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abrugiere

Exclusif : les propositions de Terra Nova sur les seuils sociaux - 0 views

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    La négociation qui doit s'ouvrir en octobre sur les seuils sociaux peut-elle renouveler le dialogue social ? Nous montrons dans notre rapport que la présence syndicale dans les entreprises est un levier de compétitivité. Si on veut s'inspirer des pays où la réussite économique est couplée avec un dialogue social fort, les pays scandinaves, l'Allemagne et dans une certaine mesure la Grande-Bretagne où le Labour garde un certain poids, nous devons revoir notre modèle Chacun a intérêt à ce que se développe un dialogue social de qualité. Le syndicalisme, on y prend goût en le pratiquant. 30 % des entreprises entre 50 et 100 salariés n'ont pas de comité d'entreprise, 75% des entreprises de 11 à 20 salariés n'ont pas de représentant du personnel et seuls 60% des établissements de 11 salariés ou plus disposent d'au moins une instance représentative du personnel (source : Dares, chiffres 2011, repris dans la note Terra Nova).
Aurialie Jublin

Le "patron" des DRH voudrait plus de dialogue social dans les entreprises - 0 views

  • Il a estimé que la question du financement de la démocratie sociale était "centrale car elle est structurante". A cet égard, la création d’un fond paritaire pour financer les organisations syndicales lui semble préférable au système opaque qui prévalait jusqu’alors. Il souhaite toutefois que les fonds soient répartis en fonction d’un critère de représentativité qui tienne compte du nombre d’adhérents aux différentes organisations.
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    "Jean-Christophe Sciberras, le président de l'ANDRH, plaide pour davantage de dialogue social dans l'entreprise. S'il est favorable aux orientations législatives en ce domaine, il regrette le faible nombre de salariés adhérents à une organisation syndicale. Plus de syndiqués, c'est moins de défiance, et donc la perspective de signer de meilleurs accords."
Aurialie Jublin

[Tribune] Placer le dialogue social au coeur de chaque entreprise - 1 views

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    "Une société qui a confiance dans ses PME et où la relation employé-employeur n'est plus régie par la lutte des classes ne peut plus être gouvernée par des principes obsolètes. Il est aujourd'hui urgent de changer les règles du dialogue social dans notre pays."
anonymous

Calenda - De la « démocratie » en entreprise. Dialogue social et représentati... - 0 views

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    Appel à communication pour un numéro de la revue "Politiques de communication" prometteur (qui sortira en septembre) L'argumentaire est intéressant. "Le dossier apportera une série d'éclairages complémentaires pour savoir où en est réellement la représentation des salariés, comment les acteurs perçoivent et vivent la transposition de l'idéal démocratique dans leur vie professionnelle, pour cerner la réalité du dialogue social tel qu'il est pratiqué"
Aurialie Jublin

13ème Rencontre "Du dialogue social aux conservations numériques" | L'Observa... - 0 views

  • Ce que l’on observe au sein de l’Observatoire depuis maintenant 4 ans c’est que les promesses du digital sont celles de l’abolition du temps et de l’espace; de la fin des silos et de la facilité d’accès à chacun, quel que soit son statut ou son niveau. La fin d’une certaine forme de hiérarchie. la promesse d’une désintermédiarisation.
  • Internet change aussi notre façon de gouverner. Ce qu’apporte internet c’est une très forte valorisation de la méritocratie et surtout une culture du consensus. Ce consensus, fruit de la culture d’internet, rompt avec les systèmes démocratiques historiques basés sur la délégation ou le vote. Le numérique démontre finalement que d’autres acteurs peuvent décider, gouverner, des acteurs souvent volontaires et aux compétences différentes des décideurs actuels.
  • Nous avons pu également constater la puissance de ces outils lorsqu’ils sont bien utilisés : Microsoft étant par essence accoutumé au digital, la présence virtuelle l’emporte parfois sur la présence réelle. Une organisation syndicale a par exemple remporté les élections grâce à sa communication digitale, mais aussi grâce à des communications ciblées sur les grandes thématiques de l’année avec la création d’outils permettant de rendre des services aux collaborateurs. Elle a réussi a accroître et étendre son influence auprès des salariés bien au-delà de ce que pouvait laisser présager sa présence réelle sur le terrain.
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    Cette  13e rencontre de l'Observatoire des Réseaux Sociaux d'Entreprise a rassemblé le 10 juillet 2014 plus de 250 participants représentants près de 90 entreprises autour de la question de la transformation digitale du dialogue social et de ses enjeux digitaux.
abrugiere

Comment Talentsoft numérise le dialogue social en entreprise | FrenchWeb.frFr... - 1 views

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    Gestion des recrutements, de la mobilité interne, formations… Talentsoft est une entreprise qui développe des solutions numériques à destination des directions des ressources humaines, notamment pour la discussion entres les collaborateurs et les équipes. La société a réalisé 25 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2014. Plus de détails avec Alexandre Pachulski, cofondateur de Talentsoft. Read more at http://www.frenchweb.fr/comment-talentsoft-numerise-le-dialogue-social-en-entreprise/209286#vj9tszh7atxFvz5w.99
Aurialie Jublin

Favoriser le développement professionnel des travailleurs des plateformes num... - 0 views

  • pour beaucoup de travailleurs des plateformes, l’accompagnement dans les démarches administratives pour démarrer une activité ou  pour acquérir une « capacité » professionnelle, est un besoin plus prégnant que le contenu même de la formation nécessaire pour exercer l’activité.
  • L’univers des plateformes est par ailleurs évolutif et mouvant. Apprendre à y évoluer et à se transformer, nécessite, au-delà des formations classiques, des formes d’apprentissage entre pairs et une socialité professionnelle. Cela implique aussi des formats d’apprentissage adaptés à des travailleurs très isolés et à l’activité souvent fractionnée dans le temps, ce qui renforce le besoin d’une médiation collective.
  • L’enjeu est aussi d’amener la plupart des plateformesà investir davantage dans la formation des travailleurs qu’elles intermédient. #Leplusimportant suggère d’y remédier en rapprochant les droits de ces indépendants de ceux des salariés, via une contribution « unique » applicable à toutes les plateformes (par exemple de 1% des prestations versées). Des risques de distorsions existent cependant : entre travailleurs d’une part,  dont les niveaux de tarification et de revenus varient fortement selon le type d’activité ; entre plateformes d’autre part,  certaines faisant déjà  un effort notable de formation.
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  • La possibilité que l’État abonde par ailleurs spécifiquement les CPF des travailleurs des plateformes, pour faciliter leurs évolutions professionnelles vers d’autres formes d’emploi est une piste à expertiser. La question du financement de la formation professionnelle est à inscrire dans une réflexion plus globale sur la participation des plateformes à l’effort collectif (notamment en matière de fiscalité) et à la fixation des rémunérations (prix minima par exemple).
  • #Leplusimportant propose aussi de renforcer la capacité des travailleurs des plateformes à «disposer de leur capital réputation » immatériel, au travers d’une portabilité des données numériques personnelles et réputationnelles. Une distinction doit être opérée entre (1) les données personnelles fournies par la personne à la plateforme relevant du RGPD, (2) les données d’expérience/métier, renvoyant à la question de la qualification professionnelle et pour lesquelles il serait possible de s’appuyer sur des référentiels de compétences européens, (3) et les données de notation et de réputation, sujettes à de nombreux biais. Si un effort « pédagogique » auprès des clients, en vue de les sensibiliser à l’impact de leur évaluation sur les travailleurs, est nécessaire, davantage de transparence de la part des plateformes sur les données personnelles et les critères de notation est essentiel.
  • #Leplusimportant propose de faciliter l’orientation, par les services publics de l’emploi (SPE), des demandeurs d’emplois vers des plateformes labellisées « socialement responsables », reconnues ainsi comme acteurs d’insertion ou retour à l’emploi.  Les plateformes ouvrent en effet des opportunités inédites d'activité et l’articulation avec le SPE  est à consolider.
  • #Leplusimportant propose aussi de favoriser l’expérimentation de plateformes collaboratives d’insertion. Les débats ont souligné qu’il y a là une opportunité nouvelle, illustrée par une plateforme comme Lulu dans ma rue. Les encourager peut passer par la reconnaissance du statut d’entreprise d’insertion économique au-delà des relations salariées ou par l’utilisation de clauses sociales d’insertion dans les marchés publics.
  • Autorégulation, réglementation et dialogue social constituent sans doute les différentes pièces d’un même puzzle à assembler, celui d’une économie de plateforme à la fois « financièrement soutenable, techniquement innovante et socialement responsable ».
  • Par les exercices successifs de discussion qu’ils organisent  et qui ont vocation à se poursuivre, Sharers & Workers et France Stratégie visent à poser les bases d’un « observatoire partagé » des réalités de travail sur les plateformes, lieu d’expérimentation et d’échange sur les pratiques à l’œuvre dans les plateformes numériques, mais aussi de dialogue social et professionnel entre  des acteurs peu enclins à s’appuyer sur les instances traditionnelles (branches, syndicats, et organisation patronales).
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    "Quels sont les besoins des travailleurs des plateformes en matière de formation professionnelle ? Comment faire en sorte qu'ils aient un meilleur accès à des formations financées ? Qu'ils puissent faire valoir sur l'ensemble du marché du travail les compétences qu'ils ont acquises via leurs activités sur des plateformes ? Comment faire des plateformes des acteurs de l'insertion professionnelle et de l'inclusion sociale ? Autant de questions qui ont été discutées le 13 avril 2018 lors d'ateliers réunissant, à France Stratégie, les membres du réseau Sharers & Workers dans un format visant à susciter un dialogue concret mais informel entre des plateformes numériques, des représentants de travailleurs indépendants, des représentants syndicaux, des experts et des acteurs publics. Fidèle à la démarche expérimentée par le passé (voir ici), nous avons mis en débat des propositions, émises par le think et action tank #Leplusimportant qui a ainsi pu prolonger les échanges menés avec les acteurs dans le cadre de la préparation de son rapport « Favoriser le développement professionnel des travailleurs des plateformes numériques», paru en février 2018."
Aurialie Jublin

8 | 2016 Quel dialogue social ? - 0 views

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    Nouveau numéro de la nouvelle revue du travail sur le dialogue social
Aurialie Jublin

Et si le futur du travail était encore entre nos mains ? - Digital Society Forum - 1 views

  • La fin de l’emploi, de sa durée légale et de son déroulement dans un temps « long » (plusieurs mois ou plusieurs années), s’il n’est pas accompagné d’une évolution de notre système de protection sociale et de soutien aux personnes, risque de faire de nous des individus morcelés incapables de se projeter, de se construire, d’évoluer.
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    "En prenant un peu de recul, la bousculade que vient de vivre la SNCF pourrait bien nous donner un aperçu du futur. En effet, le premier rôle dans cette histoire semble tenu par quelques dynamiques bien connues du monde numérique : la dimension participative (les clients ne sont plus de simples consommateurs passifs), la transparence (revendication d'une gouvernance plus partagée) et la montée des indépendants. En fait, cette mobilisation autour d'une offre commerciale donne un aperçu concret de cette société du pair-à-pair dont Michel Bauwens s'est fait le héraut : une société où les frontières entre producteurs et consommateurs s'effacent ; où les services et les produits deviennent des biens communs plutôt que des propriétés privées exclusives ; où les systèmes hiérarchiques s'aplatissent ; où la taille des entreprises se réduit, le travail s'effectuant en petits groupes mis en réseau ponctuellement, etc. Elle donne aussi un avant-goût de l'organisation des travailleurs et du dialogue social de demain. "
Aurialie Jublin

Challenges (18/11/2013) - Comment les entreprises veulent supprimer le code du travail - 0 views

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    L'association Entreprise et Progrès veut en finir avec "le tabou du temps de travail qui paralyse le dialogue social". Son idée: se pencher sur le temps de la vie (pro et perso) 7 jours sur 7.
abrugiere

LES DATES CLEFS DU DIALOGUE SOCIAL - 0 views

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    Une frise historique idéale pour comprendre les évolutions du dialogue social
Aurialie Jublin

«Espace de travail»: que reste-t-il du droit social? | Mediapart - 1 views

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    "Alors que l'actuel ministre du travail vient de transmettre son projet de réforme du dialogue social aux partenaires sociaux, Mediapart inaugure une nouvelle collection vidéo consacrée au monde du travail en compagnie de l'ancien ministre Jean Auroux."
Aurialie Jublin

La MAIF instaure le droit à l'erreur - Les Echos Business - 0 views

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    Afin de tranquilliser les esprits, l'accord conclu en 2012 pour accompagner le nouveau schéma directeur opérationnel admettait donc la possibilité de commettre des erreurs, le temps de se faire à sa nouvelle réalité professionnelle. Dans la foulée, il a paru évident d'intégrer le principe de la tolérance à l'erreur dans la renégociation d'un accord de prévention des risques psychosociaux. « La nouvelle organisation a contribué à individualiser les postures, et les remontées du réseau ont fait part de problèmes, avec une tendance à un management trop strict et à une infantilisation des gens. Cela a été un déclencheur pour la direction, qui a décidé de faire quelque chose d'innovant », analyse-t-il. Olivier Ruthardt voit en effet dans la tolérance à l'erreur un élément fondamental : « Vous redonnez aux gens qui agissent, et donc se trompent, la possibilité de découvrir d'autres champs d'expérimentation. » Le DRH va même plus loin : « Quand tout le monde fait la même erreur, c'est là qu'est la norme. » Encore faut-il repérer la mutation, ce qui veut dire dialoguer sans avoir peur de dire ses échecs.
Aurialie Jublin

Comment faire coopérer les tribus ? : Millenaire 3, Société - 0 views

  • Si l’on en donne une définition générale, coopérer consiste à travailler avec d’autres pour faire ce que l’on ne peut pas faire seul. Mais la forme particulière de coopération qui m’intéresse, c’est la coopération complexe qui consiste à communiquer avec des personnes que l’on ne comprend pas, des étrangers, voire des personnes que l’on n’aime pas. Malheureusement je constate que ces pratiques de coopération dans la différence sont en déclin dans de nombreux pays. En France, par exemple, seuls un quart des individus pensent spontanément que l’on peut faire confiance à autrui.
  • si vous avez pratiqué un sport, vous savez bien que vous devez coopérer avec votre équipe pour espérer vaincre l’équipe adverse. Mais, vous remarquerez aussi que dans le sport, il faut même coopérer avec son adversaire ! En effet, pour que le jeu et la compétition fonctionne, il est nécessaire de s’accorder sur les règles et sur ce que tricher veut dire. C’est entre cinq et huit ans que les enfants comprennent cela et apprennent à fonctionner en articulant coopération et compétition. De même, en tant qu’adultes, trouver le bon équilibre entre coopération et autonomie, entre coopération et compétition, fait partie du quotidien de notre vie. Pour que nous puissions vivre bien ensemble, notre société a besoin de cet état d’esprit, issu du jeu ou du sport, pour éviter de que notre monde devienne une caricature hobbesienne de société où la lutte entre les individus prime sur toute autre forme de relation.
  • La solidarité, pour moi, n’est pas une bonne option pour faciliter les relations entre des communautés très différentes. Je ne crois pas dans la valeur de solidarité car elle a une connotation trop idéologique. En outre, elle nous conduit à lisser les différences entre les personnes plutôt que valoriser leur diversité. La solidarité conduit à sacrifier la richesse qu’apporte la complexité. Il faut mobiliser d’autres moyens pour permettre le vivre ensemble, pour que les gens communiquent entre eux malgré leurs différences, ou en valorisant leurs différences. C’est tout le sens des compétences de coopération dont je parle dans mon livre. Cette forme d’interaction est la plus créative et la moins oppressive, elle laisse davantage de place à l’expression des singularités des individus
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  • Vous décrivez pourtant le déclin des compétences sociales de coopération. Peut-on les réparer ou les remobiliser ?Plutôt que de tenter de trouver les causes de ce phénomène pour y apporter des solutions globales, je propose d’observer la diplomatie du quotidien que déploient les gens dans leurs familles, dans leur vie professionnelle ou dans la rue. On y trouve des rituels et des pratiques de civilité qui ont traversé les âges et qui permettent à chacun de bien gérer ses relations avec l’autre, surtout quand il est vraiment différent de soi. Ces compétences mobilisées sont encore présentes et nous devons trouver le moyen de les réparer, de les reconfigurer pour pouvoir les mobiliser à nouveau dans la société.
  • La première compétence que l’on observe est une forme d’écoute dialogique qui ne permet pas forcément d’aboutir à un consensus mais qui fait que l’on apprend beaucoup sur soi-même et sur l’autre. A l’inverse, lorsque vous échangez avec quelqu’un dans une logique dialectique, c’est pour aboutir à une conclusion et à une synthèse, après avoir écouté s’énoncer la thèse et l’antithèse. Vous écoutez en cherchant à reformuler ce que l’autre vous dit pour faire converger vos idées. Alors que si vous pratiquez l’écoute dialogique, vous vous intéressez à la personne qui vous parle, à ses intentions, à ce qu’elle veut dire à mots couverts. Ce type d’échange est ouvert et il n’y a pas de moment où l’implicite, le caché, est rendu explicite et clarifié. Il n’y a pas de conclusion. C’est la même différence que l’on trouve entre un orchestre qui cherche à s’accorder en répétition sur la manière d’interpréter un morceau, et un groupe de jazz qui improvise en s’écoutant. Pour moi, l’écoute dialogique est bien une des bases de la diplomatie quotidienne et de l’art de la coopération, qui nous amène à valoriser le processus plutôt que le résultat, à rechercher ensemble des questions pertinentes autour desquelles dialoguer plutôt que de vouloir aboutir à des solutions consensuelles.
  • La deuxième compétence clé consiste à savoir utiliser un mode d’expression subjonctif. C’est le contraire d’une expression déclarative qui vise au maximum de clarté et qui est très souvent employée dans les débats pour persuader son auditoire. Le problème c’est que cela ne laisse pas beaucoup de place à la discussion et à la subtilité.
  • La troisième compétence à laquelle j’attache de l’importance consiste à gérer ses rapports aux autres avec empathie plutôt que sympathie. Bien sûr, ces deux modes de relation impliquent une reconnaissance de l’autre, nécessaire pour créer du lien. Dans certains cas, la sympathie fonctionne, vous aidant à surmonter les différences pour aider une personne en difficulté. Lorsqu’un inconnu se fait renverser par une voiture, vous courrez lui porter secours, par sympathie, parce que vous vous mettez à sa place et ressentez sa souffrance. Vous vous identifiez à lui. Mais dans d’autres cas, la sympathie vous conduit dans une mauvaise voie. Vous pensez bien agir mais vous vous mettez en position de supériorité par rapport à l’autre et, en fait, c’est vous qui avez le contrôle, voire de l’emprise sur lui dans une relation émotionnellement chaude et intense.
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    "<< Nous devons développer des institutions qui permettent aux différences d'entrer en dialogue, des institutions qui accueillent la diversité? >>."
Aurialie Jublin

#PlatformDialogue Dialoguer entre indépendants, syndicats, coopératives, plat... - 0 views

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    Compte-rendu de la journée du 23 janvier de S&W à Bruxelles
Aurialie Jublin

Premier mouvement social des livreurs à vélo à Paris, Lyon et Bordeaux - 0 views

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    "Les livreurs à vélo veulent s'organiser collectivement pour engager le dialogue avec les plates-formes de livraison. Un premier syndicat est en cours de constitution et des rassemblements sont organisés ce 15 mars à Paris, Lyon et Bordeaux."
Aurialie Jublin

Dialogue social et protection sociale dans l'économie des plateformes : enjeu... - 0 views

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    "France Stratégie, Sharers & Workers (réseau sur les transformations du travail liées au numérique et à l'économie des plateformes co-animé par l'Ires et l'Association travail emploi Europe société, ASTREES) et l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) ont lancé en décembre 2016 une réflexion participative, menée avec des représentants des plateformes digitales, des syndicalistes et des experts, autour des propositions du rapport de Nicolas Amar et Louis-Charles Viossat de l'IGAS sur « Les plateformes, l'emploi et la protection sociale » publié en mai 2016."
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