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Aurialie Jublin

Des individus entrepreneurs pour l'entreprise numérique | Fondation Cigref - 0 views

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    Le besoin de compétences pour l'entreprise « se portera davantage vers des savoirs pointus ou de l'expertise, nécessaires pour gérer des projets stratégiques… Les différents acteurs fournissant des produits et services informatiques, l'esprit d'initiative et les capacités entrepreneuriales / intrapreneuriales sont d'ores et déjà un prérequis. Des entreprises comme Google ont bien compris le lien entre ces aptitudes et la capacité d'innovation de l'organisation, à tel point que leur gestion des ressources humaines prévoit des programmes pour développer ce type de profil et les conserver ».
Aurialie Jublin

COPE ou BYOD: l'entreprise a plusieurs choix pour gérer la mobilité des emplo... - 0 views

  • Un nouveau choix s'est donc offert aux employés d'utiliser leurs gadgets informatiques sur leur lieu de travail, connu comme « corporate owned, personally enabled », ou COPE. Contrairement au BYOD, dans lequel les employés apportent leurs propres appareils qu'ils utilisent à des fins professionnelles, COPE est acheté par l'entreprise mais géré par les employés. COPE permet aux entreprises d'attribuer des fonctions et des permissions sur une base ad hoc, permettant ainsi un meilleur contrôle de l'utilisation de l'appareil. Outre une sécurité renforcée, COPE permet également aux entreprises et aux employés de réaliser des économies. Les employés sont souvent indemnisés pour ces appareils à usage réduit et les entreprises obtiennent de meilleurs prix grâce à des achats groupés.
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    Les faiblesses du BYOD ont donné naissance à un autre modèle d'appareils achetés par l'entreprise mais activés par les employés (COPE). Dans un cas comme dans l'autre la sécurité et les logiciels de productivité peuvent également apporter une réponse à ces préoccupations.
Aurialie Jublin

La compétitivité des entreprises passe par le renforcement du pouvoir des sal... - 0 views

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    Que signifie vraiment être compétitif pour une entreprise ? Est-ce réduire les coûts à tout prix, quitte à détruire les compétences des salariés et à étouffer toute créativité ? Pour François Daniellou, professeur d'ergonomie à l'École nationale supérieure de cognitique, la compétitivité des entreprises françaises passe au contraire par une démocratisation du travail et un renforcement du pouvoir des salariés, les mieux à même de définir « ce qui fait la performance de leur activité ». Une démocratisation dont le patronat ne veut pas.
Aurialie Jublin

Cinq lois à connaître pour être efficace au travail (saison 2) - LEntreprise.com - 0 views

  • 1. Loi de Fraisse : la loi du temps soumis au plaisir et au déplaisirDéfinition : " Plus l'activité est captivante, plus elle parait brève. "
  • 2. Loi de Metcalfe : la loi de la synergie qui décuple les résultats
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    Pourquoi le quart d'heure de pause semble-t-il plus court que le quart d'heure de réunion ? Parce que le temps est subjectif. Du coup l'individu se précipite sur ce qu'il aime faire au détriment du reste. C'est l'une des cinq lois théorisées par des experts de tous horizons. Décapantes mais utiles pour bien s'organiser selon Jean-Louis Muller, directeur chez Cegos.
Aurialie Jublin

Pourquoi est-il moins coûteux de payer plus ses employés ? | Le Cercle Les Echos - 0 views

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    "En résumé, moins payer ses employés ne permet pas forcément de réduire les coûts. Une entreprise qui offre des salaires plus élevés accroît la fidélité et la productivité de ses employés… ce qui compenser largement ce surcoût. Pour le PDG de Costco, les choses sont claires : "Si nous payons mieux nos employés que Wal-Mart, ce n'est pas par altruisme. C'est juste parce que c'est meilleur pour le business…""
Aurialie Jublin

Don sur Salaire - microDON - Donner un peu, plus souvent - 0 views

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    "Inspiré du « Payroll Giving » anglo-saxon né il y a 25 ans en Angleterre, le don sur salaire offre la possibilité aux salariés de soutenir les actions d'associations de leur choix, en réalisant chaque mois des micro-dons sur leur net à payer. L'employeur en s'associant à l'opération, double le montant du don. On parle de co-solidarité employeur-employé."
Aurialie Jublin

Le salariat a vécu - La Tribune - 0 views

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    "Principal régulateur des relations sociales et de la solidarité, le salariat, né de la société industrielle, est sur le déclin. Jean-Pierre Gaudard, dans « La fin du salariat », livre une analyse fine et précise de l'extinction prévisible de ce modèle, résultat plus d'une évolution de la société que des seules contraintes économiques."
marinealbarede

Le blues du fonctionnaire 2.0 - Acteurs publics - Informations et analyses sur les poli... - 0 views

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    L'usage des technologies de l'information a transformé de fond en comble le fonctionnement des administrations. Au risque de conduire à une détérioration des conditions de travail des fonctionnaires. C'est l'un des enseignements de deux notes très complètes du Centre d'analyse stratégique sur l'administration numérique.
Aurialie Jublin

Work in process, exposition au Pavillon de l'Arsenal jusqu'au 17/03/13 - 0 views

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    "L'exposition et l'ouvrage Work in process - Nouveaux bureaux, nouveaux usages explorent les réalisations et projets les plus emblématiques depuis 1900, analysent leurs enjeux sociaux, environnementaux, économiques et urbains et dessinent une cartographie francilienne inédite." Et demain ? A l'heure des échelles métropolitaines et des enjeux internationaux, le Pavillon de l'Arsenal interroge l'avenir des pratiques et des usages du bureau. Meuble ou pièce, lieu ou espace virtuel, collectif ou individuel, co-working ou «ruche», connecté, nomade ou encore délocalisé, le bureau révèle sous son nom générique une variété complexe de styles et typologies.
Aurialie Jublin

Le salarié mobile est un salarié "délocalisé" | Le Cercle Les Echos - 0 views

  • Nous assistons à l'émergence d’un nouvel environnement de travail : le Nuage (courrier électronique, bureautique, outils collaboratifs, applications métier). Le Nuage est la structure d’accueil, le lieu vers lequel les salariés convergent pour travailler. Le Nuage est dépourvu de repères géographiques, mais il a sa cohérence. Les salariés concernés n'ont aucunement le sentiment d'évoluer dans un système déstructuré, anarchique. Nous pouvons constater que le système fonctionne, mais le système fonctionne à partir d’une nouvelle configuration physique. L’ordinateur ne sert plus que de voie de passage. On ne travaille plus avec un ordinateur, on passe par un ordinateur.
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    "Le salarié mobile est un salarié "délocalisé" en ce sens que son véritable lieu de travail n'est ni un bureau, ni un train, ni les trajets qu'il emprunte au quotidien à travers la France, ou le monde. Son véritable lieu de travail est le nuage ("Cloud"). Reste à faire : adapter le droit du travail à cette nouvelle réalité."
Aurialie Jublin

Le télétravail prend son envol à Roissy - Conseil régional d'Île-de-France - 1 views

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    "Parce que les aéroports sont l'incarnation du nomadisme, Roissy dispose depuis début janvier de son tout premier lieu de télétravail. Installé au sein de la pépinière d'entreprises Aéropole, et situé au pied de la station de RER CDG 1, il met à disposition des « sans bureau fixe » différents espaces de travail (open space, salles de réunion, bureaux individuels, etc), le tout sur plus de 300 m². « Notre service s'adresse aussi bien aux salariés dont l'entreprise a mis en place le télétravail qu'aux travailleurs indépendants, explique Valérie Frémont, directrice d'Aéropole. Ils peuvent ainsi baigner dans un environnement professionnel et être au contact d'autres actifs. » "
Aurialie Jublin

Benoît Hamon veut développer les Scop - La Tribune - 0 views

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    Le ministre Benoît Hamon a présenté devant le Conseil économique, social et environnemental ce qu'il souhaite faire pour favoriser le développement des sociétés coopératives et participatives (Scop). Soutenir la croissance des Scop n'est pas, selon le ministre, un principe idéologique, mais plutôt une action pragmatique. Car les Scop résistent mieux et durablement aux difficultés économiques. Ce, "pour la raison simple que la totalité de leur excédant est reversé dans l'entreprise. Les Scop ne sont pas tendues par un objectif de rémunération du propriétaire en capital de l'entreprise".
Aurialie Jublin

Salaire : combien vaut le bonheur ? - Mode(s) d'emploi - 0 views

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    "Si l'argent ne fait pas le bonheur, à l'évidence il y contribue. Et pas qu'un peu ! Selon une étude menée par l'entreprise d'assurance Skandia International auprès de 5.000 personnes vivant en Asie, en Europe, en Amérique latine et au Moyen-Orient, pour "être vraiment heureux", il faudrait gagner 125.000 euros par an. Mais la fourchette varie considérablement d'un pays à l'autre, selon le Huffington Post qui rapporte cette étude. A Dubaï, le salaire idéal s'élève ainsi à 210.000 euros par an, à 175.000 euros à Singapour et à 150.000 euros à Hong-Kong. Les Français mettent la barre bien moins haut. Leur salaire rêvé ? 90.000 euros, soit 7.500 euros nets par mois. Une tendance à peu près similaire dans les autres pays européens. Les Britanniques et les Allemands l'estiment à 100.000 euros par exemple. "
Aurialie Jublin

Working Dads : un père sur deux est tenté par le télétravail - Terrafemina - 0 views

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    Les pères actifs se verraient bien passer plus de temps à la maison. D'après une grande enquête CSA-Terrafemina, 46% d'entre eux pourraient choisir le télétravail pour améliorer leur vie de famille, et 63% aimeraient pouvoir aménager leurs horaires pour passer plus de temps avec leurs enfants. Un changement de mentalité qui soulève pourtant des freins et des interrogations. Le marché du travail est-il prêt à soutenir ces « Working Dads » ?
Aurialie Jublin

Effet de serfs sur la Toile- Ecrans - 1 views

  • Recaptcha affiche des mots issus de textes scannés que l’ordinateur n’a pas reconnus, et compte sur l’internaute pour les décrypter. Un travail de fourmi qui intéresse Google. La multinationale, qui est en train de numériser des livres du monde entier et de passer des accords avec les bibliothèques pour numériser leurs collections, a racheté la société Recaptcha. Google va ainsi bénéficier d’une armée d’internautes « bénévoles » pour améliorer son système de reconnaissance optique. Une méthode déjà employée par son Image Labeler, présenté comme un jeu où les internautes sont sollicités pour décrire une image et lui associer des mots clés afin d’aider Google à améliorer son moteur de recherche d’images.
  • La rente serait le nouveau modèle économique dominant du capitalisme cognitif et d’Internet. Pour schématiser, le profit est le revenu obtenu par la vente de biens ; la rente, le revenu fourni par l’exploitation monopolistique d’espaces. « À l’époque féodale, c’était l’exploitation de terres cultivées par des paysans, à l’âge d’Internet, c’est l’exploitation d’espaces immatériels cultivés par des producteurs culturels, prosumers [consommateurs producteurs, ndlr] et partisans de la “free culture”. »
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    Internet serait-il en train de devenir la matrice d'un nouveau système féodal, où une poignée de grands seigneurs exploitent des légions de serfs ? Et non cette société de pairs tant célébrée ? 
Aurialie Jublin

« Nous n'exploitons pas le réseau, c'est le réseau qui nous exploite »- Ecrans - 1 views

  • En réalité, le numérique a facilité la coopération, mais également la compétition et a permis l’établissement et le maintien de nouveaux monopoles comme Google.
  • On parle souvent de la crise de la classe ouvrière comme d’une entité politique. Mais ce qui se passe aujourd’hui sous nos yeux est une crise de la classe moyenne cognitive. Il y a un mot intéressant dans la théorie critique française, qui examine le capitalisme cognitif : « déclassement » - quand une classe sociale est rabaissée, perdant prestige social et économique. En cette décennie du Net, nous faisons l’expérience d’un déclassement massif des travailleurs cognitifs devenus des travailleurs précaires. Le néoféodalisme est aussi cette dépossession des acteurs intermédiaires.
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    Interview (mars 2012) de Matteo Pasquinelli, chercheur à la Queen Mary University de Londres. Dans son livre Animals Spirits (1), le théoricien des médias identifie les conflits sociaux et les modèles économiques à l'œuvre derrière la rhétorique de la culture libre.
Aurialie Jublin

Peut-on penser le travail par le don ? La Nouvelle Revue du Travail - 1 views

  • Formulant l’hypothèse qu’à l’intérieur des entreprises se déroule toute une série d’échanges obéissant à des prescriptions archaïques, il cherche à montrer comment la triple obligation de donner, recevoir et rendre structure la coopération verticale (entre employeur et salariés) et horizontale (entre salariés). Ni la contrainte sociale, ni la recherche de l’intérêt personnel ne suffiraient à expliquer les relations qui se forment dans les organisations, les interactions qui s’y déploient, les alliances qui s’y nouent…
  • La perception du don aux collègues et plus encore à l’entreprise n’est-elle pas un masque à l’aliénation, une violence symbolique inhérente au fonctionnement même de l’aliénation : le déni de la domination et du travail pour autrui ?
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    Depuis la parution du traité de Georges Friedmann et Pierre Naville il y a cinquante ans, la sociologie du travail a toujours cherché à comprendre, sous leurs divers aspects, toutes les communautés humaines qui se constituent à l'occasion du travail.  Alain Caillé, le principal animateur du Mouvement Anti-Utilitariste en Sciences Sociales (MAUSS) et Norbert Alter, le contributeur essentiel d'inspiration maussienne pour la sociologie du travail et des organisations, reviennent dans deux textes inédits sur les vertus heuristiques de la théorie du don contre-don pour appréhender le monde du travail et ses mutations. La NRT ouvre ensuite le débat avec ces deux auteurs.
Aurialie Jublin

Transformer l'entreprise, ou donner envie et moyens aux employés de reprendre... - 0 views

  • La première des pistes que j’explore est le pouvoir de conviction du « faire ». Il s’agit de trouver des moyens tangibles de faire vivre, d’incarner les grands principes sur lesquels on souhaite bâtir le nouveau modèle d’entreprise et de faire en sorte que chaque acteur s’auto-convainque / s’auto-engage en découvrant et percevant la valeur ajoutée en question dans l’action, dans le « faire ».
  • La seconde des pistes que j’explore est la puissance de la foule, un concept vieux comme le monde qui semble trouver une seconde jeunesse aujourd’hui avec de nombreuses initiatives qui bousculent les secteurs traditionnels qu’elles viennent concurrencer. Par exemple, le CrowdFunding qui permet à des porteurs de projets d’être financé par la communauté sans passer par la case banque (cette approche est d’ailleurs en réflexion dans certaines villes pour les services publics) ou le CrowdSolving qui consiste à mobiliser des acteurs venant de tout bord pour trouver une réponse adaptée à une problématique donnée, domaine jusqu’à présent réservé aux cabinets de conseil ou de design thinking
  • La dernière piste que j’explore est la pollinisation. Plutôt que de chercher à convaincre en touchant un maximum de personnes par une communication ou une action large et transverse puis chercher à les embarquer dans le mouvement, je préfère viser un objectif bien plus petit mais beaucoup plus durable.
  • ...1 more annotation...
  • Sans surprise, ces trois pistes sont intimement liées et parfaitement complémentaires. Sans surprise, on retrouve dans ces trois pistes un peu de l’esprit du LEAN et du design thinking / design de service.
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    Questions : Si l'entreprise a besoin d'être transformée, vers un modèle collaboratif, qui est le plus légitime pour dessiner les contours de cette transformation et le comment de sa mise en oeuvre ? Est ce une petite poignée de personnes disposant d'un fort pouvoir décisionnel qui doit imposer à la majorité silencieuse cette nouvelle vision (même sous couvert d'une approche vertueuse) ? Ou est ce plutôt la majorité silencieuse qui devrait avoir les moyens d'exprimer et dessiner le futur de son cadre organisationnel et opérationnel ? 
Aurialie Jublin

A quoi ressemblera l'entreprise de demain ? - Entreprise20.fr - 2 views

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    CR de Frédéric Cavazza de la réunion préparatoire de l'Enterprise 2.0 Summit. Un passage intéressant sur la définition de l'entreprise idéale du XXIe siècle :  Chacun a ainsi pu donner sa définition, l'occasion pour moi de noter quelques notions et mots-clés intéressants : - Responsabilisation (la collaboration est l'affaire de chacun, pas que des représentants de la génération Y) ; - Confiance (accepter de partager ses connaissances) ; - Plaisir (s'épanouir dans la collaboration et la performance collective) ; - Adaptabilité (prendre en compte le fossé culturel entre les nouveaux entrants et les "séniors") ; - Fluidité (des processus, des informations, mais également des collaborateurs) ; - Tolérance (vis-à-vis des idées qui sont partagées et des erreurs qui peuvent être faites lors de la phase d'adaptation aux pratiques collaboratives) ; - Engagement (principalement de la Direction et du Middle-Management) ; - Diversité (des profils, des parcours, des cultures) ; - Bienveillance (pas de censure ou d'inhibition). Au cours des discussions qui ont suivi, j'ai également pu noter des phrases et des idées dont je suis incapable de retracer l'origine (veuillez m'en excuser) : - "Arrêtons de parler de changement, car le changement fait peur, parlons plutôt d'adaptation" ; - "Les RSE (réseaux sociaux d'entreprise) sont les ERP de demain" ; - "Il faut reconfigurer l'organisation et les processus autour des savoirs et du capital humain" ; - "Nous devons passer à une logique d'apprentissage et de discussions / échanges permanents, donc trouver les bons stimuli auprès des collaborateurs" ; - "L'objectif est d'accélérer la prise de décision et la résolution de problèmes non plus grâce aux outils de production, mais à la collaboration" ; - "La hiérarchie devrait être là pour inspirer et modérer, plutôt que de surveiller et comptabiliser" ; - "Dans une dynamique de créativit
Aurialie Jublin

Entreprise numérique, et si nous avions tort ? - Haikusages - 0 views

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    Extrait de l'avis de l'auteur Fabien Grenet : "Je suis intimement convaincu qu'une évolution du modèle de l'entreprise que nous connaissons jusqu'à présent est indispensable, que les clients doivent être co-créateurs de valeur au coté des employés (cf Mark Tamis) et que les organisations doivent se décloisonner pour encourager les pratiques collaboratives et fluidifier leurs activités (entre autres choses). Mais je suis également intimement convaincu que cette transformation ne pourra se faire que si elle est partagée et portée par un panel équilibré d'évangélisateurs allant des directions métier aux DSI en passant par les consultants et éditeurs !"
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