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Aurialie Jublin

Pourquoi j'ai donné 2 ans de travail et combien ça m'a rapporté ? | Viser la ... - 0 views

  • Avant le prix libre : 1 an et demi, 90 téléchargements, prix de 9,99€, dons association 0€, licence non libre, argent gagné : 621€. Après le prix libre : 8 mois, 1619 téléchargements, prix moyen 9€, dons association 366€, licence libre, argent gagné : 870€. En passant mon livre à prix libre j'ai donc : permis à tout le monde de le lire, gagné plus d'argent et agit pour la bonne cause en aidant Framasoft.
  • à l'heure où j'écris ces lignes, il a été téléchargé 1619 fois contre 90 fois avant que je le mette à prix libre. Environ 200 personnes ont réalisé des dons en euros, environ 30 personnes en email et une en lolcat. J'ai reçu 17 Flattr et quelques bitcoins. D'un point de vue purement pécunier, voici les chiffres : j'ai vendu pour 1829,69€ en 9 mois pour un don moyen aux alentours de 9€ (certains ont donné 25€ !). 366 euros vont à Framasoft, environ 120€ euros à Stripe (la plateforme de paiement en ligne) et 475€ aux impôts. Ce qui fait qu'il me revient environ 870€.
Aurialie Jublin

Vers de nouvelles propositions de valeur - Nicolas Colin - 0 views

  • La seule manière pour les entreprises de survivre dans cette économie est de détourner leurs utilisateurs d’une vulgaire comparaison des prix. Rappelons-le : dans l’économie numérique, il y a toujours mieux et moins cher ailleurs. C’est pourquoi les entreprises dont la proposition de valeur est purement transactionnelle finissent par disparaître, écrasées par la rudesse de la concurrence sur les prix. Mais si vous créez une expérience qui dépasse le transactionnel et s’étend à l’inspiration, à la recommandation, au service, à la valorisation, à l’interaction, alors vous avez une chance que vos clients ne regardent plus seulement le prix mais se posent une question beaucoup plus subtile : avec quelle entreprise suis-je le plus à l’aise? Quelle est celle qui m’offre un haut niveau de qualité ? C’est le défi relevé par Amazon. Il lui a permis de se distinguer de tous les autres « e-commerçants ». Tandis qu’ils se font concurrence uniquement sur le prix, Amazon a développé pour ses clients une extraordinaire expérience d’inspiration, d’achat et de service dont le prix n’est plus qu’un paramètre.
  • L’économie numérique créera des emplois, majoritairement non qualifiés d’ailleurs, dès lors que nos institutions seront mises à niveau. Pour créer des emplois dans l’économie numérique, il nous manque trois choses : un financement de l’économie adapté, ménageant plus de place au capital-risque ; des réglementations sectorielles en phase avec le nouveau régime de création de valeur ; enfin, une protection sociale qui couvre les risques qui deviendront les plus critiques dans l’économie numérique. La difficulté à se loger et l’intermittence – c’est-à-dire le fait que nous changerons de plus en plus d’employeur et que nos parcours professionnels seront caractérisés par la discontinuité – constituent les risques les plus aigus dans l’économie numérique de demain.
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    "Les modèles d'affaire qui émergent aujourd'hui offrent l'image d'une hyperconcurrence. Dans l'économie numérique, il y a toujours mieux et moins cher ailleurs, et cette dynamique déborde aujourd'hui les frontières du Net. Comment une entreprise peut-elle survivre dans cette jungle, comment peut-elle se distinguer? De nouvelles logiques émergent, de nouvelles propositions de valeur qui pourraient devenir la clé du monde économique de demain."
Aurialie Jublin

Financer l'allocation universelle, par Baptiste Mylondo (Le Monde diplomatique, mai 2013) - 1 views

  • Si l’on se fie à son produit intérieur brut (PIB), la France est aujourd’hui le cinquième pays le plus riche du monde. En 2010, le revenu disponible (après versement des prestations sociales et prélèvement des impôts directs) s’y élevait à 1 276 euros par mois et par personne, adultes et enfants confondus. Nous disposons donc de ressources suffisantes pour garantir à chaque individu 1 276 euros si l’on décidait d’opérer un partage strictement égalitaire. C’est nettement plus que le seuil de pauvreté actuel, fixé en France à 60 % du revenu médian (1), soit 960 euros par adulte.
  • En plus de participer d’une logique de réduction des inégalités, les modalités de financement doivent aussi respecter des principes de prudence, de pérennité, d’adéquation, de cohérence et de pertinence. Elles doivent permettre une amélioration des conditions de vie, et, pour cela, il faut commencer par veiller à ce qu’elles n’entraînent pas une dégradation de la situation des plus démunis ni ne remettent en question les acquis sociaux. Cette considération est essentielle, et explique en partie les réserves, voire l’hostilité, exprimées par les syndicats. Le revenu inconditionnel n’impliquerait-il pas un recul de la protection sociale ?
  • on peut considérer que des fragments du revenu garanti sont déjà versés aujourd’hui, partiellement et sous condition, sous la forme de prestations sociales, de subventions diverses ou de bourses. Un revenu inconditionnel pourrait donc remplacer certains de ces dispositifs. Certains, peut-être, mais certainement pas tous, sauf à tomber dans la logique des propositions libérales
  • ...13 more annotations...
  • Il convient par exemple de distinguer les prestations contributives relevant du régime assurantiel, financées par la cotisation — retraites, Sécurité sociale —, et les prestations non contributives — les aides sociales —, qui relèvent du régime de solidarité nationale et sont financées par l’impôt. Le revenu inconditionnel ne saurait remplacer le système assurantiel, dont les prestations ne visent pas simplement à protéger de la pauvreté, mais aussi à garantir le maintien du niveau de vie. En revanche, il peut remplacer les aides sociales auxquelles il viendrait se substituer parfaitement et avantageusement.
  • Par contre, pas question de supprimer la couverture-maladie universelle ou l’allocation aux adultes handicapés (AAH), qui ont des objets bien spécifiques.
  • Mais il faut encore trouver d’autres ressources. Plusieurs options peuvent être envisagées : l’introduction de nouvelles taxes ciblées, une hausse de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), ou des impôts sur le revenu ou le patrimoine.
  • Certains impôts ont pour but d’orienter les comportements individuels grâce à des dispositifs incitatifs ou pénalisants. Ainsi, les écotaxes, la taxe Tobin sur les transactions financières, la taxe Keynes sur les transactions boursières, le plafonnement des rémunérations et des revenus (salaire et revenu maximums) sont parfois avancés comme des pistes de financement du revenu inconditionnel. Ils présentent en effet deux avantages notables. D’une part, l’écrasante majorité des contribuables n’y seraient pas ou peu assujettis. D’autre part, ils sanctionnent des comportements que l’opinion réprouve : nuisances écologiques, spéculation boursière, rémunérations obscènes et inégalitaires. Toutefois, il serait hasardeux de miser sur des comportements que l’on souhaite voir disparaître.
  • Il doit y avoir une adéquation entre la mesure financée et son mode de financement : la prévention routière peut être payée par les recettes des contraventions, par exemple. Il ne s’agit pas de renoncer aux taxes ciblées ; mais leur usage pour la mise en place d’un revenu inconditionnel ne pourrait qu’être transitoire — ou, du moins, il faudrait l’espérer.
  • le financement par une hausse de la TVA est une autre option.
  • Cette possibilité présente plusieurs avantages. D’abord, puisque tout le monde est consommateur, tout le monde s’acquitte de cette taxe. Or plus l’assiette est large, plus les taux appliqués peuvent être modérés. Ensuite, la TVA, directement intégrée dans les prix, est moins perçue par les contribuables que des taxes ciblées ou des prélèvements opérés après avis d’imposition. Par ailleurs, dans l’optique d’un impôt unique sur la consommation, le risque de fraude fiscale serait limité et ne concernerait que le marché noir. Enfin, la combinaison d’une taxe proportionnelle — la TVA — et d’une prestation forfaitaire — le revenu de base — équivaudrait selon Häni et Schmidt à la mise en place d’un impôt progressif, donc redistributif. Alors que l’on reproche souvent à la TVA son caractère inégalitaire et régressif, l’argument est important.
  • D’un point de vue technique, on peut craindre qu’une hausse de la TVA ne vienne compliquer la lutte contre la pauvreté en entraînant une augmentation des prix. Le revenu inconditionnel sera-t-il encore suffisant une fois que les prix auront augmenté ? Et, si les prix n’augmentent pas, les entreprises pourraient essayer de compenser la hausse de la TVA par une baisse équivalente des salaires.
  • Mais c’est surtout une question de cohérence qui doit être soulevée, notamment si le revenu inconditionnel est porté par une gauche antiproductiviste. Après avoir misé sur l’appât du gain des spéculateurs (taxes Tobin et Keynes) et sur l’inconscience écologique des citoyens (écotaxes), peut-on vraiment compter sur l’ardeur des consommateurs pour financer le revenu inconditionnel, et reconnaître ainsi une utilité sociale à la consommation ?
  • Remettant en question, à juste titre, la propriété privée lucrative, Friot propose de réaffecter presque intégralement la richesse produite par les entreprises — qui deviendraient alors « sans but lucratif » — à des caisses de cotisations permettant de financer, d’une part, un salaire à vie et, d’autre part, de l’investissement mutualisé.
  • Une dernière possibilité — dans cette liste non exhaustive de solutions sans doute appelées à se combiner — consisterait à s’appuyer sur l’impôt sur le revenu. L’avantage est que cela apporterait une réponse évidente à la question de la progressivité des prélèvements, mais aussi à celle de la hausse des prix, en faisant porter le financement sur les revenus des personnes physiques — ce qui ne signifie évidemment pas l’abandon par ailleurs de toute imposition des personnes morales. L’inconvénient est qu’un financement par l’impôt implique une profonde réforme fiscale et une forte hausse des taux d’imposition. Sur ce dernier point, les simulations de Marc de Basquiat (7) laissent présager une augmentation de l’ordre de 30 à 50 % du taux moyen de l’impôt sur le revenu si l’on souhaite financer un revenu inconditionnel de gauche.
  • Parallèlement, et pour limiter la hausse des taux d’imposition sur les premières tranches, il conviendrait de taxer davantage le patrimoine. D’ailleurs, si les inégalités de revenu sont flagrantes en France, les inégalités de patrimoine sont encore plus criantes, et justifient parfaitement cette réponse fiscale.
  • Compte tenu des défauts du système actuel, on pourrait sans doute s’accommoder d’un recul de l’activité économique ; mais, si la capacité de la société à répondre à ses besoins était remise en question, chaque actif, confronté à la baisse de son revenu inconditionnel, serait amené à travailler pour compléter ce revenu, contribuant ainsi à répondre aux besoins de tous…
Aurialie Jublin

Wemind - 1e comité d'entreprise pour freelances - 1 views

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    "Les freelances ne devraient pas se résigner à payer leurs loisirs au prix fort. C'est avec cette idée en tête que nous imaginons le premier comité d'entreprise des freelances, pour que chacun d'entre vous ait enfin accès à des loisirs à prix réduit."
Aurialie Jublin

Prix du DRH numérique : le groupe SNCF rafle la mise - 0 views

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    "L'association nationale des directeurs des ressources humaines (ANDRH) a remis, le 15 septembre, ses premiers prix du DRH numérique. La SNCF et sa filiale Keolis sont récompensées pour des projets RH ayant participé à une transformation numérique profonde de leur organisation."
Aurialie Jublin

Les neufs paradoxes de Charles Handy // Coachs et Vous - 0 views

  • Le paradoxe du travail. Quand le travail n'est pas monétisé, tout le monde semble occupé. Par contre, au fur et à mesure que l'on donne une valeur monétaire plus importante au travail, moins de travail est réalisé à cause de son coût élevé. Ce paradoxe laisse le choix entre fixer le prix du travail à zéro ou au maximum au lieu de le fixer au milieu sous prétexte d'efficacité.
  • Le paradoxe du temps. Alors qu'en s'attendait à avoir plus de temps libre grâce à l'utilisation de nouveaux moyens de production plus efficaces, le temps libre se fait de plus en plus rare. Le paradoxe est que de plus en plus de gens ont plus d'un emploi afin d'augmenter leurs revenus, mais en même temps utilisent cette augmentation de revenu pour acheter du temps libre.
  • Le paradoxe des organisations. Les organisations sont en train de devenir des organisations organisantes au lieu d'organisations pour fins d'emploi. Le travail à temps plein se fait rare et l'organisation au sens traditionnel devient de plus en plus invisible.
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    "Nos sociétés occidentales créent un ensemble de situations paradoxales qui perturbent notre champ rationnel et éthique. Charles Handy a identifié neuf paradoxes principaux qui sont en train de marquer notre époque. Ces paradoxes, il faut les comprendre, savoir vivre avec, et les manipuler. La mise en évidence de ces paradoxes est le premier moyen de les résoudre." Parmi ces paradoxes, celui du travail :  Quand le travail n'est pas monétisé, tout le monde semble occupé. Par contre, au fur et à mesure que l'on donne une valeur monétaire plus importante au travail, moins de travail est réalisé à cause de son coût élevé. Ce paradoxe laisse le choix entre fixer le prix du travail à zéro ou au maximum au lieu de le fixer au milieu sous prétexte d'efficacité. 
Thierry Nabeth

La révolution numérique vue par un Prix Nobel et le patron de BlaBlaCar - 0 views

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    Vous êtes, pour l'un, Prix Nobel et, pour l'autre, créateur d'entreprise. L'économie connaît-elle une transformation digne des précédentes révolutions industrielles ou sommes-nous victimes d'un effet de mode ? Jean Tirole : Même si toute révolution technologique fait l'objet de battage médiatique et de revendications exagérées, la révolution digitale n'est pas un effet de mode. Elle a déjà modifié le commerce, la finance, les médias, les transports ou l'hôtellerie. Demain elle chamboulera les secteurs de l'assurance, de la santé, de l'énergie, de l'éducation... etc....
abrugiere

UP' Magazine - Stress, la souffrance de l'homme insuffisant - 4 views

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    Le monde du travail impose l'autonomie source de souffrances pour des hommes toujours plus "insuffisants": Dès la fin du XXe siècle, la " fatigue d'être soi " a pris le pas sur l'angoisse névrotique, qui était la maladie dominante au XIXe siècle (1). La société actuelle imposant des niveaux d'exigence qui s'avèrent de plus en plus insupportables pour l'individu, laisse le champ libre à une nouvelle souffrance.
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    Pfuff un article qui fait un peu mal au moral....  Le névrosé souffrait parce qu'il était l'objet d'un conflit entre le désir et l'interdit. L'individu actuel souffre d'une impossibilité de se sentir à la hauteur, d'une incapacité à faire face à des exigences exogènes et endogènes toujours plus extrêmes ; c'est la souffrance de l'homme insuffisant. Le premier souffrait d'une surcharge d'interdits ; le second souffre d'une surcharge de possibles. L'homme contemporain est placé dans l'obligation, l'impérieuse nécessité, d'agir à tout prix et de plus en plus vite. Il doit trouver l'énergie de cette action, en lui, dans ses ressorts internes car il y est contraint par l'initiative, l'autonomie, la responsabilité plus que par l'obéissance. Le rapport social actuel est 'psychologisant' c'est-à-dire qu'il fait appel aux ressources personnelles de l'individu
abrugiere

Les makers seront-ils les prochains maîtres du monde ? | Knowtex Blog - 0 views

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    La relance de l'industrie par les FabLabs : la flexibilité du numérique permet de dépasser l'opposition entre délocalisation en Asie et relocalisation de la production un « designed by » au détriment du « made in ». L'automatisation des tâches rendant chaque jour la part du travail moins manuel, le coût humain d'un produit tend à être marginalisé dans le prix de vente final. Les machines étant les mêmes d'un pays à l'autre, il devient possible de les rassembler localement dans des plates-formes polyvalentes, qui ne sont plus attachées à une marque particulière. La démocratisation des outils est pensée comme allant de soi, l'auteur revenant lourdement sur le fait que « n'importe qui » peut désormais faire de chez lui « n'importe quoi », avec juste un ordinateur et quelques milliers de dollars. Ce volontarisme fait l'impasse sur le réalisme d'un monde où le pouvoir de l'usager est une question, et non une évidence.
Aurialie Jublin

La génération Z sera plus difficile à manager que les Y - Les Echos Business - 1 views

  • L’entreprise entre dans l’ère de la coresponsabilité, en matière de gestion et de détention de l’information et de sa réputation. On commence seulement à comprendre qu’elle a partiellement perdu les moyens de maîtriser son image. Grâce aux réseaux sociaux, beaucoup moins prévisibles que les médias de masse, d’autres peuvent s’immiscer dans leurs discours. Mais à l’inverse, elle pourra transformer cette faiblesse en force en jouant sur l’effet démultiplicateur de ses propres salariés, eux-mêmes émetteurs d’information.
  • Les Z pourront parfaitement faire cohabiter statut de salarié et statut d’entrepreneur par exemple. Du cumul d’emploi pour survivre ou mieux vivre, les Z passeront à la multiplicité simultanée des expériences de vies. En ce sens, il y a urgence à rompre avec les clichés archaïques du temps partiel souvent synonyme aux yeux des politiques, mais aussi d’une part de l’opinion publique, de précarité et de petits jobs. Entre temps partiel subi et temps partiel choisi, il y a un monde !
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    "Ils ont moins de 20 ans aujourd'hui, ils sont nés avec Internet et croient au partage, à la sincérité ou à l'exemplarité... La génération Z sera difficile à manager, peut-être même plus que la génération Y. Dans son livre "Le prix de la confiance", Didier Pitelet décrit ces futurs salariés et donne les clés aux entreprises pour anticiper leur arrivée." L'expert les voit cependant comme de bons éléments pour l'entreprise : « Ni matéralistes ni carriéristes, les Z ne saucissonnent pas, ils trimbaleront leur maison au bureau et leur bureau à la maison. Au final, ils travailleront autant que leurs aînés à condition d'y trouver un intérêt et de donner du sens à leur quotidien. »
Aurialie Jublin

La compétitivité des entreprises passe par le renforcement du pouvoir des sal... - 0 views

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    Que signifie vraiment être compétitif pour une entreprise ? Est-ce réduire les coûts à tout prix, quitte à détruire les compétences des salariés et à étouffer toute créativité ? Pour François Daniellou, professeur d'ergonomie à l'École nationale supérieure de cognitique, la compétitivité des entreprises françaises passe au contraire par une démocratisation du travail et un renforcement du pouvoir des salariés, les mieux à même de définir « ce qui fait la performance de leur activité ». Une démocratisation dont le patronat ne veut pas.
Aurialie Jublin

Trois questions à Nathanaël Mathieu, co-fondateur de Neo-Nomade et LBMG Worklabs - 1 views

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    Entretien avec le co-fondateur d'une start-up ayant pour objectif de mettre en relation l'offre et la demande de lieux de travail "à distance" de l'entreprise. Il propose un "diagnostic e-travail" à l'image du "bilan carbone" prenant en considération 4 paramètres : - immobilier (taux d'occupation conjugué avec le prix du mètre carré) - technologies (technologies utilisées, politique, outils, cloud computing) - ressources humaines (potentiel de télétravail pour les différents métiers de l'entreprise) - développement durable (accessibilité du siège, impact environnemental de transport de salariés)
Aurialie Jublin

Emploi: votre talent à un prix ! - Initiative France Info - 0 views

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    Face à la crise du pouvoir d'achat, des français n'ont pas d'autres choix que de vendre leurs compétences professionnelles directement sur internet. Une approche qui permet aux particuliers de percevoir des revenus complémentaires. Ex du site : jemepropose.com
Aurialie Jublin

La chute de Take Eat Easy, une mauvaise nouvelle pour la bulle internet? | Slate.fr - 0 views

  • Au bout du compte, seule une toute petite minorité des projets arrive en position hégémonique, puisque le principe est qu’il n’y a qu’un vainqueur par secteur (la plateforme arrivée en premier rafle tout le marché, puisque personne n’a besoin d’un deuxième Uber, d’un deuxième Airbnb ou d’un deuxième Blablacar, avec un peu moins de chambres à louer, de chauffeurs disponibles ou de covoitureurs potentiels). L’aventure s’arrête donc au moment où les équipes se retrouvent à cours d'argent et que plus personne n'est prêt à parier un nouveau tour de table. Et plus la croissance aura été forte et rapide, plus le bordel laissé derrière sera impressionnant, ce qu’on a mesuré aux réactions outrées de restaurateurs ou de livreurs apprenant qu’ils ne seraient pas payés pour le mois de juillet.
  • Faut-il y voir un début d'éclatement de bulle? Difficile de tirer des conclusions, mais la succession de plusieurs annonces de redressement judiciaires d'autres start-up médiatiques comme Take Eat Easy soulève la question selon le rédacteur en chef du magazine En-Contact, spécialisé dans la relation client, qui écrit dans un billet d'humeur: «On peut se poser la question tant la capacité à brûler du cash de ces entreprises a été réelle, voire parfois stratosphérique et ferait sourire le moindre patron de TPE ou PME dont l’obsession quotidienne est le niveau de sa trésorerie, et qui prend des mesures de sauvegarde dès lors que son compte professionnel est proche de zéro ou déjà en dessous.» Les modèles grand public sont aussi plus sexy et simples à comprendre (en tout cas, c'est l'impression qu'ils peuvent donner), et cet aspect a tendance à attirer les «meetoo» et les «copycats», comme l'explique Stéphane Schultz, attirés par la le succès de la première phase de recherche de modèle économique, et qui créent «des services identiques et “adaptés” à un pays ou une situation particulière.»
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    "Ce modèle implique une tension permanente entre le risque inhérent de l'activité, qui dépense beaucoup d'argent, et le potentiel de valorisation, lié à une forte croissance: «Il s'agit d'un choix à faire entre croissance et rentabilité. Soit on est rentable très vite avec une faible croissance, soit c'est l'inverse.» «On ne peut pas à la fois reprocher à l'équipe de Take Eat Easy de s'être plantée, reconnaît l'investisseur, et encenser Uber qui lève des milliards», car dans les deux cas la logique est la même, même si les ordres de grandeur n'ont rien à voir: l'argent levé accélère l'hyper-croissance au prix d'énormes dépenses. «Uber est toujours dans sa phase de croissance», ajoute Stéphane Schultz, et son expansion toujours en cours."
Aurialie Jublin

The End of Higher Education's Golden Age - Clay Shirky - 0 views

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    Pour Clay Shirky, quand on parle d'études supérieures, on parle souvent de l'école des élites. Or, ce n'est pas la réalité de l'enseignement supérieur américain. La plupart des étudiants sont inscrits dans une école de banlieue, pas pour accumuler des connaissances, mais pour acquérir une formation et un certificat d'employabilité. Un sur trois ne finira pas ses études et deux sur trois finiront endettés par celles-ci. L'enjeu est donc bien d'améliorer la qualité de l'éducation sans en augmenter le prix, de parier sur une éducation à faible coût et à grande échelle.
Aurialie Jublin

Combien coûterait un Big Mac si McDo doublait ses salaires ? | Big Browser - 1 views

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    "Selon cette étude, un doublement des revenus des employés de l'enseigne - du salarié de base gagnant le salaire minimum (7,25 dollars de l'heure, ou 5,40 euros) au PDG Donald Thompson (8,75 millions de dollars en 2012) - aurait pour conséquence une augmentation du prix du Big Mac de seulement 68 cents (0,50 euro). Le Big Mac passerait ainsi de 3,99 à 4,67 dollars (3,50 euros), affirme l'auteur de l'étude, Arnobio Morelix."
Aurialie Jublin

Michelin, Parrot, LVMH... les meilleures pratiques RH des entreprises, par Didier Pitelet - 0 views

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    "Michelin, Ysance, Parrot, groupe Flo, groupe Casino, LVMH, BNP Paribas... Sept exemples de gestion des ressources humaines à suivre, selon Didier Pitelet, auteur de Le prix de la confiance."
Aurialie Jublin

Non au temps plein subi ! - Reporterre - 2 views

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    "Il faut adapter le travail à l'homme et non plus voir l'homme s'adapter à tout prix à son travail. Beau principe ? Plus qu'un principe, il s'agit d'un article du Code du travail. Fort peu connu et si mal appliqué."
hubert guillaud

Trouver les gens qui ont une vocation plutôt que ceux qui veulent faire carri... - 1 views

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    L'entrepreneur et financier Brooke Allen - http://www.brookeallen.com -, qui a lancé le club Q54 - http://www.q54club.org - recommandait récemment dans les pages de Quartz d'écrire son histoire plutôt qu'un simple CV pour décrocher un job : http://qz.com/192347/to-get-a-job-write-your-story-instead-of-a-resume/ Il y évoquait le fait que ce qui a le plus de valeur est de trouver un but à son travail. Evoquant le livre à paraître de Aaron Hurst "L'économie du but", il explique que les gens les plus motivés ne cherchent ni un travail ni une carrière, mais une vocation. Et que les employeurs devraient surtout se soucier de trouver ces employés là ! Les gens qui cherchent un travail ne cherchent qu'à payer leurs factures. Ceux qui cherchent une carrière se moquent de leur travail. Seul ceux qui cherchent une vocation méritent d'être employés et d'être payés au prix fort.
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