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Home/ Etudiants & Jeunes professionnels/ Group items tagged Apprentissage

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INJEP - Apprendre en début de vie active - 0 views

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    Comment les jeunes apprennent-ils en début de vie active ? Quel que soit l'âge, l'acquisition des savoirs et des savoir-faire résulte de la combinaison de formations organisées et d'apprentissages informels. Si, dans leur ensemble, les jeunes apprennent plus que leurs aînés, tous ne sont pas logés à la même enseigne. Selon l'activité de travail qu'ils exercent et le contexte organisationnel dans lequel ils évoluent (dont la conjugaison compose la « dynamique de travail »), les jeunes acquièrent plus ou moins aisément de nouvelles compétences, particulièrement par le biais des apprentissages dans le travail. Le changement professionnel - nouvel emploi ou mobilité interne - influence également les apprentissages, informels ou organisés. La nouveauté impose une adaptation à un contexte différent et à un travail exigeant de nouvelles pratiques. Dans une moindre mesure, la formation organisée stimule également le développement des compétences, en respectant l'ordre généralement observé : les jeunes les plus diplômés, les plus qualifiés, salariés des grandes entreprises, y accèdent plus que les autres. « On apprend aussi longtemps qu'on vit » dit un proverbe allemand. Certes, mais d'autant plus et mieux que sont mis en place les moyens d'acquérir de nouvelles compétences pour accéder à l'emploi, y progresser ou en changer, selon les aspirations. Aspirations multiples, très contrastées, dont rend compte une typologie réalisée sur la population des salariés de moins de 30 ans. L'étude repose principalement sur l'exploitation du dispositif DEFIS (dispositif d'enquêtes sur les formations et les itinéraires des salariés) qui présente l'originalité de saisir les apprentissages dans le travail en plus de repérer les formations organisées et dont une exploitation spécifique aux jeunes a été financée par l'INJEP. Une série d'entretiens conduits auprès de jeunes salariés complèt
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CSA - Les jeunes et l'apprentissage - 0 views

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    A l'initiative de la Chambre de Commerce et d'Industrie Paris Ile-de-France, l'Institut CSA a réalisé un sondage auprès de 1 059 jeunes âgés de 16 à 23 ans (n'étant pas en apprentissage) afin d'évaluer leur perception de l'apprentissage et de mesurer leur opinion à l'égard du discours actuel sur ce mode de formation. Les formations en apprentissage pâtissent en effet d'un certain nombre d'idées reçues qui constituent des freins à son attractivité. En donnant la parole à ces jeunes, l'objectif de ce sondage était d'identifier les messages susceptibles de lever ces freins et de donner envie de s'intéresser à ce mode de formation. Principaux enseignements : - L'apprentissage, un mode de formation qui parle aux jeunes et qui suscite en soi des réactions positives - Mais un discours actuel sur l'apprentissage qui, en l'état, pose question et ne semble pas tout à fait à la hauteur de l'enjeu - Dans ce contexte, des leviers à activer et des messages à privilégier : chasser les idées reçues, rassurer sur l'accessibilité et la diversité des offres de formation et mettre en avant certains avantages concrets.
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France Stratégie - Rapport - L'insertion professionnelle des jeunes - 0 views

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    C'était une des onze mesures pour la jeunesse promises par le gouvernement au printemps 2016. La concertation en faveur de l'insertion professionnelle des jeunes, lancée en septembre dernier, s'est conclue mardi 24 janvier 2017 par la remise d'un rapport de diagnostic à la ministre du Travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social. Auteur(s) Marine Boisson-Cohen, Hélène Garner, Philippe Zamora Il s'agissait, selon les termes de la ministre, « d'un exercice exigeant » de dialogue avec la jeunesse. Piloté par France Stratégie et la DARES jusqu'à sa conclusion en décembre, la concertation en faveur de l'insertion professionnelle des jeunes a réuni les représentants des huit organisations patronales et syndicales ainsi que de quatre organisations de jeunesse (UNEF, FAGE, JOC, MRJC) lors de six séances de travail thématiques. Il ressort de l'exercice un diagnostic largement partagé autour de trois grands constats. Une jeunesse hétérogène C'est un fait, la situation des jeunes sur le marché du travail s'est dégradée. Multiplié par 3,5 en 40 ans, le taux de chômage des jeunes atteint aujourd'hui 24 %. Un trait commun à toute l'Europe mais particulièrement marqué en France où le taux d'activité des jeunes est inférieur de 4,5 points à la moyenne européenne. Attention à ne pas faire d'amalgame (statistique) pour autant ! Si leur taux d'activité est faible c'est d'abord parce que 50 % des 18-24 ans sont encore en étude. Le « vrai » point noir pour la France, ce sont les 13,8 % des 20-24 ans au chômage - un sur-chômage qui persiste encore dix ans après leur entrée sur le marché du travail - et les 15 % des 15-29 qui ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation (les NEETs). Cette précision souligne l'importance qu'il y a à parler des jeunesses au pluriel. Et c'est là le premier constat partagé par les parties prenantes. S'ils ont bien des diffic
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L'entrée en apprentissage devient possible jusqu'à 30 ans dans sept régions -... - 1 views

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    "Sept régions se sont portées volontaires pour expérimenter un report de l'âge limite d'entrée en apprentissage. Considéré comme efficace pour l'insertion professionnelle des jeunes, ce type de contrat souffre d'une image encore peu flatteuse en France."
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Note du Conseil d'Analyse économique - L'apprentissage au service de l'emploi - 0 views

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    a nouvelle Note du CAE plaide pour une réforme en profondeur de la formation professionnelle en alternance - apprentissage et contrats de professionnalisation. Les deux auteurs Pierre Cahuc et Marc Ferracci (avec la contribution de Jean Tirole et Étienne Wasmer) soulignent le dysfonctionnement du système français dans son financement, sa gouvernance, son offre de formations. Ils pointent également l'inadéquation des incitations des différents acteurs au regard de l'objectif d'insertion professionnelle de ceux qui ont le plus besoin de formations qualifiantes adaptées aux emplois d'aujourd'hui et de demain. Finalement, ils proposent quatre pistes pour converger vers un système plus simple, plus transparent et plus efficace. - Recommandation 1 : Fusionner l'apprentissage et le contrat de professionnalisation ; unifier leurs financements en une subvention unique modulée en fonction des niveaux de diplôme ; simplifier la collecte en substituant les URSSAF aux OCTA. - Recommandation 2. Instaurer un système unique de certification des formations en alternance via des agences commanditées par une commission nationale réunissant toutes les parties prenantes (branches professionnelles, Éducation nationale, ministère du Travail, experts indépendants). - Recommandation 3. Moduler les subventions à l'alternance en fonction du diplôme de l'alternant ; moduler les contributions des entreprises à l'alternance en fonction du devenir de leurs alternants. - Recommandation 4. Concentrer sur l'apprentissage et le pré‐apprentissage les moyens publics en faveur de l'insertion professionnelle des jeunes peu qualifiés. Ajuster les incitations des différents acteurs de l'orientation en faveur de ce dispositif. Réduire la part des matières académiques dans les diplômes de CAP et promouvoir le tutorat des apprentis.
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Institut Montaigne - Apprentissage : les trois clés d'une véritable transform... - 0 views

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    78 % des Français estiment que le système scolaire actuel prépare mal les élèves au monde du travail. 81 % pensent que les formations en apprentissage permettent de trouver un premier emploi facilement et 84 % considèrent cette formation comme une mesure efficace pour lutter contre le chômage selon une enquête ELABE pour l'Institut Montaigne réalisée auprès de 1 051 personnes âgées de 15 ans et plus. Malgré l'engouement des Français et les engagements des gouvernements successifs en faveur de l'apprentissage, le nombre d'apprentis a baissé de 4 % depuis 2010, et le chômage de masse des jeunes, lui, subsiste dans des proportions alarmantes. Convaincus que l'apprentissage est l'une des pistes les plus fécondes pour favoriser l'accès à l'emploi des jeunes, nous proposons trois mesures concrètes pour faire de l'apprentissage la voie professionnelle initiale de droit commun : Confier aux régions, en lien avec les professionnels, le pilotage territorial de la formation professionnelle initiale ; Introduire des systèmes de préparation à l'apprentissage, que ce soit pour les élèves en formation scolaire ou les jeunes déscolarisés ; Adapter le système de certifications aux mutations de l'économie.
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INJEP - La mobilité internationale des jeunes dans un cadre non formel : revu... - 0 views

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    Contexte de l'étude Cette revue de littérature est le fruit d'une commande institutionnelle émanant de l'INJEP pour le compte de la direction de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative (DJEPVA). Issue d'une recommandation adoptée dans le cadre du Comité permanent de la mobilité européenne et internationale des jeunes, elle a pour objectif de faire le point sur les travaux de recherche, d'étude et d'évaluation disponibles sur les mobilités internationales apprenantes dans le cadre non formel des jeunes de 13 à 30 ans.Résumé Instrument de l'action publique dédiée à la jeunesse, la mobilité internationale réalisée dans un cadre non formel génère des attentes politiques en partie divergentes avec celles - nombreuses, diversifiées et différenciées - des jeunes bénéficiaires. Le développement de l'employabilité, à titre d'exemple, n'arrive généralement pas en tête des motivations des jeunes. Les expériences de mobilité internationales restent également sélectives, marquées des déterminismes sociaux et influencées par un ensemble de freins et d'obstacles - individuels, institutionnels, organisationnels et sociétaux - et ce, malgré l'existence de dispositifs et programmes censés la faciliter. Régulièrement évalués, ces derniers permettent néanmoins aux jeunes bénéficiaires - sous certaines conditions - de faire des apprentissages multiples et multidimensionnels qui peuvent infléchir leur parcours de vie et leurs trajectoires sociales et professionnelles. La reconnaissance individuelle de ces acquis reste toutefois plus ou moins accompagnée et formalisée, et inachevée dans ses volets social et institutionnel. Enfin, l'impact de la mobilité internationale non formelle sur les professionnels, les organisations et les territoires semble moins prononcé, même si des investigations complémentaires restent nécessaires sur ces champs de recherche.
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Dernière Note - Une nouvelle ambition pour l'apprentissage : 10 propositions ... - 0 views

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    "Après trois années de hausse, les entrées en apprentissage ont reculé de 8,1% en 2013, selon les données provisoires rendues publiques hier par la DARES."
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Vanessa Pinto : « Les jobs étudiants, un apprentissage de la précarité » | L'... - 1 views

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    "bon nombre d'étudiants d'origine populaire tendent à se retrouver avec des missions qui ne sont pas directement liées à leurs études. "
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"Oui à l'apprentissage, et le plus tôt possible !" | Pèlerin - 0 views

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    "Boulangère à Montigny-lès-Metz (Moselle), Priscilla Pruvost, 31 ans, défend avec passion l'apprentissage, voie la plus sûre, selon elle, vers l'excellence et l'emploi. Rencontre, alors que le gouvernement vient de dévoiler sa réforme"
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DARES - Les activités rémunérées des étudiants : quelles formes et quelle org... - 0 views

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    En moyenne de 2013 à 2015, parmi les 2,4 millions de jeunes âgés de 18 à 29 ans qui suivent des études dans l'enseignement supérieur, près de 23 % sont actifs au sens du Bureau international du travail (BIT). L'activité rémunérée d'un étudiant est particulière en raison du cumul de l'emploi et des études. Le taux et les formes d'emploi des étudiants varient en fonction du calendrier des études. Les étudiants qui travaillent déclarent majoritairement choisir d'occuper des contrats courts (CDD, contrat saisonnier ou contrat d'intérim) ou des emplois à temps partiel. Par ailleurs, les emplois revêtent de nombreuses formes dont le principal critère de différenciation est le lien avec les études. Parmi les étudiants qui travaillent, plus de la moitié exerce une activité prévue par leurs études (stage, apprentissage, internat de médecine, etc.). Les autres exercent une activité sans lien avec leurs études, occasionnellement ou régulièrement au long de l'année. Ces activités non liées aux études correspondent plus souvent à des emplois moins qualifiés et à temps partiel. Elles peuvent néanmoins représenter une charge horaire lourde et contraignante vis-à-vis du temps requis par les études, en particulier lorsque l'activité est régulière.
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Fondation Concorde - Bâtissons l'enseignement supérieur du XXIème siècle - 0 views

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    "Juin 2017 : l'Enseignement supérieur semble toucher le fond. Malgré la qualité des enseignements et le courage des enseignants, tout ce que l'on retient ce sont les 90.000 jeunes qui sont encore sans affectation pour la rentrée prochaine. Les mesures phares que sont le tirage au sort et le contingentement des filières témoignent de la gestion à la petite semaine du précédent gouvernement. Nos universités méritent mieux. Face à une situation de massification des effectifs (+108% d'effectifs depuis 1980) et une désertification des filières professionnelles (-17% sur la même période) il est urgent de réformer l'Enseignement supérieur français, qui constitue encore aujourd'hui un avantage comparatif important pour notre pays, sans sortir les vieilles recettes à savoir la mise en place d'une sélection à l'entrée, ou l'augmentation des frais d'inscription. Le gouvernement a annoncé une réforme du premier cycle visant à supprimer APB et mettre en place des prérequis. Cette volonté réformatrice va dans le bon sens mais doit aller plus loin et s'étendre à tous les pans de l'Enseignement supérieur francais. La Fondation Concorde a ainsi réuni pendant huit mois une vingtaine d'experts universitaires issus de tous les horizons, dans le but de proposer une réforme en profondeur de notre ESR. Articulé autour de 28 propositions, notre projet se veut ambitieux mais réaliste : transformer l'accès au premier cycle en passant d'une logique de filière à une logique de parcours à la carte; doter l'université de nouveaux moyens financiers notamment grâce à la formation professionnelle; et proposer une gestion décentralisée de l'enseignement supérieur, afin que chaque établissement soit le plus à même de construire un projet pédagogique en cohérence avec son territoire. L'avenir de l'Enseignement supérieur français ne passe pas par son démantèlement mais bien par son optimisation pour tendre vers plus d'efficacité et pl
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The Conversation - Évaluation des étudiants : sortir de la note sur 20 - 0 views

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    "Dans l'enseignement supérieur, les pratiques pédagogiques évoluent et de nombreux enseignants se questionnent sur les nouvelles formes d'apprentissage. Mais cette réflexion interroge peu souvent les modes d'évaluation. Et pourtant, nos principes d'évaluation ont une influence très forte sur le comportement des étudiants face aux apprentissages, jusqu'à la façon dont les étudiants vont aborder et vivre leurs études. N'est-il pas alors essentiel d'interroger nos façons d'évaluer si nous souhaitons que nos étudiants « apprennent autrement » et « apprennent mieux » ?"
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Institut Montaigne / Elabe - Les Français et l'apprentissage - 0 views

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    78 % des Français estiment que le système scolaire actuel prépare mal les élèves au monde du travail. 81 % pensent que les formations en apprentissage permettent de trouver un premier emploi facilement et 84 % considèrent cette formation comme une mesure efficace pour lutter contre le chômage selon une enquête ELABE pour l'Institut Montaigne réalisée auprès de 1 051 personnes âgées de 15 ans et plus. Malgré l'engouement des Français et les engagements des gouvernements successifs en faveur de l'apprentissage, le nombre d'apprentis a baissé de 4 % depuis 2010, et le chômage de masse des jeunes, lui, subsiste dans des proportions alarmantes. Convaincus que l'apprentissage est l'une des pistes les plus fécondes pour favoriser l'accès à l'emploi des jeunes, nous proposons trois mesures concrètes pour faire de l'apprentissage la voie professionnelle initiale de droit commun : Confier aux régions, en lien avec les professionnels, le pilotage territorial de la formation professionnelle initiale ; Introduire des systèmes de préparation à l'apprentissage, que ce soit pour les élèves en formation scolaire ou les jeunes déscolarisés ; Adapter le système de certifications aux mutations de l'économie.
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The Conversation - Inégalités scolaires : les élèves des territoires ruraux m... - 0 views

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    "Les inégalités territoriales en matière de parcours scolaire font actuellement l'objet de nombreux débats. Des rapports récents mettent notamment en évidence les inégalités entre territoires ruraux et urbains. Les élèves des territoires ruraux, s'ils réussissent aussi bien que ceux des villes à l'école et au collège, s'engagent dans des filières plus courtes (filière professionnelle, apprentissage…), accèdent moins à l'enseignement supérieur et s'engagent moins dans des filières sélectives comme les classes préparatoires aux grandes écoles"
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Le Monde - Lacunes, copies bancales… dans les universités, la « baisse de niv... - 0 views

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    "La pandémie de Covid-19 a bouleversé les apprentissages et généré un éloignement vis-à-vis de l'institution universitaire. Si la présence aux examens se maintient, beaucoup d'enseignants notent une baisse de niveau à l'issue du premier semestre."
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Drees - Etudes, emploi, ressources : les jeunes ruraux sont-il différents des... - 0 views

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    Fin 2014, 1,2 million de jeunes de 18 à 24 ans vivent dans les territoires ruraux, soit un quart des jeunes adultes à ces âges, selon l'Enquête nationale sur les ressources des jeunes de la DREES et de l'Insee. Les jeunes quittent plus souvent les zones rurales pour le milieu urbain : 26 % de ceux dont les parents vivent en zone rurale habitent dans une zone urbaine, contre 2 % dans la situation inverse. En zone rurale, moins de la moitié des 18-24 ans sont en cours d'études. Ils visent des études plus courtes, en majorité au niveau bac+3 - quand les urbains souhaitent plus souvent atteindre un bac+5 - et sont plus attirés par des études en apprentissage. À l'issue de leurs études, les jeunes accèdent aussi souvent à l'emploi dans les deux types de territoire, mais les zones rurales sont marquées par des inégalités de genre que l'on n'observe pas en milieu urbain. Les ressources des jeunes ruraux (revenus du travail, aides sociales, aides des parents) sont proches de celles des jeunes urbains à autres caractéristiques identiques. Ils perçoivent moins souvent des prestations sociales, mais de montants plus élevés. Ils bénéficient de moins d'aides financières des parents, mais plus souvent d'aides en nature. Enfin, le sentiment de privation est moins présent dans leur quotidien alors qu'ils sont plus d'un sur cinq à déclarer ne pas avoir de dépenses pour leurs loisirs.
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Strasbourg - Opens Source 2020 avec les Carmélites de St Joseph - 0 views

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    Une semaine de formation-réflexion-prière-vacances Une occasion pour les jeunes professionnels de réfléchir et de partager ensemble Le thème de cette année? A l'heure de tous les possibles … pOse des choix ! Apprentissage de la prière et de la relecture de vie : l'occasion de grandir en humanité. Tout cela dans la souplesse et la détente car Open Source 2018 propose baignades, balades, tourisme et canoë-kayak !
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L'université, lieu d'apprentissage de la solidarité | ZENIT - Le monde vu de ... - 0 views

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    "En ce temps de crise, le pape François met en garde contre les dangers de la déception, de la désillusion, qui paralysent « l'intelligence et l'action »,font fuir la réalité. Il désigne pour cela l'université comme un antidote : « un lieu d'élaboration et de transmission du savoir, de formation à la « sagesse » dans le sens le plus profond du terme, d'éducation intégrale de la personne ». Parce qu'elle est un lieu de « discernement » où l'on nourrit « l'espérance », où s'élaborela culture de la proximité, du dialogue, un lieu de formation à la solidarité, explique le pape. Le pape François avait en effet rendez-vous avec le monde de la culture, dimanche après-midi, 22 septembre, à Cagliari, dans l'auditorium de la faculté pontificale de théologie régionale, dirigée par les jésuites, en présence des professeurs et étudiants des universités publiques de Sardaigne. Voici notre traduction intégrale du texte du pape, à partir du texte écrit préparé, en italien, et publié par le Saint-Siège, complété par les incises improvisées sur le moment, d'abondance du coeur."
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DEPP - Le diplôme et la conjoncture économique demeurent déterminants dans l'... - 0 views

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    En février 2018, sept mois après leur sortie d'un centre de formation d'apprentis, 72 % des jeunes ayant suivi des études de niveau CAP à BTS ont un emploi, soit 3 points de plus qu'en 2017 et 7 points de plus qu'en 2016. Le taux d'emploi retrouve un niveau similaire à celui de 2008. Parmi eux, un peu plus de la moitié a un contrat à durée indéterminée. Quel que soit le niveau de formation, sortir du système éducatif après avoir obtenu le diplôme préparé demeure déterminant pour l'insertion des jeunes. L'écart des taux d'insertion selon ce critère est en moyenne de 17 points : 76 % des sortants diplômés sont en emploi contre 59 % des jeunes sortis en année terminale d'un cursus sans obtenir le diplôme.
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