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Malgré une baisse de l'activité de l'industrie automobile ces dernières années, l'industrie automobile francilienne reste de loin plus active que dans le reste du territoire. Si vous êtes intéressés pour travailler dans cette branche, découvrez quel grand groupe recrute en région parisienne.

George R., 43 ans, est formateur en technologie automobile. Après avoir travaillé 20 ans dans l'atelier d'un grand constructeur automobile, George a décidé de transmettre sa passion aux plus jeunes. Il est formateur au sein de l'Aforpa à Vaux-le-Pénil, un CFA qui forme les jeunes aux métiers de l'automobile.

"Selon le cabinet d'analyses PwC Autofacts , jusqu'en 2020, la croissance de la production automobile mondiale devrait progresser en moyenne de 4,1% avec 109 millions unités contre 82,6 millions en 2013. 2013, soit un taux de croissance annuel moyen de 4,1% entre 2013 et 2020."

"Lorsque l'on parle du secteur automobile, on pense de façon réductrice aux mastodontes que sont nos constructeurs français ; il convient pourtant d'aborder le secteur automobile dans son ensemble (équipementiers, société d'ingénierie, etc.) si l'on souhaite s'interroger sur son dynamisme."

Le bilan 2017 du rapport de branche de l'ANFA fait état d'une augmentation du nombre d'entreprises de moins de 11 salariés, en grande partie due à la création du statut d'auto-entrepreneur (devenu micro-entrepreneur). Sur les 17 911 entreprises créées en 2017, 4 170 ont le statut de micro-entrepreneurs. L'emploi poursuit sa hausse en 2017 (+ 1,6 % entre 2016 et 2017), notamment dans les entreprises du commerce et de la réparation automobile, du véhicule industriel, du motocycle, de la location automobile de courte durée.

En quinze ans, les effectifs de l'industrie automobile française ont fondu d'un tiers. En ce moment, quelque 210.000 personnes vivent dans l'Hexagone de la conception et de la fabrication de véhicules contre 330.000 en 2004. Avec les ratés du marché européen et l'électrification des gammes, cette tendance ne devrait pas s'inverser - du moins à court et moyen terme.

L'organisation Plateforme automobile (PFA), qui rassemble la filière automobile en France, a lancé un site web baptisé Mon futur job auto. Cet outil vise à favoriser la mobilité professionnelle et le développement des compétences dans le secteur automobile. Il propose des tests, des offres d'emploi, des actualités… Chaque fiche métier contient une rubrique « tendance », pour savoir si le métier est en tension, en recul… Un moteur de recherche de formations est aussi disponible.

L'emploi reste dynamique en France dans le commerce automobile et la réparation avec 2400 emplois proposés le 24 mars sur un salon dédié. Coté industrie, la hausse des qualifications se confirme : on recrute notamment des ingénieurs experts en mécanique numérique.

Face à de profondes mutations technologiques et sociales, le secteur de la construction automobile est en train d'opérer des changements majeurs. Se tournant vers l'innovation et la robotisation, elle recherche en priorité des ingénieurs et des techniciens hautement qualifiés.

Face à de profondes mutations technologiques et sociales, le secteur de la construction automobile est en train d'opérer des changements majeurs. Se tournant vers l'innovation et la robotisation, elle recherche en priorité des ingénieurs et des techniciens hautement qualifiés.

Les principaux résultats font notamment apparaître un taux de recrutement légèrement plus important pour les entreprises de moins de 5 salariés. Les femmes et les hommes ne sont pas recrutés pour les mêmes métiers : 57 % des hommes recrutés le sont pour des métiers de la maintenance contre 2 % chez les femmes recrutées ; 61 % des femmes recrutées le sont pour des métiers administratifs. L'apprentissage est le dispositif de formation le plus utilisé.

Le numéro de septembre d'Insee Flash Ile-de-France est consacré à la recherche. Il souligne le rôle important de l'industrie automobile francilienne dans la recherche privée.

"L'automobile : une industrie en quête de profils innovants Bien que le secteur ait récemment connu de retentissants plans sociaux, le développement des innovations et les prochains départs à la retraite laissent présager de nombreuses embauches dans l'industrie automobile. Francis Arcante, directeur compétence et métiers de la PFA (Plate-forme de la filière automobile), fait le point sur les besoins du secteur et les nouvelles aptitudes recherchées par les industriels. "

"Les évolutions sociétales et économiques de cette dernière décennie ont bouleversé le secteur du commerce automobile. La dimension humaine, le service, le conseil, sont devenus de véritables outils commerciaux. En substance, le métier du commercial n'a pas changé. Sa mission première consiste toujours à vendre des véhicules neufs et/ou d'occasion, ainsi que des financements et des prestations périphériques. Il conseille les clients en fonction de leurs besoins, de leur budget et de leur profil. Les modes de consommation quant à eux ont changé. L'environnement législatif et réglementaire a été réformé. Le pouvoir d'achat s'est altéré. Les pratiques commerciales ont dû s'y adapter."

La reprise du marché automobile européen est bel et bien là. C'est désormais indéniable. En mars, les immatriculations européennes ont encore augmenté de 10,6 % par rapport à mars 2014, et dépasser le seuil des 1,6 million d'unités, selon les données publiées, jeudi 16 avril, par l'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA).

"Le Titre professionnel Contrôleur technique automobile, jusqu'à présent de niveau V de formation, vient d'être rénové. À compter du 1er février, il devient Titre professionnel Contrôleur technique automobile de véhicule léger, de niveau IV et ce, pour 5 ans, jusqu'au 1er février 2023."

L'Observatoire des métiers de la métallurgie et ses partenaires ont engagé une étude prospective des mutations de la construction automobile et de ses effets sur l'emploi et les compétences.

Vendeurs, carrossiers, peintres, mécaniciens… sont autant de métiers porteurs d'emploi présents au Mondial de l'automobile. L'Association nationale pour la formation automobile (Anfa) permet de les découvrir sur son stand et propose un programme de démonstrations, initiations, rencontres avec des apprentis, enseignants et formateurs.

Les géants du secteur comme BMW , Renault-Nissan ou Volkswagen recherchent de plus en plus de profils digitaux. De l'intelligence artificielle au Big Data, en passant par le traitement de l'image, les besoins sont très variés.

28 recruteurs issus du monde de l'automobile et 600 candidats se sont rencontrés hier à Paris, à l'occasion de la première édition du Salon de l'Emploi, initié par le site autorecrute, en partenariat avec Pôle Emploi.