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Une nouvelle technologie permet de concilier deux formats longtemps jugés antagonistes : le papier et le numérique. Pour aboutir, demain, à des journaux imprimés totalement interactifs ? Et si la bataille entre les défenseurs du papier et ceux de l'écran prenait fin grâce au papier journal interactif ? Le chaînon manquant vient, semble-t-il, d'être imaginé par l'entreprise Novalia et des chercheurs des universités de Central Lancashire, de Dundee et de Surrey, au Royaume-Uni. Comme le rapporte le magazine en ligne ActuaLitté, cette société a abouti à « la création d'un papier journal compatible avec l'information électronique ». Fondé sur une encre électroconductive, qui réagit à la manière d'un écran tactile, il peut comporter des boutons interactifs, qui permettent au lecteur de voter à un sondage, d'activer un supplément audio ou encore de « liker » sur Facebook. « Pour la première fois, d'une manière évolutive et manufacturable, nous allons connecter le papier à internet », s'est réjoui Jon Rogers, de l'université de Dundee. Le procédé technique n'a pour le moment pas été dévoilé. Mais si le procédé vient à être confirmé, cette réalité augmentée promet de faire évoluer bien des choses... Elle pourrait par exemple être appliquée aux posters ou aux menus de restaurants, souligne ActuaLitté.

"Si un écran plat interactif, de type LCD, coûtait le même prix qu'un tableau interactif fixe - pour une image de même taille, lequel achèteriez-vous ?"

Fondé en 2008, le Centre en imagerie numérique et médias interactifs (CIMMI) a pour mission de contribuer à la progression technologique et à l'essor des entreprises en apportant son expertise multidisciplinaire en recherche et développement et en transfert de technologie dans le domaine de l'imagerie numérique et des médias interactifs.

JEU - Le studio français Lexis Numérique lance ce lundi une fiction entre jeu vidéo, feuilleton romanesque et Web-série... L'avenir des Web-séries se joue peut-être ici. Avec l'expérience «Alt-Minds» lancée ce lundi en Europe dans quatre langues, ses participants vont être plongés «en temps réel» pendant huit semaines dans un thriller interactif. Une tentative de «fiction totale», selon les termes d'Eric Viennot, qui a développé ce projet avec son studio français Lexis Numérique.

Très intéressant ce reportage de Daniel Carrière et Pier Gagné à Découverte sur le remplacement des tableaux verts par des écrans tactiles dans les classes du Québec. Le gouvernement a en effet annoncé l'an dernier que les profs allaient abandonner leurs ardoises pour les remplacer par des tableaux blancs interactifs d'ici cinq ans. Investissement: 240 millions$ pour 43 000 tableaux. On souhaite ainsi rattraper le retard technologique dans nos écoles. Des spécialistes remettent en question cette solution, ne la jugeant pas suffisamment participative; selon eux, les élèves restent observateurs passifs sans être directement sollicités. L'alternative qu'a choisie la commission scolaire Eastern Townships est révélatrice: l'institution a plutôt décidé il y a neuf ans de fournir un ordinateur portable à chacun de ses élèves, ce qui a coûté 15 millions$. L'institution est passée de la 67e à la 23e position dans le classement des écoles, et le taux de décrochage a fondu de moitié, passant de 42% à 22%, ce qui n'est pas rien. À ce titre, l'école Les Compagnons-de-Cartier de Ste-Foy a fait figure de précurseur, optant pour les ordinateurs portables il y a déjà 15 ans.

« Très peu d'impacts sur la réussite scolaire ont été documentés. Les deux principaux avantages des tableaux blancs interactifs sont la facilité pour l'enseignant de présenter du contenu et une augmentation de la motivation des élèves. Sauf que plusieurs recherches montrent que la motivation diminue avec l'usage. Nous sommes en train de réaliser une étude auprès des enseignants de la Commission scolaire Eastern Townships et nos données préliminaires montrent aussi que la motivation disparaît rapidement », a indiqué Thierry Karsenti, directeur de la chaire de recherche du Canada sur les technologies de l'information et de la communication en éducation.

Des enseignants montréalais s'opposent à la mise en place des tableaux blancs interactifs (TBI) dans les écoles du Québec.

L'engagement libéral d'implanter des tableaux blancs interactifs dans toutes les classes du Québec n'est pas encore réalisé que certaines personnes croient déjà qu'ils sont dépassés, supplantés par la tablette numérique.

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"Tableaux blancs interactifs, tablettes numériques et ordinateurs portables; de plus en plus d'écoles au Québec prennent le virage technologique. Mais quel est l'impact de ces outils informatiques sur la pédagogie? Une équipe de Découverte a cherché à savoir comment ces technologies numériques modifient la façon d'apprendre et d'enseigner dans nos écoles."

École nationale en divertissement interactif (ENDI) est née en 2008 d'une alliance de cinq studios de jeux de Québec. Son modèle unique au Québec, pour former des employés qualifiés, fait des jaloux et n'aurait pas d'équivalent ailleurs dans le monde. On voulait une école pour peaufiner la créativité des candidats à des postes dans le monde du jeu. (Extrait de l'article)

Découvrir la nature et profiter de ses merveilles en compagnie de son iPhone ou à travers des jeux interactifs: l'idée paraît surprenante? Pour certains gestionnaires de parcs nationaux et d'espaces naturels, l'exploration de ces nouveaux services numériques est un excellent moyen de réinventer les visites traditionnelles, de stimuler les connaissances et de rapprocher le visiteur du territoire. Entre mobilité, bornes interactives et Web 2.0, tous les moyens sont bons pour faire apprécier la nature autrement!

Les livrets interactifs ajoutent du dynamisme à la lecture guidée ou partagée; ils sont aussi faciles à utiliser qu'un grand livre.  Les histoires présentent des personnages attachants, des scènes drôles et des conclusions étonnantes qui donnent le goût...de relire l'histoire.

(Québec) Le projet de place Technoculture passe à la vitesse grand V. Avec de l'argent en main pour élaborer le concept et un nouveau partenaire au dossier, Dominique Brown s'emballe plus que jamais pour cet aménagement techno, culturel et interactif qu'il promet «spectaculaire» au coeur de Saint-Roch.

ThinkData est un service interactif de sensibilisation à la protection des données et à la transparence dans le cadre organisationnel. Issu d'une réflexion menée par un groupe de travail interdisciplinaire, dans le cadre d'un laboratoire d'idées sur la science des services et l'innovation (ThinkServices http://www.thinkservices.ch/ ), ThinkData permet de se familiariser avec les concepts de protection des données et de transparence au travers d'histoires courtes, mettant en situation des employés, des cadres, des responsables des ressources humaines et des systèmes d'information. Les questions traitées concernent par exemple la biométrie, la gestion du courriel, la géolocalisation, la vidéosurveillance, le vol des données, etc. Sous chaque scénario, se trouvent les principes de base qui s'appliquent, des recommandations, ainsi que des exemples réels et diverses ressources illustrant les cas.

L'Imaginateur est un didacticiel ludique et interactif destiné à favoriser la création de scénarios innovants d'animation multimédia. Il a été conçu pour GénérationCyb par Cécile Turet et Yvonne Thomas. La présentation détaillée du didacticiel est disponible ici.

En février 2011, le premier ministre Jean Charest avait pris l'engagement d'équiper les classes québécoises de tableaux blancs interactifs. En mai dernier, lors du plus récent Colloque scientifique international sur les TIC en éducation, les chercheurs admettaient que même si les nouvelles technologies offraient de grandes possibilités, pour l'instant leurs effets sur les résultats des étudiants ne sont pas notables

Vidéo clip interactif très intéressant.

Je comprends que pour vendre, il faut de la nouvelle qui frappe. J'ai donc effectivement été frappée par l'article de la Presse ce matin intitulé « Les tableaux interactifs, déjà dépassés? ». Frappée par l'absence de contextualisation!