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Gabriel Escobar-Mesley

Projet EIFFELa : Vers une expérience utilisateur enrichie sur FUN-MOOC - sup-... - 1 views

  • d'enrichir une expérience utilisateur en favorisant : le "social learning" la mise en place de dispositifs d'apprentissage personnalisés
  • l'utilisation d'activités sociales,
Jean-Marie Cognet

5 Ways to Chunk Information in Videos - AllenComm - 1 views

  • Research shows that by the end of the year, the majority of organizations will be using video as part of their digital training strategy. Video caters to many types of learners and is engaging, memorable and fun. It’s also increasingly becoming a cost-effective way to deliver complex information in a short time. Video can be used effectively in several different areas: Description Demonstration Documentary Dramatization
  • So how can you incorporate video into your elearning courses? Here are a few simple ideas.
  • Keep It Short.
  • ...4 more annotations...
  • Use Relevant Scenarios
  • Use Your Subject Matter Experts.
  • Add Variety.
  • Tell a Story.
Jean-Marie Cognet

Jean-Michel Blanquer, le «M. Spoc» de l'Essec | L'Opinion - 1 views

  • L’ambitieux Jean-Michel Blanquer est aussi convaincu par les bienfaits de l’innovation pédagogique et des expérimentations. Il continue donc à l’Essec. « Ces Spocs vont être transformés en Moocs puis intégrés à la plateforme Fun », déclare-t-il ainsi tranquillement. Traduction pour les néophytes : en novembre 2015, l’école a lancé un Small private online course (Spoc) intitulé « Se préparer aux études supérieures », testé auprès de 2 000 lycéens d’Ile-de-France.
Jean-Marie Cognet

AI in HR: A Real Killer App - JOSH BERSIN - 1 views

  • Hype and expectations for AI are now sky high
  • on one hand the hype is far ahead of the reality; on the other, the upside could be much bigger than we think. And in HR the opportunity for value is massive.
  • The systems can understand speech, identify photos, and use pattern matching to pick up signals about mood, honesty, and even personality. These algorithms are not “intuitive” like human beings, but they are fast, so they can analyze millions of pieces of information in seconds and quickly correlate them against patterns.
  • ...4 more annotations...
  • you could imagine an AI system that looks at ll the possible demographics, job history, and interview questions with a candidate and then “predicts” how well they will perform on the job
  • In employee development and learning, we really don’t know how to “train” people perfectly. The global L&D industry is over $200 billion and most learning professionals tell us that at least half this is wasted (forgotten, inappropriately applied, or just wasting peoples’ time). But we don’t know which half this is! 
  • what if we had algorithms that monitored and studied the skills, behaviors, and activities of the highest performers in our teams and then just told us how to be more like them?  These kinds of “Netflix-like” algorithms are now entering the world of learning platforms, making learning as useful and fun as watching cable TV.  Again the market is young, but the opportunity is massive. Our research shows that the average employee has less than 25 minutes a week to train and learn;  if we make that time more relevant everyone will perform better.
  • The success of an HR tool will be dependent on many things: the accuracy and completeness of its algorithms, the ease of use of its systems, but more important than all its ability to provide what is called “narrow AI” – or very specific solutions that solve your problems. This can only be done when the vendor has massive amounts of data (to train its system) and they gain lots of feedback on how well it works. So I believe the barriers to entry are going to be focus, business strategy, and client intimacy, not just having great engineers. 
lauraschmitz1992

7 Advantages Digital Assessments Have over Paper Tests and Exams | Emerging Education T... - 0 views

  • In 2014, the Florida Department of Education gave a survey to students after taking end-of-course evaluations. The results showed that more students preferred computer tests over paper (53% of the students agreed to that statement). Another study in 2017 Saudi published in the International Journal of Information and Education Technology presented the opposite result. Here, only 42.5% prefer online over paper exam, which is still a considerable portion of the survey population. But while that may be the case, 77.5% of the total examinees liked the fact that they are able to receive results and feedback automatically after taking the test.
  • Below are 7 reasons to consider when deciding whether to incorporate online methods to your teaching and evaluation, from the perspective of students.
  • 1. Getting test results immediately give students peace of mind
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  • 3. Students can take the exam anytime, anywhere
  • 4. Fun and interactive with the use of multimedia, simulations
  • 5. Students can take the exam in a more comfortable environment
  • 6. Avoid commute that adds stress and saves money
  • 7. Technology easily accommodates students with disabilities
Jean-Marie Cognet

Les MOOC au coeur de la transformation des enseignements de l'Institut Mines ... - 2 views

  • Fin avril l’Institut Mines Télécom publiait son premier rapport d’activité sur le développement des Massive Open Online Courses (MOOC) depuis son démarrage en 2013 jusqu’à fin 2016. Un rapport très complet, téléchargeable depuis ce lien
  • Vous avez produit 26 MOOC dont 10 sur les 12 derniers mois. Comment gérez vous l’industrialisation de cette production ? Je vais peut-être vous étonner, mais on pourrait dire qu’en pratique, chacun de nos MOOC est un prototype, une nouvelle aventure pédagogique. Nous avons assez peu d’industrialisation mais plutôt du partage d’expérience.
  • Il n’y a pas de processus organisé sur la production des vidéos comme peut le faire le  CNAM. La plupart des écoles ont un studio, et il en existe un au niveau de la direction générale de L’Institut.
  • ...10 more annotations...
  • Cette industrialisation a-t-elle permis de réduire fortement les coûts de production ? Non, car chaque MOOC est différent. Les MOOC  construits avec des activités relativement standards sont globalement moins coûteux à produire que la moyenne
  • Je constate des différences d’appétences personnelles des enseignants vis à vis du format MOOC. Je distinguerais trois grandes catégories de motivation, un enseignant pouvant avoir les trois.   Il y a d’abord l’enseignant sur le campus qui pense à ses élèves et veut introduire le numérique dans sa pédagogie. Il raisonne au fond sur un cours numérique, mais pas vraiment sur un cours ouvert à tous et massif. Une deuxième catégorie conçoit les MOOC comme un outil de promotion pour leur matière et éventuellement pour eux-mêmes. Enfin, une troisième aborde ce format comme  une nouvelle pédagogie et s’interroge sur comment s’adresser à une communauté qui n’est pas celle des étudiants habituels des écoles, et de ce fait sur la façon de transmettre.
  • Et concernant les activités proposées ? Quelle est la bonne activité pour faire acquérir la connaissance ou la compétence ?  Les concepteurs de MOOC ont un tropisme vers la vidéo, mais nous avons constaté, parfois de manière très factuelle, que pour certains grains de connaissance elle n’est pas le médium le plus adapté.  Il faudrait se poser la question de comment utiliser au mieux la vidéo ?  Ainsi, pour le MOOC “S’initier à la fabrication numérique”, des vidéos de reportage dans des fab lab montrent des exercices pratiques, c’est très démonstratif. Le MOOC “Introduction à la mécanique des fluides” inclut des vidéos de terrain.
  • Certains enseignants ont-ils du mal à passer de l’autre côté de la caméra ?   Oui évidemment cela arrive, mais je trouve aussi très intéressant qu’un enseignant chercheur ne souhaite pas passer devant la caméra. Si vous prenez l’exemple du cinéma, on peut avoir envie d’aller voir un film réalisé par Steven Spielberg sans forcément s’attendre à le voir à l’écran. Pour moi, la valeur ajoutée unique de l’enseignant chercheur, c’est le contenu et la façon de le transmettre, c’est à dire la pédagogie. C’est le coeur de son métier.
  • Le portrait type d’un incrit à vos MOOC est un homme (75%) entre 25 et 44 ans (58 %) avec un niveau d’étude au moins égal à Bac +5 (53 %). Allez vous élargir cette cible ?
  • Exploitez vous cette base d’inscrits ? La base d’inscrits ne nous est en pratique pas facilement accessible. Avec edX, nous y avons en principe accès, mais nous n’avons pas encore d’interlocuteur en matière de données à qui edX transmettrait les fichiers
  • En 2015-2016, sur les 10 000 étudiants de nos campus, le nombre d’inscriptions d’étudiants à un MOOC a été de 5 000, dont un peu moins de 2 000 sur des MOOC externes. Les trois écoles qui les utilisent le plus dans leur pédagogie sont : IMT Atlantique (école résultant de la fusion de Télécom Bretagne et Mines Nancy), Télécom SudParis et IMT Lille-Douai
  • Par ailleurs, pour l’appel à projet “Nouveaux cursus à l’université”, l’Institut  a proposé un projet de collection de formations en ligne incluant un parcours diplômant. Nous étudions la possibilité d’en développer d’autres ciblant plus spécifiquement l’Afrique francophon
  • Fondamentalement cela nous a beaucoup apporté. Nous constatons une grande similitude de valeur et de fonctionnement entre Fun et Edx ce qui est logique car toutes deux ont été créées par des acteurs académiques. Même si Coursera a été fondée par d’anciens enseignants de Stanford, en pratique la plateforme est financée par des fonds d’investissement de la Silicon Valley. Coursera est donc plus une start-up du numérique. Si un but de Coursera est l’accès à l’enseignement pour le plus grand nombre, nous constatons aussi que  l’entreprise est très active dans la  recherche d’un modèle économique
  • Quel bilan faites vous de l’utilisation des MOOC en formation continue ? On est encore au début de l’histoire. Notre MOOC “Innover et entreprendre dans un monde numérique” a déjà  été utilisé par un acteur du secteur de l’énergie pour former  2 500 salariés.
Jean-Marie Cognet

Pour transformer sa pédagogie, l'Institut Mines-Télécom mise sur les Mooc - E... - 1 views

  • Quatre ans après avoir créé son premier Mooc, l’Institut Mines-Télécom tire un premier bilan de son expérience des cours en ligne. Présent sur FUN, EdX et Coursera, le grand établissement entend développer son offre avec un objectif : concevoir 10 nouveaux Mooc par an.
  • ingt-cinq Mooc, 340.000 inscription
  • Les Mooc techniques ont un taux de réussite plus bas et ceux qui sont proposés aux étudiants dans le cadre de leur formation voient leur taux d'achèvement grimper en flèche."
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  • les cursus qui proposent un apprentissage interactif (évaluation par les pairs, tutoriels interactifs, etc.) comptent moins de décrocheurs.
  • Les Mooc ne remplacent pas les enseignements, mais permettent de rendre accessibles ces derniers."
  • Un rythme soutenu (la conception du Mooc prend entre douze et dix-huit mois aux équipes) mais jugé "réaliste" et rendu possible grâce à un pactole de 800 millions d'euros, cédé par Patrick Drahi [propriétaire de l'Étudiant] à la Fondation Télécom.
Jean-Marie Cognet

Les campus connectés, nouveaux espaces de l'enseignement à distance "dans un ... - 0 views

  • « Historiquement, nous avons toujours opposé la présence à la distance. Nous avons peut-être atteint aujourd’hui un moment de maturité, avec les campus connectés notamment, où les deux peuvent être complémentaires », déclare Pierre BeustPierre Beust, VPVPVice-président(e) en charge des transformations pédagogiques à l’Université de Caen Normandie, le 15/11/2019, à l’occasion de la journée sur les campus connectés organisée par le MesriMesriMinistère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation à l’Université d’Avignon
  • Cette hybridation signifie plusieurs choses selon Michel Reverchon-BillotMichel Reverchon-Billot, directeur général du CnedCnedCentre national d'enseignement à distance : « Avoir la possibilité de suivre un enseignement à distance dans un lieu physique, disposer de temps de travail flexibles et adaptés au public, mais aussi se servir de multiples supports de formation, du numérique au papier, encore une fois pour s’adapter au besoin des apprenants ».Ce modèle soulève aussi des questions. Ainsi, pour Michel Reverchon-Billot, qui a travaillé avec la Digital Académie, tiers-lieu dont le MesriMesriMinistère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation s’est inspiré pour le modèle des campus connectés, « le grand problème de la formation à distance est l’isolement » : « Dans des lieux, mais aussi dans des formations, on peut se retrouver dans un campus connecté avec 15 personnes qui font 15 formations différentes », dit-il. 
  • Des TPTPTravaux pratiques en présentiel ou virtuel De la même façon que pour les examens, les étudiants qui suivent une formation nécessitant des travaux pratiques doivent se déplacer dans leur université de rattachement.  Isabelle Duchatelle indique à ce sujet que « pour un grand nombre de disciplines, il est possible de faire des TP à distance grâce à des dispositifs numérisés ».  « Cela pose la question des attentes des universités envers les étudiants dans le cadre des TP. D’ailleurs, la formation à distance invite déjà des enseignants à repenser leurs cours en présentiel, certains demandent aux étudiants d’avoir déjà fait un certain nombre de choses en ligne avant d’arriver en TP, ce qui montre qu’il est possible de numériser cette partie-là du travail », ajoute la présidente de FUN.
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  • l’Université de Caen a mis en place une labellisation qualité. « Son objectif est d’augmenter la qualité des dispositifs de formation à distance afin d’améliorer la réussite étudiante : globalement le taux de réussite moyen à distance est de 33 % contre 57 % en présentiel », détaille Pierre Beust. L’établissement a ainsi mis en place un service d’appui pour l’ingénierie de la formation à distance et la pédagogie, ainsi qu’un diagnostic et une évaluation de la qualité du dispositif pédagogique et enfin, un accompagnement des équipes pédagogiques. Le label s’articule ainsi autour de trois niveaux d’évaluation de la qualité du dispositif pédagogique.
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