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Il/Elle installe, entretient et dépanne les ascenseurs, mais aussi escaliers mécaniques, trottoirs roulants ou monte-charges… Un métier qui bouge, avec des technologies très diverses (hydraulique, mécanique, électronique…) et une réglementation qui évolue.

L'emploi reste dynamique en France dans le commerce automobile et la réparation avec 2400 emplois proposés le 24 mars sur un salon dédié. Coté industrie, la hausse des qualifications se confirme : on recrute notamment des ingénieurs experts en mécanique numérique.

Le technicien éolien se charge du suivi et de l'entretien des éoliennes, mais aussi de leur montage. Travaillant en bureau et sur le terrain, il doit disposer de connaissances en énergie électrique, mais aussi en mécanique hydraulique. A travers les tests, le rendement des appareils, il est capable d'identifier les causes d'un problème et de le résoudre rapidement. Le technicien éolien doit être extrêmement polyvalent, il s'agit d'un métier novateur.

Si le secteur de la construction automobile connaît des difficultés et doit se restructurer, les emplois des services à l'automobile semblent avoir un bel avenir. Trouvez le métier qui vous permettra de vivre de votre passion de la mécanique et des voitures !

ON RECRUTE ! Ce n'est pas parce que la production de véhicules a perdu beaucoup de terrain que les métiers de l'automobile n'offrent plus de belles opportunités. En particulier dans les services, la mécanique et l'ingénierie de pointe.

La mécatronique est une activité relativement méconnue et pourtant de plus en plus fondamentale pour les industries d'aujourd'hui et surtout de demain. Elle a été identifiée comme une technologie clé et sera très présente dans l'usine du futur. Cette démarche qui consiste à concevoir des produits ayant à la fois des fonctions mécaniques, électroniques et informatiques qui fonctionnent en synergie est particulièrement développée dans l'industrie automobile, pionnière en la matière avec notamment les systèmes de freinages ABS. Elle se développe désormais à l'ensemble de l'industrie et concerne l'aéronautique, la machine-outil, la santé, la domotique… en s'enrichissant de nouvelles fonctionnalités connectées.

L'industrie agroalimentaire (IAA) est le premier secteur industriel français devant l'automobile, la mécanique, la pharmacie. Et pourtant, c'est un secteur qui peine à recruter ! L'Association Régionale des Industries Agroalimentaires (ARIA) Île-de-France organisait à la Cité des métiers du Val-de-Marne une rencontre avec des professionnels. Le Fongecif était présent. L'occasion pour nous de revenir sur l'emploi, les métiers et les formations dans ce secteur d'activité peu connu au final du grand public.

"Le tourneur fraiseur exerce deux métiers en un. Il fabrique à partir d'une matière brute comme le métal ou l'aluminium soit des pièces mécaniques cylindriques ou coniques à l'aide d'une machine appelée tour, soit des pièces comportant des angles avec une fraiseuse. Il peut travailler dans l'industrie automobile, aéronautique et spatiale, navale, ferroviaire…"

"Le Conseil d'orientation pour l'emploi a fait la lumière sur la difficile estimation des offres d'emploi non pourvues.«Les difficultés de recrutement concernent des métiers très différents, allant des ouvriers qualifiés dans l'industrie à l'ingénieur en informatique. Et les situations peuvent varier selon les régions ou même les bassins d'emploi». Selon l'aréopage - qui regroupe hauts fonctionnaires, syndicalistes et représentants patronaux -, les plus grandes difficultés se ne rencontrent plus dans l'hôtellerie-restauration, les métiers de bouche, les aides à domicile ou les postes de conducteurs - même si ces secteurs restent en tension. Mais chez les ouvriers qualifiés des industries mécaniques, métallurgiques, graphiques, chez les techniciens de la maintenance, chez les commerciaux ou encore dans la santé et l'informatique."

La région a ainsi identifié 79 métiers prioritaires qui rencontrent des difficultés de recrutement, dans le secteur du commerce, de la vente, de la restauration, des services à la personne, du bâtiment et des travaux publics. Il en va des bouchers aux maçons, en passant par la chaudronnerie-tôlerie, la mécanique, les soins infirmiers, la conduite de transports...

"Ouvrier dans l'industrie après un bac pro MSMA (maintenance des systèmes mécaniques automatisés), Richard décide, à l'âge de 26 ans, de changer radicalement de vie pour faire une école de maquillage. Sept ans plus tard, pari réussi, Richard est aujourd'hui maquilleur de mode !"

"Une étude d'OPIIEC, l'observatoire paritaire des métiers de la Branche de l'informatique, de l'ingénierie, des études et du conseil, analyse et anticipe les évolutions des besoins en compétences, en recrutement et en formation au sein des entreprises œuvrant dans la filière de l'embarqué. L'étude indique que le panel de compétences recherchées est large : les salariés de l'embarqué, s'ils ont par nature une expertise ou une compétence dominante, doivent surtout combiner des compétences multiple. Le Fafiec estime que l'offre de formation initiale est structurée et attractive et l'offre de formation continue éclatée et peu visible. L'étude recense onze métiers clés de l'embarqué : Architecte systèmes, applications et plateformes embarqués ; Chef de projet système et/ou logiciel embarqué ; Concepteur, développeur logiciel ; Ingénieur R&D électrique, électronique ou mécanique en systèmes embarqués ; Intégrateur système ; Spécialiste Qualification/Validation ; Responsable/spécialiste process & méthodes, assurance qualité ou certification ; Responsable/spécialiste support et maintenance…. Les systèmes embarqués regroupent un écosystème de grands industriels, de sociétés de services et d'éditeurs de logiciels spécialisés. Malgré la crise, ce secteur continue à croître et à créer des emplois. 41 000 créations d'emplois sont attendues d'ici 2017."

Le secteur de la transformation des métaux, porté essentiellement par la bonne santé de la filière aéronautique, devrait connaître une progression de 2 % en volume sur l'ensemble de l'année 2014, avec un premier semestre déjà en progression de 2,5 %. La mécanique de précision connaîtrait également une progression de 1,8 % en volume. L'habillement-textile serait en baisse de 0,5 % en valeur, comme la filière chaussures. Les industries graphiques enregistreraient une baisse de 3 % en volume. La baisse du marché de l'ameublement devrait se poursuivre en 2014, avec une diminution de 4 % en valeur.

Le numéro de septembre d'Insee Flash Ile-de-France est consacré à la recherche. Il souligne le rôle important de l'industrie automobile francilienne dans la recherche privée.

A travers des témoignages et des cas concrets «Enquête d'emplois» vous propose un focus sur les métiers de la maintenance des engins de manutention. Au moins 1500 postes à pourvoir chaque année qui offre de nombreux avantages.

Les métiers de l'automobile ne se limitent pas aux seuls emplois de vendeur ou de garagiste. Le secteur, en pleine mutation, fait appel à de nombreuses autres compétences. Malgré des difficultés sur certains segments, le marché reste porteur, notamment avec les nouveaux enjeux écologiques et le développement des transports du futur. Voitures, camions, deux-roues, tous les moyens de locomotion sont amenés à évoluer dans les décennies à venir.

Lionel assure la maintenance et le dépannage d'éoliennes, toujours en binôme avec son coéquipier et munis de matériel de sécurité. Toujours à 80 ou 100 mètres de haut, il ne faut pas avoir le vertige. Une belle reconversion professionnelle après avoir exercé le métier de chauffagiste, motivée par un grand intérêt pour les énergies renouvelables.

A 80 mètres au-dessus du sol, au sommet d'une éolienne, mieux vaut ne pas avoir le vertige et savoir exactement ce pourquoi on est monté. Charles Classiot supervise une équipe de trente ingénieurs, techniciens de maintenance et agents de conduite d'éolienne. Chez les techniciens de maintenance la formation continue est au moins aussi importante que la forme physique.

90 % des titulaires d'un certificat de qualification professionnelle (CQP) de la branche sont en emploi, six mois après la fin de leur formation, selon une enquête de l'Observatoire de l'ANFA [*]. Les CQP les plus mobilisés sont ceux de la vente et la maintenance automobile, la carrosserie-peinture, l'enseignement de la conduite, la mécanique cycle et la maintenance poids-lourd.