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Aurialie Jublin

Travail et automatisation, pourquoi faut-il être néguentropique? - 0 views

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     " l'anthropocène (la période pendant laquelle l'influence de l'homme sur le système terrestre est devenue prédominante) est largement sous-tendu par le consumérisme et nous dirige vers un état d'entropie dans lequel les ressources tendent à se faire rare. (...) S'il faudra un jour en payer l'addition, il faut surtout voir de l'avant et inventer des activités néguentropiques c'est-à-dire allant dans un sens soutenable pour la planète, contrant l'entropie. Pour Bernard Stiegler, le critère de la valeur de demain est la néguentropie. Quand il s'agit d'être concret, il expliquera que les individus ont besoin de renouer avec le sens et le savoir. C'est àAmartya Sen, prix Nobel d'économie, qu'il emprunte le concept de « capacitation » qui définit la capacité qu'à un individu à envisager sa liberté en fonction de son contexte social. La capacitation des individus est la meilleure solution pour aller vers une adhésion non contrainte à des objectifs partagés."
Aurialie Jublin

The new work | Harold Jarche - 0 views

  • Another factor in the changing nature of work is the changing perception of value. In the creative economy, more value is coming from intangible assets than tangible ones.
  • Learning to better deal with intangibles is the next challenge for today’s organizations and workers. I developed the following graphic to describe the four job types in relation to 1) work competencies and 2) economic value. It appears that an economy that creates more intangible value will require a greater percentage of Thinkers and Builders.
  • As we move into a post-job economy, the difference between labour and talent will become more distinct. Producers and Improvers will continue to get automated, at the speed of Moore’s law. Those lacking enough ‘Talent’ competencies may get marginalized. I think there will be increasing pressure to become ‘Thinkers + Builders’, similar to what  Cory Doctorow describes as Makers in his fictional book about the near future.
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  • What is relatively certain is that ‘Labour’ competencies, which most education and training still focuses on, will have diminishing value. How individuals can improve their Thinking and Building competence should be the focus of anyone’s professional development plan. How organizations can support Thinking and Building should be the focus of Organizational Development and Human Resources departments. While Producing and Improving will not go away, they are not where most economic value will be generated in the Network Era.
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    En partant des 4 types de travail définis par Lou Adler (Thinker, Builder, Improver, Producer), des compétences définies par Gary Hamel (obedience, diligence, intellect pour l'économie industrielle et de la information; initiative, créativité et passin pour l'économie créative), Harold Jarche essaie de définir le futur du travail 
Aurialie Jublin

Et si le futur du travail était encore entre nos mains ? - Digital Society Forum - 1 views

  • La fin de l’emploi, de sa durée légale et de son déroulement dans un temps « long » (plusieurs mois ou plusieurs années), s’il n’est pas accompagné d’une évolution de notre système de protection sociale et de soutien aux personnes, risque de faire de nous des individus morcelés incapables de se projeter, de se construire, d’évoluer.
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    "En prenant un peu de recul, la bousculade que vient de vivre la SNCF pourrait bien nous donner un aperçu du futur. En effet, le premier rôle dans cette histoire semble tenu par quelques dynamiques bien connues du monde numérique : la dimension participative (les clients ne sont plus de simples consommateurs passifs), la transparence (revendication d'une gouvernance plus partagée) et la montée des indépendants. En fait, cette mobilisation autour d'une offre commerciale donne un aperçu concret de cette société du pair-à-pair dont Michel Bauwens s'est fait le héraut : une société où les frontières entre producteurs et consommateurs s'effacent ; où les services et les produits deviennent des biens communs plutôt que des propriétés privées exclusives ; où les systèmes hiérarchiques s'aplatissent ; où la taille des entreprises se réduit, le travail s'effectuant en petits groupes mis en réseau ponctuellement, etc. Elle donne aussi un avant-goût de l'organisation des travailleurs et du dialogue social de demain. "
Aurialie Jublin

Robert Castel, La montée des incertitudes - 0 views

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    Synthèse de la réflexion et l'analyse du sociologue sur la grande transformation qu'a connue le salariat depuis une trentaine d'années et esquisse des pistes d'action pour réduire cette montée des incertitudes. 3 parties : - la première, intitulée « Les dérégulations du travail », est composée de textes qui traitent de l'évolution de la place du travail dans la société actuelle, du rôle du droit du travail dans le redéploiement de l'État social, du rapport au travail spécifique des jeunes et de l'institutionnalisation du « précariat », forme d'activité au deçà du salariat. - la 2e partie de l'ouvrage s'intéresse aux reconfigurations nécessaires des protections individuelles et au rôle de l'État social dans un environnement mouvant et incertain, marqué par la mondialisation. - la dernière partie, Les chemins de la désaffiliation, est consacrée aux voies qui conduisent certains groupes à la fragilisation extrême, voire la rupture du lien social, ce que Castel a appelé dans Les métamorphoses de la question sociale, la désaffiliation. J'ai souligné certains passages (avec les outils diigo), mais ils n'apparaissent pas dans le groupe, seulement dans ma libraiie
Aurialie Jublin

Les limites de l'individualisation du travail « InternetActu.net - 1 views

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    CR de la 1e session de Lift with Fing sur "Travailler autrement" avec les interventions de P. Vendramin, S. Broadbent et J. Serrano
Aurialie Jublin

9 scénarios pour le marché de l'emploi de demain - Mode(s) d'emploi - 0 views

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    - la fin du CDI - tous freelances ou entrepreneurs - robolution du travail - de nouveaux métiers inconnus vont apparaître - un marché de l'emploi à 2 vitesses - la fin du chômage indemnisé - la fin de la retraite - la 3e révolution industrielle - dématérialisation du lieu de travail
julien camacho

GÉNÉRATION Y * Besoin d'un boulot ? Inventez-le | Courrier international - 1 views

  • C'est pourquoi l'objectif de l'enseignement, selon Tony Wagner, ne doit plus être de préparer tous les enfants à l'université, mais plutôt de leur apprendre à innover, afin qu'ils soient prêts à valoriser leur activité, quelle qu'elle soit.
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    Les membres de ma génération devaient trouver un travail, les jeunes doivent désormais le créer, écrit cet éditorialiste américain. Il est urgent de réformer l'enseignement pour mettre la capacité à innover au cœur du système.
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    Le fossé se creuse dans un marché du travail où la classe moyenne, qui s'était constituée sur l'accès à des postes qualifiés, tend à disparaitre. Le système d'enseignement doit faire face à l'obligation de développer des compétences chez le individus qui leur permettront d'innover durablement, condition sinequanone d'une adaptabilité à des fonctions très qualifiées.
Aurialie Jublin

A quoi ressemblera le travail dans 60 ans? - L'EXPRESS - 0 views

  • Autre formule: le portage salarial, qui concilie l'indépendance du statut de consultant avec la sécurité du salariat. Les groupements d'employeurs ont le vent en poupe: ils permettent de créer des emplois à temps plein à partir de besoins à temps partiel de plusieurs entreprises. "Mais, attention, il s'agit pour l'heure de très petits volumes"
  • les groupements de coopération sanitaire (GCS), via lesquels des établissements de santé privés et publics se regroupent et se prêtent du personnel. 
  • C'est le cas aussi dans l'industrie pharmaceutique, où la recherche et développement implique de lourds investissements. Des partenariats "open" sont accessibles à des communautés de chercheurs. L'entreprise ouvre ainsi le plus largement possible le champ de ses ressources. Et des individus ou des équipes talentueux peuvent se faire remarquer, voire décrocher un contrat si la coopération aboutit. 
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  • Pour Philippe Durance, le succès des coopératives auprès des cadres quinquas s'explique par la recherche de sens et d'engagement. "Les gens veulent être indépendants et autonomes, mais pas tout seuls."
  • Demain, les actifs vont vendre, non plus leur diplôme, mais leur réseau. Plus les réseaux seront larges, nombreux et bien entretenus, et plus les gens seront efficaces. "De nombreuses formes de travail vont coexister, estime Sandra Enlart. Micro-entreprises, temps partiels de toutes sortes, contrats sur objectifs, contrats multi-employeurs, contrats multisalariat (plein-temps occupés par plusieurs personnes qui s'entendent entre elles en amont). Et la fluidité entre les différents statuts deviendra incontournable." 
  • Les entreprises auront un noyau dur de compétences et entretiendront des rapports marchands, plus souples, avec d'autres profils de travailleurs. "Chacun va devoir créer son propre emploi", explique, quant à lui, Philippe Achalme, qui plaide pour la pluriactivité, "gage de sécurité". Quant au télétravail, il sera devenu banal à un horizon relativement proche.
  • dans une dizaine d'années, le DRH n'aura plus du tout le même rôle. "Il devra gérer des communautés dans des systèmes ouverts. Dans ce contexte, l'idée du DRH qui contrôle tout avec des systèmes internes sera totalement révolue. D'autre part, il devra être capable non pas d'organiser la rétention des salariés, mais leur employabilité." 
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    "Des formes d'emploi plus souples se multiplient, davantage en phase avec les demandes des entreprises et avec la quête de sens et d'autonomie de chacun."
Aurialie Jublin

Note de lecture de "Travail au singulier" de Patricia Vandramin- Cairn.info - 2 views

  • En sorte que le nomadisme coopératif ainsi enrichi va désigner « cette volonté et ce besoin constants de s’associer aux autres, à la fois pour réaliser l’activité professionnelle, mais aussi pour porter un projet personnel » (p. 11). Pour montrer qu’une telle façon d’envisager son rapport aux autres et au travail devient un trait majeur des sociétés occidentales contemporaines, l’auteur va chercher à identifier les formes de solidarité dominantes dans le secteur des TIC, secteur qu’elle considère comme précurseur des entreprises de demain.
  • Enfin, l’auteur précise que toute cette réflexion autour d’un nouveau type de lien social au travail (et plus généralement dans la société) se veut une aide au service des organisations syndicales, apparemment incapables de prendre l’exacte mesure des transformations à l’œuvre chez les salariés et notamment, les appartenances multiples, vécues comme librement consenties et permettant de préserver son quant-à-soi. En ce sens, le nomadisme coopératif, en rappelant que les individus ont dorénavant un sens du collectif et de l’engagement différent, constitue une aide précieuse pour réorienter l’activité syndicale : les « nouveaux salariés » aspirent autant qu’autrefois à la solidarité, mais ils l’envisagent sur le modèle du projet (partager des objectifs limités à court terme), dans lequel ils sont prêts à s’engager en sujets – sans délégation –, avec des groupes provisoires composés de salariés appartenant à des métiers et des entreprises divers (réseaux).
  • De façon complémentaire, on pourrait chercher à apprécier les proximités avec l’émergence du compagnonnage, au début du XIXe siècle en France.
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  • Comme le rappellent G. Noiriel et A. Dewerpe[3] [3] NOIRIEL, 1986 ; DEWERPE, 1989. ...suite, le compagnonnage s’est développé surtout dans les métiers artisanaux urbains ; ses membres doivent faire le tour de France pour parfaire leur formation ; ils ont à lutter contre les tendances délétères de l’individualisme, valeur prônée par la société postrévolutionnaire ; les associations qui se créent sur cette base sont ouvertes aux ouvriers de différentes professions. Ajoutons que le compagnonnage a donné naissance à des sociétés de secours mutuel cherchant, notamment, à donner des ressources aux ouvriers pour résister aux baisses de salaire.
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    Développe le concept du "nomade coopératif"/"nomadisme coopératif"
Aurialie Jublin

Fini l'ouvrier du 20e siècle, place au nouvel artisan... numérique - 1 views

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    "Grâce à ces outils, nous sommes de plus en plus nombreux à travailler à notre compte ; à travailler d'où nous voulons. L'infrastructure est distribuée, les grandes entreprises n'en ont plus le monopole. L'outil n'est plus nécessairement associé à une entité économique unique." "Le nouvel artisanat numérique place l'homme - avec ses compétences, ses affinités et ses envies - au centre du processus productif. Celui-ci n'est plus un rouage de la machine, il reprend la maîtrise de son métier et sa production retrouve un peu du caractère sacré d'autrefois. Les grandes entreprises n'échapperont pas à cette lame de fond, elles doivent rapidement repenser leur mode d'organisation sous peine de voir les meilleurs se détourner d'un avenir d'autrefois."
Aurialie Jublin

Les 8 tendances "lucides" pour le monde du travail en 2018. Partie 1 : freela... - 0 views

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    - Faire coexister plusieurs statuts de travailleurs et plusieurs générations de manière harmonieuse dans l'entreprise - Responsabilité l'individu sur le développement de ses compétences - Travailler avec des machines
julien camacho

Économie du partage : quelle forme dans le monde de l'entreprise ? - E-media,... - 0 views

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    Un article concis qui fait la synthèse des formes d'aménagement du temps de travail et de contributions liées à la diffusion de nouveaux outils. Les individus partagent leur temps sur plusieurs activités à hauteur de leurs compétences, et participent à différents projets. L'entreprise devient la plateforme logicielle ouverte de l'économie contributive.
julien camacho

Le gouvernement autorise le portage salarial mais lui rogne les ailes | Zevil... - 0 views

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    L'accord paritaire de 2010 sur le portage salarial, pratique qui consiste pour des entreprises, jouant un rôle d'intermédiaire, à salarier un individu effectuant une mission pour une autre société, est devenu applicable samedi, avec la publication au Journal Officiel d'un arrêté du ministère du Travail. Un dispositif malheureusement réservé aux cadres, avec un plancher de salaire élevé. L'équivalent d'un « plan social » de 30 000 personnes pour la Fédération européenne du portage salarial (FEPS), exclues du portage.
Aurialie Jublin

Rage contre la machine | Classe éco | Francetv info - 0 views

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    Résumé IA : Pourquoi le niveau de vie baisse-t-il ? La faute à la crise ? Non, son origine lui est antérieure estime Alexandre Delaigue. La stagnation de la démocratisation scolaire alors que la technologie nécessite toujours une meilleure formation explique l'accroissement des écarts de rémunération. La diminution de la fiscalité des plus hauts revenus sans redistribution est l'autre explication. Mais surtout, la technologie est venu bouleverser le rapport au travail en permettant une surveillance inédite des individus, permettant de moins avoir à motiver les salariés. Pour Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee, l'évolution des technologies joue aussi un rôle en rendant les compétences plus rapidement obsolètes, en concentrant les gains sur un petit nombre de personnes et en biaisant les gains au bénéfice des détenteurs du capital des entreprises. Demain, l'automatisation pourrait accroître ce phénomène en automatisant des tâches jusqu'à présent qualifiées et donc continuer à diminuer l'apport éducatif. "Si ces tendances se confirment, il sera bien difficile de compter sur l'éducation et la formation pour assurer le revenu du plus grand nombre. Il ne restera que la fiscalité, en particulier la fiscalité du capital, et un niveau de redistribution plus élevé qu'aujourd'hui, par exemple sous la forme d'une allocation universelle. En tout cas, il serait particulièrement hasardeux d'espérer que la sortie de crise viendra rétablir la situation pour les salariés", conclut Alexandre Delaigue.
Aurialie Jublin

Le modèle "collaboratif" va détruire des emplois | Le Cercle Les Echos - 1 views

  • Collaboration, intelligence collective et les concepts qui y sont liés, aident à gagner du temps, à mieux résoudre les problèmes, à raccourcir l’accès à des experts ou à des solutions. En bref, cela nous permet d’obtenir de réels gains de productivité au niveau de l’individu, de la société et de l’entreprise. Mais comme chaque fois qu’il y a gain de productivité se pose la question des traductions concrètes qu’il convient d’en faire : faut-il l’utiliser pour la croissance (produire plus avec les mêmes ressources), pour l’innovation (produire des choses nouvelles) ou pour diminuer les effectifs (produire la même chose avec moins de ressources) ?
  • Une partie des postes de cadres moyens vont disparaître. Parmi les activités des cadres moyens, celles qui consistaient à être des courroies de transmission pour aider les individus et les équipes à entrer en relation ou à se connecter à des connaissances ou des outils – dans la hiérarchie, trans-silos ou encore vers l’externe – vont disparaître avec le développement d’une culture collaborative, des annuaires "intelligents", des réseaux sociaux internes et externes.
  • Des emplois rémunérés seront remplacés par des travaux d’amateur disponibles gratuitement ou par des emplois faiblement rémunérés. Certains emplois dont la rémunération était justifiée par une valeur ajoutée difficile d’accès commencent à être remplacés par des services internet qui apportent "apparemment" une valeur similaire.
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  • En d’autres termes, une troisième économie est née, non pas souterraine et invisible, mais partout où des emplois peuvent disparaître en raison de l’explosion des usages liés aux technologies collaboratives.
  • En bref, l’approche de la seconde économie soutient que les gains de productivité globale des facteurs (productivité du travail plus productivité du capital) et l’intégration de plusieurs technologies numériques ont entrainé la disparition d’emplois au profit d’une économie comme en second plan, souterraine, entièrement automatisée. La troisième économie aura les mêmes effets sauf que la force de déplacement des emplois est les hommes eux-mêmes et non des systèmes automatisés.
  • En réalité, la collaboration est : pour la société une bonne occasion d’éliminer les coûts liés aux imperfections du marché et de se focaliser sur l’amélioration de la qualité ; pour les entreprises, un moyen permettant aux employés de se concentrer sur des tâches de haute qualité réellement productives ; et pour les cadres moyens, l’occasion d’apporter une vraie valeur ajoutée au travail de leurs équipes et des individus qui les composent.
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    Nombre de tâches intermédiaires vont disparaître, nombre d'emplois rémunérés vont disparaître du fait de la dimension collaborative de notre société et de nos entreprises. L'économie de la collaboration va faire peser une pression supplémentaire sur le marché de l'emploi, pression qui sera similaire et supplémentaire à celle qu'exerce déjà la "seconde économie".
abrugiere

Nous sommes au bout du modèle fordiste, il faut passer à un modèle contributi... - 1 views

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    On entre dans un nouveau stade de l'automatisation, de nature différente du précédent. C'est la poursuite de ce qui a commencé il y a 200 ans, mais l'automatisation change de régime. Dans beaucoup de secteurs, la main d'œuvre n'est plus nécessaire, ou sera superflue à très court terme. Amazon a annoncé récemment travailler dans cette direction, l'élimination de tous les emplois et leur remplacement par des machines. Quand cela arrivera, le modèle fordiste sera mort. Car sans emplois, pas de pouvoir d'achat et il n'y aura plus personne pour consommer ce que les robots auront produits. On sera dans une crise majeure, violente et systémique Le revenu contributif devrait être conçu de façon à favoriser l'engagement des individus dans des projets contributifs. Il faut encourager les contributions en vue de créer des entreprises que j'appelle sociales, elles peuvent devenir des entreprises monétarisées mais pas forcément.
abrugiere

The Rise of Anti-Capitalism - NYTimes.com - 2 views

    • abrugiere
       
      Cette économie d'abondance et de production à coût marginal a des impacts réels sur le marché du travail. C'est dans les communs collaboratifs que se trouvent dorénavant les nouvelles opportunités de travail (ou d'emplois ?). Aux USA le nombre d'ONG est augmenté de 25% entre 2001 et 2011 pour passer de 1M3 à 1M6, tandis que les entreprises ont augmenté de 1/2 % dans le même temps.  Aus USA, CAnada, Angleterre, le secteur non concurrentiel excède 10% de la main d'oeuvre 
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    Article de J Rifkin  Nous vivons en ce moment un vrai paradoxe du capitalisme : la dynamique de compétitivité des marchés qui tend à réduire toujours plus les coûts, associée à une révolution technologique, est en train de produire des biens et des services en abondance : à coût nul ou marginal.  On le voyait déjà avec Napster à la fin des années 90. De l'industrie de la musique, on a vu ce phénomène s'étendre à l'énergie, aux livres, à l'industrie manufacturière ou l'éducation.  Aujourd'hui, avec l'internet des objets, cela va s'étendre à l'économie entière. L'internet des objets, c'est demain 11 bilions de capteurs rattachés à des ressources naturelles, des lignes de production, des smart gris, des réseaux de logistiques, dans les maison, les bureaux, les magasins... En 2020, on prévoit 50 bilions de capteurs qui seront connectés.  Les individus pourront connecter leur réseau et exploiter les données par des big data, des algorithmes, et par là accélérer l'efficience des objets, des réseaux, et donc diminuer toujours plus les coûts d'utilisation. Cisco prévoit que vers 2022 les gains de productivité du secteur privé engendrés par l'internet des objets excédera les 14 trillion de dollars. Une autre étude de General Electric estime elle que la croissance de la productivité par l'internet des objets pourrait affecter la moitié de l'économie globale en 2025. 
abrugiere

Du salarié sédentaire et soumis à un individu libre et nomade | Atlantico - 2 views

  • Les aspirations à l’autonomie de l’individu, qui jouent un rôle moteur dans la fin de la société salariale sont, d’une certaine manière, la résurgence de cette contestation du contrôle total qu’a imposé le modèle industriel et qu’il ne peut plus justifier à partir du moment où sa contrepartie, assurer une sécurité de l’emploi, n’existe plus.
  • Le chômage de masse apparaît à partir du premier choc pétrolier de 1973, qui n’est que le premier acte de la fin du monopole industriel des États-Unis et de l’Europe
  • Le changement social que constitue le retour de l’autonomie de l’individu dans les processus de production est tout aussi révolutionnaire. Le mode de management et de régulation des rapports sociaux dans l’entreprise va tenter de s’adapter à cette nouvelle donne. On a commencé doucement avec les horaires flexibles, pour, par touches successives, revenir à une individualisation des salaires, de la gestion des compétences, de la formation, à la fixation d’objectifs personnalisés, aux entretiens annuels, à la notation des performances. Le salarié s’est "réindividualisé", mais au prix du stress de l’adaptation permanente que nécessitent l’enrichissement des tâches et les changements d’organisation, de la comparaison avec les autres, avec les cercles de qualité, les tableaux de bord, et même parfois les tableaux d’honneur affichés dans les locaux, le contrôle des pairs impliqué par le travail en équipe.
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    Les aspirations à l'autonomie de l'individu, qui jouent un rôle moteur dans la fin de la société salariale sont, d'une certaine manière, la résurgence de cette contestation du contrôle total qu'a imposé le modèle industriel et qu'il ne peut plus justifier à partir du moment où sa contrepartie, assurer une sécurité de l'emploi, n'existe plus Le chômage de masse apparaît à partir du premier choc pétrolier de 1973, qui n'est que le premier acte de la fin du monopole industriel des États-Unis et de l'Europe. C'est la montée en puissance, non perçue à l'époque, des pays émergents, la limite de la production de masse standardisée et indifférenciée, l'irruption des technologies de traitement de l'information. Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/comment-on-est-passe-salarie-sedentaire-et-soumis-individu-libre-et-nomade-jean-pierre-gaudard-638206.html#ooaLi0Mpm7wVtgCQ.99
anonymous

"J'appelle un ami..." La mobilisation du réseau chez les entrepreneurs | Muti... - 0 views

  • marche la plus difficile est celle qui nous fait passer de 0 à 1 »
  • Aujourd’hui, l’explosion des plateformes de mises en  relation (professionnelles -Linkedin- ou non -Facebook-) a changé la donne pour ce qui est de faire appel à son réseau afin d’obtenir une ressource, et ce quelle que soit sa nature;
  • si la mobilisation du réseau a évolué dans sa forme, qu’en est-il du choix même de la mobilisation du réseau?
  • ...29 more annotations...
  • A quel moment et pourquoi
  • dans la visée d’obtenir une ressource qui, dans l’immédiat, lui fait défaut?
  • phénomène de mobilisation des réseaux et des energies
  • l’entreprise est une réponse à des besoins économiques mais est également « construite par des individus dont l’action est à la fois facilitée et limitée par la structure et les ressources disponibles des réseaux sociaux où ils s’inscrivent ». Le cadre social de l’entreprise facilite l’accès aux ressources car il réunit un ensemble de connaissances et de compétences complémentaires. Mais il peut s’avérer limitant si la rigidité des structures et le manque de communication avec l’exterieur freinent l’entreprise dans son accès aux ressources manquantes.
  • lorsqu’on se lance dans la création d’entreprise, tout est à construire ou à trouver : on ne dispose pas encore de toutes les ressources nécessaires à la réalisation du projet
  • son joker : son réseau et ses amis.
  • ’importance de la mobilisation des relations sociales dans le processus de création d’entreprise
  • pour accéder à des ressources par rapport à l’usage d’autres voies d’accès à ces ressources que sont les dispositifs de médiation comme par exemple l’appel contractuel à un bureau d’architectes pour le design du lieu de travail.
  • Le mode d’accès par les dispositifs de médiation s’oppose à la mobilisation du réseau social dans le sens où il s’agit d’accéder à des ressources sans disposer de relation préalable
  • possible de faire directement appel à un professionnel dont le métier est précisément de jouer les intermédiaires
  • recrutement, la cooptation est pratiquée très largement
  • « au fil du processus de création, les médias et les organismes privés interviennent de plus en plus, alors que la présence des organismes publics et des médiateurs humains diminue avec la période initiale ».
  • place prépondérante des relations sociales pour des entreprises ayant moins de trois ans d’existence
  • « réseau social» auquel fait appel un entrepreneur
  • moins que le réseau social privé, c’est le réseau professionnel qui joue à plus de 80%, amis de travail ou  connaissances ponctuelles
  • éseau professionnel n’est pas uniquement issu du milieu du travail, mais s’est également formé durant les études ou par le jeu de la sociabilité
  • l n’existe pas de corrélation entre l’efficacité et la pérennité du réseau mobilisé : autrement dit, les « liens forts » (amis, anciens collègues) n’apparaissent pas plus efficaces que les « liens faibles » (recommandations).
  • en relation les types de ressources et leur accès
  • «si tous les types de ressources sont susceptibles de mettre en jeu des relations sociales, celles-ci sont particulièrement sollicitées pour le montage de partenariats, le recrutement des employés ou le choix des fournisseurs, et relativement peu pour les informations ou idées permettant de monter le projet, et le financement ».
  • la mobilisation du réseau social reste prépondérante dans le processus de création d’entreprise, celle-ci est toujours en interaction (que ce soit par complémentarité ou concurrence) avec les autres formes d’accès aux ressources
  • question qui se pose pour l’entrepreneur est alors de savoir où placer le curseur; autrement dit quand s’avère-t-il plus sage, ou plus optimal, de faire appel à un dispositif de médiation?
  • C’est généralement la répartition de ressources et la confiance dans les autres acteurs qui dictera sa conduite.
  • Il existe également des moyens « matériels » qui permettent aux entrepreneurs d’accéder à un certain nombre de ressources. On pense notamment aux médias (presse, web),
  • elativiser au cas par cas
  • De manière un peu caricaturale, on pourrait retenir un code de conduite : si c’est une histoire de qualité : conseils, partenaires, employés, faites confiance à vos amis, si c’est une histoire de quantité (fonds, locaux…) demandez à ceux qui en ont !
  • quelle place reste-il aux réseaux sociaux générateurs de liens “faibles” , dont l’éloignement peut faire douter de la capacité de mobilisation réelle du réseau.
  • les liens forts sont les seuls à permettre d’engager concrètement des collaborations et une aide importante nécessitant un niveau de confiance élevé
  • limite d’Internet, les liens faibles qu’il génère favorisent l’accès à l’information mais la collaboration réelle nécessite toujours une confiance et un sentiment d’engagement mutuel
  • l’accès aux connaissances et aux compétences utiles, ce n’est pas seulement savoir à qui s’adresser, c’est c’est aussi savoir s’insérer dans un environnement riche en sérendipité … 
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    "Aujourd'hui, l'explosion des plateformes de mises en  relation (professionnelles -Linkedin- ou non -Facebook-) a changé la donne pour ce qui est de faire appel à son réseau afin d'obtenir une ressource, et ce quelle que soit sa nature; conseils techniques, juridiques, fonds, locaux… Ce phénomène a clairement bouleversé les manières d'envisager l'entrepreneuriat : en plus de faciliter les démarches, il ouvre un champ des possibles infiniment plus large qu'il y a trente ans pour une même action entrepreneuriale." "De manière un peu caricaturale, on pourrait retenir un code de conduite : si c'est une histoire de qualité : conseils, partenaires, employés, faites confiance à vos amis, si c'est une histoire de quantité (fonds, locaux…) demandez à ceux qui en ont !"
Aurialie Jublin

Qu'est-ce que le nouveau « CDII » ou « CDI intermittent » ? - 1 views

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    Le CDII ou contrat à durée indéterminée intermittent est, de fait, une sorte de contrat à temps partiel annualisé : le salarié va alterner des périodes travaillées et non travaillées, et sa rémunération sera « lissée » sur l'année : comment payer quatre mois de travail en douze fois ? Il sera « ouvert » aux entreprises de moins de 50 salariés (dans un premier temps dit « expérimental »).
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