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TradiNews: [Abbé Hervé Mercury - A Crucetta] Les Confirmations de Mgr Bonfils... - 0 views

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    "[Abbé Hervé Mercury - A Crucetta] Les Confirmations de Mgr Bonfils - Entretien avec l'abbé Hervé Mercury 2/2 SOURCE - Abbé Hervé Mercury - A Crucetta - Octobre 2012 La rédaction d'A Crucetta précise que cet entretien a été réalisé avant le renvoi de l'abbé Mercury de la Fraternité Saint-Pie X. A Crucetta : Monsieur l'Abbé, dans quelle mesure les fidèles ont-ils été associés à la décision de laisser Mgr Bonfils procéder aux confirmations? Abbé Mercury : Dans la semaine qui a suivi le 23 janvier, après avoir transmis l'information à l'abbé Radier, j'ai avertiles parents concernés que Mgr Bonfils tenait à faire lui-même les confirmations dans la forme extraordinaire du rite romain. Je leur ai demandé de réfléchir à la question et de me donner leur avis. Il était évident que, si les fidèles étaient contre, le projet tombait à l'eau de lui-même. Certaines familles m'ont demandé des éclaircissements sur la validité et la licéité du rite dans un cas pareil. Je leur ai présenté les arguments que j'ai déjà développés dans la première partie de cet entretien. Elles ont été rassurées de voir que nous ne marchions pas à l'aveuglette. Ce qui nous guide, ce sont les principes obvies de la théologie catholique.Les discussions durant cette période ont été sereines. Les fidèles ont pu avoir tous les éléments nécessaires pour se forger une opinion et envisager calmement la venue ou non de Mgr Bonfils dans leur chapelle. Finalement, il n'y a eu aucune opposition de la part des fidèles contactés. Le 12 février, je leur ai annoncé que les confirmations auraient bien lieu le 11 mars selon ce qu'en avait décidé l'évêque du diocèse. Je n'avais aucune nouvelle des supérieurs. S'ils ne m'avaient pas contacté pour une affaire aussi grave, c'est qu'ils ne voyaient aucun obstacle majeur à cette cérémonie. Vu la proximité de la date du 11 mars, j'ai commencé immédiatement la
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Voeux de Mgr Mathieu, notre évêque - 0 views

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    "Le tourbillon des nouvelles quotidiennes nous fait perdre le Nord... Entre violences des conflits fratricides et menaces effrayantes sur l'environnement, d'une part, et inventions scientifiques non contrôlées aux capacités insoupçonnables, d'autre part, quelles routes allons-nous emprunter ? Chacun a bien ses raisons de vivre, pour se lever chaque matin, faire son ouvrage, son « métier » d'homme ou de femme, qu'on soit jeune, ou adulte, ou vieillard, en bonne santé ou marqué par divers handicaps. L'on est attaché à des êtres chers et des projets passionnants. En ces jours d'hiver où les nuits sont longues, les lumières ne manquent pas, scintillements qui éblouissent et aveuglent, ou qui éclairent nos routes. Puisque nous allons fêter Noël et le Nouvel An, je me pose d'abord deux questions : À quelle source pouvons-nous boire ? Vers quoi allons-nous ? « Tout nous est donné » ou « le subversif de la crèche ». Evidemment, en croyant que je suis, la source est à la crèche ! Quelques-uns en font un épouvantail et d'autres un drapeau. Elle est d'abord un pauvre berceau, inoffensif. C'est l'accueil d'un enfant. Nous sommes tous passés par là. La crèche nous renvoie à ceux dont nous sommes venus, qui nous ont façonnés, marqués, notre héritage génétique, la couleur de nos yeux, notre tempérament. L'éducation reçue dans la famille et à l'école nous a fait grandir. Notre histoire est jalonnée de nos réussites, nos échecs. De multiples rencontres nous ont influencés, et aussi des épreuves, et les carrefours de la maladie, des ruptures. Des choix successifs nous ont construits. Chacun peut se souvenir de son histoire personnelle, comment notre enfance, notre adolescence et notre jeunesse nous ont ouverts à l'autre, à la vie ensemble. Je sais bien - ou plutôt je pressens - le poids de nos conditionnements dans tous les lieux et communautés où nous avons grandi. À notre tour nous les avons mar
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« Quand vous priez, dites Notre Père », le nouveau livre du pape François - L... - 0 views

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    "La Librairie éditrice vaticane et les éditions Bayard publient mercredi 10 janvier une méditation du pape François sur le « Notre Père ». Ce petit livre est le fruit d'un entretien télévisé en huit épisodes réalisé avec un jeune aumônier de prison italien. Le 4 août dernier, Don Marco Pozza, aumônier de prison à Padoue (nord de l'Italie), est venu au Vatican interroger le pape François sur le Notre Père. « Dans le havre qu'est Sainte-Marthe je lui apporte l'émotion muette, l'affection, le rire et le sourire de mes saltimbanques de prison. Je lui déballe mon histoire, comme le ferait un fils devant son père », raconte le jeune prêtre souriant dont l'entretien, découpé en huit points d'une dizaine de minutes a été diffusé d'octobre à décembre sur TV2000, la chaîne des évêques italiens, suivis de rencontres avec des personnalités de la culture et du spectacle s'interrogeant sur le sens de la plus connue des prières chrétiennes. Une prière qui fait appeler Dieu « Notre Père ». « Dieu offre la sécurité d'un père, rappelle François dans le premier des épisodes rassemblés par la Librairie éditrice vaticane dans un petit livre publié mercredi 10 janvier en français par Bayard (qui édite aussi La Croix). Il me donne de la sécurité, je ne me sens pas déraciné, je ne me sens pas orphelin. J'ai un père, un papa qui m'apporte l'histoire, qui me fait voir la racine, qui me protège, me fait aller de l'avant ». À lire aussi Extraits de « Quand vous priez, dites Notre Père », le nouveau livre du pape François Il avoue à Don Pozza lui arriver de s'endormir quand il prie ! Ce père longuement décrit par François, qui raconte avoir appris le Notre-Père avec cette grand-mère paternelle qui a tant compté, apparaît comme celui qui « chemine avec toi et si nécessaire », un père, « très proche, qui nous étreint » et qui, aussi, « aide immédiatement à se relever » quand o
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"Ne nous laisse pas entrer en tentation" - 1 views

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    "Notre Père Qu'est-ce qui change ? Retour sur la sixième demande du Notre Père avec le P. Michel Souchon, alors que le Vatican vient d'approuver une nouvelle traduction en français de la Bible liturgique.La formule du Notre Père " Et ne nous soumets pas à la tentation" y est remplacée par «Et ne nous laisse pas entrer en tentation". Facebook Twitter Google Plus Share This Mains ouvertes d'enfants pour la prière du Notre Père. © Corinne Simon/Ciric "Ne nous soumets pas à la tentation", quelle demande étrange ! Le mot à mot est tout aussi troublant : « Ne nous conduis pas en tentation » (« Ne nous fais pas entrer dans l'épreuve », traduit Sœur Jeanne d'Arc). Dieu serait-il tentateur ? Saint Jacques s'oppose à cette idée : « Que nul, s'il est éprouvé, ne dise : « C'est Dieu qui m'éprouve ». Dieu en effet n'éprouve pas le mal, il n'éprouve non plus personne. Mais chacun est éprouvé par sa propre convoitise qui l'éprouve et le leurre. Puis la convoitise, ayant conçu, donne naissance au péché, et le péché, parvenu à son terme, enfante la mort » (Jacques 1,13-15). Saint Paul est plus ambigu. S'adressant à Dieu, il lui attribue la responsabilité de la tentation : « Tu es fidèle et tu ne permets pas que nous soyons tentés au-delà de nos forces. Avec la tentation, tu nous donnes aussi le moyen d'en sortir et la force de la supporter » (1 Corinthiens 10,13). Et la Bible témoigne d'une curieuse inversion des rôles : « C'est toi, Dieu, qui nous as éprouvés, affinés comme on affine un métal. Tu nous as conduits dans un piège. Tu as serré un étau sur nos reins » (Psaume 66, 10-11). Les évangiles (Matthieu 4,1-11 ; Marc 1,12-13 ; Luc 4,1-12) disent que Jésus lui-même a connu la tentation ! Jésus repousse les offres du diable. Il est ainsi le modèle de la foi du chrétien. Si le Christ a été tenté, il ne peut nous enseigner u
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Damien Labadie - 1 views

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    "vendredi 18 octobre 2013 Quelques remarques sur la nouvelle version française du Notre Père... La nouvelle version française du Notre Père, qui paraîtra dans la prochaine traduction liturgique de la Bible et entrera en vigueur dans les lectionnaires dès 2014, s'annonce tout aussi infidèle que les précédentes. Il est regrettable de constater que dix-sept années d'un travail prudent et patient produisent pareil résultat ! En lisant les diverses versions anciennes de l'oratio Dominica (latine, syriaque, arabe, copte, arménienne, slavonne), je ne laisse pas de m'émerveiller de leur fidélité au texte grec. Nos traducteurs modernes en tireraient quelque leçon de sobriété et de style. Mais pourquoi la prière du Notre Père est-elle devenue à ce point un nœud de discorde théologique alors qu'elle a traversé les siècles au sein des communautés chrétiennes sans souffrir la moindre altération ? Depuis plusieurs décennies, la publication d'une nouvelle traduction de la Bible est prétexte, pour nos traducteurs, à d'ingénieuses innovations syntaxiques et sémantiques ; pourtant ce vin nouveau n'a jamais retrouvé la saveur de l'original. Peut-être nos traducteurs modernes ont-ils le défaut d'être aussi des théologiens ; trop sensibles aux aspérités du texte du Notre Père, ils l'inondent de considérations propres à l'exégèse et impropres à la traduction. À titre d'illustration, dans la dernière version de la Traduction Œcuménique de la Bible (2010), « que ton nom soit sanctifié » est devenu « fais connaître à tous qui tu es » ; le traducteur se révèle bien ici traditor... Contentons-nous de traduire. L'interprétation viendra ensuite, opportunément. Revenons à la nouvelle traduction liturgique. Elle conservera l'ancien « pardonne-nous nos offenses ». Pourtant, le texte grec ne parle à aucun moment « d'offense ». Le terme employé est opheilêma, qui signifie proprement
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Le sens chrétien du corps - Diocèse La Rochelle - Saintes - 0 views

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    "Le sens chrétien du corps Une réflexion de notre évêque, Mgr Bernard Housset, à propos de la Toussaint. Cette fête de la Toussaint 2014 nous invite à l'espérance, tout en nous faisant réfléchir à notre mort. Les pratiques qui accompagnent celle-ci sont concernées par une évolution importante. Comme chacun le sait, la crémation (appelée incinération récemment encore) prend de plus en plus d'importance. Sa pratique, de 0,5 % en 1980, est passée à 30 % des enterrements en 2010. Certains spécialistes pensent même qu'elle sera demandée par 50 % des Français en 2020, c'est-à-dire demain. Plusieurs raisons - qu'il serait trop long de présenter - expliquent cette progression. Je voudrais simplement rappeler que l'Eglise catholique a évolué par rapport à la crémation. A l'heure actuelle, elle ne voit pas d'objection majeure à cette pratique, puisque celle-ci n'est plus voulue pour s'opposer à la foi chrétienne. Pas de contradiction entre la crémation et les convictions de l'Eglise par rapport au sens chrétien du corps. Quelles sont-elles ? Tout d'abord un grand respect Pour quelles raisons ? Simplement parce que chacun de nous est une personne créée par Dieu et procréée par ses parents. Notre corps est voulu par Dieu Créateur. De plus, nous croyons que Dieu le Fils s'est incarné dans un corps humain véritable, qui n'était pas une simple apparence. Enfin notre corps est appelé à ressusciter comme le Christ et grâce à Lui. Pour ces trois raisons (Création, Incarnation, Résurrection), notre corps possède une grande dignité et mérite un réel respect, sans en faire une idole ni le considérer avec dédain. D'ailleurs, lors des obsèques chrétiennes, le corps est désigné par les expressions « le défunt » ou « le corps du défunt », qui se réfèrent à une personne, contrairement aux mots « cadavre », « cendres » ou « restes ». De plus, notre foi chrétienne nous invite fermemen
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Assemblée nationale / OPECST - Note - Crise du funéraire en situation de Covi... - 0 views

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    Sous la présidence de Gérard Longuet et la vice-présidence de Cédric Villani, l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) a souhaité s'intéresser davantage aux rapports entre les sciences et la société, comme en témoigne l'introduction de notes scientifiques, supports pédagogiques d'information sur les questions d'actualité. Pendant toute la durée de la crise sanitaire, s'acquittant autant qu'il était possible de sa mission d'information du Parlement, il a procédé à de nombreuses auditions et publié plusieurs notes, dans des champs disciplinaires multiples, afin de tenter un bilan le plus complet possible des enjeux politiques et scientifiques de la gestion de la pandémie provoquée par l'irruption du coronavirus. (…) La crise sanitaire, dans le cadre du funéraire, relève d'un double enjeu. Elle est à la fois une crise de mortalité ou mort de masse, c'est-à-dire un épisode de surmortalité exceptionnelle puisqu'elle se caractérise par un certain nombre de signes répondant à cette typologie. Elle est aussi marquée par une forte perturbation dans les rituels funéraires, directement liée au confinement et à la distanciation physique. Les sujets de la mort et du deuil sont revenus au cÅ“ur des débats au mois de mars 2020, par effraction, avec la question du délai de congés à accorder aux parents ayant souffert la perte d'un enfant, qui a montré l'émotion suscitée par ces questions. La crise sanitaire sans précédent a bouleversé tous les moments de la chaîne funéraire (fin de vie, adieu, moment du mourir, cérémonies, deuil). Elle a révélé la nécessité pour la représentation nationale de se saisir de ce sujet occulté, afin de réfléchir au statut de la mort dans notre société. Alors que des voix s'élèvent pour dénoncer le fait que l'urgence sanitaire ait primé, dans la hiérarchie des valeurs, sur les familles endeuillées et sur le vÃ
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Metz - Directoire diocésaine pour la pastorale des funérailles - 1 views

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    Durant l'été 2020, Mgr Lagleize a promulgué un nouveau texte pour la pastorale des funérailles, publié dans la revue Église de Metz de septembre 2020. Ce document est aussi diffusé en version papier via les archiprêtres et les curés. Présentation de quelques points saillants de ce directoire. Face aux évolutions dans la manière dont nos sociétés appréhendent la mort (une mort occultée, privatisée, personnalisée) et dans le contexte ecclésial actuel, une évolution de l'accompagnement des défunts et de leurs familles s'avérait nécessaire. Avec le directoire promulgué par Mgr Lagleize, c'est désormais chose faite. Voici quelques points saillants de ce document. La pastorale des funérailles ne concerne pas que les ministres du culte, mais l'ensemble de la communauté chrétienne, représentée par les équipes funérailles, dont la mission est d'accompagner religieusement les familles en deuil. Un suivi de ces équipes devrait ainsi être mis en place au niveau de l'archiprêtré, avec une relecture de ce qui est vécu, au sein d'une fraternité permettant le partage et la formation. La mission de ces équipes se déploie au moment de la célébration et se poursuit par l'accompagnement des familles. Ce point et mentionné à plusieurs reprises au cours du document. Le travail en complémentarité entre les prêtres et diacres et les équipes funérailles est souligné, dans toutes les dimensions de ce ministère (rencontre avec les familles, temps de prière, célébration religieuse, prière au cimetière, accompagnement des familles). Pour la présidence de la célébration, le curé pourra faire appel à des laïcs pour conduire ces funérailles à l'église (quand il y a un nombre important de célébrations par exemple). Quelques règles pour la présidence des funérailles par des laïcs sont mentionnées dans le directoire. Le lien entre funérailles et célébration eucharistique est réaffirmé par l'évêque
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Dominicains - KIT SEMAINE SAINTE 2020 - 0 views

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    "La célébration de la Pâque remonte au temps où Dieu libéra Israël de la main de Pharaon. Cette libération impliqua un exil. Le peuple hébreu dut abandonner tout ce qui lui était familier et se mettre en route. La signification spirituelle de l'évènement devenait évidente : l'esclavage humain était le signe de l'esclavage spirituel, celui dans lequel nous tient le péché. Dieu voulait en délivrer son peuple. Mais pour cela, il fallait que le peuple accepte de tout quitter pour ne suivre que Dieu. Cette libération commença par un repas, un repas que nos frères aînés, les juifs, continuent de célébrer sous forme de mémorial, le Seder de Pessah. Six siècles avant Jésus Christ, le peuple juif connut un autre exil. Il fut déporté par les babyloniens et le Temple de Jérusalem où ils rendaient un culte à Dieu fut détruit. Ils ne pouvaient donc plus offrir les sacrifices prescrits par la loi de Moïse. Alors ils s'interrogèrent sur le sacrifice qui plaît à Dieu et sur la façon de continuer à Lui rendre un culte. La famille et la synagogue devinrent le lieu de la célébration du culte rendu à Dieu. D'une certaine manière, c'est ce qui se passe pour nous. Nous sommes comme exilés, loin de nos églises. Mais c'est une opportunité qui nous est offerte pour que nos maisons, nos foyers (re)deviennent des lieux où l'on prie, où l'on célèbre le Seigneur. Le Concile Vatican II, reprenant l'expression de saint Jean Chrysostome, parlait ainsi des familles comme d'autant de petites églises, d'églises domestiques ! Nous vous proposons ainsi TOUS LES OUTILS À TÉLÉCHARGER CI-DESSOUS pour une semaine de célébrations à vivre à la maison. Le matériel est abondant pour que vous puissiez choisir ce qui vous convient, y compris à l'intérieur d'une célébration. Voici la structure : Les dimanches des rameaux et de Pâques sont structurés comme une célébration du dimanche mais en y incluant un geste. Le
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Cambrai - Message de Carême de Mgr Dollmann - 0 views

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    "Avec nos contemporains, la conversion la plus difficile est celle du décentrement de nous-mêmes, décentrement de notre savoir et de notre quête à tout manipuler, décentrement de notre course à la consommation. Il nous faut apprendre à renouer avec la vertu d'humilité qui est la force et la joie des saints. Elle s'acquiert par l'entrainement à l'émerveillement devant la beauté de la création et devant le bien réalisé par des personnes dans la société comme dans l'Eglise. Ce serait un bel effort de Carême qui produirait sûrement des fruits de paix et de joie en nous et autour de nous. Cet émerveillement devient alors prière d'action de grâce. Celle-ci est étroitement liée à la prière d'intercession, en témoignent les psaumes que le Christ n'a cessé de prier jusque dans sa mort. La pandémie actuelle a également fait ressortir le besoin vital de liens personnels de proximité que les moyens de communication ne peuvent remplacer. Le Carême est un temps favorable pour dégager des temps gratuits d'écoute et de partage au sein de nos relations en famille, avec le voisinage et dans les communautés. C'est l'occasion de s'intéresser aux joies et aux peines de ceux qui nous entourent, c'est l'occasion de faire la visite tant de fois reportée, à telle personne seule ou malade… Le Carême demeure avant tout un temps béni pour goûter à la joie d'être entre les mains de Dieu et d'être appelé à partager sa vie pour toujours. C'est l'occasion de dégager du temps pour la lecture de la Parole de Dieu et l'approfondissement de la foi. Cela peut commencer en famille en regardant ensemble un film sur l'Histoire Sainte ou la vie d'un saint. La créativité qui anime les paroisses et les services diocésains permet à chacun d'être soutenu dans son désir de vivre le Carême comme un temps de renouveau de la foi.  "
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Actualités - 0 views

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    ""La joie de l'Evangile" Samedi 17 janvier, jour anniversaire 7h30 : Messe à l'église 9h : Chant des Laudes à la basilique, suivi d'un temps de prière guidée 10h30 : Messe solennelle à la basilique sous la présidence de Mgr Guy de KERIMEL, évêque de Grenoble, en présence de Mgr Thierry SCHERRER, évêque de Laval, avec la participation des chorales de St-Léonard (Fougères) et de Pontmain. L'eucharistie sera aussi célébrée à la chapelle des Oblats, à la salle des loisirs, à la salle Notre-Dame et à l'église. Retransmission sur grand écran en chaque lieu. 12h : Angélus à la colonne de l'Apparition 12h30 : Messe à l'église 13h30 : Adoration à l'église jusqu'aux vêpres Temps spécial pour les enfants (animation, chants, etc...) Rendez-vous 14h15 salle N-Dame 14h15 : Chapelet à la basilique 15h : Evocation de l'apparition à la basilique 16h : Vêpres solennelles et bénédiction eucharistique à la basilique, avec la participation des Frères de la Cotellerie et de la chorale de Pontmain 18h : (à l'heure de l'Apparition) - Prière des Complies à la Grange. Tous les offices de l'après-midi seront retransmis à la chapelle des Oblats. Informations pratiques Accueil - Animation - Repas du pèlerin - Hébergement 3 rue Notre Dame 53220 PONTMAIN Tél : 02.43.05.07.26 - Fax : 02.43.05.08.25 www.sanctuaire-pontmain.com - Email Chaque jour de 9h à 12h et de 14h à 17h visite libre de l'exposition sur les voyants (à gauche en sortant de la basilique) et du presbytère de l'abbé GUERIN (6 rue de Bretagne). Pour un voyage en car au départ de Château-Gontier ou de Laval le 17 janvier, se renseigner et s'inscrire au Service des pèlerinages (Tél : 02.43.49.55.32)."
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Cahors - Pastorale des funérailles - Orientations diocésaines - 0 views

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    "Être baptisé engage à intercéder pour les défunts et à manifester compassion et espérance au moment du deuil. Ainsi, tout le Peuple de Dieu est concerné par la préparation et la célébration des funérailles de toute personne qui désire que l'Eglise l'accompagne par sa prière au moment de sa mort. Chaque membre du Peuple de Dieu est concerné, à sa place propre, par la célébration des funérailles. Les prêtres, spécialement, le sont du fait de leur ordination et de la célébration de l'eucharistie qui est le centre de la vie liturgique. Les diacres sont concernés spécialement du fait de leur ordination et de la dimension d'accompagnement, de consolation et de service de cette célébration. Prêtres et diacres ont aussi reçu une mission de prédication de la bonne nouvelle du Christ ressuscité. Les laïcs sont concernés du fait de la grâce de leur baptême et des missions auxquelles ils ont pu être appelés. La prière pour les défunts et l'accompagnement des familles en deuil par tous ceux, prêtres, diacres, consacrés et baptisés-laïcs, qui appartiennent au Peuple de Dieu est un beau témoignage de foi, d'espérance et de charité. Vécu en fraternité, c'est un signe que toute l'Église est en communion avec la douleur et la prière des familles touchées par la mort d'un proche. Ensevelir les morts est une œuvre de miséricorde. C'est également, pour l'Église, une occasion d'annoncer son espérance. C'est une œuvre d'évangélisation, c'est-à-dire, au moment même de l'épreuve du deuil, une occasion de témoigner de la joie de la Résurrection du Christ."
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Observatoire des religions et de la laïcité - Faire son deuil sur Internet : ... - 0 views

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    "Depuis sa popularisation dans les années 1990, Internet s'est profondément complexifié, offrant des services tant de communication (forums et courrier électronique) que d'information (pages web). Les religions n'ont pas manqué d'investir ce média. En 1983 le premier forum à caractère religieux faisait son apparition et, depuis lors, le phénomène s'est amplifié de manière exponentielle, de telle sorte qu'aujourd'hui, l'un des moteurs de recherche les plus utilisés au monde dénombre des centaines de millions de résultats pour la recherche « religion ». Cette fulgurante expansion témoigne d'un intérêt très marqué, déjà abondamment décrit par les sciences humaines, des religions pour ce média, efficace tant pour créer du lien communautaire que du sens, fût-il virtuel, pour les individus. La question se pose de savoir, d'un point de vue micro, comment il opère lors d'expériences qui touchent à l'intime, tel le deuil. Les dispositifs virtuels mis en place par les religions afin de faire face au deuil sont non seulement nombreux, mais également hétérogènes. Ils se déploient sur la toile via des pages web, des blogs, des forums, des réseaux sociaux, mais également via les smartphones grâce à des applications. L'objectif de ces dispositifs consiste majoritairement à proposer une aide. Celle-ci peut être de quatre types : 1° une plateforme d'échanges à l'intérieur de la communauté de croyants ; 2° l'offre d'extraits d'écrits saints, de prières et de chants religieux ; 3° des conseils relatifs au comportement à adopter en présence de personnes endeuillées ; 4° des informations pratiques au des funérailles et des rituels propres à chaque culte."
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Carcassonne - Notes liturgiques sur la confirmation - 0 views

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    Suite à un travail de plusieurs années, le service diocésain de Pastorale Liturgiques et Sacramentelle vous partage à travers des notes liturgiques, des généralités concernant la célébration de la confirmation en fonction de la multiplicité des confirmands. Les membres de la Commission Diocésaine de Pastorale Liturgique et Sacramentelle ont réfléchi au cours de l'année pastorale 2019-2020 sur la manière de célébrer le sacrement de confirmation à partir de l'ouvrage Confirmation - Notes pastorales et propositions de célébrations1, rédigé par un groupe de travail international d'experts. Cet ouvrage donne à la fois une approche théologique, liturgique et pastorale pour toute personne accompagnant les demandeurs du sacrement de confirmation et ayant la mission de préparer la mise en oeuvre des célébrations. Dans le cadre de leur domaine d'action pastorale, liturgique et sacramentelle, ils ont souhaité reprendre dans cette synthèse de notes liturgiques les généralités concernant la célébration de la confirmation ainsi que les spécificités en fonction de la multiplicité des confirmands : adultes, personnes en situation de handicap, jeunes selon deux tranches d'âge. C'est ainsi que nous sont présentées dans ce document plusieurs notes d'observations pour célébrer le sacrement de confirmation mais aussi pour célébrer les différentes étapes du cheminement de type catéchuménal. A ce travail ont été associés les animateurs des aumôneries de l'Enseignement public et les animateurs en pastorales de l'Enseignement catholique qui accompagnent les préparations à la confirmation. Monsieur l'Abbé Georges RIEUX a apporté sa compétence d'enseignant en théologie sacramentaire et a accepté qu'on utilise un de ses articles en guise de conclusion et d'ouverture.
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Nantes - Célébrations : jauge irréaliste et inapplicable - 0 views

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    "Durant toutes ces semaines les évêques de France ont cherché à promouvoir une culture du dialogue et du consensus. Ils ont fait confiance au gouvernement qui s'était engagé à discuter avec les représentants des diverses religions pour trouver avec eux une solution qui permette une reprise des cultes réaliste et respectueuse des croyants, dans des conditions sanitaires strictes. Ils ont ainsi cherché à montrer qu'en cette période éprouvante dans laquelle s'expriment des lassitudes et des tensions, la recherche commune de solutions dans l'estime mutuelle et la confiance étaient préférables à l'affrontement. Se seraient-ils trompés ? Je ne l'espère pas, mais c'est un très mauvais signal qui nous est envoyé. Comme l'exprime le communiqué de la Conférence des Evêques de France : « Certes les cultes ne sont pas des commerces mais traiter ainsi les religions, c'est considérer comme accessoire la foi de millions de croyants. C'est une grave erreur pour notre société tout entière. » Le Premier ministre nous promet une discussion sans attendre pour permettre dès que possible une jauge proportionnée à la taille des édifices. Faut-il le croire ? Je l'espère vraiment. En tout cas, le Président de la Conférence des Evêques de France se réserve la possibilité d'utiliser les moyens de droit appropriés. En attendant, alors que nous entrons dimanche dans le temps de l'Avent, je vous invite à ne pas céder à la colère et au découragement : « Il vient le Sauveur ! ». Nous le chanterons durant ces quatre semaines préparatoires à la fête de la Nativité. Demandons-lui son Esprit de paix et de force afin que nous demeurions en communion les uns avec les autres et avec nos pasteurs pour qu'ainsi nous puissions témoigner pacifiquement de notre attachement au Christ source de notre vie. Merci aux prêtres de notre diocèse et à leurs équipes qui, au gré des annonces gouvernementales, s'adaptent pour
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RCF Nord de France - La nouvelle traduction de la Bible liturgique - 1 views

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    "La nouvelle traduction de la Bible liturgique Emission du lundi 18 novembre 2013 Intégrer à mon site Faites connaître cette émission : Partager l'article Facebook Twitter Google+ Viadeo LinkedIn E-mail Invités de l'émission Père Jacques Rideau directeur du Service national de la pastorale liturgique et sacramentelle Pauline Trémolet éditrice chez Mame Guillaume Arnaud directeur général délégué des éditions Mame Mgr Bernard-Nicolas Aubertin évêque de Tours Détails de l'émission Pourquoi les mots prononcés lors de la messe sont-ils importants ? Comment les choisit-on ? On en parle avec Stéphanie Gallet et ses invités. Appelez le 04 72 38 20 23* ou écrivez à letempsdeledire{at}rcf.fr. La nouvelle traduction de la Bible utilisée dans la liturgie catholique est une aventure humaine : des dizaines de spécialistes ont travaillé le texte pour en donner une version à la fois plus fidèle aux textes originaux et mieux adaptée aux oreilles d'aujourd'hui. C'est aussi un défi éditorial hors norme : quand on sait les difficultés de l'édition aujourd'hui, se lancer dans une telle entreprise n'est pas une simple affaire. C'est encore une belle histoire de foi car traduire la bible, lire et relire la parole de Dieu et la vie de son peuple, travailler cette langue et ces mots qui ont traversé les peuple pour mieux la restituer à ses contemporains, c'est aussi une facon de tracer son chemin vers Dieu. Enfin cette nouvelle traduction de la Bible liturgique, c'est aussi une nouvelle page de la vie de l'Eglise catholique et des communautés qui la constituent. Elle est en effet destinée à être lue dans les paroisses lors des offices, dans les couvents et les monastères pour ceux qui pratique la prière des heures, pour toutes les célèbrations et temps de prière qui ponctuent la vie du croyant en communauté. Parler de cette nouvelle traduction de la bible p
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IFOP - Les Français et la culture chrétienne - 0 views

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    A la veille de la fête chrétienne de l'Assomption, l'Ifop a interrogé pour Le Monde les Français sur leur connaissance des bases de la culture chrétienne et de ses rites. L'étude reprend des questions déjà formulées il y a 32 ans et permet ainsi de dresser un bilan de l'évolution de cette culture au sein de la population française. On note ainsi deux phénomènes : le premier témoigne de la relative persistance de la culture chrétienne au sein de la société. Plus d'un Français sur deux déclarent ainsi connaître la prière du "Notre Père" (56%) et près d'autant connaissent le "Je vous salue Marie" contre respectivement 67 % et 61 % trente-deux ans auparavant. Toutefois, et c'est le phénomène le plus visible, la culture chrétienne s'est perdue et les Français - mais aussi les chrétiens pratiquants - connaissent de moins en moins la signification des fêtes chrétiennes. Même dans l'intimité des croyants la religion s'efface avec la diminution importante des Français possédant des objets religieux à leur domicile comme un crucifix (17%, - 22 pts), un chapelet (25%, -13 points), une statuette de la Vierge (23%, -14 points) ou encore bien sûr une Bible (31%, -4 points). Cette étude montre également une grande différence entre les plus et les moins de 50 ans quant à l'imprégnation de la culture chrétienne. Si pour les personnes les plus âgées, les résultats restent les mêmes par rapport à ceux de 1988. En revanche, la connaissance et la permanence de cette culture chez les jeunes sont de moins en moins prégnantes. Ainsi, 26 % des moins de 35 ans connaissent la signification de l'Ascension, contre 44 % des plus de 50 ans. Chez les plus jeunes, 5 % possèdent un missel, contre 30 % chez les plus anciens.
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METZ _ "En avant !" : message de l'avent - 0 views

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    "« En avant ! », voici l'intitulé du message de Mgr Lagleize qu'il vous adresse pour entrer dans ce temps de l'avent. En avant ! Je n'ai pas fait de faute d'orthographe dans le titre de ce message pour l'avent 2019. En avant, pour préparer l'accueil de Jésus qui vient partager notre humanité à Noël, alors que Marie et Joseph partent en avant pour se rendre à Bethléem. En avant, car au début de ce temps de l'avent, notre Église diocésaine entre dans cette année du jubilé des 800 ans de notre actuelle cathédrale. Et avec notre Église diocésaine, c'est toute la société civile (cité de Metz, département, État, etc.) qui participe avec bonheur et imagination à cet événement. En avant, pour participer à la construction de nos communautés paroissiales, de nos archiprêtrés, de notre diocèse pour une évangélisation crédible en 2020. Nos aînés ont eu l'audace de bâtir notre cathédrale gothique qui correspondait à l'esprit de leur temps ; aujourd'hui, nous appuyant sur les fondements et l'héritage de nos aînés, il nous revient d'édifier le Temple du Seigneur qui est son Église avec les femmes et les hommes d'aujourd'hui. En avant, car le Christ Jésus n'est pas derrière nous, mais toujours au-devant de nous. Le mystère de Noël n'est pas un événement du passé, mais un à venir. En avant, le cardinal John Henry Newman, canonisé le 13 octobre dernier, nous y invite dans ce magnifique poème devenu une prière : Guide-moi, douce Lumière Guide-moi, douce Lumière, dans l'obscurité qui m'entoure, Guide-moi de l'avant ! La nuit est plus profonde, et je suis loin de ma demeure ; Guide-moi de l'avant. Veille sur mes pas ; je ne demande pas à voir l'horizon lointain ; un seul pas à la fois me suffit. Je n'ai pas toujours été ainsi ; je ne T'ai pas toujours prié de me guider de l'avant. J'aimais choisir et voir ma route, mais maintenant guide-moi Toi-même de
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Belley - Quelques réflexions autour de l'Eucharistie - 0 views

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    "Cependant la situation de confinement perdurant, l'absence de la vie sacramentelle se fait ressentir maintenant de manière plus aigüe et l'impatience grandit chez beaucoup d'entre vous. A tel point que j'entends un certain nombre de demandes émanant de fidèles laïcs qui m'expriment leur souffrance et suggèrent des solutions astucieuses pour recevoir la communion eucharistique à la maison. Certains en viennent à imaginer la conservation de la réserve eucharistique chez soi, avec la distribution de la communion par le chef de famille ; ou bien encore le passage individuel à l'église à l'occasion de courses alimentaires pour recevoir la communion, sur le modèle des courses en "drive". D'autres enfin imaginent le curé passant dans les maisons pour y célébrer la messe. Et puis, sous la demande pressante de certains de leurs paroissiens, des pasteurs s'interrogent : Est-ce que je ne manque pas à la charité pastorale en n'accédant pas à cette requête de fidèles ? Mais, en même temps, est-ce qu'un bon parent donne immédiatement satisfaction à toutes les demandes de ses enfants ? Et, cela pose plus largement la question : comment concilier le respect de la liberté religieuse et les consignes de confinement sanitaire ? Ne risquons-nous pas d'être trop passifs et soumis aux prescriptions édictées par un Gouvernement qui apprécie mal ce qu'est la liberté religieuse ? Face à ce type de questions, il est urgent de prendre du recul et de commencer par raisonner. La tentation est grande en effet de réagir spontanément et sur le registre émotionnel, au lieu de s'asseoir, se recueillir, se rendre disponible se demander ce que Dieu veut nous enseigner dans cette épreuve inattendue. Je constate que beaucoup d'opinions circulent à l'envi sur les réseaux sociaux et se transfèrent à l'infini d'un simple clic, au gré du ressenti immédiat. La plupart du temps les internautes diffusent des texte
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Assemblée nationale / OPECST - Note - Les cultes religieux face à l'épidémie... - 0 views

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    "Sous la présidence de Gérard Longuet et la vice-présidence de Cédric Villani, l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) a souhaité s'intéresser davantage aux rapports entre les sciences et la société, comme en témoigne l'introduction de notes scientifiques, supports pédagogiques d'information sur les questions d'actualité. Pendant toute la durée de la crise sanitaire, s'acquittant autant qu'il était possible de sa mission d'information du Parlement, il a procédé à de nombreuses auditions et publié plusieurs notes, dans des champs disciplinaires multiples, afin de tenter un bilan le plus complet possible des enjeux politiques et scientifiques de la gestion de la pandémie provoquée par l'irruption du coronavirus. (…) Sur proposition du Sénateur Pierre Ouzoulias et parce qu'il apparaissait aux membres de l'OPECST que les mesures sanitaires pouvaient avoir des conséquences immédiates et peut-être durables sur des pratiques sociales qui ne connaissent historiquement que des évolutions lentes et mesurées, il a semblé utile de s'intéresser aux contraintes imposées aux pratiques funéraires et cultuelles et à leurs conséquences. Ces deux thèmes, intimement liés, se sont imposés à nous parce que, d'une part, nos activités d'élus nous ont amenés à recevoir les doléances de personnes qui n'avaient pu accéder à leurs proches dans les derniers moments de leur vie, ni même réaliser de cérémonie funéraire et que, d'autre part, la suspension des rites religieux collectifs, la fermeture, parfois anticipée, des lieux de culte et la préconisation du comité scientifique de la « création d'une permanence téléphonique nationale d'accompagnement spirituel intercultes » pour assurer le « soin pastoral » révélaient de possibles conflits de compétence entre les pouvoirs publics, les autorités organisatrices des cultes et les scientifiques chargés
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