employant jusqu'à 1.000 salariés. Pour l'institut, le manque à gagner se chiffre à 3 millions d'euros. L'institut vient, par ailleurs, de lancer une campagne de communication pour la coquette somme de 2,5 millions d'euros, avec comme slogan : « On gagne tous à innover ».
  • Le contexte européen devient aussi plus favorable. Entré en vigueur le 1er mai, l'accord de Londres sur le brevet européen réduit de 25 % à 30 % les coûts, en épargnant aux entreprises la traduction de leurs inventions dans de multiples langues.
  • Toutefois, des progrès restent à faire. « L'Europe des brevets existe, assure Benoît Battistelli. Mais nous n'avons parcouru que la moitié du chemin. Les entreprises peuvent déposer un brevet valable dans l'Europe entière, mais, s'il est contrefait dans dix pays, il faudra dix procès avec parfois des décisions contradictoires. »
  • De son côté, la France a quelques atouts, parmi lesquels sa procédure de saisie-contrefaçon. En outre, la création d'un pôle de propriété intellectuelle au tribunal de grande instance de Paris est en projet. Mais les décrets d'application, en cours d'examen au Conseil d'Etat, ne sont toujours pas sortis.
François Bertrand

Technology Review: 10 Emerging Technologies 2008 - 0 views

  • Past 10 Emerging Technologies: 2008 | 2007 | 2006 | 2005 | 2004 | 2003 | 2001
  •  
    published by MIT
Fred L

Technology Transfer for the Max Planck Society - 0 views

  • Max Planck Innovation is responsible for technology transfer from the research institutes of the Max Planck Society, Germany's leading basic research organization
François Bertrand

PIP_Tech_Failure.pdf (Objet application/pdf) - 0 views

  •  
    pour la page 3 sur les cycles de vie des technologies
François Bertrand

« Des nouvelles technologies à un nouvel enjeu social ! », une tribune de Luc... - 0 views

  • la génération des « digital natives » recherche un
  • sens, peu numérique celui-là, à son engagement dans l'entreprise.
  • Et à la réflexion, rares sont les sociétés qui intègrent dans l'ADN de leur projet fondateur ou de leur stratégie, des valeurs spontanément mobilisatrices.
  • ...2 more annotations...
  • Comme on le voit, en période de tempête financière et de doute des jeunes face aux business de la méga-consommation, certaines alternatives font rupture de fond et de forme.
  • « Les entrepreneurs français de l'Internet qui souhaitent réussir à l'échelle internationale n'ont que deux véritables choix : être franco-américains ou américains tout court. En effet, le marché américain structure le marché mondial par sa masse critique autant d'utilisateurs que de capitaux pour financer les projets », selon Olivier Ezratty, Conseil en Stratégie de l'Innovation. La France dispose elle aussi d'un formidable capital humain et d'écoles d'excellence. Elle incarne pleinement les valeurs humaines exprimées dans les projets que nous venons de citer. Nous tenterons de comprendre, jeudi 20 novembre, aux Jardins de l'Innovation, en direct live de la « Valley » les facteurs clefs de succès à l'œuvre dans ce creuset international de l'innovation high-tech.
  •  
    pour aller dans le sens du billet de David
François Bertrand

CERNA - Centre d'économie industrielle - Innovation policies and management o... - 0 views

  • Tuning innovation policy to the characteristics of industries Innovation policy tools fit more or less the needs of industries. We try to understand which kind of industry is more impacted by which tool, therefore allowing a better tuning of the policy mix to suit the characteristics of targeted industries and the national priorities. Management of innovation We would like to contribute to fill the gap between the needs of companies wanting to improve the efficiency of their innovation system and academic research where most teams pursue a deep understanding of very focused issues. We organize (together with colleagues of Ecole polytechnique and universities of Paris) many workshops where professionals and scholars meet to discuss real practices. We focus on organizing ‘open innovation’ relying on building networks in order to combine and integrate the best technologies or to realize the potential of a technology, on a better understanding the behavior, expectations and latent needs of users, on the design of new business models.
  •  
    Cela ressemble au slogan de la FNEP.
Fred L

L'INPI renforce son rôle au service de l'innovation - Industrie Technologies - 0 views

  • L’INPI renforce son rôle au service de l’innovation   Le contrat d’objectifs 2009-2012 confirme son rôle au service de l’innovation et du développement des entreprises françaises, en facilitant le recours à la propriété industrielle, élément clé d’une stratégie de développement économique reposant sur l’innovation.
Fred L

La recherche partenariale au service de l'innovation dans les PME - 0 views

  • La recherche partenariale au service de l’innovation dans les PME
  • Seule l’innovation ouverte est de nature à assurer à notre tissu industriel un avantage concurrentiel et à garantir les emplois d’aujourd’hui et de demain.
  • Pour répondre au mieux à ces enjeux économiques et sociétaux, l’Assemblée des Chambres Françaises de Commerce et d’Industrie (ACFCI) et l’Association des instituts Carnot ont décidé d’unir leurs forces et leur action en faveur des PME/PMI.
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  • Grâce à la convention cadre, signée le 1er octobre entre les deux organismes, une série d’actions déclinables et adaptables au cas par cas au niveau local entre les partenaires de chaque réseau va s’engager au profit de la recherche partenariale entre laboratoires publics et PME/PMI.
  • Les partenaires se fixent comme objectifs de :promouvoir l’offre de recherche des instituts Carnot en assurant dans le réseau consulaire sa promotion auprès des PME et en relayant l’information sur leur offre de compétences au profit desentreprises (moyens de tests et d’essais, expertise, transfert de technologies...)valoriser les actions des C(R)CI : l’AiCarnot informera et sollicitera la participation des instituts Carnot aux actions et projets des C(R)CI dans les domaines de l’innovation, de la propriété industrielle, du montage de partenariats de recherche et du transfert de technologies,participer aux programmes européens de R&D. Pour ce qui concerne les C(R)CI, le Réseau « Enterprise Europe Network » d’appui à l’innovation permettra d’identifier les programmes les plus pertinents.
  • La recherche partenariale au service de l’innovation dans les PME
François Bertrand

The Korea Herald : The Nation's No.1 English Newspaper - 0 views

  • the government announced its "Green New Deal" project on Jan. 6.
  • The "Green New Deal" is an ambitious project designed to create 960,000 jobs by investing 50 trillion won ($36.4 billion) over the next four years
  • The Korean government has taken the position that this crisis is an opportunity to advance eco-friendly economics; by pumping investment into "green technologies," we will be both helping the economy and setting the stage for future economic growth.
  • ...12 more annotations...
  • The plan may be divided into four major categories.
  • The first concerns projects to establish an energy-efficient
  • The second category includes projects to increase the general standard of healthy living
  • spanning 3,114 kilometers will be gradually established
  • rivers throughout the country will be restored
  • The third category consists of preventative measures such as reducing carbon emissions and securing fresh-water resources.
  • The last category concerns investment projects for future industries
  • land, energy, water resources and buildings
  • The Green New Deal Policy will also contribute to stimulating the regional economy.
  • In line with the proposal of new growth engines unveiled on Jan. 13, the government will make efforts to strengthen the strategy of increasing green technology and strive to achieve practical and balanced results through the Green New Deal policy.
François Bertrand

Research and development in East Asia | Rising in the East | The Economist - 0 views

  • TO SEE the geography of the technology industry, crack open an Apple iPhone. Although the firm that sells it is American, it provides none of the physical innards. The components are almost entirely Asian: the screen is mostly from Japan, the flash memory from South Korea, and it was assembled in China. Apple’s contribution is the design and software—and, importantly, integrating the innovations of others.
  • The most impressive growth has been in South Korea. In 2007 Samsung spent more on R&D than IBM. The company has jumped to second place in the number of patents granted by America’s patent office (just behind IBM); a decade earlier it was not even in the top ten. South Korean firms spend more on R&D as a percentage of sales (6.5%) than European and Japanese firms (around 5%), and are catching up with American ones (about 8%). South Korea now has more high-tech researchers than Britain and Germany.
  • The starkest shifts are in computer services and manufacturing, where the roles of America and East Asia have diverged dramatically. The amount that American firms spend on research in computer services as much as trebled over the past decade. Japanese and South Korean firms, meanwhile, spend hardly anything developing services, and prefer to concentrate on more tangible, if less lucrative, hardware.
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  • Even the topology of the internet itself is looking less American. In 1999 around 90% of Asia’s international internet traffic passed through America; in 2008 the share dropped to 54%, according to TeleGeography, a telecoms-research firm. It is yet another example of how the technology industry, once dominated by America, is becoming truly global in nature.
François Bertrand

IDEAS: OECD Science, Technology and Industry Working Papers, OECD Directorate for Scien... - 0 views

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    une source de papiers de recherche susceptibles de nous intéresser
François Bertrand

Retranscription de notre débat avec Robert Boyer (Autisme-Economie.org) - 0 views

  • Ce n’est donc pas dans le secteur marchand que les NTIC vont apporter un changement important. En revanche, d’importantes évolutions sont à attendre dans les administrations publiques qui, fondamentalement traitent de l’information et jusqu’à présent n’ont pas mis à profit le potentiel offert par les TIC.
    • François Bertrand
       
      Clair !
  • Au demeurant les modalités institutionnelles de réalisation de ce modèle ne sont pas claires ; l’alternative entre une marchandisation totale ou une mutualisation dépendra de la capacité des groupes sociaux à défendre un financement sur fonds publics et à ne pas céder à la croyance en l’efficacité absolue du marché, alors que pour la production des biens publics on connaît de longue date les limites de ce mécanisme. L’un des attraits de ce modèle est de pouvoir constituer un modèle universel de développement, avec comme principe fondateur l’accès aux biens premiers que sont l’école, la connaissance, la santé, comme le propose Amartya Sen. C’est un modèle de développement très différent du modèle dominant aujourd’hui, qui est fondé sur l’extension du libre-échange.
  • dans quelle mesure l’infrastructure technologique vous semble-t-elle déterminante, dans l’histoire économique ? en particulier, le développement aujourd’hui des nouvelles technologies vous semble-t-il porteur de gratuité et d’une subversion de la logique marchande traditionnelle ? (bref, quel regard portez-vous sur les théories du capitalisme cognitif ?)
  • ...9 more annotations...
  • Le keynésianisme comme pratique, mais pas comme idéologie, n’est pas mort pour celles des économies qui ont les moyens de décider de façon autonome leur politique. Le problème de la France est que ses élites interprètent comme un dépérissement général de l’État sa perte d’efficacité et l’incapacité à le réformer. Alors que dans beaucoup d’autres pays, y compris en Europe bien sûr, comme au Danemark, en Suède, aux Pays-Bas, l’État joue un rôle déterminant dans la redistribution du revenu, la couverture sociale et le droit du travail, et plus généralement dans la renégociation des compromis institutionnalisés. Finalement, on peut dire que l’État est plus présent que jamais…à l’époque même d’un libéralisme encore triomphant.
  • Autrement dit, la technologie est fille des compromis institutionnalisés aboutissant, soit du rapport capital-travail (pour l’organisation du travail), soit des rapports de concurrence (pour les brevets). Bien sûr, une fois qu’une innovation est faite par une firme et dans un pays, elle se propage ensuite par le jeu de la concurrence à l’échelle nationale et internationale, mais elle ne conditionne jamais complètement les solutions adoptées.
  • On peut illustrer cette thèse par un exemple, en partant d’un titre issu de l’hebdomadaire The Economist : « l’Internet va faire advenir le marché parfait », par exemple parce qu’il permettra un mécanisme d’enchère en temps réel et surtout réduira les asymétries d’information. Or, si l’on étudie l’usage d’Internet aujourd’hui chez deux grandes firmes automobiles, Toyota et Ford, on constate qu’elles utilisent l’outil Internet dans des sens très différents, correspondant à des stratégies de profit contrastées (cf. Robert Boyer, Michel Freyssenet, 2000 « Les systèmes productifs », Repères, La découverte, Paris).
  • Toyota s’en sert pour faire le co-développement de ses nouveaux modèles en un temps deux fois plus faible que les constructeurs américains, grâce au développement simultané de la conception via l’Internet. Les gains correspondants sont partagés en fonction d’une règle négociée sur une période pluriannuelle.
  • Ford utilise, lui, l’Internet pour extraire tout le surplus de ses sous-traitants de premier rang, exacerbant la concurrence entre eux, puisque Internet lui permet de comparer en permanence les prix proposés par chacun. Autrement dit, Toyota l’utilise pour optimiser le temps de création de ses produits alors que Ford cherche à maximiser la rente qu’il extrait de ses sous-traitants, pour réduire au mieux les coûts de production.
  • partir de la même technologie, on aboutit ainsi à deux modèles productifs très différents, qui reposent chacun sur un principe d’efficacité différent. Contrairement à ce que l’on aurait pu attendre, ce n’est pas le modèle productif reposant sur l’optimisation du surplus (celui de Ford) qui s’avère le plus performant. Actuellement, Toyota réussit une meilleure combinaison du nouvel outil technologique que constitue l’Internet avec les rapports sociaux existants, c’est-à-dire un compromis salarial en vertu duquel on ne licencie pas les salariés, et le rapport de sous-traitance bâti sur le principe du donnant-donnant.
  • En conclusion, il apparaît clairement que la technologie est relativement neutre par rapport aux choix sociaux. Les travaux de Pascal Petit depuis trente ans sont très éclairants à ce sujet : l’hypothèse d’exogénéité de la technique, si commode pour la théorie néoclassique, n’est pas fondée et obscurcit les degrés de liberté ouverts aux choix organisationnels et de société.
  • Ainsi, les nouvelles technologies ne conduisent pas par elle-même à la gratuité et à la subversion de la logique marchande : encore faut-il que des acteurs s’en emparent pour faire prévaloir un tel modèle. Dès lors, c’est un discours en fait idéologique, qui présente comme inévitables les contraintes technologiques. Plusieurs solutions sont souvent envisageables face à la même pression concurrentielle.
    • François Bertrand
       
      Robert Boyer fait partie des économistes "hétérodoxes", tout comme Orléan et Amable dont je n'en finis pas de lire le bouquin. En général, ils ont des thèse qui concluent que les marchés ne sont pas efficaces sans une bonne dose d'institutions (je caricature un peu).
  •  
    Réflexions de l'économiste Robert BOYER en 2004 sur le potentiel d'innovation que recèle la nouvelle économie, en marge d'une analyse retour sur la théorie de la régulation
  •  
    Réflexions de l'économiste Robert BOYER en 2004 sur le potentiel d'innovation que recèle la nouvelle économie, en marge d'une analyse retour sur la théorie de la régulation
François Bertrand

ADIT : Où chercher la nouveauté ? Le déplacement intersectoriel au fondement ... - 0 views

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    Et si le secret de l'innovation n'était qu'une histoire de déplacement intersectoriel de connaissances ? Mouvement récent, certaines entreprises se spécialisent dans une mission dont l'objet était jusque-là enfoui dans le cœur de métier de l'entreprise : l'innovation. Ni secteur ni technologie de prédilection pour ces entreprises qui accumulent des connaissances et d'intenses capacités de veilles stratégiques et technologiques sous forme de méthodologies et de mémoires. Elles mettent au service de leurs clients, des entreprises à la recherche de l'innovation, des moyens d'accéder à des connaissances autant juridiques, de marketing que technologiques jusqu'alors inaccessibles. Il ne s'agit pas de les consulter pour du « y'a qu'à » mais bien au contraire de s'y associer pour voir se former rapidement le prototype en esquisse du nouveau produit porteur de différenciation et de la conquête des parts de marché. Source : ADIT - Technologies Internationales Numéro : 138, octobre 2007
Fred L

Repenser l'innovation et les bureaux d'études - RECHERCHE SCIENCES ET TECHNOL... - 0 views

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  • Repenser l'innovation et les bureaux d'études 
  • Pour faire baisser cette pression préjudiciable, faisons un peu de prospective et essayons d'imaginer ce que seront l'ingénierie de demain et l'introduction de l'innovation dans les services, les produits et les processus et voyons comment elles pourront contribuer à la croissance de notre pays. Inspirons-nous de quelques modèles pertinents qui nous enseignent que l'on peut pratiquer l'ingénierie autrement. Voici quatre solutions pour réhumaniser cette activité et améliorer sa performance.
  • Premièrement, il faut distinguer les processus de développement industriel des phases amont de conception, dans lesquelles il faut de la liberté. On peut considérer que développer un produit, ça se gère comme une usine. Mais à condition que tous les degrés d'incertitude aient été levés auparavant et qu'on ait bien pris la précaution de vérifier que l'on arrivera à faire du premier coup tout ce que l'on veut développer. Les indicateurs qui servent à piloter le gros des troupes sont totalement inadaptés pour piloter les phases amont
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  • Dans ces dernières, il faut s'attacher à vérifier qu'on ne produit que des exigences réalisables et qu'on est parfaitement en ligne avec le marché, en termes d'introduction d'innovations.
  • Le modèle ici, c'est Michelin. Chez le numéro un mondial du pneu, on évite de « cherlopper ». Ce néologisme veut dire : mélanger la recherche et le développement. On s'est aperçu que le mixage des deux ne donne pas de bons résultats
  • Deuxièmement, il faut réhabiliter le savoir. Aujourd'hui, en France, on est très mauvais dans la gestion des connaissances parce que les bureaux d'études produisent les connaissances une fois le projet terminé : c'est le retour d'expérience.
  • Les connaissances produites sont au mieux considérées comme une aide, au pire comme un boulet. Il faut radicalement changer de point de vue.
  • Est-ce que je peux pousser à telle puissance tel module électronique, est-ce que je peux réduire autant la masse de cette pièce ? Voilà les questions que le chef de projet doit se poser avant d'engager le développement... Et toutes les réponses doivent être justifiées par les connaissances qui deviennent la matière première de la conception. On est là dans le modèle Toyota.
  • Troisièmement, virtualiser le bureau d'études. Car le modèle Toyota possède ses propres limites. C'est Toyota City. Quand on a des bureaux d'études un peu partout dans le monde, qu'on achète des sociétés et qu'on les intègre, il faut partager au moyen d'outils informatiques toutes les informations et les connaissances nécessaires aux projets. Les systèmes de PLM (« product lifecycle management ») qui gèrent les données produites par l'ingénierie devront devenir communicants et permettre le partage entre partenaires engagés dans un codéveloppement. Il convient d'établir des correspondances entre structures et formats de données mais également entre significations et utilisations de données. De nouvelles technologies comme le Web sémantique vont acquérir demain leurs lettres de noblesse. Des outils du savoir comme le wiki ou l'e-learning vont se développer en entreprise. Boeing est un modèle en la matière. L'avionneur américain a totalement refondu ses systèmes d'information pour développer son nouvel avion, le Dreamliner 787.
  • Enfin, quatrièmement, il est absolument nécessaire de reconsidérer la dimension humaine. Quand un service d'ingénierie ou de recherche et développement (R&D) est composé de plusieurs milliers de personnes, il est difficile de mettre tout ce monde à l'unisson, même quand son directeur est un bon chef d'orchestre.
  • Et puis, l'exigence de performance qui pèse sur les épaules des collaborateurs les a parfois déstabilisés au point de leur faire perdre confiance dans le management.
  • Il faut à tout prix introduire dans l'ingénierie de demain du changement durable. On peut rétablir cette confiance en supprimant les indicateurs inadaptés, en revalorisant le savoir, en redonnant du sens au management. Et cette confiance retrouvée engendrera des succès en matière de développements technologiques, qui eux-mêmes contribueront à la croissance du pays. Ne croyez pas que ce cercle vertueux soit une utopie. Les TGV, AGV et les Airbus de demain ne peuvent croître que sur ce nouveau terreau.
  • MICHEL MAURINO est PDG de Vinci Consulting, spécialiste du management de la technologie et de l'innovation.
François Bertrand

International Conference on Concurrent Enterprising, Lisbon, Portugal - 0 views

  • http://www.ice-conference.org/
  • co-creation, co-innovation and open innovation
  • 'A new wave of innovation in collaborative networks'.
  •  
    dommage, c'est pendant la Suisse... --- The 14th International Conference on Concurrent Enterprising (ICE 2008) will be held in Lisbon, Portugal, from 23 to 25 June. This year's event is entitled 'A new wave of innovation in collaborative networks'. ICE 2008 will bring together researchers and practitioners from around the world to present the latest findings from their research and share their hands-on experience from industry. Conference topics include, for example, ambient assisted environments, real-time location and identification, co-creation, co-innovation and open innovation, concurrent engineering methods and processes as well as issues of product data and product lifecycle management and many more. The term 'concurrent enterprising' is an amalgam which brings together the paradigms of concurrent engineering and extended/virtual enterprising. The concurrent enterprise is a distributed, temporary alliance of independent, co-operating manufacturers, customers and suppliers using systematic approaches, methods and advanced technologies for increasing efficiency in the design and manufacturing of products and services. Contact person: For further information, please visit: http://www.ice-conference.org/
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