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Aurialie Jublin

BYOD : pourquoi apportons-nous notre propre équipement ? - 1 views

  • Une étude iPass sur 1 100 salariés mobiles conclue notre propos: « Les employés qui utilisent un équipement mobile à la fois pour le travail et la vie personnelle travaillent 240 heures de plus que les autres. »
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    Strategy Analytics a récemment révélé que les employés achètent quatre tablettes sur dix à leurs propres frais... pour les utiliser au travail. Cette statistique vient confirmer le phénomène de consumérisation rapide de l'informatique d'entreprise. Elle suggère également que la tendance Bring Your Own Device (BYOD) repose sur des motivations très fortes. Mots clés : autonomie personnelle sur le lieu de travail ; amélioration de la satisfaction au travail ; réduction des coûts pour les entreprises
abrugiere

"No managers" ou comment travailler autrement ? - 2 views

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    « NoManagers », « self-management », « holacracy », « déhiérarchisation », le vocable diffère, mais vise un même objectif : redonner du pouvoir aux salariés. Cette tendance, qui ne tient plus de l'épiphénomène, fait de plus en plus parler d'elle. Pas nécessairement à appliquer à la lettre, elle braque le projecteur sur un type d'innovation souvent négligé : l'innovation organisationnelle. L'incessante collecte de chiffres, indispensable au reporting, a participé à l'institution d'un management quantitatif, qui incite les salariés à passer plus de temps à se justifier qu'à innover. Résultat, tout pousse aujourd'hui à la remise en question de contrôles excessifs jugés dévastateurs Non satisfaisant in fine, ce type de management pousse nombre d'entreprises à sérieusement considérer la question de la « codétermination », nécessaire au développement d'une vision collective constructive. Aux États-Unis, Morningstar (800 salariés, qui a créé un institut de self-management), Zappos, Treehouse, Medium et, en Grande-Bretagne, Gamevy ont bousculé leur organisation et leur hiérarchie. Tout comme Gore Tex et Favi en France. Ces entreprises, qui allient « libération » et performance, savent gérer les fertilisations croisées et motiver les équipes, auxquelles elles accordent un plus grand degré de liberté pour tester des idées. Schéma sur le management selon les pays : UK, USA, France, Suède, Germany, ASIA, etc. :)
Chamila Puylaurent

L'impact de la transformation numérique sur le bien-être des collaborateurs - 1 views

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    "Edenred et Ipsos viennent de dévoiler la dixième édition du baromètre sur le bien-être et la motivation des salariés européens. Issues de 14 pays européens, les réponses des 13 600 salariés interrogés ont permis d'établir un constat à travers 4 chiffres clés et d'identifier 4 profils-types de collaborateurs face à la transformation numérique, ainsi que les réponses à apporter par les DRH. Revue de détail. "
Aurialie Jublin

En 11 minutes, Talentoday évalue vos "soft skills", et devenez acteur de votr... - 0 views

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    "Facilitant le processus RH et révélant les personnalités ainsi que les motivations, l'outil s'appuie sur les données comportementales permettant de faire correspondre les envies des hommes aux besoins des entreprises. Après 128 questions, les utilisateurs peuvent alors découvrir leurs profils et déterminer les différentes opportunités qui peuvent les intéresser. Un questionnaire réalisable en moins de 12 minutes, notamment facilité par le choix des réponses, qui reposent uniquement sur les "soft skills". Les expériences professionnelles et les diplômes ne sont pas des critères inclus dans la réalisation de ce test."
Aurialie Jublin

Google Entreprise devient Google for Work - 0 views

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    "L'offre va donc désormais s'appeler Google for Work. "Nous n'avons jamais cherché à créer un environnement de travail "classique" : nous avons voulu réinventer une nouvelle façon de travailler. Il est donc maintenant grand temps d'opter pour un nom qui reflète nos ambitions. C'est pourquoi nos produits "Google Enterprise" s'appelleront désormais simplement "Google for Work". Lorsque nous utilisons les outils qui simplifient notre vie, comme la recherche, Google Apps, Google Maps, Chrome, Android ou encore Cloud Platform, notre travail aussi s'en trouve amélioré. Et ça, c'est une motivation extraordinaire pour se lever le matin !, indique Eric Schmidt, p-dg du géant."
Chamila Puylaurent

Génération Y: un rapport au travail façonné par la technologie | L'Atelier : ... - 0 views

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    "Les millennials arrivent en masse sur le marché du travail. Décryptage des motivations de cette génération façonnée par les outils digitaux et son rapport au monde du travail."
Aurialie Jublin

e-RH - L'entreprise libérée est-elle socialement responsable ? - 1 views

  • Bon nombre de démarches de « libération » reposent simplement sur une approche de réduction drastique du management intermédiaire et des fonctions support. Cette approche est la conséquence d’une vision caricaturale du management, selon laquelle la ligne managériale serait « un empêcheur de diriger en rond ».
  • Le management intermédiaire joue un rôle majeur en termes de santé au travail (cf le rapport Pénicaud-Lachmann-Larose « Bien-être et efficacité au travail », publié en février 2010), de régulation sociale, de transition vers l’entreprise numérique (cf le rapport de Bruno Mettling, sur « Transformation numérique et la vie au travail », septembre 2015) et désormais de construction des parcours professionnels. Des études solides montrent que les entreprises qui investissent le plus dans la qualité de leur management en tirent les fruits sur le plan de l’efficacité productive et de la rentabilité financière (voir « Return on Management : ce que votre DAF doit savoir sur la performance »
  • Renforcer le pouvoir d’agir des collaborateurs est un objectif louable, qui va dans le sens de l’entreprise responsable. Mais ce renforcement ne doit pas être obtenu au prix de l’affaiblissement, voire de la disparition des parties prenantes, qui sont en mesure de soutenir les collaborateurs. J’ai constaté dans plusieurs démarches d’« entreprise libérées », une recherche délibérée d’un sur-investissement des collaborateurs par des méthodes proches de la manipulation.
  • ...2 more annotations...
  • L’entrée en collision avec les modes de régulation sociale traditionnels (représentants du personnel et syndicats) ne se traduit pas (pour l’instant ?) par l’invention de modes nouveaux de relations sociales à même de proposer une alternative crédible. On est donc ici aux antipodes de l’entreprise responsable, qui valorise la régulation par les parties prenantes et les contre-pouvoirs.
  • En conduite du changement, on doit toujours être attentif au diagnostic de la situation actuelle et à la projection dans la situation future, mais surtout à ce qui fait le pont entre les deux : la trajectoire. Les démarches d’« entreprises libérées » sont très prolixes sur la situation future (malheureusement naïvement présentée comme un éden) mais généralement très faibles sur la trajectoire.  Elles oublient par exemple, que la démarche d’« empowerment » des opérateurs suppose une forte maturité professionnelle et une polyvalence développée.
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    "L'entreprise libérée : ce n'est plus un mot valise mais une expression container, tant on y trouve des contenus variés, de toutes origines, qui tous se revendiquent de ce mouvement. C'est pourquoi il faut revenir à la source, celle du livre écrit il y a 6 ans par Isaac Getz et Brian M. Carney, « Freedom Inc ». On y trouve les ingrédients de la « libération » :  le rôle déterminant de l'écoute, notamment de la part des dirigeants, le renoncement par ces mêmes dirigeants aux symboles, marques distinctives et autres privilèges, le travail sur la vision et le projet de l'entreprise, qui doivent être appropriés par les collaborateurs, l'allègement des contrôles, des normes de comportement, du prescrit, au profit de l'autonomie et de la responsabilisation des opérateurs, l'arrêt des stratégies de motivation (primes variables, etc.) au profit de la mise à disposition d'un environnement de travail favorable. "
Aurialie Jublin

Algorithmes, « escape games »… Les nouvelles lubies des recruteurs - 1 views

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    Pour dénicher la perle rare, les entreprises s'arment d'outils à la pointe. Graphologie sur clavier ou entretiens vidéo différés ont désormais autant de poids que CV et lettre de motivation réunis
Aurialie Jublin

Cartographie des services/start-up RH - 0 views

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    Cartographie faite par le LabRH, avec 5 sous catégories : - Administration, gestion, insfrastructure et SIRH - Formation, développement des individus - Mobilité et gestion des carrières - Motivation - Acquisiion
Aurialie Jublin

Résultats 2012 de l'Observatoire de la vie au travail - 0 views

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    Le dernier Observatoire de la vie au travail animé par M@rs-lab en partenariat avec le Club Essec RH pointe une dégradation du moral des salariés dans les TPE et de la perception qu'ils ont de l'encadrement. Le moral s'améliore en revanche largement dans les grandes entreprises. Cependant, l'étude révèle que l'enthousiasme des salariés est bridé par le manque de reconnaissance. 45 % des salariés jugent insuffisante la qualité managériale de leur entreprise.
Aurialie Jublin

Le don et le gratuit sont indispensables à l'entreprise | Zevillage - 1 views

  • Si les gens ne peuvent pas réaliser leur part de gratuit au travail, elles le feront à l’extérieur de l’entreprise comme on le constate sur le grand mouvement de don et de participation sur l’Internet. La financiarisation des entreprises à conduit à multiplier les ratios, les contrôles, les prescriptions, l’organisation du travail où tout le monde doit rentrer dans le cadre. Cela a conduit à beaucoup de de désengagement, malheurs, tristesse et difficultés au travail. Qu’ont alors fait les personnes ? Dans leur sphère privée, elle sont allés sur Internet où elles se sont mis à travailler gratuitement. « En traquant le gratuit, on finit par encourager, chez le travailleur, un esprit de calcul et de normalisation » écrit Pierre-Yves Gomez dans son livre. « Puisque tout lui est compté, ses gestes, ses temps, ses mots, il se met logiquement à compter ses heures et ses efforts. C’est donnant-donnant dans l’entreprise ».
    • Aurialie Jublin
       
      Tout doit être comptabilisé dans l'entreprise pour la performance. Mais dans tout travail, il y a une part "gratuite" : donne son temps, des conseils, participent à la vie commune, ... ce qui permet d'être qqun au travail, de s'engager, ... Les normes et les contrôles diminuent la part du don et "détruisent" la gratuité du travail. Ex. du hackathon ou museomix : motivation des participants - liberté de développer des idées innovantes + rencontre et collaboration avec des gens différents Manager : trouver la bonne place du gratuit, retrouver le gratuit dans l'entreprise
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    "Ce « travail gratuit » peut prendre la forme de temps donné à ses collègues, d'une participation à la vie commune, des conseils donnés sans être comptabilisés. Cet espace de gratuité permet d'être quelqu'un au travail. Plus on diminue cet espace du gratuit, plus on comptabilise tout, on prescrit tout, on diminue la part de don, de liberté, plus on effrite le sens du travail."
Aurialie Jublin

JobSharing, cabinet de conseil RH dédié au job sharing et aux temps partiels ... - 0 views

  • La flexibilité du travail est désormais au cœur des débats économiques et sociaux. Le job sharing est un nouveau modèle d’organisation du travail au service de l’entreprise notamment pour le pilotage de sa politique d'innovation sociale et de diversité ainsi qu’un levier potentiel de réduction des coûts. Les études internationales montrent que le job sharing offre aux entreprises de nombreux avantages : hausse de la productivité et maintien de la continuité de services ; engagement dans l’égalité professionnelle, la parentalité et le bien vivre ; réduction des coûts ; diminution du turn over et des absences ; attractivité, motivation et fidélisation de ses salariés. Enfin, en proposant le job sharing dans le cadre de réorganisations par exemple, l’entreprise devient un acteur « responsable » en aménagement sa masse salariale plutôt qu’en la supprimant. Ainsi, elle peut maintenir l’employabilité de ses salariés, point crucial dans une période de crise.
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    Interview des 2 fondatrices "Le job sharing est une pratique innovante qui consiste à partager son poste à responsabilités avec un autre collaborateur. Il s'agit d'un mode de travail peu connu en France mais pourtant pratiqué par plus de la moitié des grandes sociétés anglo-saxonnes. On le retrouve également ainsi en Suisse, en Belgique ou encore dans les pays scandinaves."
Aurialie Jublin

L'adoption des RSE et plateformes collaboratives progresse lentement - Entreprise20.fr - 1 views

    • Aurialie Jublin
       
      Résultat de l'étude "évolution de la networked enterprise" : Si l'adoption de certaines technologies et fonctionnalités liées à la networked enterprise sont en hausse régulière, la tendance générale est plutôt à la stagnation ;  - Les bénéfices ressentis au sujet de ces nouveaux outils ou nouvelles pratiques sont plutôt mitigés (surtout liés à la réduction des coûts de communication ou de voyage) ; - Des préoccupations qui se déportent vers des sujets très techniques (accès mobile, sécurisation des données dans les nuages, big data…).
  • Même son de cloche avec l’étude 2013 sur la Social Collaboration en Allemagne, en France et au Royaume-Uni de PA Consultants. On y apprend que les entreprises allemandes et anglaises ont une approche pragmatique centrée sur l’efficacité ou la recherche de rapidité, alors que les entreprises françaises cherchent à améliorer la motivation, l’implication… mais comme ces derniers bénéficient d’un faible niveau d’autonomie, les résultats ne sont pas forcément au rendez-vous
  • Le principal enseignement de cette étude est que des solutions sont déployées, probablement dû à un bon travail d’évangélisation des éditeurs, mais que l’intégration aux outils du quotidien reste à faire. En d’autres termes : on colle des rustines pour faire bonne figure, mais les habitudes ne changent pas forcément à cause d’un déficit de volonté de changement.
  • ...1 more annotation...
  • Comme pour les études précédentes, si les entreprises se targuent d’un déploiement de solutions modernes (RSE, accès mobile…), elles sont beaucoup moins volontaires pour initier une mutation en profondeur des habitudes de travail. Ce qui manque le plus, comme le démontre ces études, est la mise en place d’une réelle dynamique de changement où la direction et le middle management expliquent, stimulent et participent de façon active à la transformation des outils et processus métiers.
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    Un article de synthèse de quatre études sur l'adoption des RSE et plateformes collaboratives parues récemment.
Aurialie Jublin

Les espaces de coworking sont-ils les salles de classes du futur ? | Deskmag | Coworking - 0 views

  • Certaines universités comme le H4 en Caroline du Nord, ou le Kosilab à Siegen ont créé leurs espaces de coworking d’été pour étudiants au sein même de l’université. Les deux espaces mettent l’accent sur l’interaction entre étudiants. Le H4 de par des évènements et l’organisation de formation par des professionnelles, le Kosilab en prônant l’entraide. L’objectif est bien la réussite des étudiant car dans les deux cas, ce sont les services d’orientation professionnel qui ont permis ces initiatives.
  • Les avantages pour les étudiants sont en effet multiples : - Travailler dans des espaces moins surpeuplés que les cafés ou les bibliothèques. - Pouvoir travailler pendant des plages horaires plus étendues - Pouvoir se familiariser avec l’entreprenariat - Apprendre auprès d’une communauté d’experts - Confronter la théorie à la pratique - Réaliser des projets personnels dans un environnement de travail motivant - Accéder à des opportunités de stages et d’emploi
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    "Avez-vous remarqué combien il peut être difficile de trouver des entrepreneurs célèbres étant diplômés? D´autre part, dans certains domaines tels que Webdesign ou la programmation, les nouvelles technologies évoluent si vite que les étudiants peuvent ressortir des salles de cours avec des connaissances déjà obsolètes. Malheureusement, même à l´heure d'internet et du partage de connaissances, il est encore difficile d´imaginer toute une génération d'autodidactes. Bonne nouvelle, le coworking pourrait être l'une des solutions. Il attire de plus en plus d'étudiants et pourrait bien être l'espace privilégié d'une nouvelle éducation pour les entrepreneurs de demain. En fait, certains voient même le coworking remplacer des universités désormais dites dépassées."
abrugiere

Pyramide des besoins de Maslow - Wikipédia - 0 views

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    la pyramise des besoins de Maslow pour
Aurialie Jublin

Les ressources humaines doivent-elles changer de nom ? - 0 views

  • Passée la tentation d’externaliser cette fonction de l’entreprise, l’autre solution selon lui serait de dissocier le service RH en deux : une équipe chargée de conforter les salariés dans leur travail (motivation, développement de la culture d’entreprise, bien-être…) et une autre chargée d’optimiser la composition de la force de travail pour l’entreprise (évolution des compétences en interne, recrutement, gestion du turn-over). Dans cette optique, la première équipe s’occupe des hommes et des femmes quand la seconde s’intéresse, de façon plus froide et scientifique (avec des indicateurs clés de performances), aux ressources animées de l’entreprise.
  • Faute de trouver mieux, elle préfèrerait le titre de directrice des talents humains. « Derrière l’idée de ressource, il y a la notion de quantité alors que les RH doivent mettre en avant la créativité et l’individualité des collaborateurs, au service d’un collectif », estime-t-elle.
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    "Sur LinkedIn le débat fait rage. Le post du consultant américain Bernard Marr s'interroge sur la pertinence du terme "ressources humaines". Si le premier actif d'une entreprise sont ses salariés, peut-on les considérer comme de simples ressources ?"
Aurialie Jublin

Travail et exclusion : comment Emmaüs réinvente le revenu minimum ?  - Metis - 0 views

  • La motivation des salariés d'Emmaüs justifie le niveau de leur rémunération Tout d'abord, il faut savoir que les salariés des associations jugent leurs salaires et leurs avantages non pécuniaires (assurance santé, congé maternité rémunéré) moins élevés que dans les secteurs privés et public, mais ils ne considèrent pas leur rémunération comme étant particulièrement inéquitable. A Emmaüs, le salarié s'engage avant tout parce qu'il partage les valeurs. Or, dans le cas des Communautés Emmaüs, les salariés ne sont pas les seuls travailleurs associatifs à percevoir une rémunération. Au sein des Communautés, les Compagnons touchent ce que l'association appelle un pécule mensuel d'un montant qui s'élève aux environs de 200€ mensuel. Les compagnons ont un statut particulier de travailleurs solidaires.
  • un compagnon est d'abord une personne en risque d'exclusion qui n'a pas fait le choix de travailler dans une communauté Emmaüs : pour faire simple, son choix est limité entre travailler et vivre dans une communauté ou vivre dans la rue. Le Compagnon est à la fois le bénéficiaire et la principale de force de travail des Communautés. Sa position devrait légitimement lui permettre de disposer des moyens et des ressources, nécessaires à son bien-être. Or, l'enquête de terrain a prouvé que ces derniers souffrent parfois d'un manque de reconnaissance et d'un faible niveau de rémunération. On a inculqué aux compagnons le principe que le travail leur rendrait la dignité. Mais, hormis la dignité et les avantages solidaires liées à la vie communautaire que gagnent-ils à travailler au sein des Communautés.
  • L'allocation hebdomadaire versée par l'équipe de direction n'est pas un «salaire», et les Compagnons ne sont pas des employés.
  • ...1 more annotation...
  • La politique salariale au sein des Communautés consiste dans la mise en place d'un salaire minimum et d'avantages solidaires. Il est clair que le faible niveau de rémunération d'une main d'œuvre aussi nombreuse constitue un avantage compétitif indéniable. Or, il ne s'agit pas non plus d'exploitation, car l'expérience d'Emmaüs démontre qu'un salaire minimum aussi réduit est efficace s'il s'accompagne non seulement d'autres formes d'allocations ou prestations solidaires, mais d'un vrai dispositif conduisant à sortir de la pauvreté.
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    "Au lieu de s'attarder sur les échecs du RSA, cet article décrit dans quelles circonstances certains emplois sont faiblement rémunérés et quels sont les mécanismes qui découlent de certaines relations salariales. Pour cela, cet article prend exemple sur le cas des stratégies salariales au cœur du système des Communautés du mouvement Emmaüs."
Aurialie Jublin

Data pioneers watching us work - FT.com - 0 views

  • Not everyone is convinced that the growing use of technology to monitor workers’ productivity offers an un­equivocal improvement, however. Teresa Amabile, a professor and director of research at Harvard Business School, says it could be “very positive” or “very negative” depending on the existing workplace culture. Monitoring can work if the teams, departments or whole offices using the software or devices have what she calls “a high degree of psychological safety”. If people feel able to experiment, potentially fail and learn from those lessons, then they can be motivated by gaining a better understanding of how they spend their days. But she warned that the technology was still in its early days and could be “too crude” an instrument to rely on. “There is definitely a danger of seeing technology as a silver bullet,” she says.
Aurialie Jublin

Le travail peut-il à nouveau nous faire vivre ? - RH info - 1 views

  • Il faut dire que les contextes qui permettaient à une personne de trouver une raison stable pour s’impliquer dans son travail sont en grande partie révolus. Les comportements cyniques en matière sociale ont fait tomber les illusions ; la réduction du syndicalisme et le management par la « stress-performance » se sont forgés au prix d’un individualisme accru ; le sens de l’œuvre et du service s’est noyé dans la violence du marché ; les comportements hyper courts-termistes des actionnaires et des investisseurs ont souvent détruit la logique entrepreneuriale et la cohérence des projets ; la valeur s’est déplacée du travail sur l’argent ; les cadres et les experts n’ont plus de scrupules à faire jouer la concurrence entre les entreprises et leur fidélisation est souvent devenue un vrai casse-tête.
abrugiere

7 (fausses) raisons pour ne pas lancer une démarche d'innovation collaborativ... - 1 views

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    On n'arrête pas de se le répéter : L'innovation est un puissant levier de compétitivité pour l'entreprise Le collaboratif est un mode de travail qui apporte efficacité et performance au quotidien Et pourtant… on constate que plus de 70% des entreprises françaises tardent à intégrer le collaboratif dans leur culture et leurs pratiques managériales*. Pourquoi ce décalage entre la déclaration d'intention et la réalité ? La crise me direz-vous… Le manque de budget… Soit. Néanmoins, à côté du contexte économique (OK, qui est une vraie raison), nous avons listé les 7 excuses le plus souvent rencontrées (qui nous paraissent être de fausses raisons). Et totalement surmontables !
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