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Sur le modèle de Wikileaks, Le site Concrete Action propose aux professionnels de l'urbanisme de partager avec le public des documents contractuels ou des plans de projets en cours de développement, lorsque ceux-ci sont jugés révoltants.

Après avoir expérimenté un point de retrait physique, Amazon vient d'ouvrir, dans l'Université de Seattle, son premier magasin. Dans la droite lignée des Apple stores, le lieu se veut accueillant et ouvert, transposant "in real life" ses principes de communauté virtuelle. Plus qu'un magasin, il s'agirait donc d'un lieu de vie. Un nouveau géant du numérique qui se positionne sur des questions sociétales et urbaines...

Mixité fonctionnelle dans l'espace mais aussi dans le temps ! Alors qu'un même espace est désormais utilisé pour plusieurs fonctions, que le logement devient espace de travail, l'immobilier s'appréhende autrement. Un challenge et des pistes prospectives pour les collectivités.

Si l'initiative Sharing City de Séoul a fait beaucoup parler d'elle, elle reste, trois ans après son lancement, peu connue du grand public. Si les résultats sont pourtant là (gains économiques pour les habitants et la municipalité, emplois, réduction des émission de CO2), des efforts restent à faire pour mieux faire connaître les bénéfices associés à des pratiques de partage et leur donner corps au quotidien.

"nalyse prédictive, ciblage des politiques en fonction de la demande citoyenne, flexibilité du réseau de transport, autant de domaines pour lesquels la ville de Boston a su trouver des applications pertinentes comme CityScore ou Bos311. Au-delà de ces exemples la data représente surtout pour les acteurs publics l'opportunité de tester des politiques innovantes sur des échelles de temps courtes. Cependant la collecte de données représente aussi de nouveaux challenges tant sur le domaine de la sécurité que du respect de la vie privée des citoyens."

Prise de recul sur une journée d'étude organisée par l'association Nudge France. Rappel que le nudge a ses limites : non transposable d'une culture à l'autre, non efficacité en situation de pauvreté ou de manque d'accès, etc. Le journaliste égrène quelques exemples de nudges, mais nuance beaucoup leurs impacts, notamment sur le long terme, et regrette de ne pas voir présentés les résultats concrets de nudges autres que la fameuse « mouche dans l'urinoir ». Il a aussi le mérite de poser la question « de savoir si le Nudge appliqué au marketing est encore du Nudge » (manipulation, collecte de la donnée via les apps, etc.). Dans la seconde partie, l'auteur élargit au changement de comportement au sens large, et à l'économie comportementale en particulier. Il fait apparaitre que le Nudge a des effets positifs, mais rappelle qu'il est bien un levier à actionner parmi d'autres : la coercition (interdictions, radars, contraventions), l'incitation (fiscale notamment) mais aussi le design de politiques publiques (notamment dans le sens où il associe l'usager à l'élaboration des normes auxquelles il va lui-même se soumettre). « L'enjeu pour les politiques publiques est d'arriver à prioriser ». De ce point de vue, l'auteur ne voit pas le nudge comme une « formule magique », mais comme un excellent moyen de « regarder les usagers autrement », s'intéresser au « pourquoi » de leurs comportements. Il conclut sur la nécessité que les sciences comportementales soit intégrées à la conception des services publics.

"comment financer les services publics et les solidarités si la suroptimisation fiscale devient la règle ? Comment faire vivre nos cultures diverses lorsque les effets d'échelle poussent au winner takes all (« le gagnant rafle tout ») ? Comment préserver la personne humaine, à commencer par sa vie privée, lorsque celle-ci devient une monnaie d'échange ?"

La « micromobilité », la maillon manquant des parcours multimodaux. «  La micromobilité pourrait être une solution mise en place pour éviter la congestion dans les gares où il y a beaucoup de monde »"

Selon un rapport de Dell et «l'Institut pour le Futur», think tank californien, le passage à l'intelligence numérique cognitive va profondément modifier notre notion du travail (robotisation, freelance, travail à distance). Si l'étude semble très optimiste, elle n'est pas sans incohérences ni douces illusions sur l'économie du futur. "En cela, l'étude illustre bien la déconnexion entre les acteurs du monde numérique, talentueux et précis mais bien souvent subjectifs dans leur imagination du futur, et la réalité du sentiment du public, légitimement inquiet pour son avenir".

Pathétiques, ces fuites en avant des infrastructures centralisatrice, élitistes, obsolètes et déficitaires.

L'UTP s'attaque aux "déserts de mobilité" et à l'élargissement du secteur (covoiturage et partages)

"Pour Clément Mabi, ces initiatives sont au croisement de deux logiques : une logique de collaboration et à l'inverse une logique de critique des pouvoirs publics, et d'un autre côté elles poursuivent un objectif d'approfondissement ou de transformation de la démocratie. Pourtant, conclut Mabi, au final, leurs actions se révèlent être assez loin de leur objectif de transformation du système politique. Pour le chercheur, ce sont les initiatives qui développent des contre-pouvoirs dans le champ du militantisme et de la citoyenneté qui semblent les plus réalistes et qui semblent faire le plus bouger les lignes."

Un rapport de Bloomberg Philanthropies sorti en mai enjoint les villes à se saisir de la question du véhicule autonome. Les constructeurs annoncent qu'ils déploieront leurs VA à grande échelle dès 2021. La question est de savoir si les villes seront prêtes. Le rapport pointe six enjeux autour de cette question : 1- la fenêtre d'action est très étroite et il ne faut pas louper le coche, 2- le VA est pertinent en ville (densité de population, besoin de récupérer de l'espace public, etc.), 3- les tests faits sur autoroutes ne permettent pas de répondre au véritable enjeu qui est celui de la circulation dans un traffic dense et complexe, 4- le vieillissement de la population fait du VA une solution aux problèmes de mobilité qui s'annoncent, 5- les villes peuvent encore imposer leurs règles aux constructeurs, 6- il ne faut cependant pas oublier que les villes ne sont qu'un maillon de la chaîne et que c'est tout le système de mobilité qui est à repenser.

D'après une étude européenne 90% des villes européenne de plus de 500 000 habitants seraient des "smartcities". Lyon, première ville française, se place au dixième rang, revendique son côté "smart" depuis 2010. Mais entre logique d'empilement de projet expérimentaux, et démarche cohérente à moyen terme, qu'est-ce qu'être réellement une smartcity ?

D'après une étude européenne 90% des villes européenne de plus de 500 000 habitants seraient des smartcities. Lyon première ville française, revendique son côté "smart" depuis 2010. Mais entre logique d'empilement de projet expérimentaux, et une démarche cohérente à moyen terme, qu'est-ce qu'être réellement smart pour les villes européennes?

L'aménagement urbain se mêle aujoud'hui de question de santé publique et fait de la marche un cheval de bataille. Aux conséquences de la sédentarisation et de la diminution de l'effort physique dans le quotidien des citadins, une réponse par le design urbain serait envisageable pour Jeff Speck. En effet, les chances d'un américain d'être en surpoids sont deux fois moins importantes lorsqu'il vit dans un quartier propice à la marche.

L'aménagement urbain se mêle aujoud'hui de question de santé publique et fait de la marche un cheval de bataille. Aux conséquences de la sédentarisation et de la diminution de l'effort physique dans le quotidien des citadins, une réponse par le design urbain serait envisageable pour Jeff Speck. En effet, les chances d'un américain d'être en surpoids sont deux fois moins importantes lorsqu'il vit dans un quartier propice à la marche.

Le sociologue danois Sven Kesselring explique comment la gouvernance des politiques de mobilité a permis de considérables avancées dans la ville de Munich.

Un état des lieux cartographié et très renseigné de 90 initiatives franciliennes sur les sept champs de l'économie circulaire, à savoir : l'approvisionnement durable, l'éco-conception, l'écologie industrielle et territoriale, l'économie de la fonctionnalité, la consommation responsable et le réemploi/réutilisation/réparation et recyclage.

Passage en revue de 90 initiatives franciliennes emblématiques sur : approvisionnement durable, éco-conception, écologie industrielle et territoriale, économie de la fonctionnalité, consommation responsable, réemploi/réutilisation/réparation et recyclage.

Comment les opérateurs de transport luttent-ils contre la fraude (500 millions d'euros par an de pertes cumulées en moyenne ?) Passage en revue des différentes mesures, de la sensibilisation à la répression.

32 % des actifs franciliens passent plus de 45' dans les transports, à l'aller et au retour (Insee, avril 2011), un temps qu'ils cherchent à optimiser par le travail en transport.