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Aurialie Jublin

Le SMIC à 1 700 euros, une fausse bonne idée - Reporterre.net - 0 views

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    'Être de gauche, c'est chercher des leviers sur lesquels on pourrait à la fois faire décroître les inégalités, sortir de cette société capitaliste et productiviste du travail contraint, initier une relocalisation ouverte, construire une démocratie réelle, sortir de la religion de l'économie mais aussi du consumérisme et du techno-scientisme." " La Dotation Inconditionnelle d'Autonomie (DIA) a pour objectif de donner, de manière inconditionnelle, de la naissance à mort, à toutes et tous, ce que le peuple décidera démocratiquement de considérer comme suffisant pour une vie décente. Cette DIA est nécessairement couplée à un revenu maximum autorisé (RMA) et une réflexion sur le renchérissement du mésusage. Le couple DIA-RMA est un outil économique et social susceptible d'initier une décroissance des inégalités, une sortie du capitalisme et de la religion de l'économie, une relocalisation ouverte et la mise en place d'une démocratie réelle. En d'autres termes, il permet de sortir des récessions subies et de choisir de construire une transition vers des sociétés de Décroissance. Le contenu de cette DIA sera discutée et mise en place collectivement dans une logique de réappropriation de l'économie, de nos productions et de manière générale du sens de nos vies."
anonymous

Calenda - De la « démocratie » en entreprise. Dialogue social et représentati... - 0 views

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    Appel à communication pour un numéro de la revue "Politiques de communication" prometteur (qui sortira en septembre) L'argumentaire est intéressant. "Le dossier apportera une série d'éclairages complémentaires pour savoir où en est réellement la représentation des salariés, comment les acteurs perçoivent et vivent la transposition de l'idéal démocratique dans leur vie professionnelle, pour cerner la réalité du dialogue social tel qu'il est pratiqué"
Aurialie Jublin

Revenu de base ou salaire à vie ? - Réseau français pour le revenu de base - 1 views

  • Je pense qu’au-delà du nom de chaque proposition s’ouvrent des perspectives radicalement différentes, « radical » étant pris ici dans le sens de profond. En effet, le salaire à vie décrit par le réseau salariat, est pour moi un aménagement de la société de production au profit de l’une de ses composantes : les salariés. Il est une réaction à la prise de pouvoir excessive, sur ce point nous sommes d’accord, d’une autre partie prenante de la société de production : les actionnaires.
  • Loin de tirer la couverture, à droite ou à gauche, du lit de la société de production où nous nous sommes endormis à moitié, le revenu de base, lui, nous en sort… du lit ! Il nous appelle à nous réveiller et nous entraîne pas à pas vers une nouvelle société, celle de l’émancipation. Je pense, mais je peux me tromper, qu’il y aura autant de différences entre la social-démocratie, la civilisation actuelle, et l’ancien régime qu’il y aura de différences entre la social-démocratie et la société de l’émancipation.
  • Ils ont bien compris que l’évolution de la vie va vers l’individualisation des consciences, vers leur émancipation et que cette autonomie ne se gagnera pas contre les autres parties prenantes de notre société mais avec elles.
  • ...2 more annotations...
  • C’est quand même hallucinant qu’au XXIème siècle, on ne puisse comparer les humains entre eux que comme exerçant, même potentiellement, une activité de production dans le but de vendre cette production contre de la monnaie sur un marché ! À cette réduction de l’humain, à sa qualité de travailleur à vie, pire de salarié à vie, le revenu de base oppose une vision émancipatrice. Le revenu de base n’est pas versé parce que nous avons des capacités à produire mais simplement parce que nous existons.
  • Le sujet du revenu de base est de créer un nouveau type de revenu pour tous les humains indépendamment de leur participation à une activité marchande. Un revenu d’existence qui donne le droit de choisir une activité grâce à ce revenu, et non pour en avoir un. Le sujet du revenu d’existence, qui un jour sera un revenu d’autonomie, c’est le pouvoir de chaque citoyen de dire « oui » ou « non » à une activité marchande. Son sujet, c’est le « JE » au cœur du « NOUS ». Nous pensons que l’on peut tout à fait vivre et se développer en relocalisant sa production voire en la démonétisant pour en user directement ou l’échanger gracieusement.
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    "Revenu de base ou salaire à vie ? Les désaccords entre les défenseurs des deux projets ne sont pas que d'ordre sémantique. En effet, c'est deux visions de la société qui s'affrontent. Frédéric Bosqué revient dans cette tribune sur ce qui sépare le revenu de base du salaire à vie de Bernard Friot, mais aussi sur ce qui rassemble les militants de chacune des propositions."
Aurialie Jublin

Les lieux de travail qui ont changé l'histoire. 2/Le Kibboutz - Mutinerie, es... - 2 views

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    " Le modèle du kibboutz enseigne que lorsque l'on rassemble des gens partageant un idéal et qu'on leur donne les moyens de production, on peut potentiellement refaire société, au point de créer un Etat …" " Le principe de collectivisme ne s'arrête pas à la propriété et à la coopérativité, mais s'applique aussi à la vie sociale (les repas sont pris en commun dans une grande salle, etc.), à l'éducation (les enfants sont élevés par groupes d'âge, et ne voient leurs parents que quelques heures par jour). Les décisions concernant le kibboutz sont soumises à un régime de démocratie participative directe." " Depuis les années 2000, le kibboutz connaît un regain de popularité et sa population croît de nouveau. Certains se sont en effet spécialisés dans des productions à haute valeur ajoutée : haute technologie, agriculture de pointe, industrie de l'armement, … Ils intègrent des bureaux de recherche et développement renommés dans le monde entier. D'autres encore se sont tournés vers les services : le tourisme essentiellement."
hubert guillaud

L'holacratie : et si on se passait des chefs ? - JDN Management - 3 views

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    "Briser la logique pyramidale pour établir un modèle égalitaire : c'est le pari de l'holacratie", la démocratie en entreprise... enfin, presque.
hubert guillaud

Comment les employés peuvent-ils souffrir dans des entreprises sans patron, c... - 1 views

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    De nombreuses entreprises se mettent aux structures organisationnelles plates, estime Klint Finley pour Wired. A l'exemple du développeur de jeu Valve ou de WL Gore, la firme derrière Gore-Tex. GitHub a la même ambition, et elle est d'autant plus symbolique que GitHub fournit un service qui permet justement de collaborer librement sur des projets logiciels. Mais les structures démocratiques plates ne veulent pas dire structures sans jeu de pouvoir. La semaine dernière GitHub a suspendu un de ses fondateurs accusé harcèlement. En 1972, Jo Freeman a décrit dans "La tyrannie de l'absence de structure" les premières expériences d'auto-organisation féministes. Le problème avec les organisations non-hiérarchiques est que les structures de pouvoir sont invisibles et donc inexplicables ce qui conduit souvent à des dysfonctionnements et des abus. Fred Turner décrit les mêmes problèmes quand il évoque les communautés hippies qui ont voulu éviter la division traditionnelle du travail et qui ont fini par envoyer les femme faire la cuisine, le nettoyage et l'éducation des enfants. Les communautés régies par des structures plus explicites finissent par pouvoir être plus progressives, les responsabilités pouvant être réparties de manière plus égales. La même impulsion anti-hiérarchique existe dans la Silicon Valley que dans les communautés autonomes des années 60, estime Finley. Un ancien de Valve révélait que l'entreprise ressemble parfois à une cours d'école, où les enfants les plus populaires et les fauteurs de troubles accaparent le pouvoir. Le risque est d'embaucher des gens qui correspondent à la culture de l'entreprise au risque de sa diversité. La Kellog School of Management a montré dans plusieurs études que la diversité des équipes était un meilleur moyen de résoudre les problèmes que d'avoir des décideurs : http://insight.kellogg.northwestern.edu/article/better_decisions_through_diversity . Le culte des employés qui corre
Aurialie Jublin

Les compétences numériques ne s'improvisent pas ! - 0 views

  • L’observation a porté sur des jeunes de 15 à 18 ans, en situation scolaire (TPE et assimilé) et en situation périscolaire (dans des « tier lieux » comme le PIL, le BAL, le LOREM, le Relais 59, Minecraft). L’objectif principal a visé à identifier les compétences engagées par les élèves comme par les formateurs dans leur construction de connaissances infocommunicationnelles. Les dispositifs choisis sont hybrides, vu que rien n’existe en l’état en matière de dispositifs proprement numériques. Les résultats pointent une situation française très hétérogène, avec des risques d’augmentation de la fracture numérique mais aussi avec des avancées dans l’identification des freins et des facteurs facilitant la transition numérique.
  • être connecté ne suffit pas à être compétent.
  • L’infomédia fait valoir des compétences éditoriales et critiques (écrire, publier et diffuser). L’info-doc fait valoir des compétences organisationnelles (chercher, vérifier et naviguer). L’info-data fait valoir des compétences opératoires (coder, designer, participer). Elles peuvent être maîtrisées par un individu mais elles sont plus aisément acquises comme « compétences distribuées » entre membres du groupe, autour de projets collaboratifs. Ces projets tendent en effet à se développer à la fois sur le mode DIY (do it yourself) et SIWO (share it with others) comme le confirment les observations de terrain.
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    "À l'heure où la Coalition française en faveur des compétences numériques se forme, avec l'adoubement du Medef par l'Union européenne, faire l'état des lieux, repérer les blocages et les freins, analyser les référentiels et les nomenclatures, et établir la cartographie des acteurs… est une urgence. Elle relève à la fois d'attentes d'employabilité comme de citoyenneté, comme le précise la très récente recommandation CM/Rec (2017)8 du Conseil de l'Europe sur « Les mégadonnées au service de la culture, du savoir et de la démocratie »."
Aurialie Jublin

La technique est-elle responsable de l'accélération du monde ? « InternetActu... - 1 views

  • Nous sommes bien dans les trois dimensions de l’accélération : l’accélération technique (la communication, les transports… mais aussi la pollution), l’accélération sociale (celle du changement social qui nous déstabilise) et l’accélération des rythmes de vie (qui est une tentative de réponse au phénomène global, qui nous pousse à faire plus de choses par unité de temps). Ces trois dimensions forment un système clos, où chaque composante se nourrit l’une l’autre, accélérant encore l’accélération. Ces trois dimensions sont également poussées par trois forces motrices : l’argent et la compétition qui en sont le moteur économique (le temps, c’est de l’argent) ; la différenciation fonctionnelle (la division du travail notamment) ; et le moteur culturel (la promesse de l’accélération)
  • “On travaille à imaginer une société qui reste moderne” (au sens de la liberté, du pluralisme, de l’égalité…), “démocratique, mais où le progrès technique n’amènerait pas la pénurie de temps.” Pour Hartmut Rosa, une telle société ne peut être capitaliste. Elle doit correspondre à une démocratie économique ou une économie démocratique. Pour que cette société soit possible, il est nécessaire d’introduire des réformes économiques, des réformes de l’État providence, qui ne doivent pas faire que répartir les résultats de la croissance, mais introduire notamment le revenu garanti pour casser la logique de compétition. Il nous faut avoir une idée sur ce qu’est la “bonne vie”, le “bien vivre” ou “buen vivir” : qu’est-ce qui fait que notre vie est réussie ? C’est une erreur culturelle de penser que la vie est bonne si elle va vite, si elle offre plus d’options, de possibilités. Notre vie est réussie dans les moments de résonnance. “La résonnance, c’est le sentiment que nous agissons dans un contexte qui nous répond, qui s’adresse à nous”… comme on le trouve parfois dans la famille, le travail ou la musique.
anonymous

Calenda - Participer au travail. Pour quoi faire ? - 1 views

  • sources antagonistes de légitimation
  • d’engagement
  • résistance
  • ...22 more annotations...
  • renouvellements
  • d’expérimentations
  • L’engagement
  • pèse aujourd’hui sur l’ensemble des salariés à travers des dispositifs managériaux
  • u nom de la culture de la participation et de l’engagement soutenant ces dispositifs, les incitations à participer se multiplient jusqu’à générer un sentiment de perte de temps et de sens.
  • éprouvante
  • injonction qui ne peut être investie de signification,
  • interrogation sur les affinités électives entre impératif participatif et politiques d’activation.
  • Au-delà de l’investigation des lieux, dispositifs et procédures de participation, nous invitons les auteurs à étudier très concrètement ce que prendre part dans ces cadres diversifiés fait au travail et aux personnes.
  • au-delà des prescriptions managériales
  • prendre également en compte les possibilités ou impossibilités d’agir dans différents contextes participatifs.
  • lien avec le pouvoir d’agir requis, développé ou entravé, mais aussi les ressources et les moyens accessibles aux uns et aux autres à cette fi
  • problématique associant participation et pouvoir d’agir
  • capacités
  • ce sur quoi la participation est censée donner prise,
  • les acteurs de la participation, leurs positions et moyens d’agir respectifs.
  • Qui participe et comment?
  • asymétrie des acteurs et des inégalités dans la participation
  • La participation doit dès lors être considérée à la fois comme source d’exclusion et d’inclusion
  • question des finalités individuelles et collectives de la participation
  • onsidérer ce sur quoi débouchent les pratiques participatives et leurs effets dans le temps.
  • question du gouvernement de l’entreprise, et, au-delà, des rapports entre travail et démocratie.
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    "L'objectif de ce numéro est d'interroger la participation à l'aune de ses conditions de réalisation dans l'espace du travail. L'acte même de travail nécessite la participation des salariés à l'entreprise. Dès lors, si travailler signifie participer, pourquoi ouvrir un dossier spécifique sur le sujet ? Parce que la participation en tant qu'implication personnelle dans le geste productif fait aussi l'objet de formes collectives, plus ou moins instituées, de soutien et de canalisation."
Aurialie Jublin

Le "patron" des DRH voudrait plus de dialogue social dans les entreprises - 0 views

  • Il a estimé que la question du financement de la démocratie sociale était "centrale car elle est structurante". A cet égard, la création d’un fond paritaire pour financer les organisations syndicales lui semble préférable au système opaque qui prévalait jusqu’alors. Il souhaite toutefois que les fonds soient répartis en fonction d’un critère de représentativité qui tienne compte du nombre d’adhérents aux différentes organisations.
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    "Jean-Christophe Sciberras, le président de l'ANDRH, plaide pour davantage de dialogue social dans l'entreprise. S'il est favorable aux orientations législatives en ce domaine, il regrette le faible nombre de salariés adhérents à une organisation syndicale. Plus de syndiqués, c'est moins de défiance, et donc la perspective de signer de meilleurs accords."
hubert guillaud

Un salarié produira en 2060 autant que deux salariés aujourd'hui - Démocratie... - 1 views

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    "Les seuls chiffres du Conseil d'orientation des retraites (Cor) qui sont, aujourd'hui, mis en évidence par notre gouvernement comme par les grands médias, sont ceux du nombre de cotisants rapporté au nombre de retraités. Ce rapport démographique se dégradera : de 1,65 cotisant pour 1 retraité en 2011, il passera à environ 1,35 cotisant pour 1 retraité en 2060. C'est cette dégradation qui justifierait l'allongement de la durée de cotisation. Dans le même temps cependant, toujours selon le Cor, la productivité du travail doublera : en une heure de travail, en 2060, il sera possible de produire ce qui est produit en 2 heures de travail en 2011. A partir de là, le calcul n'est pas très difficile à faire : 1,35 cotisants en 2060 produira autant que de 2,7 cotisants en 2011. La situation sera donc bien meilleure qu'aujourd'hui."
Aurialie Jublin

Travail nomade et contrats de projets: vers l'entreprise sans toit ni loi? - 3 views

  • La question de la légitimité du manager et donc du partage du pouvoir et de la démocratie dans l’entreprise sera aussi posée. Rêvons un peu : dans une entreprise construite non plus comme une pyramide hiérarchique mais comme un réseau d’associés, elle pourrait pousser jusqu’à organiser un processus d’élection des managers, voire du patron. A minima, il y aura une évaluation du management par l’ensemble des salariés, comme le suggère déjà la généralisation du 360°. Ce sera le prix à payer pour s’assurer de l’engagement des salariés, leur permettre de travailler ensemble et… les garder !
  • Si elle veut perdurer sous sa forme actuelle et s’assurer de l’engagement de ses salariés, l’entreprise devra repartir de ce qu’ils sont réellement c’est-à-dire des individus à la fois déliés et renouant sans cesse de nouveaux liens autour des projets successifs qu’elle leur proposera. C’est ce que rend possible l’arrivée massive du numérique : travailler à distance dans une sorte de nomadisme coopératif. Évidemment, cela ne concerne ni toutes les structures, ni tous les métiers. Mais c’est une tendance de fond, qui devrait à terme concerner un nombre grandissant de travailleurs, bien au-delà des professionnels et managers globalisés et hautement qualifiés dont c’est le cas aujourd’hui.
  • L’entreprise de demain sera précisément l’inverse : une unité de temps, celui d’un projet, d’un contrat, d’un marché, mais sans unité de lieu puisque les salariés embauchés pourront se trouver à des milliers de kilomètres de distance, dans des bureaux disjoints ou chez eux en télétravail etc. Cette dé-spatialisation du travail est la grande nouveauté. Travailler, ce n’est plus se retrouver avec d’autres dans un lieu construit pour cela, mais se mettre en réseau avec d’autres et organiser une sociabilité commune.
  • ...1 more annotation...
  • Qu’on le veuille ou non, la société de l’activité, de l’autonomie individuelle ou du travail libéré sera plus que jamais une société de consommation et de travail invisible. On touche ici à l’un des paradoxes les plus secrets du processus d’individualisation : l’autonomie et l’épanouissement de l’individu dans et hors du travail se paient d’une double aliénation. L’une liée au besoin de consommer et l’autre liée à la nécessité de faire appel à un travail invisible, souvent pénible et précaire, nécessaire à cette consommation. Ce paradoxe des sociétés démocratiques ne va pas se défaire demain : le post-matérialisme, qui se lit dans l’autonomie des individus, libère totalement la figure du consommateur alors même que l’individu croit s’en affranchir en se libérant du travail.
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    "L'organisation du travail a connu depuis quarante ans des évolutions majeures, mais nous ne sommes qu'au début du chemin. Si elle veut perdurer sous sa forme actuelle et s'assurer de l'engagement de ses salariés, l'entreprise devra repartir de ce qu'ils sont réellement, c'est-à-dire des individus à la fois déliés et renouant sans cesse de nouveaux liens autour des projets successifs qu'elle leur proposera. C'est ce que rend possible l'arrivée massive du numérique : travailler à distance dans une sorte de nomadisme coopératif. La généralisation du travail en mode projet pourrait avoir pour conséquence l'avènement de « contrats de projet ». Jusqu'à ces dernières décennies, l'entreprise disposait d'une unité de lieu. L'entreprise de demain sera marquée par une unité de temps, celui d'un projet, d'un contrat, d'un marché, mais sans unité de lieu puisque les salariés pourront se trouver à des milliers de kilomètres de distance, dans des bureaux disjoints, ou chez eux en télétravail. Travailler, alors, ce n'est plus se retrouver avec d'autres dans un lieu construit pour cela, mais se mettre en réseau et organiser une sociabilité commune. L'idée même de l'entreprise y survivra-t-elle?"
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